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This night
La chaleur d'une bouche sur ma queue me r�veilla. Une bouche me pompait doucement, su�ait mon gland. Des l�vres remontaient et s'abaissaient le long de ma hampe. Qu'est-ce que c'�tait bon ! Encore endormi, je me demandais qui me su�ait. Puis, me revint en m�moire la soir�e que j'avais pass� avec un ami de fac (Michel) pour r�viser. Ce que nous n'avons pas fait. J'�tais assez surpris, d'autant plus que je n'imaginais pas qu'il puisse �tre gay.
Ne voulant pas l'effaroucher, je fis comme si de rien n'�tait. Il me branlait en m�me temps qu'il me pompait le dard. Je me retenais difficilement de poser mes mains sur sa t�te et de lui niquer la gueule.
Il g�missait doucement. Je sentais la jouissance qui arrivait � grand pas. Et l�, j'appuyais fortement des deux mains sur sa t�te pour plonger ma teube encore plus profond. Ma queue tout enti�re entra et aussit�t, je jouis. Ahhhhh. de longues gicl�es chaudes et sal�es qui all�rent directement au fond de sa gorge. Il continuait toujours � me pomper, nettoyant mon gland.
Dans le noir, je le sentis se lever et se coucher sur moi. Il n'avait prononc� un mot. Je sentis une queue d�mesur�ment longue et br�lante sur mon ventre (25*6, je le sus plus tard). Il emprisonna aussit�t mes l�vres entre les siennes et les su�a. Sa langue tournait rapidement sur le mien et me gobait es amygdales. C'�tait d'enfer. Ma queue s'�rigea une nouvelle fois, dure comme du marbre. Il �tait litt�ralement plaqu� sur moi, pesant de tout son poids, m'emp�chant de bouger. Tout en continuant � m'embrasser, il ondulait sur moi, son chibre montait et descendait le long de mon ventre, me procurant un plaisir inou�.
Apr�s quelques minutes pass�es ainsi, j'eus envie d'autre chose.
- suce-moi, lui dis-je.
- Ecoute on va faire les choses � ma mani�re
Il se releva et agrippa ma t�te entre ses deux mains. Le message �tait clair. Je touchais sa bite, elle �tait �norme, je n'en avais jamais touch� de pareille. Ma t�te descendit, et j'ouvris mes l�vres un max pour avaler le gland. Il fit une pression sur ma nuque pour que j'aille encore plus loin. C'�tait difficile vu les dimensions de sa queue. J'avalais tant bien que mal a peu pr�s dix centim�tres de ce pieu. Il commen�a � se servir de ma queue comme d'une chatte, imprimant � ma t�te un mouvement d'avant en arri�re. Ma langue glissait sur la hampe, je salivais un max pour faire glisser encore plus cette teube. Je titillais au passage le gland, la fente plus grande que la moyenne, recueillant quelques gouttes de pr�cum sal�.
- arr�te, fit il en repoussant ma t�te. Tourne toi. Il se pr�senta derri�re moi et posa la langue sur ma rondelle vierge. Il aspira la rondelle en entier puis mit me p�n�tra avec sa langue. Des frissons parcoururent mon corps, c'�tait d�licieux. La langue entra et explora mes entrailles, me faisant g�mir de plaisir
- ohhh, ohhh ahh, oui, continue, fis je en me branlant. Apr�s quelques minutes de ce traitement, il se leva du lit et alluma la lampe. C'�tait un v�ritable apollon. Sa bite �tait belle, et �norme et ce cul !
Il se courba et fouilla dans son sac, me pr�senta du coup son trou d'amour pliss� et poilu. Il revint avec un pot de gel et un gode de dimensions modestes d'environ 16cm, mais large, plus que le sien.
Il revint sur le lit me roula un patin d'enfer avant de me coucher sur le dos.
- rel�ve tes jambes. Je pris mes jambes et les ramenai sur mon torse, il devait avoir une vue imprenable sur mon cul !
Il prit du gel et m'en badigeonna le derche, m'enfon�ant deux doigts dans le fion, bien au fond pour lubrifier les parois. Je ressentais un plaisir tout � fait d�ment. Il mit du gel sur le gode et me p�n�tra avec, doucement. Une douleur fulgurante me traversa l'�chine. " A�e ". T'en fais pas, �a va passer. Il continuait de m'enculer cm par cm. La douleur �tait toujours l�, mais moins fulgurante. Quand qu'il m'eut suffisamment empal�, il s'arr�ta un moment, un sourire aux l�vres, le temps que ma rondelle s'habitue � ce large pieu. Puis il commen�a � bouger. Je ne bandais plus. Le gode coulissa, me faisant encore souffrir. Mais apr�s cinq ou six allers-retours, ma rondelle se d�tendit et le plaisir afflua, se concentrant non seulement sur ma bite, mais aussi dans mes entrailles. Je criai de plaisir. C'�tait trop bon.
- vas-y, encule moi. Oui, encore, vas y profond. Je ne pouvais plus me retenir, tellement j'�tais excit�. Je me branlais activement. Michel sortait enti�rement le gode pour me renculer encore plus fort. Je criais de plus en plus, la jouissance �tait proche.
Le gode semblait avoir augment� de taille soudain. En fait, c'�tait lui qui venait de me p�n�trer avec sa bite. Il �tait enti�rement en moi, ses couilles butaient en cadence sur mon cul. Il me labourait profond�ment. Ses coups de boutoir �taient puissants. Il poussait des hans de b�cherons. " T'aimes te faire enculer, salope, hein, t'aime les grosses bites de mec. T'es qu'une salope, et je vais te d�foncer la chatte. "
- oh oui, je suis ta femelle, ton garage � bites, encule moi, engrosses moi. Oui, oui oui. Je vais venir, je vais jouir. Je ne m'�tais pas touch� durant mon enculade, de peur de venir trop vite, mais l�, je n'en pouvais plus. Les sensations que j'�prouvais �taient franchement d�mentes. Ma queue bandait tellement qu'elle me faisait mal.
Pour acc�l�rer la jouissance de ce type, je contractai mon anus, enserrant un peu plus sa bite.
Le plaisir arriva enfin, je sentais le sperme monter le long de mon sexe, pour enfin gicler. Ahhhhh. Mon cri d�clencha son orgasme et je sentis de long jets chauds s'engouffrer dans mes entrailles. Mon anus se contracta spasmodiquement, augmentant encore le plaisir de ce type qui n'en finissait pas de jouir comme un dingue. Il s'affaissa aussit�t sur moi et me roula un patin. Il d�cula quelques minutes plus tard et me relevant les jambes, se mit � l�cher son propre sperme me procurant encore quelques plaisirs de plus.
Ce fut le d�but d'une logue histoire qui dure jusqu'au moment o� je vous parle.
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