Cyrillo

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Stage

Pour gagner de l'argent durant les vacances d'�t�, je me cherchais un petit boulot. Et j'ai vu une annonce pour travailler chez un paysagiste. Je me suis pr�sent�, j'ai rencontr� le patron, un homme tr�s actif et souriant, qui m'a donn� envie de travailler. Il m'a bien pr�cis� que c'�tait un travail physique (pas de probl�me) et au grand air (je lui ai dit que je mettrais de la cr�me. Et oui, je suis blond et donc je dois faire gaffe au soleil).

D'ailleurs, je me pr�sente : moi, c'est Fred jeune mec blond (vous le saviez d�j�), plut�t sportif (surtout au lyc�e - toujours dans le groupe des plus forts).

JOUR 1

Je me pr�sente le premier jour chez le patron. Il me fait signer les papiers. Me regarde et me demande si mes affaires en craignent pas trop. J'avais mis un vieux jean et un vieux t-shirt donc, oui, cela ne craint rien.

Il me dit alors que je vais bosser avec Giles sur un chantier qui commence � quelques kilom�tres.

J'entends toquer � sa porte.

" Salut Giles, voici Fred ton apprenti pour ce prochain mois "

Je me l�ve de ma chaise, me tourne et wow, je manque de retomber sur ma chaise.

Comment vous d�crire Giles ?

Ben, commen�ons par le bas, chaussures de s�curit� montantes, chaussettes, mollets bien dessin�s, cuisses muscl�es poils bruns fonc�s, un short coup� dans un vieux jean (coup� court en fait), un paquet rempli, une chemise ferm�e uniquement au niveau des abdos (les boutons du haut manquent), laissant voir un poitrail muscl� et poilu (avec 2 t�tons qui tendent le tissu), manches coup�es aux �paules laissant voir des biceps larges comme mes cuisses. Et un sourire ravageur, l�vres pulpeuses, barbe mal ras�e, et des yeux bleus magn�tiques, cheveux cours bruns tr�s brillants.

Je cligne des yeux et bande (heureusement, mon slip contient bien mon paquet). Il me sourit me tend sa grosse main.

" - Salut, moi c'est Giles, j'esp�re que t'aime bosser car moi, j'aime pas les feignants.

- ; ; oui, monsieur, pas de probl�me

- ; ; moi c'est Giles, monsieur c'est mon p�re "

Et il me sourit. Je lui r�ponds en souriant.

" on y va ? "

Il se tourne (un cul moul� dans son short, qui bouge a chacun de ses pas - ca va �tre dur).

Un truc qui brille � sa main : une alliance......... ca me calme direct.

Le camion est gar� pas loin, rempli d'outils et de sac d'engrais et de terre.

Je grimpe sur le si�ge passager.

Giles monte et d�marre. Je mate discr�tement les muscles de ses cuisses qui bougent � chaque fois qu'il change une vitesse.

Il me demande mon �ge (17ans), si j'ai d�j� fait ca avant (non, enfin le jardin de mes parents ca compte ?), ce que j'aime faire en dehors du lyc�e (l�, je ne lui dit pas la v�rit�... genre, ben j'aime bien mater les mecs comme vous). Lol. Tr�s sympathique en tout cas.

Apr�s 20 minutes on arrive. Un b�timent r�cemment construit, tout le tour en friche.

" Voil� notre travail. Le b�timent va accueillir des personnes dans 1 mois, il faut leur cr�er un jardin. Et le boss aime que l'on travaille bien alors il faudra t'accrocher. Si tu ne sais pas faire, dis le moi et je te montre. Premi�re �tape, virer tous les cailloux "

Il me sort une brouette, me file des gants en cuir et une pioche.

Je commence � travailler. Apr�s quelques temps il vient et me dit :

" Le plus simple, c'est de prendre ta pioche, et de desceller l�g�rement les grosses pierres, ensuite c'est beaucoup plus simple. Je te montre "

Je le vois virer sa chemise. Il a des abdos bien dessin�s et visibles malgr� la toison brune. Ses t�tons ont de grosses ar�oles fonc�es. Il est bien bronz�. Wow. Il pioche � grand coups et d�monte les pierres. Et ensuite se baisse et les mets dans la brouette. Tu vois, ca va vite comme ��.

" Ok ".

Je prends la pioche et commence � piocher.

" Attention ;Fred, tu la tiens mal, tu vas te faire mal au dos ! Attends, je te guide ".

Il s'est approch� de moi, pr�s...

" Prends la pioche en main "

Il s'est coll� � mon dos, sa main contre la mienne et m'a montr� le mouvement. Je sentais son odeur (d�odorant et une pointe de sueur), la chaleur de son corps. Mon sexe s'est � nouveau dress� dans mon slip. " Comme �a, tu as saisi ? ". Il m'a l�ch� et j'ai refais le mouvement. " Oui, c'est mieux, et l� ton dos ne morfle pas, tu le sens non ". Oui c'est clair...

Midi est vite arriv�. J'avais sorti 2 brouettes de pierres (loin derri�re les 4 sorties par Giles).

" Bon, c'est pas mal tout �� ! Tu as bien boss� et tu m'impressionne. Tu comprends vite et tu vas vite c'est bien petit ".

Il m'a tendu de l'eau et m'a fil� un sandwich.

Tout en m�chant, il m'a dit " ce que je te propose, c'est on mange vite, on se repose un peu mais pas trop pour ne pas avoir les jambes qui flanchent et comme �a on rentre � 16h ca te va ? "

Ok.

Il a aval� son sandwich super vite, a cherch� une couverture dans le camion et s'est allong� � l'ombre pour une courte sieste. Il a vir� ses grolles. Et s'est install�, une main derri�re la t�te, son aisselle velue profitant du vent (et moi de la vue).

Je me suis assis � c�t� et le matais pendant qu'il roupillait.

Sa poitrine se soul�ve doucement � chaque respiration. Son autre main pos�e sur ses abdos, un doigt au bord de la ceinture. Je r�ve de poser mes doigts sur sa main et de la toucher. Je bande. Je dois me lever pour me calmer.

Il se r�veille.

"Tu vas pisser ? " " Heu, oui " je dis en mentant. " Attends, je viens avec toi ".

Il mate autour de nous, c'est super calme.

Il me montre un bouquet d'arbre � une vingtaine de m�tres " allons la bas ".

On marche c�te � c�te. Il fait frais sous la ramure. " On pourra se mettre l� pour la bouffe les autres jours " me dit Gilles.

Je fais le tour d'un arbre et ouvre ma braguette.

Je vois Giles me suivre. Il se met � c�t� de moi.

Je fais tout pour ne pas mater (sinon, je ne pourrais plus pisser).

Je sors mon sexe (mi dur) et pisse.

Je l'entends qui pisse, voit son jet puissant proche du mien. Me concentre sur mon urine qui coule sur le tronc de l'arbre.

Il finit de pisser, malgr� moi je tourne les yeux. Je ne vois que sa toison brune disparaitre dans le short. Il a mal ferm� un bouton et quelques poils bruns d�passent... il ne porte pas de slip (oh putain).

Je rentre mon matos et on retourne bosser.

L'apr�s-midi se finit vite et on range nos outils.

Je monte dans le camion et somnole durant le trajet du retour.

" Une bonne douche, ca te d�lassera tu verras " Il me dit. " Au fait, tu as pris des affaires de rechange ? Car on peut se doucher a la boite et ca fait du bien de quitter ses fringues daubantes ".

" Euh, non, je ne savais pas " je r�ponds.

" Ben, demain, am�ne des affaires de rechange et comme ca, quand tu rentres chez toi, t'es tranquille. ".

Je l'ai aid� � d�charger le camion. Et il m'a salu�. " Dors bien, car demain, il faudra �tre efficace ! ".

Je suis rentr� chez moi (personne ne s'est assis � c�t� de moi dans le bus tellement je daubais), me suis douch�, j'ai mang� vite et suis tomb� comme une masse.

JOUR 2

J'ai mis un certain temps avant de me rendre compte que c'�tait mon r�veil qui sonnait. Je me suis tourn� dans le lit et, la vache, quelles courbatures !

Ma m�re m'avait pr�par� un petit d�jeuner (la sainte) que j'ai aval� en vitesse. J'ai chopp� quelques affaires de rechange que j'ai fourr�es dans un sac. Un vieux tshirt, un de mes vieux short de rugby et en route.

Gilles �tait d�j� en train de charger le camion quand je suis arriv�.

Il avait le m�me short que la veille (j'ai reconnu la d�chirure en bas d'une poche sur son cul muscl�). Et une autre chemise cette fois avec plus de boutons.

"

- ; ; Salut Fred, bien dormi ?

- ; ; Comme une masse ! mais ca fait du bien.

- ; ; Oauis c'est vrai ! (rire).

- ; ; T'es pas mal muscl� dis moi (il mate mes cuisses).

- ; ; Le rugby �a aide !

- ; ; Oauis c'est clair. T'as eu tes chaussures de s�curit� ? j'ai pas fait gaffe hier.

- ; ; Non, j'en ai pas eu

- ; ; Hum... vas au stock la bas et demande une paire. Et tu pourras laisser tes affaires de rechange dans mon vestiaire, car risque rien. C'est celui avec �crit Gilles dessus (il �tait mort de rire). Tiens voila la cl� du cadenas (il me la jette et je la saisis au vol).

"

Je fous les grolles de s�curit� (j'ai l'impression d'avoir des pieds en plomb, mais ca passe vite) et fourre mes skets dans mon sac � dos. Je cherche le vestiaire de Gilles, le trouve et l'ouvre. Un calendrier de meuf � poil (enfin, sans trop de poils vu tout ce que je peux voir de leurs anatomies), un short � plein de poches, un beau tshirt tout jaune, serviettes (merde, j'ai oubli� d'en prendre une), gel douche (�a aussi j'ai oubli�)). Je fourre mon sac, ferme tout bien et monte dans le camion.

La journ�e se passe bien. Mon t-shirt me colle � la peau. Gilles me fait m�me une remarque sur ma musculature (je souris). On bosse.

Le midi on se met sous les arbres de la veille. Je vire mon t-shirt et le fait s�cher � une branche.

" Mais t'es tout blanc " me dit Gilles en rigolant.

" Ben ouais, je suis blond et pas brun comme toi ! ;Et encore je me suis d�j� un peu fais bronzer. Et je te raconte pas la couche de cr�me solaire que j'ai mise, et que je vais remettre ! ".

Il rigole

" Moi, j'ai pas ce probl�me du tout ", il dit en passant la main sur sa poitrine velue.

Je m'enduis de cr�me et me fous un peu au soleil pour ne pas trop avoir la trace de mon t-shirt.

On finit de bosser et on rentre � l'entrep�t.

"

- ; ; T'as bien pris des affaires de rechange aujourd'hui ?

- ; ; Ouais, mais je crois que j'ai oubli� un truc important...

- ; ; Quoi ? t'as pas pris de slip ;de rechange ?

- ; ; Non (j'�clate de rire). J'ai oubli� le gel douche et la serviette...

- ; ; (il me sourit) Pas grave. J'ai le gel et pour la serviette j'en ai toujours plusieurs dans mon casier. Comme �a je les trimballe qu'une fois par semaine. Je te passerai tout �� !

- ; ; Merci Gilles !

"

On vide le camion et on passe � son vestiaire. Il prend les serviettes, le gel douche et ses fringues. Je prends mon sac et le suit.

Il me montre les chiottes et plus loin les douches. Une pi�ce toute carrel�e avec une fen�tre en verre d�poli. En rentrant, des bancs � 2m de la porte

" C'est pour que les mecs posent leurs affaires et aillent pas jusqu'aux douches avec leurs grolles sales. Tu te d�shabilles l� (il montre le banc), tu te tournes et les douches sont l�. "

Il me montre les douches, enfin... comment dire... un mur avec 4 douches c�te � c�te sans s�paration, rien. Ca va pas �tre facile...

Gilles vire son t-shirt " allez, il faut en profiter, on est les premiers, l'eau est encore bien chaude ".

Je lui dis " Je dois vite aller aux toilettes ". " Pas de probl�me, moi je commence ".

Je sors et vais aux chiottes. Je ne pisse pas. Je ne peux pas tellement je bande. Je sors mon sexe et commence � me branler pour juter (en esp�rant que cela me laisse ensuite tranquille le temps de la douche). Ma main acc�l�re sur mon membre. Je sens mes boules lourdes taper ma main. Je g�mis et jute dans l'urinoir. Mon sperme coule contre la porcelaine tout doucement. Je pisse et appuie sur le bouton pour lancer l'eau.

J'esp�re que Gilles � fini sa douche et est en train de s'habiller... mais non.

Quand j'arrive � nouveau aux douches, il est dos � moi, couvert de mousse. Il fredonne une chanson. Je m'assieds sur le banc, lui tournant le dos. Je vire mes chaussures puis me tourne pour poser mes pieds nus sur le sol. Il a allum� la douche. La mousse coule de son corps sur le sol. Ses fesses sont blanches et muscl�es.

Je me fous � poil et m'avance vers la douche la plus �loign�e de lui. Je lance l'eau et me rince.

Tout � coup il est � c�t� de moi, le gel douche � la main " tiens ". Je le prends. Mon regard passe de son bras � son torse. Suit ses poils jusque sur sa touffe pubienne. Descend vers un sexe large d'o� coule un peu d'eau. Je rougis. " merci ". Je me lave doucement. Arrive a seulement bandouiller.

Me rince et me tourne.

Il me regarde, assis en face de moi. Juste en short, sourire aux l�vres.

Il me tend une serviette que je prends.

Je m'essuie sans me cacher.

" Tu es bien fait " Il me dit

Je ne r�ponds rien et me s�che.

Il finit de s'habiller, r�cup�re le gel douche et l'essuie. Il ramasse aussi ma serviette, " allez, � demain Fred. "

Je souffle et rentre chez moi.

Et m'endors � peine mon repas englouti.

JOUR 3

Je me r�veille avec une bandaison � faire mal. J'ai pens� au cul et au sexe de Gilles toute la nuit et les draps s'en souviennent.

Enfin... Cette fois je prends des affaires de rechange et surtout une serviette et du gel douche. Pour ne pas revivre le stress de la douche de la veille.

Le bus a du retard, Gilles a d�j� charg� le camion. Il me lance la cl� de son vestiaire et je cours y ranger mon sac.

Je monte dans le camion.

" Il te va vraiment bien ce short " il me dit en souriant, " il te fait un petit cul superbe ".

Je rougis et ne r�ponds rien.

"

- ; ; J'esp�re que je te ne choque pas...

- ; ; Non, non, ca va. C'est toujours plaisant � entendre

- ; ; Et moi, tu me trouves comment ?

- ; ; (je rougis, je tourne doucement ma t�te, il a une chemise ouverte sur son torse magnifique. Une main sur sa cuisse contre sa peau bronz�e) Heu, bien

- ; ; Juste bien ?

- ; ; (je souris) un vrai m�le, poilu et muscl�

- ; ; Je savais bien que tu me matais (sa main caresse ses poils)

- ; ; Heu, non, ce n'est pas vrai. Juste de la curiosit� normale

- ; ; Oauis, c'est clair, une curiosit� de ptit pd non ?

- ; ; Non mais tu crois quoi ?

- ; ; Je ne crois rien, Fred, je sais...

"

Et tout en conduisant il ouvre son short. Sa touffe brune apparait. Un feu passe au rouge, il stoppe. L�ve ses fesses et descend le short.

Je le mate, rougis � fond. Il a les jambes �cart�es. Ses boules lourdes pendent entre ses cuisses.

Le feu passe au vert. Il pose sa main sur sa verge et doucement commence � la masser. Elle gonfle vite. Il se branle franchement, d�calotte son gland. L'odeur superbe de son sexe envahit l'habitacle.

" Allez, fais-toi plaisir, je sais que t'attends que �� " il me dit.

Je ne dis rien. Mate son gros gland qui s'humidifie.

L'odeur est superbe. Il masse son gland avec la goutte de mouille qui a perl�.

" Suce-moi "

Je sens qu'il ne pose plus de question mais ordonne.

Ma main avance sur son sexe, saisit son gland qui me br�le quasiment tellement il est chaud.

Je sens la moiteur de sa mouille.

Il g�mit.

Ma main descend sur ses boules, velues, lourdes douces.

" Suce-moi ".

Je me penche. Mes l�vres autour de son gland. Ma langue masse son gland, entre dans son m�at, joue avec le tour de son gland. Ma main serre la base de son sexe. Il est raide dans ma bouche. Je descends doucement sur sa tige. Ma langue l�che, mon nez contre ses poils. Le gout de son sexe est magique. Sa mouille coule comme du miel dans ma gorge. Je sens sa main contre mon dos qui me masse.

Je le suce encore plus fort, tire ses boules. Il �carte les cuisses pour me donner un meilleur acc�s.

Je le branle avec mes doigts, mes l�vres, ma langue. Il g�mit.

" Tu sais y faire "

Il me caresse les cheveux. Me force � aller plus loin sur son sexe. Ce que je fais avec plaisir. Une de mes mains remonte sur son ventre, tire les poils de sa poitrine et trouve un de ses t�tons tendus. Je le pince. Gilles g�mit.

Je le suce bien � fond, ma salive enduit son sexe, ses boules. Je le sens qui se tend. Mon sexe colle a mon slip tellement il est humide.

Je sens la main de Gilles me forcer � aller plus loin, je l'avale en entier.

Il me tient en position et lance un grand cri de m�le. Son foutre me gicle dans la gorge, j'avale ce que je peux pour ne pas m'�touffer, il en coule sur mon menton, sur ses boules.

Il gicle encore, reste en moi, puis me l�che la t�te.

Je continue � le sucer, sent son sexe qui ramollit.

Puis je me redresse. Avec mes doigts, j'essuie son foutre qui a coul� sur mes l�vres. Me l�che les doigts.

Giles s'est gar� devant le chantier. Je ne me suis m�me pas rendu compte que le camion s'�tait arr�t�.

Son torse luit doucement de sueur. Il me sourit, pose sa main sur ma joue.

" Je crois que c'est la meilleure pipe que j'ai jamais eu "

Il me claque la cuisse et sort du camion, cul nu.

Il r�cup�re son short et lance " On a pas que �a � faire, au boulot ! "

Je ne sais plus trop o� je suis, mais je sors du camion.

Je me demande si je n'ai pas r�v�, mais le gout de son foutre dans ma bouche m'indique bien que je n'ai pas r�v�.

Il bosse l'air de rien. Alors moi aussi.

Je sens juste mon slip qui colle � me gland.

A midi, il me tend la couverture, le panier et me dit de tout installer pour le repas.

Il retourne dans le camion.

Je me suis assis sur la couverture et je mange mon sandwich.

Il s'approche, souris, vire ses grolles et sa chemise.

D'un coup de pouce, il ouvre son short et le laisse tomber dans l'herbe.

Je vois son sexe qui bandouille d�j�.

Il se pose � c�t� de moi et mange un sandwich. Une de ses mains joue avec ses boules, ce qui le fait rapidement bander.

Et moi aussi, par la m�me occasion.

" Tu devrais te mettre � l'aise Fred, il fait bon � l'ombre � poil "

Je n'ai pas eu le temps de r�agir, d�j� je sentais ses mains sur moi. Il m'a soulev� le t-shirt et l'a jet� au loin.

Il m'a fait m'allonger. Ses mains se sont attard�es sur mes t�tons qu'il a vrill�s, m'arrachant un cri (douleur ? plaisir ?). Son sexe chaud contre ma jambe. Ses mains sont descendues vers mes abdos, mes cuisses, sur mes flancs. Il a pris mon short et mon slip et me les a �t�s d'un seul mouvement. Mon sexe raide a claqu� sur mon ventre.

J'ai senti ses mains agripper mes mollets, il m'a pli� les jambes sur le ventre. J'ai senti mon bassin se soulever. Il m'a maintenu dans cette position et s'est jet� sur mon anus. Sa langue chaude me l�chait, ouvrait, massait, effleurait. Un fil de mouille coulait sur mon ventre. Sans me demander, il a introduit un doigt dans mon anus. J'ai senti le passage de son alliance.

" hum, tu n'es pas vierge (oh, que non), j'aime �� ! "

Il a sorti son doigt puis l'a remis, � commenc� � me limer doucement.

Il a vite remis sa langue en plus de son doigt. Puis un autre doigt.

Je m'ouvrais bien, je bandais � fond, me massais les t�tons.

Il a sorti les doigts de mon cul et me les a fait l�cher. J'aime le gout de mon cul.

Il a r�cup�r� son short et en a sorti une capote qu'il s'est habilement enfil�e. Il a aussi sorti une dose de gel et m'a enduit l'anus avec. Le gel glac� contre mon anus bouillant m'a mis le feu. Il s'est pench� sur moi. Son gland chaud contre mon anus. Ses l�vres se sont approch�es des miennes et quand sa langue est entr�e dans ma bouche, son gland a forc� ma rondelle.

Une douleur m'a contract� l'anus.

Il s'est arr�t� d�s que son gland est entr�, mon trou serr� contre son pieu.

La douleur s'est vite transform�e en plaisir.

J'ai pos� mes mains sur ses hanches et lui ai donn� l'impulsion.

Il est entr� en moi tr�s doucement, j'avais l'impression que son sexe ne finirait jamais. Puis j'ai senti ses boules. J'ai g�mis. Lui aussi.

Il est ressorti doucement, presque en totalit� puis m'a rencul� d'un coup de rein.

Le bonheur !

Je sentais sa langue dans ma bouche, son sexe raide dans mon cul. Il me sautait comme un dieu. Il s'est redress� et a acc�l�r� le mouvement. Je sentais ses boules lourdes taper contre mon cul. J'ai gliss� ma main entre nous et les ai saisies pour les masser, les branler, les tirer et lui donner le mouvement.

Il a g�mit. Son visage �tait rouge. De la sueur coulait de son torse. J'ai pos� mon autre main sur ses pecs et lui ai travaill� les t�tons.

" Oh mon dieu "

Il a g�mit, j'ai senti son sexe grossir encore et il a hurl�.

Son foutre a rempli la kpote.

Il a continu� � me ramoner la rondelle jusqu'� ce que son sexe soit trop mou et ressorte de mon cul.

Il a retir� la kpote, l'a foutu avec les d�chets de notre repas.

Il a pris mon t-shirt et s'est essuy� le sexe avec, puis il a enfil� son short et est retourn� bosser.

