Page pr�c�dente

Copain Bidasse

A la fin de mon service militaire � Brest (il y a bien longtemps d�j�!!) je suis rentr� � Paris en voiture avec deux copains. J'ai laiss� l'un d'eux chez lui qui habitait pr�s de Paris et l'autre, Alain, devait passer une nuit � Paris et prendre le train le lendemain pour l'Alsace. Je lui ai donc propos� de rester chez moi. J'avais � l'�poque une petite chambre de bonne tr�s sympa avec vue sur le Sacr� Coeur. Nous sommes donc arriv�s chez moi, il �tait tard d�j� et nous avons fait une petite toilette avant de nous coucher. J'avais un lit de 140 et nous nous sommes couch�s chacun avec son slip, car, bien entendu, nous �tions des " mecs " et pas des PD (sauf moi, mais ��....). Alain �tait un petit gars trapu, blond aux yeux bleus et tr�s muscl� (il en �tait fier d'ailleurs). Il aimait la plaisanterie et chahutait tout le temps. Il faisait semblant de te boxer, mais tous ces jeux �taient bien h�t�ro et je n'aurais jamais os� faire quoi que ce soit qui puisse lui faire penser que j'�tais gay.
Nous �tions donc l�, tous les deux, couch�s c�te � c�te. Alain a commencer � dire qu'il avait envie de baiser une nana, qu'il avait la trique etc... Je lui disais : " Ben, si tu as la trique, branle-toi ! ", Puis il commen�a � me donner des petits coups dans les c�tes.
- Arr�te, quoi, demain tu dois prendre ton train de bonne heure.
- Mais j'ai la trique, j'te dis !
- Et que veux-tu qui j'y fasse ! D'abord j'te crois pas.
- Eh ben touche ! tu verras bien.
- Arr�te ton cirque, tu vas finir par me faire bander moi aussi !
- Touche, j'te dis !
Je me suis dit " et puis merde s'il veut que je le touche, je vais le toucher ". J'ai donc pass� ma main sur son paquet au travers du slip. Il bandait vraiment dur le petit salaud, j'ai m�me toucher le bout de sa queue qui d�passait du slip tant elle �tait raide. Quand j'ai voulu retirer ma main, il m'obligea avec la sienne � appuyer sur son paquet. Je ne disais rien, je le laissais faire, il se frottait avec ma main.
- T'aimes ��, hein ? me caresser la bite. Hein ?
- Et toi �� te plait ?
- Oui c'est bon, je me doutais que tu aimais la bite toi.
- Et toi non ?
- J'pr�f�re les chattes, mais je suis tellement chaud que je m'en fous. Vas-y branle moi.
Je lui baissais son slip et commen�ais un lent va et vient le long de cette queue br�lante. Il avait une queue courte mais �paisse. Il me disait : " ouiiii, vas-y, �� fait du bien...branle moi bien ". Pendant ce temps j'avais moi aussi enlev� mon slip et de l'autre main je me branlais en cadence. Au bout d'un moment, n'y tenant plus et me foutant de ce qu'il pourrait penser, je me suis pench� sur son dard et j'ai commenc� � lui l�cher le gland. Il g�missait de bonheur. J'ai pos� ma bouche sur son gland, et � ce moment l� il appuya d'une main fortement sur ma t�te. Sa bite entra d'un trait au fond de ma gorge, je faillis �touffer.
- Bouffe-moi la bite, petit salaud !! Pompe-moi � fond !! �� te plait, hein, de sucer une belle queue ?? Hein ? R�pond, �� te plait ?
- Oui �� me plait, j'adore sucer une bonne bite et la tienne est d�licieuse.
- Ouais, vas-y, oh oui.....c'est bon....continue comme ��...ahhhhhh, putain que c'est bon, tu suces mieux qu'une nana toi, prend-l� bien, ouais, bien au fond, pipe moi, ahhhh le salaud !.
;Pendant que je continuais � le sucer, sa main caressa mon dos puis mes fesses qu'il commen�a � p�trir avec fr�n�sie, il caressa ma raie et s'arr�ta sur mon trou, ses doigts essayaient de me p�n�trer. Il se tordait et g�missait de plaisir.
- Arr�te !! tu vas me faire jouir. Je ne veux pas encore. Tu as un beau petit cul, tu sais, laisse-moi t'enculer. Tu m'as chauff� � mort toi, je n'aurai jamais cru pouvoir prendre un pied pareil avec un mec. T'es vraiment g�nial.
- Merci pour le compliment. Et si je veux pas �tre encul� ?
- Oh ! sois pas vache ! Tu ne vas pas me dire que tu ne t'es jamais fait encul� ?
- Je me laisse enculer seulement si tu me suces � ton tour. Qu'est-ce que tu en dis ?
- T'es vraiment une salope toi ! Le chantage maintenant !!
- C'est � prendre ou � laisser. Comme tu veux.
- J'ai trop envie de foutre ma queue dans ton cul et crois-moi, tu vas la sentir pour m'obliger � te sucer.
Il se pencha sur ma bite et l'avala d'un trait. Il avait pris mes couilles dans ses mains et les malaxait pendant que sa bouche me pompait. Voir ce mec me piper comme �� m'�xcitait au plus haut point. Ma bite durcissait de plus en plus, je poussais des petits cris de plaisir en remuant mon bassin au rythme de sa bouche pour faire p�n�trer ma bite au plus profond de sa gorge. Je dus me retirer d'un coup car je sentais la jouissance proche.
- C'�tait bon ? J't'ais bien sucer, hein ?
- Ohhh oui c'�tait vachement bon.
- Et maintenant chose promise, chose due ! Fous-toi sur le ventre, �carte bien les cuisses. Tu la veux ma bite dans ton cul ? Tu la veux ?
- Oui, vas-y, baise-moi, je veux te sentir en moi.
Je lui passais du gel qu'il �tala rapidement sur ma rondelle, puis sur sa bite. Il se positionna, le gland � l'entr�e de mon trou, puis se laissa tomber sur moi d'un coup enfon�ant sa queue �paisse dans mon cul offert. La douleur fut vive et j'ai pouss� un cri, mais le d�sir �tait plus fort, j'�tais chauff� � bloc et je voulais cette bite d'h�t�ro dans mon cul. Il me bais�t en donnant de grand coup de reins, ces couilles venant buter contre les miennes, il �tait fou de plaisir, il n'avait jamais encul� un mec (il me l'a dit apr�s), et n'arr�tait pas de dire : " Putain que c'est bon !!! T'as le trou plus serr� que la chatte d'une nana !! C'est le pied, ouais..... prend-la ma bite, prend la bien au fond " Il me besognait � un rythme de plus en plus effr�n�, mais son excitation �tait telle que sans plus tarder il cria : " Ahhhhh, �� vient....�� vient....je vais jouir.....ahhhhhhhhhh.........prend mon jus dans ton cul..... ouais........ " Je sentis de fortes gicl�es m'inonder l'int�rieur, �� n'en finissait pas. Lorsqu'il ;retira sa queue, le trop plein de sperme d�goulina sur mes couilles. Il s'affala sur le dos reprenant peu � peu sa respiration. Je fis comme lui et commen�a � me branler car je n'avais pas encore joui. Soudain sa main attrapa ma bite et c'est lui qui a fini de me branler en me su�ant un t�ton. Ma jouissance fut si forte que les jets de foutre m'inond�rent le visage, les cheveux et le torse. J'en avais partout mais j'�tais heureux d'avoir baiser avec un h�t�ro (le sera-t-il rest� ???). Le lendemain je l'ai emmen� � la gare et je ne l'ai plus revu.
(A l'�poque le Sida n'existait pas. Aujourd'hui les capotes sont indispensables!!!)

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :