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Soir�e chez mon maitre

J'ai failli m'�touffer en me r�veillant.
Depuis que j'avais pass� un double de mes clefs a mon maitre, celui ci s'amuse � venir quand il lui plait.

A ce moment j'avais sa bite dans ma bouche, encore allong�, endormi de la nuit, j'�tais allong� sur le dos, mon maitre assis sur moi, me tenant les deux mains, et s'amusant � faire des allers retours dans ma bouche.
Je fis vite attention de sucer et d'aspirer le mieux possible pour ne pas lui d�plaire, il faisait de grand mouvement, me laissant rarement reprendre mon souffle et devant ma g�ne, prenant un malin plaisir � s'enfoncer le plus loin possible.

Il prenait tout son temps, savourant la sensation du viol de ma bouche, de temps en temps, il ressortait sa bite et me caressait le visage avec, m'appelant comme il aimait le faire, sa petite pute.

Il s'allongea sur moi, j'avais le nez et les yeux dans son pubis, ses poils, quand a la base de sa bite coll�e contre ma bouche, je ne pouvais faire aucun mouvement, essayant de me d�tendre pour pouvoir garder cette position le plus longtemps possible, il ressortait, me giflait le visage avec sa bite et rerentrait a fond dans ma bouche.
Je commen�ais a fatiguer, il a surement du le sentir puisqu'il a acc�l�r� le mouvement, je me pr�parais a l'avaler, il aimait bien me donner sa semence � boire.

Au lieu de cela, je l'ai vu attraper un petit pain (rendez vous compte il m'avait pr�par� un petit dej) avec du Nutella dessus et � tout juter contre. Il me l'a tendu en me disant : m�che bien salope, r�gale-toi.
Je l'ai mang� tout doucement en le regardant dans les yeux et en m�chant bien.

Il s'est lev�, m'a dit qu'il m'avait ramen� des affaires, je devrais �tre pr�t ce soir, habill� avec ce qu'il m'avait rapport�, il avait un important diner o� je devais �tre l�. Il passerait me chercher � 18H.
Il est parti, j'ai pris mon temps pour sortir du lit, me suis douch� et suis all� voir ce qu'il m'avait pr�par�.

Maitre, aime autant m'habiller en homme qu'en femme, tout d�pend de ce que nous allons faire.
L� il y avait une longue perruque blonde, des bottines rouges, un string en cuir rouge, fendu sur le cul, mais suffisant pour enfermer ma bite, des bas r�silles noir, avec la couture noir derri�re, ainsi qu'une sorte de portes jarretelles toujours en cuir rouge, digne des plus grandes actrices porno.
C'�tait sur, ce soir, je serrai la pute de mon maitre.
Je me suis enti�rement ras� les jambes, l'anus et ma maigre barbe du visage.

Une fois habill�, je me suis regard� dans le miroir, on ne pouvait m�me pas penser que j'�tais un homme, juste un trou � fourrer.

17H30, je me suis mis � 4 pattes dans l'entr�e, cul tourner vers la porte, comme mon maitre aime que je sois.
Je pr�f�re �tre un homme, mais maitre choisi.

18h, la porte s'ouvre, il entre, j'entends un sifflement d'admiration, il ram�ne d'autre v�tement, un pantalon de cuir noir, super moulant, que je dois enfiler par dessus le reste, si moulant qu'on peux voir a travers le serpent des jarreti�res et mm le petit plug qu'il viens de m'enfoncer dans le cul, j'enfile un manteau, qui h�las ne cache rien de ma fonction et nous sortons.

je vais pour monter dans sa voiture, mais il me dit que je dois aller chez lui en m�tro, pour sentir le regard des gens sur moi...
Je suis das le m�tro, c l'heure de pointe, nous sommes tous �cras�s les uns contre les autres, je sens des regards appuyer, j'avoue j'ai un peu honte, mais d'un cot� c'est excitant.
Soudain, une main se plaque sur mes fesses et commence � les palper, je fais mine de r�sister, mais elle reste en place, bient�t rejointe par une deuxi�me. C'est qu'il m'excite le con. Une station, le m�tro s'arr�te, je me dis qu'il va descendre, mais non, il profite de la cohue de la mont�e descente des passagers pour ma coincer dans un coin, je suis dans l'angle et ce n'est plus une main que je sens frotter mes fesses, mais un sexe dur comme la pierre.

Je d�cide de l'aguicher un peux et fait tout doucement bouger mon bassin contre sa bite, profite des acc�l�rations pour me plaque contre elle. JE sens son souffle dans mon dos.
Nouvel arr�t, �norm�ment de monde sur le quai, nous sommes �cras�s les uns contre les autres, je sens nettement une barre contre mon cul, et voila qu'il me retourne et m'agenouille de force dans le m�tro, personne n'a rien vu, il a un grand manteau sorte de caban qui me cache. Je commence un peu � m'affoler. Je n'aurais peut �tre pas du l'exciter, et il faut toujours que j'arrive chez mon maitre.

