AVENTURE 3 - Short Adidas - FINALEIl est 19h00, je sors de la douche. Il (Phil) doit passer me prendre � 20h00 pour aller manger. J'ai encore le temps de me pr�parer. Il m'avait demand� de prendre mon short avec moi aussi, je d�cide de l'enfiler (sans slip) et de mettre mon L�vis par dessus. Le contact direct du nylon sur ma bite fra�che et propre de la douche ne se fait pas attendre. Je bande illico si bien que j'ai de la peine � monter la fermeture �clair de mon 505. Enfin, j'y arrive et je n'ai plus qu'� attendre qu'on vienne me chercher. 19h55, le t�l�phone sonne. C'est la r�ception qui m'informe qu'un monsieur m'attend dans le petit salon. Je descend et l�, je retrouve Philippe habill� tr�s d�contract� (T-shirt blanc, L�vis 501 bleu savamment d�lav� et petites baskets Big Star en toile bleue). Nous sortons et allons assouvir notre faim (en tout cas la mienne), car depuis le d�jeuner avant Lucerne, je n'ai pas grand chose dans l'estomac mais par contre j'ai les couilles vides apr�s la pause de midi d'enfer qu'on a pass�, Fred, Phil et moi. Le souper se d�roule dans une ambiance tr�s d�tendue, nous parlons de choses et d'autres et, immanquablement, la discussion d�vie sur l'occupation de la journ�e et sur Adidas, puisque il est comme moi, grand amateur de shorts nylon des ann�es 70. Il a d�couvert les bienfaits de la branlette en short tout comme moi et, depuis bient�t 30 ans, il ne peut plus se passer de son short. C'est comme la fum�e, quand tu commences, tu peux plus t'arr�ter. Bref, la discussion et les boissons aidant, nous nous trouvons bient�t en �tat de ne plus marcher, tellement nous bandons dans nos jeans respectifs. Nous quittons le bistrot et Phil me conduit chez lui. Il n'habite pas tr�s loin de mon h�tel. Comme promis, il veut me montrer sa collection Adidas personnelle. Elle est imposante je dois l'avouer. Moi, avec mes 15 shorts Beck et 2 sprinter, je fais office de parent pauvre. Il y en a au moins 50 dans son armoire. De toutes tailles et de toutes les couleurs possible et inimaginable mais seulement 2 marques Adidas et Puma et, restriction suppl�mentaire, seules les ann�es 70 � 80 sont repr�sent�es (c'est les plus bandant). Bref, en admiration devant sa collection, il me chope le paquet au travers du jeans pour voir si c'est prometteur. Je lui r�ponds par un roulage de pelle d'enfer. Tout en se m�langeant nos langues, nous nous dirigeons vers le sofa du salon et nous nous laissons tomber dessus. Je profite pour d�grafer son 501 et glisser ma main sur son Adidas rouge � bandes blanches. Il avait eu la m�me id�e vestimentaire que moi, sauf que moi, le mien est un mod�le sp�cialement cr�� par Adidas pour la Bundeswehr allemande (je l'ai trouv� sur e-bay). Je sens bien sa bite envelopp�e dans le nylon (il n'a pas de slip non plus) et je me mets � la caresser de plus en plus fort au fur et � mesure qu'elle gonfle. Il op�re de la m�me mani�re chez moi et nous nous trouvons bient�t � torse poil avec juste nos shorts sur le cul. A ce moment l�, je me mets � lui bouffer la bite � travers son Adidas, alors qu'il me malaxe les fesses avec ses mains. Le bruit du tissu sous ses mains me fait monter encore plus, si bien que le haut de ma bite sort par l'�lastique du short. Il le remarque et vient me titiller le gland avec sa langue. C'est divin. Puis, il me demande de l'enfiler comme je l'avais fait plut�t dans la journ�e avec Fred. Comme je n'ai toujours pas de pr�servatif avec moi, il en sort un d'un tiroir et le d�roule sur ma bite pr�te � �clater. Il baisse son short et s'allonge sur la table du salon, ce qui met son cul � la hauteur de ma bite. Je suis debout, j'ai ses jambes qui remontent vers mes �paules et son short juste sous le nez si bien que je respire � travers le nylon rouge. Il est d�j� tout dilat� et je n'ai aucune peine � entrer mon dard qui sort du short par le bas. Je n'ai pas pris la peine de l'enlever. Je commence par un l�ger et doux va-et-vient sans brusquerie. Puis j'acc�l�re le mouvement en m'enfon�ant jusqu'� la garde. Phil, lui, se masturbe au m�me rythme que mes coups de boutoir. Je me plie sur lui et vient lui rouler une pelle. Mon ventre �crase ses couilles pleines et l'emp�che de continuer sa branlette. Je quitte sa bouche et vient lui bouffer le bout des seins. La r�action est imm�diate, il gicle et j'en prends plein la poitrine. Je me redresse et son sperme se met � couler le long de mon torse pour finir par se r�pandre sur mon short. Phil me fait signe de d�culer ce que je fais. Il se redresse et, assis sur la table enl�ve la capote, encore vide. Il r�cup�re son sperme en me l�chant la poitrine et les shorts puis gobe dans sa bouche ;mon pieu toujours droit et pr�t, cette fois, � gicler. Quelques mouvements de succion en ont raison. Je le pr�viens que je vais d�couiller mais il refuse de sortir et avale tout le liquide chaud qui sort de mon organe, puis quand il le lib�re de sa bouche, c'est pour s'approcher de la mienne et pour me rouler une pelle au go�t de mon sperme toujours chaud. Cette activit� m'a litt�ralement mis au tapis (debout depuis 5h00 du mat), si fait que je m'allonge sur le sofa � c�t� de Phil. Nos ne tardons pas � nous endormir, sa main dans mon short et le mienne dans le sien. C'est tard dans la nuit que nous nous sommes quitt�s. Il devait partir de bonne heure le matin et moi, je devais terminer mon boulot et remonter vers la Suisse romande. Il m'a fait cadeau de son short Adidas rouge sprinter en me disant que je penserai certainement � ce qu'on a fait ensemble quand je le mettrai. J'ai fait de m�me avec mon Beck sp�cial bleu arm�e allemande. AdidasloverR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |