Cyrillo

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Soumission / Domination 125

Les vacances se d�roulent bien. Le trio de copain est devenu nos amis et nous baisons � peu pr�s tous les jours ensemble. Avec ou sans Manu et Th�o. J�r�me n'est pas revenu cette ann�e � la boutique de fringue et nous nous sommes content�s des draps de bain que nous avions laiss� dans l'appart l'ann�e derni�re.
Nous finissions la premi�re des deux semaines pr�vues quand la gendarmerie est venue � la r�sidence.

Les voir en uniforme sur la terrasse venir vers notre table, nous a fait un peu peur. Y aurait-il un mineur dans le trio ??
Arriv�s devant nous ils ont d�clin� mon nom. Je me suis " d�nonc� ". Ils m'ont demand� de les suivre. Je me suis lev� en maillot et j'ai �cart� les bras en leur demandant " dans cette tenue ".
Le plus �g� m'a regard� et m'a dit que nous pouvions aller dans l'appartement. Marc s'est lev� et nous a accompagn�s.
Apr�s l'entr�e, il me dit que ma tenue importe peu, il devait juste m'informer que mes parents avaient eu un accident la veille et que malheureusement, ils �taient d�c�d�s.

J'ai eu d'un coup les jambes coup�es et Marc a juste eu le temps de me rattraper.
Dans le brouillard, j'entendais Marc engueuler la mar�e chauss�e pour la d�licatesse avec laquelle ils avaient d�livr� le message.
J'�mergeais avant qu'ils ne se f�chent. D'une voix blanche je leur ai demand� les circonstances.
Quelques explications plus tard, � leur demande je me suis pr�par� � rentrer. Marc a d�cid� de rentrer avec moi, ne me sentant pas d'attaque � faire le trajet tout seul.
Les gendarmes m'ont alors pr�venu que deux des leurs (motards) nous escorteraient, le d�put� local que mon paternel connaissait bien avait jou� de son influence pour mon retour.

Marc m'a dit avoir fait passer le message, par Manu crois� en descendant aux motos, que nous quittions la station.
;Les gendarmes avaient eu le temps de pr�venir leurs coll�gues et ils nous attendaient devant la r�sidence.
;Je suis rentr� au radar. Il y avait trois motos devant moi pour m'ouvrir la route et j'ai copi� chacun des gestes et chacune des positions de Marc.
Sur l'autoroute j'ai enregistr� comme une simple info le fait que nous roulions � fond. Les motards devaient �tre press�s de livrer le colis !
Marc m'a dit plus tard que toute sir�ne hurlante, nous sommes rentr�s � 200 Km/h.
Ce n'est que devant la morgue de l'h�pital que j'ai de nouveau repris contact avec la r�alit�. A post�riori, je regrette de ne pas avoir savour� les pointes de vitesse que nous avons faites sur l'autoroute.
Les policiers locaux m'attendaient. Descente � la morgue, il fait froid, quelques heures plut�t, je brulais sous le soleil. Deux corps sont sur les tables inox recouverts de draps.
;Ce sont bien mes parents (m�me si les papiers qu'ils avaient sur le prouvaient indubitablement).
Marc me tient par les �paules. M�me si je ne les aimais pas plus que cela, que nous ne nous voyions plus que deux ou trois fois par an, leurs morts me choque.

Marc discute des d�tails sordides avec les keufs et nous sommes autoris�s � rentrer chez nous.

Dans la pr�cipitation, Marc n'avait pas pr�venu Samir et Ammed. Ils ont �t� tr�s �tonn�s de nous voir arriver. Marc les a mis au courant en deux mots et apr�s m'avoir pr�sent� leurs condol�ances, nous ont pr�c�d� � la maison pour l'ouvrir et la mettre en ordre de marche. De retour du garage, Jimmy �tait au courant et sans un mot est venu me serrer dans ses bras.
Est-ce la fatigue, les nerfs ou la gentillesse de tous, mais je me suis mis � pleurer sans pouvoir m'arr�ter.
Je n'ai plus de souvenir conscient du reste de la soir�e. Je me suis r�veill� le lendemain matin dans les bras de Marc. Tout ce qui s'�tait pass� la veille m'est revenu d'un seul coup, les keufs, le retour, les cadavres de mes parents.
Marc m'a d�taill� les obligations du jour. Retour chez les flics, visite aux Pompes Fun�bres pour l'organisation des obs�ques, notaire.
Je passe les d�tails mais trois jours plus tard, je me retrouvais en possession de mon h�ritage. Merci Monsieur Sarkozy pour les frais de successions !!
Je d�cidais de tout vendre sauf le chalet � la montagne, la villa � la baule et quelques meubles et bibelots qui avaient berc� mon enfance. Je gardais aussi les bijoux de ma m�re (quelques beaux cailloux).

