Cyrillo

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Vengeance

Je me suis infiltr� dans l'�pisode de Stargate. Sur ma plan�te, on conna�t le secret des machines volantes et je suis un des scientifiques qui accepta de travailler au service de l'humanit� terrestre.
Je suis en effet un extraterrestre � l'apparence humaine et d'une tr�s grande habilet�.
J'ai �t� sp�cialis� depuis ma plus tendre enfance dans l'utilisation d'une arme originaire de ma plan�te et que j'ai bien cach� sous mes v�tements. C'est une petite arme tr�s fine et faite dans un acier inoxydable, sous la forme d'un arc d'une dizaine de centim�tres de longueur, approximativement. Je sais qu'il est semblable � une autre des Goauld's, mais sa fonction est compl�tement diff�rente.
Par ailleurs, je suis tr�s connaisseur en sciences pour avoir �t� aussi ing�nieur sur ma plan�te et je parle de plus de nombreuses langues, dont celles des am�ricains de ce monde.
Je parle fran�ais aussi, mais cela ne m'allait �tre d'aucune utilit�.
A pr�sent je fais partie int�grante de SG2 et j'ai l'air parfaitement normal aux yeux de tous. 1m81, 62kilos, cheveux ch�tain clair, les yeux vert fonc� et le style fran�ais... Comme je l'avais signal� � tous. Le teint plut�t mate et finement muscl�, je devais donner l'apparence d'un intello aux yeux du groupe.

Je me liais d'amiti� avec le capitaine Carter et les autres de son �quipe. J'avais 20ans et un moment, Carter fit remarquer que j'�tais tr�s intelligent pour mon �ge et surtout que je n'avais peur de rien. Lorsque son �quipe fit une d�couverte sur une autre plan�te, je l'aidais consid�rablement quand elle essayait en vain de chercher le m�canisme de l'engin et elle fut �tonn�e une fois de plus par mes capacit�s intellectuelles. Cela me flattait certes, mais mon seul but �tait de me lier d'amiti� avec le plus de monde possible au sein de la base et d'avoir une certaine consistance dans le groupe.

Le colonel de SG2 s'appelait Mortimer et il �tait du genre tr�s muscl�, l'air viril donc et imposant et il avait parfois du mal a admettre l'autorit� sup�rieure.
Lorsque nous visit�mes une plan�te nomm� PXS0053, nous tomb�mes en extase devant la beaut� des lieux. Le colonel fut litt�ralement attir� par le myst�rieux temple orn� d'or et d'argent qui se tenait face � nous, moi je regardais avec enthousiasme et �merveillement toutes les for�ts qui resplendissaient autour de celui-ci. Mais je gardais un oeil furtif car je me disais que l'on pouvait s'attendre � tout, bien que les lieux semblaient compl�tement abandonn�s. Les deux autres de l'�quipe suivirent le colonel, l'arme � la main, furtifs eux aussi.
Je restais quant � moi aux aguets et je n'avais aucune envie de rentrer dans le temple, je ne savais pas pourquoi. Mais j'observais les alentours, pour en revenir aux murs ext�rieurs du temple, des �critures �tranges en argent y �taient inscrites. Je n'eus aucun mal � les traduire et je les lus comme suit :
"Ce temple est maudit, et seul un homme assez savant ou de notre peuple peuvent s'en affranchir, et si un homme venait � y p�n�trer, il serait soumis au pire des vices."
Un frisson me parcourut le corps. Sur mon monde, ce genre de croyances n'existait pas, aussi je ne comprenais pas le sens de ces mots, et de quel vice il �tait donc question.
Je continue de lire, mais j'entendais des cris qui provenaient de l'int�rieur du temple, c'�tait ceux de mes compagnons. C'�tait plus des cris de plaisir que des cris de terreur et le frisson ne faisait que redoubler car je n'avais jamais rien entendu d'aussi �trange en de pareilles circonstances.

"Toi qui liras ces lignes saura qu'il ne faut point y p�n�trer au p�ril de ta vie, et que si tu n'avais pas d'autres choix, il faudra que tu ressoudes l'�nigme qui est la suivante : ..."
Je ne comprenais pas du tout l'inscription qui suivait, sans doute �tait ce en soi l'�nigme et je cherchais d'autres traces qui pouvaient y r�pondre.
A ma grande satisfaction, je vis une pointe, difficile � rep�rer et cette pointe il suffisait de la sortir de son trou. Ce fut un long tube orn� d'or que j'avais sous les mains. En l'ouvrant, j'en fis sortir une �trange cha�ne qui allait parfaitement � la taille de mon cou.
Je la mis sans h�siter et j'allai voir ce qui se tramait � l'int�rieur.
Choc. Le colonel Mortimer, Simus et Cartide �taient dans de bien �tranges positions. Et pour �tre plus pr�cis, le colonel enculait le pauvre Simus qui pourtant r�lait de plaisir.
Et Cartide s'occupait personnellement du colonel qui semblait trouver cela compl�tement normal. Ce devait �tre l'effet de l'�trange sortil�ge qui r�gnait en ces lieux.
Les trois hommes me poursuivirent, et ma ruse �tait bien bonne, car une fois sorties tous les quatre du temple, ils avaient plut�t l'air de se calmer, mais leur regard me donnait bizarrement une impression contraire... Comme s'ils �taient brouill�s dans leur esprit.

Nous pass�mes au travers de la porte des Etoiles. Et nous f�mes notre bilan. Au bout de trois heures nous ne v�mes rien d'autres qu'un temple et n'ayant pas garder de preuves, je ne me sentais pas le courage de parler d'un mal�fice a notre sup�rieur en chef.
J'�tais tellement troubl� moi aussi par ce voyage que j'en oubliais toutes les cons�quences, et je me demandais si le sortil�ge n'avait pas eu un effet sur moi aussi.
Plusieurs �quipes partirent sur cette m�me plan�te. Certaines allaient observer et faire des analyses du reste de la plan�te tandis que d'autres d�chiffreraient les �tranges symboles, Daniel du SG1 en faisait bien entendu parti.
Nous �tions la seule �quipe accompagn�e de quelques ing�nieurs, qui rest�rent ici, et notre sup�rieur en chef, bien sur.

Je fis de nombreux cauchemars, sans pouvoir en comprendre le sens. C'�tait la toute premi�re nuit et tous, on se demandait pourquoi les autres �quipes ne revenaient pas. Je me d�signai pour aller les chercher, mais les trois autres me suivirent dans cette t�che. J'avais un mauvais pressentiment.
Les trois hommes du SG2, une fois sur la plan�te, me tenaient bien forts pour que je ne puisse me lib�rer. On entra tous dans l'immense temple, immense il l'�tait beaucoup plus de l'int�rieure.
Je vis toutes les autres �quipes dans ces affreuses positions. Carter �tait encha�n�e tout comme les autres filles du groupe. Je pensais qu'elles avaient �t� faite prisonni�res mais � mon plus grand d�sarroi, les paroles qui sortaient de leur bouche �tait plus qu'odieuses.
Comment allais-je m'en sortir, je me trouvais au nombril d'un monde que je ne connaissais pas !
On m'encha�na moi aussi, mais je fus content ensuite de ne pas sortir les m�mes paroles que Carter et les autres femmes.
On me d�shabilla, mon arme tomba � terre mais je fis comme si de rien n'�tait. Deux hommes de la base m'embrass�rent puis repartir � leurs partouzes. Ma cha�ne devait les �loigner quand ils s'approchaient trop pr�ts de moi.
Je pris avec difficult� mon arme laser et un rayon silencieux bleu clair toucha les cha�nes et me lib�ra du premier coup. Je me cachai en h�te derri�re une des colonnes du temple et je me rhabillais en h�te.
J'enlevais les cha�nes de Carter et des autres et je me pointa � la porte du temple en les provoquant des paroles les plus odieuses que je n'eusse jamais prononc�es, mais que je pensais n�cessaire.
Par chance, ils me coururent tous et toutes apr�s (si on peut appeler �a une chance ...) et j'ouvris en h�te la porte des �toiles. Je ne savais pas quel �tait leur plan mais ils pass�rent la porte tout comme moi et puis, plus rien. Tout le monde semblait �tre redevenus normal.
L'amie de Carter fit des tests sanguins, mais rien hormis une croissance l�g�rement sup�rieure � la normale des organes g�nitaux. Elles interpr�taient cela comme des effets semblables � ceux de la lune, nous faisant grandir tr�s l�g�rement en taille. Je fus �berlu�, mais je ne disais mot.

