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"Chaleur d'Et�"

J'appr�hendais ce Samedi comme un gosse.
La derni�re fois que j'avais vu K�vin, l'id�e de la balade
en v�lo s'�tait achev�e dans un sublime �change de bouche et
de sexe... et il m'avait lanc� comme un "indice" sur son
intention de me revoir pour, officiellement, un tour de
v�lo... avec son d�sir que je le masse avec encore plus
d'application... J'�tais perplexe.
Je ne voulais pas me faire trop d'id�e... en m�me temps, ce
qu'il s'�tait pass� �tait "clair" et son souhait de me
revoir l'�tait aussi.
J'y pensais chaque jour.
Le jour attendu fini donc par arriver...
Jamais je n'avais aussi f�brile, et en m�me temps, aussi
h�sitant de sortir mon v�lo de l'espace pr�vu dans mon
immeuble.
Une fois dehors, un franc soleil confirmait l'int�r�t d'un
tour en v�lo. Mais mon short de v�lo en Lycra laissait
apparaitre un "d�sir" beaucoup moins sportif... quoique...
K�vin fis son entr�e avec son sourire habituel et un short
en Lycra qui, lui, ne manifestais aucun signe particulier,
si ce n'est qu'il avait d�j� commenc� � transpirer...
"Pr�t a suer?" furent ses premiers mots...
"Quand tu veux!" je lan�ais, avec une voix plus rauque que
je n'aurai voulu...
"je vois �a!!" dit'il tout en fixant mon short, un sourire
hilare barrant son visage...
Et c'est rouge vif que j'entamais mes premiers tours de
p�dales, rougeur rapidement prise en relais par une autre,
celle-l� imputable au soleil ardent qui r�gnais en maitre
absolu sur un ciel d'un bleu limpide...
il faut avouer que la mont�e d'un col sous un soleil brulant
a t�t fait de calmer toute ardeur, quelqu'elle fut...
Et aucune remarque ne vint jalonner notre effort physique
commun.
Ce n'est que sur le retour qu'� l'occasion d'une pause "eau"
qu'il me sugg�ra, l'air candide, "au fait, t'es toujours OK
pour me masser le dos? parce que l�, franchement, �a me fait
plut�t mal..".
"Ben... heu... oui, bien s�r, je m'�tais engag� �
sp�cialement m'appliquer, donc... ce sera ce que tu
voudras", je marmonnais avec des mots h�sitants et mal �
l'aise... Alalala, moi et ma fichue timidit�!!!!
L'arriv�e chez moi se fit sans tarder, et les v�los rang�s,
un coca bien frais �tancha rapidement notre d�sir de
fraicheur...
"Bon, pour me masser, vaut mieux que je me douche, non?"
"A oui, vaut mieux, et perso, je pr�f�re!!"
"Ok, en plus j'en ai trop besoin!!!"
Et enlevant un tee shirt tremp�, cette fois de sueur, K�vin
s'engagea dans la salle de bain.
Conform�ment a son habitude, il se d�shabilla prestement et
sans fermer la porte, me permettant d'admirer une fois de
plus ce cul magnifique et musculeux, sur lequel je n'avais
pu m'emp�cher de poser plusieurs fois les yeux alors que
nous p�dalions...
Alors qu'il se douchait, je me d�cidai � me foutre a poil
aussi, et en prenant l'air impatient, je lui lan�ais:
"Qu'est-ce que tu fous?? t'es lent!! moi aussi je
d�gouline!! Magnes toi!!" et je tapais contre la porte de
douche aussi surement qu'un batteur le ferait sur sa caisse...
Et c'est dans un bon fou rire que je prenais sa place dans
l'espace r�duit, non sans qu'il ne se frotte vigoureusement
� moi en sortant...
"All�, d�p�ches toi, j'ai mal au dos!!" me lan�a t'il
laconiquement...
Ma douche finie, je revenais dans le salon, et restait clou�
sur place en le trouvant allong� sur mon canap�, qu'il avait
ouvert (c'est un clic clac), couch� sur le ventre, les bras
et surtout les jambes �cart�, avec son sexe sorti entre ses
cuisses. je le voyais dans toute son intimit�, lui le mec le
plus mignon de l'�cole de musique, et je le savais, de notre
petite ville...
Mon sexe exprima alors brutalement son int�r�t. Je
m'approchais donc, un peu h�sitant, vers K�vin. Posant
d'abord un genou sur le bord du canap�, puis un autre, je me
situais exactement entre ses pieds, et math�matiquement,
entre ses cuisses...
Il respirait paisiblement et semblait parfaitement �
l'aise... c'�tait donc � moi de jouer. M'approchant un peu,
je posais mes mains sur ses fesses blanches.. et si
douces... le duo transpiration + douche leur assurait une
douceur et une d�licate odeur � laquelle d'ailleurs je ne
tins pas...
Tout en douceur, je posais mes l�vres sur la commissure de
la fente et, en soufflant l�g�rement, je descendis le long
de la raie.
Il laissa �chapper un soupir de contentement, et son sexe,
que j'avais sous le menton, r�agit par de petits soubresauts.
Enhardi, je recommen�ais, non sans glisser la pointe de ma
langue le long de cette raie parfaitement imberbe.
Son soupir fut d'autant plus intense.
Je recommen�ais, il reproduisit. Ce petit jeu dura 3 ou 4
minutes, et � chaque fois ma langue devenait plus pointue,
plus dure, plus aventureuse... et il r�pondait par des
soupirs de plus en plus g�missant et par un �cartement des
jambes d�sormais � son maximum...
Il s'offrait totalement � moi...
C'�tait hallucinant...
Pour moi qui aime avec la langue l'aubaine �tait unique. Et
sans voir passer le temps, j'ai jou� de mon appendice autant
sur et dans sa raie, que sur son se m�me si la position ne
me permettait pas de l'absorber compl�tement...
C'est ainsi qu'au bout d'un moment, sans dire un mot, K�vin
se retourna et, tout comme nous l'avions fait le samedi
pr�c�dent, il se entoura ma taille des bras et avala
goulument mon sexe enfl� au maximum...
Nous jouions de nos langues comme des gamins sur une glace,
et nous s�rions le corps de l'autre comme si nous avions
peur que l'instant s'arr�te brutalement...
En me soulevant un peu, je parvins � ramener sa raie vers
moi, et � nouveau je jouais � y passer la langue, tout en
m'attardant sur son petit jardin secret... Il avait l'air
d'appr�cier ce jeu, et se cambra davantage encore, mais sans
l�cher mon sexe qu'il malmenait autant qu'il le pouvait
entre sa langue et ses l�vres...