Avec l'aide d'Andr�, le p�re de Ric, je pla�ais mes avoirs, une vraie petite fourmi !!

Cette histoire m'avait bouff� notre seconde semaine de vacances, � croire qu'ils l'avaient fait expr�s !

Marc reprenant le travail et les d�placements, il me dit de repartir � La Palmyre pour me changer les id�es. Quand je lui faisais remarquer que le trio s'y trouverait encore, il me dit qu'il en �tait conscient et qu'il ne me demandait pas d'�tre fid�le.
Je l'adore mon mec !
Trop fatigu�, j'ai pris le Z8.
Quand je suis arriv�, Marc avait pr�venu par t�l�phone Manu de mon retour, et l'appart �tait pr�t.
J'ai retrouv� le trio � la piscine, juste un peu plus bronz�. Je leur ai demand� s'ils �taient retourn�s � la plage. R�ponse n�gative que sans nous cela manquait de charme !
Le soir m�me ils restaient avec moi et nous avons pass� la nuit dans le grand lit.

Bien sur nous avons bais� et j'ai pris le r�le de dominant. Avec les petits jeunes, j'adore. Avec les deux crevettes, �a �t� tout seul, de toute fa�on c'�tait d�j� des passifs soumis. Avec leur pote muscl�, il m'a fallu user de persuasion pour qu'il accepte que je l'encule aussi. La premi�re semaine, il ne l'avait accept� que de Marc. Mais j'ai quand m�me r�ussi � lui mettre ma bite dans son cul. �a valait le coup ! Son anus encore vierge 15 jours plus t�t et inutilis� la semaine pass� �tait bien serr� et j'ai pris un plaisir immense � sentir ma queue le d�foncer. Pas encore tr�s coop�ratif, il serrait son anneau jusqu'� r�ussir � m'immobiliser de temps en temps. En fait c'�tait meilleur que les culs faciles de ses deux potes.
Il a admis plus tard que c'�tait quand m�me bon de se faire enculer. D'autant plus que ses deux amis n'�taient pas rest�s inactifs. L'un lui su�ait la bite et l'autre mordillait ses t�tons.
Le lendemain, je les emmenais � la plage bien d�cid� � leur faire d�couvrir les charmes des dunes et du sous bois.
D�s notre arriv�e, je bifurquais sur la droite en haut de la dune. Il ne nous a fallu que quelques 10aines de m�tres pour que nous tombions sur un couple entrain de baiser dans une d�clivit�.
Je poussais en avant le trio qui sinon serait rest� � les mater. Plus loin un quadra se faisait d�monter l'anus par un jeune mec. Il lui demandait explicitement de l'enculer comme une salope.
Nous nous sommes install�s sur la plage.
J'ai pu admirer que leurs culs avaient pris des couleurs. Explication : bronzage � poil sur le balcon de leur appart.

Les questions ont fus�es. C'�tait qui ces mecs ?, c'est toujours comme �a ?, y'en a d'autres ?...
Je les informais de ce qui se passe en haut et derri�re la dune, leur disant qu'il fallait faire attention car de temps � autre, il nous arrivait de tomber sur de l'�trange.
Le fait que Marc ne soit plus avec nous, nous n'avons pas tard� � attirer des mecs. Il faut dire que 4 beaux jeunes mecs ensemble c'est plut�t rare.