Le lendemain, Daniel entra dans le bureau qui me servait de lieu de recherche et ferma la porte � cl�. Je sentais que ce genre de choses �tait pr�t � arriver, mais je ne trouvais aucun moyen d'y rem�dier, et j'�tais justement � la recherche d'un �ventuel rem�de. Je mis les papiers de mon interpr�tation dans un classeur et je le mis bien � l'�cart du reste.
Daniel d�chira sa chemise sensuellement. Je le retrouvais bient�t en boxer. Puis il sauta sur moi, me retira violemment tous mes v�tements et je me retrouvais facilement nu sur le bureau, Daniel me dominant bien ais�ment, ses cuisses sur les miennes, son torse contre le mien et il m'embrassait fougueusement. Il semblait avoir oubli� que je n'�tais pas atteint, en fait il ne fit plus un mouvement et fixait la cha�ne que je portais � mon cou.
Ce fut d'un cou sec qu'il l'arracha de mon cou et le lan�a bien haut dans les airs. Et plus il m'embrassait, plus je me sentais atteint de cette m�me sensualit�, que je ne me reconnaissais pas.
Mais j'avais toujours trop de respects pour les membres de la base, surtout pour ceux de SG1. Je ne pouvais pas laisser faire une pareille chose.
Mais Daniel ne pensait qu'� une seule chose : me faire l'amour. Je ressentais ses sentiments en effervescence, et je ressentais bien plus encore son sexe contre mon ventre, d'une grandeur tel que je ne pouvais pas me l'imaginer.

Cinq minutes plus tard, je me retrouvais allong� sur le sol, je le regardais me sucer dans un �lan diabolique. Bien s�r je bandais. Et encore peu de temps apr�s je me laissais guider dans cette fameuse position � quatre pattes. En fait, Daniel avait une parfaite emprise sur moi et je regrettais de ne plus avoir la cha�ne autour de mon cou.
Ne me trouvez surtout pas grossier mais j'�cris les choses telles qu'elles sont arriv�es et je n'y prenais pas le plaisir que tous les pervers y prennent.
Mais je me laissais faire, dans l'attente que tout se termine selon sa volont�. J'�tais son objet et je ressentais quelque humilit� que j'avais peur de me reprocher toute ma vie. J'aurais bien voulu crier, hurler, mais je ne pouvais plus.
Je me sentais poss�d� par Daniel, ses deux mains accroch�s fermement � mes hanches et les coups toujours plus forts qui le guidaient plus profond�ment encore. Je pouvais bien sentir cette chaleur et cette duret� du membre de mon ancien ami. La violence plus encore. Ses couilles qui tapaient fi�rement contre mon cul, je ne comprenais pas comment un tel objet pouvait rentrer aussi facilement.
Et pire encore, j'y prenais un plaisir que jamais je n'aurais cru avoir un jour, un d�sir que malgr� tout je ne voulais plus sentir, un d�sir qui ne m�ritaient pas d'�tre, car d'une part je ne ressentais aucun sentiment de la sorte pour Daniel mais le vice qu'il essayait de me transmettre me mettait dans une col�re que j'essayais � tout prix de calmer.
Pourquoi r�sister, me dit-il. Il serrait encore plus fort mes hanches et toujours plus fort, et d'un coup sec il sortait, puis recherchait � nouveau l'entr�e ; son gland touchait les parois humides et chaudes. Puis celui-ci s'enfon�ait d�licatement et toute la longueur de son sexe d�fila en moi, ce petit train recommen�ait toutes les deux minutes.
Bien sur je n'avais plus de montre � mon poignet. Mais la r�gularit� �tait telle que je pouvais tr�s bien m'en affranchir.
Puis toujours ses mains qui me maintiennent solidement les hanches, et ce petit jeu prit fin. Je m'assoupissais tellement la fatigue m'avait prise de court. Daniel se rhabillait d�j� et m'embrassa sur les joues, la seule chose que j'eus pu vraiment appr�cier.