J'ai la t�te contre son pantalon, a hauteur de sa bite, il appui son entrejambe contre mon visage, j'essaye de tourner la t�te mais il la tient fermement.
Si vous connaissez le m�tro de paris, vous savez qu'il n'est pas rare que celui ci s'arr�te, ou que la lumi�re s'�teigne pendant quelques minutes.
Voil� ce qui s'est pass�, nous nous retrouvons dans le noir, certaines personnes crient, d'autres soufflent exasp�r�s, moi j'aimerais respirer, j'ai une bite inconnue au fond du gosier qui commence � grossir et � vouloir me baiser la bouche. J'essaye de le repousser avec mes mains, mais il m'�crase contre le fond et me bouche le nez, je suffoque, cherche mon souffle. La lumi�re revient. La bite reste en place, il me laisse respirer, mais continu � essayer de baiser ma bouche, le train repart, une brusque acc�l�ration lui fait perdre l'�quilibre, il recule, je respire.

Erreur, le voil� qui �crase sa bite contre ma bouche, la for�ant a rentrer, il me fou un coup de genoux dans le torse, pas fort, mais suffisant pour me faire chercher mon souffle, il rentre d'un coup, fais 3/ 4 allers retour, et explose silencieusement sur mon visage. Le train s'arr�te, les portes s'ouvrent, il se retourne et descend, je suis a genoux dans un angle du m�tro, le visage d�goulinant de sperme, avec je crois tout le monde qui peux me voir. Rouge de honte, je me rel�ve, me retourne, m'essuie tant bien que mal, heureusement la prochaine est la bonne, je serai arriv�.

En marchant dans la rue, je baisse les yeux, et le visage, marche vite jusqu'a chez mon maitre, sonne, celui ci ouvre la porte, et souriant me voyant le visage avec encore du sperme au coin de la bouche et dans les cheveux, me dis : alors tu as aim� salope ?

Je me mets � genoux devant lui, et suis bien forc� d'admettre que je bande comme un fou et ai le cul tout mouill�. Il est ravi, m'explique que ce soir il a des invit�s, un repas d'affaires extr�mement important et que je devais �tre bien soumis pour lui, le train n'�tait qu'un test, c'�tait un de ses amis qui devait v�rifier que j'�tais "pr�te".

20h sonne, je suis dans sa chambre, les yeux band�s et une nouvelle laisse autour du cou.
J'entends ses invit�s arriver, vu le nombre de voix, ils doivent �tre une dizaine. Peut �tre 20 minutes plus tard, j'entends la porte s'ouvrir, quelqu'un s'approcher et tirer sur la laisse, des commentaires flatteurs ou carr�ment grossier saluent mon arriv�e, on me met sous la table, m'enl�ve le bandeau et me dis suce.

Je vois douze personnes. Pendant ce temps au dessus ils continuent de parler affaire. J'ai finis de sucer mon premier qui vient de me tapisser la bouche de sperme, me dirige vers le deuxi�me, le prend en bouche, essaye de faire de grand mouvement, soyeux et profond mais voil� que quand il va jouir il repousse ma bouche, se l�ve, fais je ne sais quoi, et ce rassoit.

Je passe au suivant, ca m'a bien pris une heure de les sucer tout les douze, et curieusement, mis a part le premier, aucun n'� �jacul� dans ma bouche.

Maitre me siffle, je sors de dessous la table, il me remet mon bandeau sur les yeux, me fais lever, je suis debout, je sens tout les regards sur moi. Puis il me penche contre la table, attache mes pieds a chaque pied de table, je ne peux plus bouger, entrav�, je ne vois rien, sinon le souffle rauque de douze hommes ayant envie de baiser.
Maitre dit : elle est � vous, mais n'oubliez pas.
N'oubliez pas quoi ?

Je ne comprends pas, d'ailleurs je n'ai pas le temps de beaucoup y r�fl�chir qu'un gland p�se contre ma rondelle, et d'un coup me d�chire les entrailles, je hurle sous le coup, mais une bite se met dans ma bouche et me force a me taire.

Je ne sais combien de temps ca a dur�, mais quand enfin le dernier sort de mon cul, j'ai l'impression d'avoir l'anus distendu, les jambes flageolantes, le souffle coup�, de m'�tre fait enculer par une arm�e enti�re.

Mais sans une seule goute de sperme, mon maitre me rel�ve, je n'arrive pas a marcher, il me fait mettre a genoux, et l� sous les commentaires salaces de ses invit�s me donne a la cuill�re tout le sperme gicler durant la soir�e, je ne sais combien il y 'en a, il prend son temps des fois, en fait des plus petites que d'autres, ou alors verse carr�ment dans ma bouche, ma seule r�gle et de sourire, toujours sourire.

Je m'applique, j'aime mon maitre.

Conkest

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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