Nous avons �conduit trois vieux avant qu'un jeune (de mon �ge) arrive nous voir venant d'un couple install� un peu plus loin. A poil, comme 99,99% de la population de la plage, nous avons pu d�tailler son anatomie plus que correcte. Contact, il nous demande direct si nous �tions partants pour une m�gatouze que son ami organisait le soir m�me � sa villa. Apr�s quelques d�tail sur les participants, nombre : environ une trentaine de mecs, types : tous, blonds, bruns, beurs, blacks, �ges : de 18 � 45ans mais bien foutu au minimum.
Avec l'accord excit� du trio, je prends l'adresse et promet que nous en seront. Il ajoute alors que tous les plus jeunes (c'est-�-dire nous) repartirons avec un cadeau. Nous le questionnons un peu plus mais il refuse de nous le d�voiler.
Le reste de l'apr�s midi, nous bronzons et nageons. La visite guid�e du sous bois attendra un autre apr�s midi. Bien qu'excit� par la perspective du soir, nous gardons nos forces en r�serve.
Le soir m�me nous sonnions au portail indiqu�. Le jeune mec nous ouvre. Petit chemin en S et nous d�bouchons sur une grosse villa avec piscine. Il y a d�j� une vingtaine de mec. Apr�s pr�sentation au maitre de maison, notre quatuor se d�lite non sans que je leur aie rappel� les r�gles de s�curit�, pas de baise sans kpote.

Les mecs pr�sents sont vraiment plus que corrects. On se croirait plus � un casting de film porno que d'une touze r�elle. Tout le monde est en maillot et certains commencent � �tre trop petits !
Sonnerie et de nouveaux " amis " arrivent. Je remarque qu'il y a quand m�me une majorit� de jeunes avec une forte proportion de trentenaires. Quelques ap�ros plus tard, les choses ont commenc� � changer. Le signal a �t� donn� par un des jeunes qui un peu trop alcoolis� a retir� son maillot pour nous montre son cul en nous disant que ce dernier �tait disponible � la sodomie. Le trentenaire le plus proche l'a alors attrap� par les hanches et s'est mis � frotter sa bite entre ses fesses. Moi de mon cot� j'avais rep�r� le plus beau mec de la soir�e, trentaine, tr�s bien muscl�, ras� avec un m�ga-paquet dans le slip. Bien que d�j� entour� d'admirateurs, je me lan�ais. En jouant des coudes je me suis fais une place et alors que tous les autres semblaient fig�s par le mec, je lui ai carr�ment mis la main au paquet, histoire de soupeser la marchandise. Est-ce mon audace, mon physique pas trop moche ou ma gueule de voyou (voir le diam qui pendouille � mon oreille), mais toujours est il qu'il a fix� son attention sur moi au grand d�sarroi du reste de son ar�opage.
;Description du " Bo-gosse " : trentaine, ch�tain, clair, 1,90m muscl�, s�rement 100 Kg, bronz�, imberbe ou ras� je ne le saurais que plus tard, visage avenant et sourire � fondre. Bien sur, maillot de bain gonfl� d'un organe prometteur.
Lui me d�taille de la m�me fa�on et le r�sultat doit lui plaire puisqu'il passe son bras sur mon �paule avec l'air de dire il est a moi.

D'un coup je me sens prot�g�, probablement son physique au dessus de la normale !
Comme nous nous sommes trouv�s, nous ne sommes pas press�s. Ensemble nous d�ambulons entre les autres mecs. Je rep�re que le trio a �clat� et qu'ils sont entre des mains exp�riment�es. Ap�ros, grignotage, matage, nos maillots ne s'aplatissent pas et nous nous faisons toucher, t�ter au point que mon coll�gue en a mare et m'entraine vers l'int�rieur de la villa. Encore deux, trois obstacles et il me pousse dans une chambre. Vu la taille du lit, c'est plus un baisodrome qu'un lieu de repos !

Un coup de spleen m'attaque. D'un coup je me demande ce que je fais l�. Le mec se jette dos sur le lit et me tend les bras. Je me couche sur lui et reste sans bouger au creux de ses bras. Il me laisse faire et attend que je sois pr�t.
Je me secoue, rester de marbre dans les bras d'un apollon, ce n'est pas trop mon genre, d'autant plus que je ne peux ignorer le d�veloppement qui d�forme encore plus son shorty de bain.

Lentement je glisse le long de son corps et mes yeux se posent enfin sur l'excroissance. La cordelette d�nou�e, sa queue en profite pour sortir et se dresser au del� de son nombril. A premi�re vue, 24cm par 5,5de diam�tre. Ses boules ras�es apparaissent d�s que je baisse son maillot au dessous, grosses !
Je l�che d'abord les boules puis ma langue remonte la hampe gigantesque jusqu'au gland. J'agace un moment le dessous de la couronne avant d'attaquer le gland dans son ensemble. Un beau gland bien rose-violet, en forme de c�ne, ce qui doit bien faciliter la p�n�tration. En bouche, je l'aspire, fait tourner ma langue dessus, l'agace et exacerbe ses terminaisons nerveuses. Il n'y tient plus et je sens ses mains sur mon crane pousser doucement. J'ai compris et ma bouche descend avalant cm par cm sa bite. A mi chemin, le gland bute dans ma glotte. Un petit effort et il passe l'obstacle. Cela tire de mon partenaire un g�missement approbateur. Mais la position ne me permet pas d'avaler la totalit� de son engin.
;Je me d�gage et me couche sur le dos. Bo-gosse a compris et se l�ve. Je glisse ma t�te en dehors du lit et il me remet sa bite en bouche. Il s'enfonce, petit coup de rein au passage dans la gorge et enfonce le reste jusqu'� ce que ses couilles se posent sur mes yeux. Je l'entends me f�liciter pour l'exploit de l'avaler entier. Il est tellement content qu'il oublie de sortir et que je m'�touffe ! il s'excuse et adapte son rythme de p�n�tration pour que je puisse respirer un minimum ! Il me dit que c'est une premi�re de se faire bouffer la teub enti�re. D'ailleurs je la sens se gonfler, pr�mices d'une jouissance annonc�e. Je calme le jeu. Reculant pour sortir mon d�fonceur de gorge et serrant fermement la base sous ses couilles pour arr�ter le flux montant.
Il me dit que ce n'est pas n�cessaire et qu'il peut jouir plusieurs fois de suite sans d�bander entre. Je rel�che ma pression et il me jouit sur les abdos un quart de litre de sperme blanc (un peu moins en r�alit� !).

De juter ne l'a pas d�mobilis� et effectivement sa queue reste raide � souhait. Il me dit de me mettre � 4 pattes et je sens son souffle sur mes fesses puis sa langue l�cher ma rosette. Putain que c'est bon ! Il salive bien et je m'ouvre comme la bonne salope que je suis. Il prend son temps et je sens sa langue pousser l'entr�e et p�n�trer mon oeillet. Je bande comme un malade. Sa main vient traire ma bite en compl�ment. Ce mec me rend fou avec sa langue. Il l'a remplace par deux doigts qui s'enfoncent direct tout entiers. La salive d�pos�e lubrifie efficacement l'entr�e d'un troisi�me doigt. Il me tire la queue en arri�re et compl�te le travail par un l�chage de gland tr�s excitant. Je suis tellement excit� qu'il n'a plus besoin de bouger, je m'encule moi-m�me sur ses doigts. Je l'entends mettre une kpote et il pose son gland � mon entr�e. Comme il attend, je recule doucement. C'est ce qu'il attendait ! Un petit coup sec et son gland me p�n�tre, putain qu'il est gros ! Pourtant je le savais apr�s qu'il m'ait d�fonc� la gorge ! Je me d�tends, il a sentit ma r�sistance et me propose du poppers. Je sniffe comme un drogu� en manque, une puis deux narines, je me sature. Direct �a me chauffe. La t�te gonfle et mon cul s'ouvre. Je sens avec plaisir s'enfoncer le reste des 24cm.

Ses mains sur mes hanches, il se bloque tout au fond de moi. Je le laisse mener la danse. Il se retire doucement mais totalement avant de me p�n�trer de nouveau compl�tement. Il me fait le coup pendant bien 5mn c'est long mais c'est bon ! Puis il se d�cha�ne. Je me suis fait d�foncer !
Petits coups de rein, grandes glissades, changement de positions, il m'a sorti le grand jeu. Comme il avait joui pr�c�demment, il a tenu un bon moment avant de remplir sa kpote. Entre temps j'avais jut� et mes cris de plaisir avaient alert� la chambre d'� cot� d'o� l'apparition � la porte d'une demi douzaine de t�te.