Tout �tait enfin termin�. A son d�part, je refermais la porte � cl�. J'avais trop peur que quelqu'un d'autres puissent recommencer. J'eus bien raison car � peine m'habillais-je que je sentais quelqu'un de l'autre c�t� de la porte. Celui-ci essayait d'ouvrir en effet, mais en vain, puis tapa de plus en plus fort. Un frisson me prit de court. Je remis la cha�ne � mon cou et je cherchais une solution pour m'en sortir.

Je pensais un instant � la douleur de mon cul. Dans leur langage, cela devait signifier d�pucelage ... Tellement forte car je ressentais toujours ces mouvements qui m'assaillaient. Certains l'auraient pris pour un plaisir, moi pas. Le d�go�t. La crainte toujours.
Je me cachai dans une des armoires. Celui qui d�fon�a la porte �tait le colonel O'NEILL.
Il savait bien que j'�tais l�. Je devais aussi chercher au plus vite plusieurs solutions. Je sortis de l'armoire et je touchai de mon laser le colonel qui s'�vanouit par terre. J'avais baiss� la fr�quence pour qu'il n'en meure pas.
J'ouvris de nouveau la porte des �toiles. Je devais agir vite car t�t ou tard ils r�aliseront mon d�part, mais se trouvant tous dans leurs loges, ils ne me remarquaient pas.
Une fois � l'int�rieur du temple, je lisais les symboles, puis je trouvai une cachette dans un coin, un sous sol, des escaliers qui n'en finissaient pas. Puis une table, sur laquelle se trouvaient d'�tranges inscriptions.

En fait, il �tait dit que je devais recouvrir mon corps d'une cr�me qui se trouvait dans la pi�ce, pour m'immuniser compl�tement et que celle-ci, une fois incorpor�s sur toutes les parties du corps me donnaient d'autres pouvoirs, tel que gu�rir mes amis. Enfin je ne lus vraiment que ce qui m'int�ressait ...
J'apprenais mentalement une certaine formule, dans ce langage propre et je retournais � la base. Tous m'y attendaient. Habill�s heureusement.
Je pronon�ai les formules haut et fort et tous retrouv�rent comme par magie leurs attitudes normales.

J'expliquais tout � notre sup�rieur en chef. Mais aucun ne me croyaient, du moins ils ne voulaient pas, peut-�tre moi-m�me �tais-je atteint d'hallucinations dont l'origine �tant les effets du temple eux-m�mes.
Mais heureusement, ils ne se rappelaient plus de rien. Et depuis, chaque fois que je retrouvais Daniel, je sentais un frisson et je me sentais traverser la o� vous le savez bien. La sensation disparut avec le temps... Comme tous les traumatismes, lol.
Je me d�couvris un nouveau pouvoir. Le pouvoir de s�duction. Enfin je le pensais du moins, car tous les hommes et femmes qui m'approchaient me souriaient et parfois se gratter la t�te, comme pour cacher une certaine ...
Attirance !!! Quel fin mot ... Ne trouvez-vous pas !

Lukas

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