Brusquement, vers 17h05, une sonnerie se fit entendre. Son
portable.
Le r�pondeur se mis en route instantan�ment, mais
malheureusement pour nous, la voix de sa m�re fut audible...
"K�vin, il faut que tu rentres tout de suite! Ton fr�re
s'est coup� le doigt profond�ment et faut que je l'am�ne �
l'hopital!!! Et y'a personne pour garder ta soeur!!! Alors
viens vite s'il te plait!!! Et pas grave si tu transpires,
tu te doucheras a la maison!!!!"
D'un coup net, nous cessions notre jeu amoureux.
"Merde! Faut que je rentre!!!!"
"Ben oui, l� je crois que c'est un cas d'urgence..."
"Ouais, mais avant..."
Et avec l'avidit� d'un texan sur un hamburger, il r�aspira
mon sexe et caressa mes fesses comme il ne l'avais encore
jamais fait.
Encourag�, je r�attaquais sa raie avec le sentiment d'une
mission � accomplir, mission qui me remplissait d'excitation...
cette ardeur produisit rapidement son effet. Alors que
j'avais plac� un doigt dans son petit cul, K�vin me remplis
la bouche de son jus intime... de longs jets que je gardais
dans la gorge comme un gage de sa pr�sence...
Excit� et presque �mu, je sentis soudain mon ventre se
tendre et je fini moi aussi par me vider dans cette bouche
finement ourl�e...
Avec un air de triomphe, K�vin me fixa avec son visage
ang�lique. je ne pus m'emp�cher de maudire ce fr�re
maladroit, mais sa joie �tait si belle � voir que je lui
rendis son sourire avec un filet blanc coulant entre les
dents...
Bien �videmment, fou rire � la cl�, avec lui et moi une
langue blanche et baveuse expos�e l'un � l'autre!!!!
"ben pars vite!! Tu te doucheras chez toi!!"
"Ouaip, trop dommage..."

Notre coca sit�t aval�, je voyais K�vin se rhabiller comme
si le feu avait pris mon appart.

"Bon, ben je serai pas dispo samedi prochain, mais Mercredi
je voudrais aller en v�lo te montrer un coup tr�s sympa...
y'a un trou d'eau... si tu veux on pourra aller s'y baigner!
En plus, y'a personne, donc on sera vraiment tranquille!!!!"
Et un clin d'oeil conclu cette invitation � un prochain
moment qui r�serverai peut-�tre de nouvelles surprises...

Quand j'�tais gosse, j'�tais un cycliste rapide et tous le
monde pr�disait que le v�lo m'am�nerai loin...
En regardant K�vin enfourcher son destrier et s'�loigner, je
me disait que je ne pensais pas qu'il m'aurait amen�.. si
loin...

Zeqman

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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