Cyrillo

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Non voyant auto-stoppeur.

Ceci est arriv� le 25 ao�t dernier. J'�tais parti seul, sans ma femme et mes 2 enfants faire une recherche dans le Var pour l'achat d'une maison. Cela faisait 3 jours que je visitais des trucs plus nuls les uns que les autres mais qui sont � des prix prohibitifs.

J'avis tout de m�me jet� mon d�volu pour une petite maison de 2 chambres avec piscine : Coquette et d'un prix tout � fait raisonnable. Je d�cidais donc de revenir sur Paris. Il faisait tr�s beau, tr�s chaud et je remontais vers le nord par la Route Napol�on. J'�tais d'humeur joyeuse. Juste v�tu de mon short en toile parachute rouge, des mini-chaussettes et mes tennis. Je me trimballais donc mes 42 ans, seul dans ma voiture avec une vraie impression de libert�. Pour un peu j'aurai tout enlev� et j'aurai conduit nu tellement je me sentais bien. Bon ! La d�cence fait que l'on ne peut pas conduire comme �a.

Je continuais donc mon chemin avec le peu que j'avais sur le cul et le reste. Mes pecs, mes abdos, mes cuisses, le tout bien bronz�, me plaisaient bien et j'�tais content et fier de moi. De loin, presque � la sortie d'une bourgade, j'aper�ois un mec qui fait du stop. Il semble bien mal plac� pour faire du stop � cet endroit. Impossible de s'arr�ter et de se garer � sa hauteur. Il para�t avoir dans mon �ge : 40/45 ans. Bien foutu, assez grand et porte un short en jean assez court et tout d�penaill�, un tee-shirt noir et des groles de rando. Il a un petit sac � dos, un petit bouc brun et ?

Et ? Etonnement ! Il a une canne blanche. Cela me sid�re. Bon ! Je d�cide de m'arr�ter d�s que je le peux. Je suis � environ 20/25 m�tres de lui. Il ne bouge pas. Je descends et je le vois tourner la t�te vers moi quand je claque ma porti�re. " Vous avez stopp� pour moi ? " Bien s�r, mais je ne pouvais pas m'arr�ter � cot�. Venez m'aider, car l�, je ne sais plus o� je mets les pieds. Je m'approche pour voir que le gars est plut�t bien b�ti, une belle gueule, des muscles bien dessin�s sur des cuisses assez puissantes.

Bonjour, je m'appelle Andr� ? Vous allez o� ? - Salut. Je retourne sur Grenoble, moi c'est Pascal. Je trouve que votre voix est bien pos�e et tr�s agr�able. Vous devez tr�s bien chanter - Bon ! On y va. Prenez mon bras, je vais vous aider car il y a des tas de pierres qu'il vaut mieux �viter. Je m'approche. Nos bras se fr�lent et il pose son bras sur mon �paule en me tenant pratiquement par le cou. Sensation bizarre qui n'est pas fait pour me d�plaire. Ce mec me botte. On avance jusqu'� la voiture en continuant de deviser. Je lui prends son sac � dos, le met sur les places arri�re et je le guide pour monter en voiture. Il se penche et sa main quitte mon �paule pour redescendre tout le long de mon dos avant qu'il ne monte. Nous voil� install�s et repartis.

Il est l�, � mes cot�s, il a un demi sourire sur le visage. Il a l'air d'�tre bien. " Dis-moi Andr�, on peut se tutoyer, on doit avoir le m�me �ge, � priori. J'ai une chose � te demander. " - Vas-y ! - Voil� : comme je suis aveugle j'aime bien avoir � qui j'ai � faire. Je ne peux pas te voir, mais j'aimerais que tu t'arr�tes dans un endroit calme. J'ai besoin de te sentir avec mes mains et je ne peux pas le faire comme �a, devant tout le monde. Tu as une voix qui me plait bien. Tu sembles bien foutu et m�me bien muscl�, mais je voudrais d�couvrir ton visage. Et �a, je ne peux le faire qu'avec mes mains. Tu comprends ? " Oui, j'avais bien compris, mais je n'arrivais pas � me d�barrasser de mon �tonnement devant ce mec.

