A l'internat avec C�dricApr�s le bac, j'ai fait maths sup dans un lyc�e et je suis devenu pensionnaire � l'internat. Je me suis ainsi retrouv� � partager une chambre en soupente avec deux mecs qui sont copains, C�dric et Thomas. Thomas est un gar�on timide, tr�s sportif comme C�dric et presque tous les gars de notre classe, appliqu� et travailleur. Physiquement, il est pas mal : blond, grand, muscl� mais il a encore pas mal d'acn�, ce qui le complexe. En fait, il reste dans l'ombre de son pote C�dric, qui est un vrai beau gosse : grand lui aussi, les cheveux ch�tains, fin et muscl�, il a surtout un grand sourire charmeur et une confiance en lui qui le fait rayonner. Joyeux et d�conneur, c'est le leader naturel de notre classe. C'est aussi un exhibitionniste de premi�re... Notre internat est un peu vieillot et peu d'�l�ments ont �t� con�us pour pr�server l'intimit� des pensionnaires. Ainsi, les douches sont individuelles mais n'ont pas de porte ni de quoi poser nos affaires. Concr�tement, nous circulons facilement la serviette autour de la taille et nous voyons nus sous les douches sans cesse. Inutile de pr�ciser que j'en profite largement, mais avec le plus de discr�tion possible car je ne suis pas sorti du placard. Notre chambr�e est compos�e de 3 lits. Celui de C�dric est dans un coin, avec le plafond qui descend pour suivre la pente du toit. Thomas et moi partageons des lits superpos�s contre le mur du couloir, Thomas en haut et moi en bas. C�dric aime venir chahuter avec son copain � coup de polochons, de serviettes ou autres. Parfois, il est v�tu et souvent non. Je me retrouve donc r�guli�rement allong� sur mon lit avec sa queue qui s'agite � quelques centim�tres... C'est un des grands plaisirs de ma vie � ce moment-l�. Cela fait plus d'un mois que nous avons commenc� l'ann�e et chacun subit une tension sexuelle rentr�e. En effet, on bosse comme des fous, on croule sous les devoirs et on finit la semaine le samedi soir par des " colles ", des devoirs tr�s pointus. Bref, nous n'avons que le dimanche pour nous d�tendre, voir nos familles, faire du sport et avancer dans notre travail. Aucun de nous n'a donc de copine, m�me si nous parlons souvent des filles. Nous disposons aussi d'assez peu d'intimit� pour nous soulager... Comme recours, il nous reste les wc ou de fermer la chambre � cl� pendant quelques minutes, ce que tout le monde accepte sans commentaire en g�n�ral. Un apr�s-midi, je reviens de la biblioth�que et je rentre dans notre chambre. Je surprends C�dric nu sur son lit sa bite � la main, le petit vicieux n'a pas ferm� la porte � cl�. Je reste interdit un instant sur le pas de la porte, troubl� autant par la situation,que par la taille de la bite en question qui me semble g�ante. C�dric me gueule dessus : " Putain, reste pas plant� l�, entre et ferme cette porte ! ". J'ob�is sans discuter mais une fois la porte ferm�e � cl�, je reste sans savoir quoi faire, peinant � d�tacher mon regard du gros sexe de mon ami. C�dric sourit, s'astiquant le dard avec lenteur. Il m'indique : " ne reste pas comme �a, viens t'assoir ". Benoitement, je m'ex�cute et prend un tabouret, me pla�ant entre nos deux lits, d�j� pr�t � le regarder se branler sans m�me m'en rendre vraiment compte. C�dric continue de sourire de ma candeur et me dit " elle est belle, hein ? ". Je ne r�pond pas. Il insiste " Oh �a va, je sais que tu aimes la regarder. Profites-en, tu ne l'as jamais vu bandant comme �a. Tu la trouves grosse ? " Je lui r�pond enfin : " Oui, elle est �norme ". De fait, au repos, c'est une belle bite, mais en action, elle est longue et surtout tr�s �paisse. La main de C�dric