Je suis rest� l� abasourdi, sentant mon coeur battre au travers de ma rondelle. Le sexe encore en feu.

Je me suis branl�, j'ai joui contre l'arbre puis me suis rhabill� pour continuer le travail.

Il ne m'a pas adress� un mot de l'apr�s midi.

Juste pour me dire qu'on levait le camp dans 5 minutes.

Dans le camion, toujours rien. J'ai d�cid� de ne rien dire non plus.

A l'entrep�t, je l'ai suivi, pour r�cup�rer mes affaires. Il m'a tendu mon sac et est all� aux chiottes. Moi, je suis all� aux douches. Je me demandais quelle mouche l'avait piqu�e.

J'�tais en train de me savonner, face � la porte, quand il est entr�. Il m'a mat�, a commenc�

� se d�shabiller. Son short est tomb�, d�voilant son sexe d�j� raide et couvert d'une kpote.

Il s'est approch� de moi

"

- ; ; Je n'ai jamais ressenti ca en baisant, Fred, tu as le meilleur cul que j'ai jamais saut�.

- ; ; Je...

- ; ; Non, laisse-moi finir. Ce n'est pas �vident. Je ne suis pas pd. Tu es m�me mon premier mec mais depuis que je t'ai vu lundi je ne pense qu'� toi. Et quand tu m'as suc� ce matin, on a failli avoir plusieurs fois des accidents. Et � midi, je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai eu envie de te dominer, de te sauter, pour m'assurer que tu n'�tais pas aussi bon que je pensais. Et en fait, tu es aussi bon que je ne le craignais. Et j'ai envie de toi.

- ; ; Alors viens

"

Et je me suis tourn� contre le mur, tendant mon cul vers son sexe. Il n'a pas attendu beaucoup et j'ai senti la chaleur de son corps. L'odeur de sa sueur. Et la force de son sexe. Son gland est entr� d'un coup en moi. J'ai pouss� en m�me temps mon cul sur son sexe pour bien m'emmancher. Il a g�mi.

Je lui ai offert ma rondelle. Et il a su appr�cier ce cadeau.

J'ai pris une de ses mains et l'ai gliss� contre mon sexe, pour lui faire comprendre qu'il fallait aussi qu'il s'occupe de ce c�t�-l�. Il a h�sit� au d�but, puis j'ai senti sa prise se raffermir. Il a commenc� � me branler en rythme. J'avais l'impression de n'�tre qu'un rouage d'une grande et � combien sexuelle machine. Son sexe entrait et sortait de ma rondelle, ouvrant le passage. Sa main me donnait du plaisir, massant mon gland, mes boules.

Je me mis � haleter. Il me donnait des coups de butoir. Ses boules tapaient les miennes.

Il a acc�l�r� le mouvement.

Je n'en pouvais plus. Ses 2 mains me branlaient. J'ai l�ch� un cri et j'ai senti le foute monter de mes boules. Ma teub s'est tendu et mon foutre a gicl� sur le carrelage des douches. J'ai senti mon anus se contracter autour de son sexe. Il a beugl� lui aussi et jai senti la kpote se remplir de son foutre chaud.

J'ai appuy� sur le bouton de l'eau et la douche s'est insinu�e entre nos corps.

Son sexe mou est sorti tout seul de mon anus.

Il m'a dit " merci " et n'a rien pu dire d'autre car nous avons entendu des coll�gues arriver bruyamment.

Il a juste eu le temps de virer la kpote et de s'�loigner de moi.

J'avais le coeur qui battait fort.

Gilles me souriait � travers l'eau de la douche.

Nous nous sommes s�ch�s pendant que les autres prenaient bruyamment leurs douches.

Les 3 semaines suivantes se sont pass�es comme �a : suce de Gilles dans le camion, baise � midi, baise le soir sous la douche.

Et le dernier jour, Gilles m'a suc� pour me dire au revoir.

Un bien beau stage !

Fred

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