Avec Bo-gosse nous avons assur� le spectacle jusqu'� nos deuxi�mes jouissances.
Les salves d'applaudissements nous ont remis les pieds sur terre, les voyeurs partant, nous sommes rest�s enlac�s un bon moment avant de rejoindre les parties communes.
Curieux, nous avons ouvert les portes en passant. �a baisait dans toutes les pi�ces. J'ai revu les membres du trio emmancher (pour le plus actif) ou se faisant prendre pour les deux crevettes.
Pr�s de la piscine, le buffet avait �t� dress� et nous nous sommes jet�s dessus affam� par nos exercices pr�c�dents. J'ai alors remarqu� que, comme moi, mon partenaire bronzait en maillot. Il me dit qu'il pr�f�rait, qu'il trouvait �a sexy. Je ne pouvais qu'abonder dans son sens.
Il a sorti deux mecs de la piscine, ils baisaient dedans et risquaient d'y juter ! D'un plongeon, j'ai entam� quelques longueurs pour d�tendre me muscles. Un plouf plus tard, j'�tais rejoint par Bo-gosse qui alignait un crawl parfait.
Bo-gosse, sportif, intelligent ?? Ce serait injuste pour les autres !! Sans vraiment participer � la touze, nous avons nag� un bon moment. Accoud�s au bord, l'un � cot� de l'autre, il a cherch� � me conna�tre un peu plus. Ce que je faisais dans la vie, si j'�tais seul, comment j'�tais arriv� l�... un v�ritable interrogatoire en r�gle.
Ce qui le surprenait le plus c'est que de mon cot� aucune question. Apr�s tout je ne chercherais pas � le revoir. Lui par contre m'a sembl� un peu accro. Du coup je lui ai dit que j'avais d�j� un mec et que je ne cherchais pas un deuxi�me. �a ne l'a pas refroidi et je l'ai senti bander de nouveau contre mon cul. De ce cot� l� pourquoi pas il baise bien. Nous nous sommes train�s jusqu'� trouver deux matelas de piscine vides (pas facile � cette heure de la touze). Kpot� et mon cul graiss�, sur le ventre j'ai �cart� les cuisses et il m'a encul� de nouveau. Trop bon ! Comme un lion, j'ai senti sa bouche sur mon cou et ses dents imprimer leurs marques. Chaque coup de ses reins faisait frotter ma queue sur le tissu excitant mon gland. Un jeune mec est venu me proposer sa bouche. Pas moche (mais le tri avait �t� fait sur le physique !), environ 18ans, je me suis mis � 4 pattes poussant Bo-gosse � me prendre en levrette. Le ptit, mec s'est gliss� sous moi et m'a aval� entier (encore un innocent !). Entre mon cul et ma bite, plusieurs fois j'ai faillit jouir. Mais mes deux acolytes sans se concerter, � chaque fois ont calm�s le jeu et leur expertise m'a tenu en hal�ne un bon bout de temps. Ils m'ont fait jouir ensemble, du cul et de la bite en m�me temps. Assez ravageurs comme effets !
J'ai bien mis 1/4 d'heure, 20 mn avant d'�merger totalement. Mes deux comp�res hilares dans les bras l'un de l'autre, Bo-gosse m'a pr�sent� le troisi�me �l�ment comme sa moiti�. Je comprends mieux alors leur parfaite entente sur mon corps.
Me sentant un peu responsable du trio, je les ai cherch�s un bon moment. Les crevettes en 69 se faisaient sodomiser par le maitre de maison et un de ses potes la quarantaine bf. Le muscl�, lui, �tait en train d'emmancher un type plus �g�. Quand il m'a vu, il a lev� le pouce comme si c'�tait une victoire pour lui !

Ils m'ont tous dit qu'ils restaient encore un peu.
Je retrouvais le Bo-gosse et sa moiti� pour les pr�venir que je partais. La moiti� s'est insurg� qu'il n'avait eu qu'un avant go�t de ma bite et esp�rait bien se la prendre dans le cul avant mon d�part.

Soudain je n'ai plus l'esprit � cela et je les quitte en leur donnant rendez vous sur la plage.

Jardinier

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