n'en fait pas le tour. Ses burnes montent et descendent au gr� de ses contractions et sa bite semble se tendre plus encore. Il continue de se branler, jouissant de mon regard captiv�. Il me demande enfin si je veux la toucher. Je lui r�pond vertement " �a va pas la t�te ? " Il me dit " Allez, c'est juste pour que tu mesures son �paisseur, que tu puisses comparer avec toi ". Pr�sent� comme �a, �a me semble acceptable, presque " normal " et je tend la main. Quand mes doigts la touchent, elle me semble bouillante. J'h�site un instant puis je la saisis en essayant de l'entourer compl�tement, sans succ�s. C�dric me regarde, ravi de mon trouble. Je fais glisser mes doigts pour la saisir plus haut, l� o� elle pourrait �tre plus fine mais non, elle est �paisse de bout en bout. C�dric creuse le ventre et ondule le bassin, ce qui fait que je branle sa queue. Il pose sa t�te en arri�re et profite de la caresse que je n'interromps pas. J'effectue un mouvement doux d'aller-retour, tandis que C�dric se pince un t�ton en g�missant. Apr�s quelques instants de ce r�gime, il se redresse sur les coudes et me dit " Embrasse-la ". J'arr�te de le branler, pr�t � r�sister. Mais il insiste : " Juste un petit baiser l� " et il indique la base de son membre. J'en ai terriblement envie et ob�it : un petit baiser furtif � la base. Il me montre un point plus haut et je l'embrasse � nouveau. Quelques baisers plus tard, c'est son gland que j'embrasse. Un tr�s gros gland rose et turgescent. Le baiser dure un peu et C�dric fait un mouvement de bassin, pour que sa queue rentre dans ma bouche. J'�carte la m�choire " pour ne pas le blesser " et me retrouve � sucer ce gland tandis que ma main branle son membre. Je me rends compte de la situation et, n'�tant pas pr�t � l'assumer, je me recule pr�cipitamment. C�dric s'amuse de ma g�ne. Il serre ma main, rest�e sur sa bite et me fait la branler. Sa t�te retombe sur l'oreiller et je sens sa bite grossir un peu plus encore et se contracter. Un �norme jet de foutre jaillit, d�crit une courbe impressionnante et atterrit sur le visage, les cheveux et la t�te du lit de C�dric. Le deuxi�me jet z�bre sa poitrine et trois autres jets inondent son ventre. C�dric pousse un long soupir de satisfaction. Je retire ma pain de sa queue qui palpite encore. Son pr�puce vient recouvrir son gland humide. Je prends quelque mouchoirs pour me nettoyer la main, tandis que C�dric reste immobile quelques instants. Il me demande ensuite de lui passer une serviette, ce que je fais sans discuter et s'essuie. Ma queue est tendue � mort dans mon jean mais je reste sans mot dire. C�dric arbore son immense sourire de canaille qui a r�ussi son coup mais ne m'enfonce pas. Il prend une autre serviette, propre celle-ci, se la passe autour de la taille et me dit : " bon, je crois que j'ai bien m�rit� une douche. A tout � l'heure, Mathieu. " et il sort de la chambre. Mon coeur bat la chamade et je me sens tout fi�vreux. Je ferme � cl� derri�re C�dric et sort ma queue pour me branler, ce qui ne dure qu'un instant. Je jouis avec une intensit� particuli�re et un grand soulagement. Je me nettoie rapidement puis j'a�re la chambre et enfin j'ouvre la porte, les jambes flageolantes. C�dric reviens de la douche, avec Thomas... A peine arriv�, il jette sa serviette sur son lit et s'exhibe nu devant nous... exactement comme d'habitude, mais je sais qu'il ne va pas s'arr�ter en si bon chemin... Si vous avez aim� cette histoire et souhaitez conna�tre la suite, n'h�sitez pas � m'adresser un petit commentaire ou un mot d'encouragement � l'adresse Le Lion VertLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |