Cousins 1Je me suis d�plac� derni�rement pour aller revoir une cousine que j'avais perdue de vue depuis au moins 20 ans. Nous n'avons que quelques ann�es de diff�rence. Pour ma part j'ai 60 ans mari� et deux grands enfants. Elle est mari�e et son mari � peine plus jeune que moi et la derni�re fois que je l'ai vu, il y a plus de 20 ans il �tait CRS. Et c'est dire que tout le monde a bien chang�. Parti de Chamb�ry le matin t�t, j'�tais attendu pour d�jeuner. Quelques minutes avant d'arriver � Colmar, o� habite ma cousine et sa famille, je me suis arr�t� sur une aire de repos. Il y avait des camions et des voitures arr�t�s. Je suis all� au WC et quand j'�tais dans l'urinoir est arriv� un gars, cheveux gris taill�s courts des lunettes de soleil, un peu bedonnant. Il s'est install� � c�t� de moi et a sorti son attirail pour uriner. Au bout de quelques secondes j'ai compris que son but n'�tait pas de se soulager en urinant mais de mater mon sexe. Et sans aucune g�ne son regard a plong� sur mon sexe qui d'un coup s'est band� et je n'ai pu m'emp�cher de regarder sa bite qui �tait fort belle et bien dress�e sous ses doigts. On a chacun commenc� � branler son sexe et il m'a dit : " Tu me suces ! " Je n'�tais pas choqu� car si j'�tais l� c'est qu'en r�alit� je recherche ce genre de situation avec un ou des hommes. Je lui ai dit " oui, mais avec une capote ". Il �tait d'accord. J'avais une capote que je lui ai tendue, il l'a enfil�e et dans une cabine o� il m'a conduit, je l'ai suc�. Il me tenait la t�te pour que ne me retire pas et il me baisait la bouche � grand coups de reins. Ma gorge hoquetait sous la pression de son �norme queue. Il me tenait et me caressait gentiment la t�te et je prenais du plaisir dans cette situation. Dans un r�le puissant, il a joui et rempli la capote. Apr�s quelques secondes sans bouger, il s'est rhabill� et m'a laiss� dans la cabine. Dehors deux mecs avaient suivi, au son, la sc�ne de baise. Ils m'ont juste souri, de mani�re complice. Dix minutes plus tard j'arrivais chez ma cousine qui m'attendait sur le pas de sa maison, dans la chaleur de ce mois de juillet, tout pr�s de la piscine familiale. Embrassades de la cousine de ses gar�ons et la porte s'ouvre et ma cousine me dit " tiens voil� Antoine " et en me retournant vers le marie de ma cousine, vers Antoine, je reconnais le gars que j'ai abondamment suc� sur l'aire de l'autoroute, il y a un quart d'heure. On a l'air ahuri, surement. J'avais avec le temps oubli� son visage. Tr�s avenant il me lance un " Salut ! " tr�s sympa et on s'embrasse comme des cousins que nous sommes. Le repas qui suit est tr�s d�tendu. On parle de la famille, des autres cousins, on reconstruit l'univers familial. Au moment du caf�, nous restons seuls, Antoine et moi. Grand �clat de rire de chacun. " �a alors ! " me lance-t-il !! Ni lui ni moi n'�tions g�n�s. " <Tu as aim� me sucer ? Tu fais �a souvent ? " Je lui ai r�pondu que j'avais des pulsions quelques fois et l� c'�tait pour lui. Il rigol� gentiment. Ma cousine revient dans le salon et annonce qu'elle part avec les deux gar�ons et qu'elle va faire des courses. Elle a pr�vu de rentrer dans deux heures. " Profitez de la piscine les gars ! " nous dit-elle, en partant. Et nous voil� en t�te � t�te, Antoine et moi. Il se l�ve et annonce qu'on serait mieux dans l'eau. Comme je n'ai pas de maillot, mon cousin me dit qu'on n'a pas grand-chose � se cacher et qu'� poil c'est mieux et que �a pourrait aussi nous donner des id�es. Me voil� nu et lui aussi. Je vais au bord de la piscine bien prot�g� des regards des voisins. Antoine est rest� dans la maison et il vient vers le bassin en me disant qu'il a invit� un voisin Alexandre, de notre �ge qui n'a pas de piscine. Et il plonge dans l'eau et moi aussi. " C'est bon l'eau fraiche sur le corps ! " me dit-il en nageant vers moi. " Alors comme �a tu aimes les homme, comme moi. Mais toi tu es plut�t femelle, et tu aimes �a ! " Et il vient se coller contre mon ventre. Il bande d�j� tout comme moi. C'est alors que le voisin, Alexandre arrive et en nous voyant, corps � corps, s'excuse puis entre dans l'eau. PierremurR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |