Page pr�c�dente

1er �pisode | �pisode pr�c�dent

Soumission / Domination 98

Vendredi,

Je me r�veille � 9h pass�. Je vais �tre tr�s en retard au travail !! Je pr�f�re t�l�phoner � mon boss pour lui dire que je ne me sens pas bien et que je vais rester au lit toute la journ�e pour me soigner et �tre en pleine forme lundi.
Il me dit de ne pas faire de b�tise et de bien rester au chaud, c'est un chic type.

Je repense � ma semaine, il ne faudrait pas que Marc s'absente trop souvent, �a me fatiguerait trop !!! (et puis c'est tellement bon que j'en viendrais � attendre ses absence). Enfin mon homme rentre ce soir et j'en suis d�j� tout fou.

Je range la maison, ce n'est pas encore le domaine de Samir et Ammed, mais je pense que �a va bient�t le devenir. Nous avons pu juger de leur discr�tion et de leur enthousiasme � vivre notre trip. De plus une femme de m�nage " normale " pourrait s'offusquer des cadavres (Kpotes) trainant dans les cendriers, des train�es suspectes sur les sols et partout ailleurs. Et depuis que Marc les a autoris� � utiliser " mon " appart quand ils le veulent, ils nous en sont tellement reconnaissants que nous pouvons tout leur demander. Je crois que nous allons les salarier (pour les d�ductions d'imp�ts), mes revenus annexes peuvent le supporter et ma feuille d'imp�t ne sera que plus l�g�re. Il va falloir que j'en parle � mon banquier perso (le p�re de Ric).

Je glande donc toute la matin�e, passage en salle de muscu sans trop de conviction.
J'appelle Samir et lui dit que si ils le veulent ils peuvent arriver plus t�t pour se faire une s�ance de muscu avec moi, quand on est plusieurs, la motivation est plus importante. Il me dit que c'est Ok et qu'il passera chercher Ammed.

Ils arrivent d�s 14 heures (ils �taient du matin dans leur taf). Je les regarde monter le perron, ils sont canons nos deux beurs, Marc les a vraiment bien choisi !

Une bise sur chaque joue en guise de bonjour et nous allons direct au sous sol.
On se d�shabille (�a va plus vite pour moi qui suis encore en peignoir), jocks sur les bites et nous voil� partis pour une bonne s�ance.
Deux heures plus tard, les muscles gonfl�s par l'effort, nous proc�dons � une demi-heure d'�tirements.
Apr�s une douche br�lante, Samir veut me faire voir les progr�s d'Ammed (pr�texte je crois pour une bonne baise).

Nous repassons donc � la salle de muscu et squattons les tatamis. Nous sommes d�j� tout bandants. Ammed se met � nos genoux et nous suce alternativement Samir et moi. Il a vraiment pris le coup pour nous bouffer la queue jusqu'aux couilles. En plus il aime �a !
Samir coll� � mon cot� en profite pour me l�cher l'oreille, jouer avec le lobe, le mordiller tout en pin�ant mon t�ton gauche. Je suis raide au maximum et Ammed en tousse un peu quand je lui racle le fond de sa gorge.
Samir veut me montrer la facilit� avec laquelle, maintenant, Ammed s'auto-fellationne pendant qu'il l'encule.

Ammed roule sur lui en relevant les fesses, son poids se portant sur ses �paules et sa nuque, ses pieds reprenant contact avec le sol au del� de sa t�te.
Ses presque 20cm sont bien raides et pench� sur son cot�, nous le voyons se bouffer la tige. Samir, l'enjambe et place sa bite nue sur sa rondelle. Il crache dessus deux trois fois et s'enfonce. Je note au passage que l'anus d'Ammed supporte vaillamment l'assaut. Quand je dis " Kpote ", Samir me r�pond qu'ils ont fait le test et qu'ils sont n�gatifs tous les deux.
Je regarde le niveau inf�rieur, sous les pouss�es de Samir, Ammed prend les 3/4 de sa bite en bouche. Je me couche � ses cot�s et lui murmure � l'oreille.
Je lui demande si c'est bon, meilleur qu'une pipe classique, plein de trucs auxquels il ne peut me r�pondre.
Je me redresse et me plante devant Samir la queue plaqu�e aux abdos. Il comprend le message et se penche pour me sucer. Lui aussi a fait des progr�s, il me mange entier. Je lui prends la t�te entre mes mains et donne le rythme de la pipe. Doucement la cadence de pompage donne le La � celle de l'enculage.

Apr�s un bon moment, il me propose le cul d'Ammed. Je ne peux pas dire non, ce n'est pas polit de refuser un cadeau !

Ammed s'est d�pli�, il commen�ait � fatiguer dans sa position et cela se ressentait au niveau de la raideur de sa bite qui justement commen�ait � en manquer s�rieusement.