Quelques kilom�tres plus tard, je remarque une petite route et m'y engage. Une entr�e de champ entre des bosquets et voil�, je me gare, tranquille. Il descend. " Tout me para�t calme ici, on est bien. Il n'y pas d'habitations ? " "Non ! Quelques vaches et un petit cours d'eau juste � 10 m�tres ". Il a du sentir que je m'approchais, il tend ses bras vers l'avant et vient poser ses mains sur mon ventre. " Diable, tu es bien muscl�, fin et ta peau est douce " Ses mains remontent sur ma poitrine et sur mon cou, puis sur mon visage. Et l�, il m'explore mes traits, mon front, mes yeux, ma bouche. Ses doigts fr�lent toutes les parties de ma face et de ma nuque. Ce toucher est tr�s agr�able et en m�me temps tr�s envahissant, j'ai l'impression qu'il me d�shabille de ses mains. Je ne suis plus rien. Il me d�voile en passant ses mains sur toute ma t�te. Il tourne vers la droite, vient se poster derri�re moi et je sens ses mains investir mes �paules qu'il caresse longuement, le bas de mon cou et mon dos qu'il fr�le jusque la ceinture de mon short. Mon short, lui, il n'en peux plus. Une �rection incontr�l�e fait que ma toile de parachute est tendue � mort. Je ne bouge plus, mais j'ai du mal � garder mon calme. Comme j'aimerai.. Mais non. Je le laisse faire. Ses mains reviennent vers mes pecs qui fr�missent � son effleurement.

" Dis donc, tu es dr�lement sensible des t�tons " Je ne sais plus quoi dire ni faire. Je le laisse faire. Il croise ses mains sur mon estomac et descend vers mes cuisses. Au passage de mes hanches ses bras viennent buter contre mon sexe en �rection. Rien ne se passe. Il descend vers mes cuisses mes mollets et remonte vers mes cuisses, toujours en effleurement. Il s'arr�te en haut de mes cuisses. Ses mains glissent vers l'arri�re et l�, il me t�te les fesses de mani�re plus appuy�e. " Quel beau cul tu as " Je suis en extase sous ses caresses voluptueuses et mon gourdin a mal de ne pas pouvoir se lib�rer de sa fine emprise. Je prends ses mains et les glisse dans mon short. Il me caresse, me malaxe les fesses et, putain, c'est bon. " Je crois avoir senti que tu n'�tais pas insensible � mes fr�lements de d�couverte ? Non ? J'ai raison ? "

Je rattrape ses mains pos�es sur mon cul et les mets sur mon sexe tendu. " Non, vas y, tu me chauffes trop bien " Il a pris mon sexe. Sa caresse �tait tendre, appuy�e, douce mais volontaire. De mon c�t� je ne pouvais qu'appr�cier et g�mir de son investigation. Il m'a l�ch�. Il �tait devant moi ; il ne bougeait plus, il ne faisait plus rien. " Andr�, j'aime ton corps, tu es beau, et je pense que c'est aussi bien � l'ext�rieur qu'� l'int�rieur. Maintenant, je vais te demander de te bander les yeux et de faire comme moi. Tu vas partir � la d�couverte de mon corps " Il s'est baiss� pour descendre mon short jusqu'� mes chevilles, m'a aid� � le quitter compl�tement et s'est relev�. Il a d�fait son bandana de son cou et me l'a lac� devant les yeux. Il a pris mes mains et les a pos� sur ses �paules. " A toi maintenant "

J'�tais tr�s �mu et en m�me temps j'avais la crainte de ne pas lui prodiguer des caresses aussi bonnes que celles qu'il m'avait faites. Il a fallu que je me raisonne pour ne pas le foutre � poil tout de suite. Mon sexe me faisait mal tellement il �tait tendu. Je suis donc parti vers l'exploration de son corps. Avant de lui retirer son tee-shirt j'avis parcouru ses �paules, son buste, ses hanches, son cou. Je l'ai embrass� dans le cou, lui ai l�ch� et mordill� les oreilles, caress� son dos muscl�, bref, je suis pass� partout. Le voil� torse nu. Je me colle � lui ; derri�re lui et explore sa poitrine. Mon sexe bat contre son cul encore cach� de son short en jean. Je n'en peux plus, mais Dieu que c'est bon. Il ondule et g�mit doucement sous mes caresses. Enfin ses hanches, ses cuisses dures de randonneur chevronn�, je me baisse pour t�ter d'une main son mollet, puis l'autre. Mon autre main le tient par la taille, caresse son aine et s'aventure vers son sexe. IL bande comme un taureau. Ma main remonte vers ses cuisses et s'engage sous son short. Bonheur ! Il ne porte rien en dessous. Je sens ses couilles, les fr�lent, les prends, les soup�sent. Elles me semblent bien pendantes et bien lourdes. Il est ras�.

J'attrape son sexe tendu et je reste un moment sans bouger. Sa verge a des soubresauts qui trahissent son bien-�tre. De mon c�t�, je ne suis pas mieux. Il ne s'agit plus de soubresauts, mais mon sexe n'arr�te pas de vibrer, de monter, de descendre, de rythmer les explorations communes que nous vivons. Comme j'ai envie d'�tre tendre et doux avec lui. D'un autre c�t� je n'ai qu'une seule envie, une id�e obs�dante : lui faire l'amour.

Je d�grafe tous les boutons de son jean et lui retire avec douceur. Je suis encore � genoux et j'ai son sexe tendu devant moi ; battant. Ma bouche, juste en position, vient sur lui, juste pour le titiller et le d�calotter. Il a un go�t extra sucr�/sal�. " Ne bouge plus, je reviens de suite " Je vais chercher ma serviette de bain et je l'aide � s'allonger � terre. J'enl�ve mon bandeau. IL est l� �tendu. Sexe � la verticale, rien que pour moi. Je me mets � ses c�t�, � genoux, et viens entamer une douce et profonde pipe comme il y a longtemps que j'ai envie d'en faire une. Mes mains parcourent son corps, ses t�tons, ses cuisses, tout. Je suis aux anges et il semble, lui aussi, bien go�ter mon traitement de faveur. " Andr�, viens, tournes toi, j'ai envie de te pomper aussi. Je n'en peux plus et j'ai envie de toi aussi " L� ? Que vous dire ! Un doux et merveilleux 69 des familles. Que c'est bon quand c'est bien fait et que l'on prend son temps. Que c'est bon quand les deux antagonistes prennent le temps de donner du plaisir � l'autre. Je vais exploser. Il le sent, s'arr�te de me pomper et m'appuie assez fort sur le gland sans bouger. L'envie d'exploser me passe et nous pouvons recommencer notre doux �change.

Nous l�chons, caressons, su�ons, gobons : bites, couilles, cuisses, anus, scrotum, abdos, fesses . Il vient me l�cher le cul, introduire 1 doigt, deux ? J'en fais de m�me. Nous ronronnons de plaisir partag�. " Andr�, je viens, je viens. Viens avec moi. Vite " Nous pompons en cour et nous explosons en m�me temps, � la seconde pr�s, dans la bouche de l'autre. A quatre pattes au dessus de lui, je me laisse tomber sur le dos, dans l'herbe � ses cot�s, combl�, heureux, ravi, �puis�. Je le sens bouger. Il vient au-dessus de moi et nous entamons un tr�s long baiser nous d�livrant le go�t de nos spermes respectifs. Nous sommes l�, �tendus sur le dos sans rien dire tout en tenant le sexe de l'autre dans notre main. " Elle est pas belle la vie ? " Je n'ai plus envie de bouger.

" Andr�, je dois te dire que je te trouves tr�s beau, m�me si je ne te vois pas, et que tu as �t� un adorable amant comme j'en rencontre si peu. Tu m'as rendu loukoum et combl� " - " Pascal, gr�ce � toi j'ai renou� avec une conjugaison que ne pratiquait plus, ou presque plus : aimer l'autre du mieux que l'on sache le faire " Un fois relev� Pascal m'a essuy�, sans voir, les brins d'herbe que j'avais un peu partout. " C'est dommage que tu ne puisses pas conduire nu. Je me serai encore r�gal� de ton corps. Mais, c'est pas grave, il y a assez de peau � l'ai libre pou que j'en profite encore " Nous sommes repartis ; le temps avait pass� si vite dans ses bras. Sacr� pascal, durant le chemin, il n'avait de cesse de poser ses mains sur moi pour me demander si j'allais bien, si je n'�tais pas trop fatigu�, etc. Il en profitait au passage pour effleurer ou m�me prendre mon sexe en main pour v�rifier si tout allait bien ! De mon c�t�, je ne fus pas en reste. Pendant la route, � force de me titiller, je lui ai demand� de bien vouloir baisser son froc pour que je puisse l'admirer et sentir son sexe dans MA main. Nous sommes arriv�s � Grenoble vers 21h00. Trop tard pour moi pour rentrer sur Paris. Je me sentais las et je n'avais pas envie de poursuivre ma route. " Andr� ? que fais-tu maintenant ? Tu rentres sur Paris, tu prends une chambre d'h�tel ou tu viens poursuivre notre rencontre chez moi ? " Un petit coup de fil chez moi. " Pascal, j'ai d�cid� de finir de te d�couvrir " Apr�s un petit repas bien sympa dans une auberge savoyarde, nous sommes all�s chez lui. Une douche commune a fini par nous remettre sur la bonne longueur d'onde et nos �bats nocturnes ont clos une journ�e bien remplie. A une prochaine fois pour vous faire d�couvrir le plaisir d'une pipe � l'eau chaude et bien d'autres...

Soyez patients.

Runner 91

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