Je l'ai mis � 4 pattes en travers d'un banc et � genoux entre ses jambes je l'ai � mon tour encul�. M�me recouvert d'une Kpote, j'ai pu sentir toute la topographie de son boyau. Son cul, bien que maintenant fr�quemment utilis� par Samir, collait au plus pr�s de ma queue. Le passage de son anus bien marqu� par son �lasticit� toujours r�sistante, j'ai pris un grand plaisir � m'enfoncer doucement dans son intimit�. Mes mains plaqu�es sur son dos en V, j'enculais l� un beau sp�cimen de mec. Pas encore un " Ric beur " mais si Samir insiste un peu, il pourrait le devenir (cot� physique muscl�).

Samir s'est plac� devant lui pour se faire pomper le dard.
Pendant un bon moment nous n'avons plus entendu, que le bruits de mes couilles tapant sur les siennes, le slurp slurp de sa bouche sur la bite de Samir et nos " han " de b�cherons � chaque fois que nous nous enfoncions totalement en lui.

Il fut le premier � jouir, �claboussant le sol de ses jets de sperme. Samir s'est vite retir� de sa gorge pour lui arroser le dos avec une telle pression qu'un bon nombre de jet a ricoch� sur mes abdos. Je n'ai pu me retenir plus longtemps moi aussi et je me suis vite retir� de l'anus d'Ammed, j'ai jet� la kpote par terre et j'ai jut� de long traits blanch�tres sur son dos bronz�.

Apr�s avoir repris notre souffle (un bon 1/4 heure plus tard), un passage aux douches s'imposait. Ils se sont mis tous les deux � me savonner et me masser du cou jusqu'aux chevilles. Chaque muscle y a eu droit. Je n'avais encore jamais connu ce type de massage. Ammed m'a dit plus tard que c'�tait son fr�re ain� (Kin� / ost�o / masseur) qui lui avait appris pour bosser l'�t� au hammam quand il �tait plus jeune et qu'il avait montr� � Samir comment faire.
En attendant je leur dis que s'ils voulaient bien, j'aimerai en faire profiter Marc.

Pour lui, ils seraient pr�ts � tout je crois.

Je leur dit alors de vite faire le taf avant que Marc n'arrive et de se pr�parer � faire le massage de leur vie sur son corps fatigu� par une semaine de taf.

Je leur laisse la maison et file vite en ville chercher des huiles de massage. Ammed m'a indiqu� une boutique tenue par un vieil arabe et de me pr�senter de sa part pour avoir la meilleur huile du march�.

Quand je rentre, je passe au donjon avant de rentrer dans la maison. Comme d'habitude apr�s leur passage, il est nickel (m�me si il n'a pas servi depuis quelques temps, la poussi�re s'accumule).

Je pr�pare un diner qui peut �tre mang� n'importe quand. Je ne connais pas l'heure exacte � laquelle Marc va rentrer, s'il veut me faire l'amour tout de suite ou pas...

Samir et Ammed remontent du sous sol et me disent que tout est propre. Ils restent quelques instants � discuter avec moi.
Je leur demande comment �a va dans leurs cit�es. Ils me disent que tout va bien tant que personne ne sait pour eux. Car d�s le premier jour o� �a se saura, ils deviendront la " pute " m�le du quartier et m�me pire car une pute, elle se fait payer ! L�, ils se feront larver dans les caves sans possibilit� de se d�fendre.

Quand je leur dis qu'ils exag�rent peut �tre un peu, Ammed rench�ri en me disant que c'est d�j� arriv� � un jeune de leur quartier qui n'a du son salut qu'� une fugue spectaculaire. Mais apr�s ses parents ont �t� oblig�s de d�m�nager dans une autre ville.
Donc pour le moment ils font profils bas dans leurs quartiers respectifs. A leurs potes un peu curieux de ne plus les voir trainer le WE, chacun y a �t� d'une version diff�rente. Ammed, lui a d�clar� avoir trouv� un job de WE dans l'entretien g�n�ral d'une propri�t� pour pouvoir changer sa caisse. Samir quand � lui s'est invent� une meuf dans une autre ville.
Je comprends mieux leur int�r�t � vouloir rester tout le WE chez nous, m�me quand il n'y a pas de touze � " servir ".

Nous entendons la voiture de Marc entrer dans la cour. Je leur dis d'aller � l'appart, que je les appellerais pour le massage. Ils croisent Marc sur le perron, salutations quelques mots et mon homme entre seul.
Il a � peine le temps de l�cher sa valise et sa sacoche que je suis dans ses bras pour lui rouler une pelle.

Presque nu (j'ai mis sur mes fesses un des jeans coup� short ultra court et d�cousu au trou du cul) je me colle � lui.
De son cot�, il me serre dans ses bras � m'�touffer. Il m'a manqu� !! (M�me si j'ai �t� bien occup� tous les soirs). Je sens ses mains glisser sur mon dos, se poser sur mes fesses et les �cartant �carter le tissus mettant � l'air libre mon petit trou.
Je bande depuis que j'ai entendu la voiture arriver. Coll� contre lui je sens sa bite bander et d�former le pantalon de son costume. Il me glisse � l'oreille, tout bas, que je lui ai manqu�.
Nous nous d�collons et je lui fais remarquer que dans l'h�tel o� il r�sidait, �a ne devait pas manquer les jeunes serveurs homos pr�ts � se faire d�foncer par un beau mec.

Il prend ma t�te entre ses mains pour embrasser mes l�vres et me dit que certains lui avaient propos� leurs " services " plus ou moins ouvertement, mais qu'il n'avait pens� qu'� moi et � ces cons de plans qu'il m'avait organis�.
Jusqu'au jeudi soir o� il n'a plus tenu et s'est fait un des apprentis et son r�f�rent (gu�re plus �g�). Peut �tre le fait que c'�tait le soir d'Emma ?!

Quand je lui ai demand� si il avait faim, il m'a r�pondu " oui, de toi ".
Le costume a p�ti de mon d�shabillage express. Mais il est entr� dans le salon nu comme un ver. Je l'ai pouss� dans un canap� et sans lui laisser d'initiative, agenouill� entre ses cuisses, j'ai embouch� sa bite, son manche, l'objet de mon plaisir.

Je l'ai entendu g�mir et ses mains sont venues se poser sur ma t�te pour maitriser, ralentir mon rythme de pompage. Qu'elle est bonne sa queue. Juste assez longue pour me d�foncer la gorge sans m'�trangler outre mesure juste assez large pour... enfin parfaite quoi !
La laissant bien luisante de ma salive, je me suis redress� et face � face, mes yeux riv�s dans les siens, je me suis assis dessus. Un genou de chaque cot� de ses cuisses, mes mains �cartent le jeans juste ce qu'il faut pour d�couvrir mon anus.
Ma queue me fait mal, contrainte dans le jeans non d�boutonn�. �a me rappelle les fois o� il m'enculait dans le jardin alors que je travaillais !

Je ne veux que sa propre jouissance, elle ne sortira pas de sa " cage ".
Mes mains sur ses �paules, je monte et descend sur son manche. A chaque descente, je serre mon anus, il appr�cie. Il me prend la t�te et me met sa langue dans ma bouche. Mes mouvements en sont un peu moins r�guliers mais l'excitation monte plus vite.
Sa queue n'est pas la plus longue ni la plus large qui m'ait prise, mais c'est quand m�me la meilleur car elle est fix�e sur l'homme que j'aime !
Alors que je ralenti pour faire durer le plaisir, il me prend les fesses et s'assure qu'� chaque descente je sois bien assis, je le prends le plus possible dans le cul.

C'est trop bon. Il ne tient plus et jute dans mon trou. J'en ressens la pression suppl�mentaire dans mon boyau. Il n'a pas fini d'�jaculer que je gicle dans mon jeans. Une tache humide va s'�largissant puis un peu de sperme coule entre les boutons tir�s � l'extr�me par ma bite band�e � mort.
Nous restons sans bouger jusqu'� ce que sa bite glisse hors de mon trou. Je serre les fesses histoire de ne pas saloper le cuir du canap�.
Je me l�ve tout en lui interdisant de bouger. J'appelle nos deux beurs et en attendant leur venue, d�gage la table basse et d�pose dessus un drap de bain. La table fait dans les 1m70 x 70cm de large.

Samir et Ammed arrivent en shorty cuir. Ils sont encore tout gonfl�s de notre s�ance de muscu,.
Je demande � Marc de se coucher sur le drap de bain sur le ventre.
Aussit�t, Samir � sa droite et Ammed � sa gauche commencent � l'enduire d'huile.
Rien que pour le dos ils en ont eu pour une bonne demi-heure � deux. Marc appr�cie le traitement. J'ai mis une musique orientalisante en fond sonore (�a fait clich� mais j'm bien).
Quand ils lui demandent de se tourner, on peut admirer sa virilit� dans toute sa splendeur.
Pour le moment c'est massage. Les quatre mains reprennent leur ballet massant chaque muscle. Apr�s s'�tre occup� chacun d'un bras, Samir s'attaque aux �paules et au torse quand Ammed s'occupe des pieds puis remonte les jambes.

La remont�e, mollets puis cuisses fait tressauter le sexe de Marc sur ses abdos.
Ammed s'empare de la seule partie du corps de Marc exempt d'huile et alors que ce dernier est dans un �tat second, les yeux ferm�s � savourer la d�tente musculaire issue du massage il l'avale d'un seul coup jusqu'aux couilles et se verrouille dessus au moins 30 secondes.
Marc a voulu se redresser mais Samir en appuyant sur les �paules lui dit de se laisser faire.

Doucement, lentement, ils l'ont amen� au point de non retour. Je me suis alors approch� et c'est ma bouche qui a recueilli le sperme qui est sorti de sa bite.
Bien qu'oblig� d'en avaler une partie, j'en ai gard� le plus possible en bouche et une fois s�r qu'il �tait bien vid�, je me suis couch� sur lui et nous nous sommes roul�s une pelle sp�ciale, ne nous arr�tant que quand plus une goutte de sperme ne subsistait entre nos langues.

Nous avons retrouv� un peu plus tard nos deux beurs qui s'�taient exil�s dans la cuisine pour nous laisser seul.

Jardinier

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :