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Un soir de d�bauche
Ca s'est pass� lundi soir. J'avais convenu d'aller soulager un habitu� - un quinqua bien b�ti - qui raffole de ma bouche. Il me conna�t bien: il sait que s'il me gaze un peu avec du poppers je serais sa salope bien appliqu�e. Pas que j'en ai absolument besoin, mais... c'est un plus qui fait mouche. Et il sait �galement qu'il va me chauffer rien qu'en invitant 1 ou 2 mecs pour me partager. Quand il fait �a il me bande les yeux d�s que j'arrive et je comprends tout de suite que je vais bien m'amuser... J'aime bien que ma bouche soit ainsi donn�e en p�ture � quelques queues bien juteuses. Bref j'�tais assez cho, d'autant plus que j'avais pass� une partie de l'apr�s-midi au bureau � mouiller mon boxer en lisant des r�cits gay que j'aurais bien aim� pouvoir vivre. Je pr�voyais de faire durer le plaisir en allant draguer en ext�rieur pr�s des facs apr�s cette mise en bouche...
1/2h avant l'heure convenue, je l'appelle pour confirmer. H�las, il �tait trop fatigu� et pr�f�rait renoncer... Ma motivation s'�croulait d'un coup, aussi d�cidais-je de quitter le bureau et d'aviser. D�s que j'ai mis le nez dehors, mes hormones ont repris le contr�le: le ciel �tait clair, la lune ne laissait appara�tre qu'un petit quartier blafard, ce qui pr�sageait des sous-bois bien obscurs.. J'adore l'obscurit�: elle masque ma rondeur qui ne joue pas toujours en ma faveur, et il n'y a rien qui m'excite plus que de t�ter la queue d'un vrai inconnu. Au fait j'ai oubli� de me pr�senter: je suis un bear lope de 90kg, blond, aux yeux bleus, moyennement poilu. Ceux qui aiment mes rondeurs trouvent en g�n�ral que j'ai une belle petite gueule.
Je suis donc parti rejoindre mon terrain de chasse. Il faisait doux, et j'avais de bonnes chances d'y trouver les mecs chauff�s par l'abstinence d'un week-end en famille. Sur place, quelques voitures gar�es, confirmation que la soir�e ne serait pas infructueuse.
Il faisait bien sombre, comme j'aime... en entrant dans le bois il y avait les habituels ind�cis plant�s l� comme des arbres. Je jaugeais un peu ces mecs d'un regard bien appuy�, des fois que l'un d'eux me reconnaisse. Je me suis enfonc� dans le bois, dans l'obscurit� excitante. Je me suis post� sur un passage fr�quent�, � proximit� d'un fourr� qui autoriserait un peu d'intimit� si jamais un timide passait par l�. J'ai commenc� � me masturber un peu histoire de bien me repr�senter le plaisir que j'allais procurer � une queue. Personne. j'ai d�cid� de me remettre en mouvement plus avant dans le bois.
Au bout de quelques minutes j'ai distingu� une forme sombre sous quelques arbres, je me suis approch�... Le mec ne fuit pas, il avait d�j� sorti sa queue. Il ne bandait pas trop mais les grosses veines saillaient d�j� bien sous mes doigts curieux. Son gland �tait bien d�calott�, sa queue demi-molle avait des proportions bien app�tissantes: ce qui d�passait du pantalon encore ferm� �tait long comme une main. Comme il n'�tait pas bavard, je l'ai juste gratifi� d'un : "mmmmmm...." assez �loquent et je me suis accroupi pour me retrouver face � l'objet de mes convoitises.
Je l'ai donc fait durcir en douceur, avec amour, dans ma bouche. J'ai commenc� par recueillir la goutte de pr�mices qui per�ait � son m�at, puis j'ai poursuivi en flattant son gland de mes l�vres humides. Ensuite, j'ai cal� mes l�vres sur sa hampe, et les ai fait glisser jusqu'� la base de sa queue, faisant ainsi plonger son gland dans ma gorge. Apr�s cette pr�sentation, pour nous exciter tous les deux un peu plus, je lui ai promis: "Tu vas prendre ton pied bien � fond...". C'est tellement bon de sentir une queue se durcir subitement en prenant du volume, juste avec quelques gestes et une petite pr�diction: A cet instant, il savait que je n'allais pas le l�chouiller 2 min. avant de le planter l�, et moi je savais que j'�tais engag�, que maintenant je devais honorer ma promesse et lui procurer le plus d�licieux des plaisirs.
Je me mis donc � t�ter sa queue avec application, guettant avec soin ses r�actions afin d'insister sur ce qui lui procurait le plus de plaisir. J'�coutais avec envie sa respiration devenir irr�guli�re, ses premiers g�missements timides, et �a m'excitait terriblement.
Au bout de qq minutes, un mec s'est approch�, a commenc� � nous tourner autour, toucher par-ci par-l�. Il a sorti sa queue, mais il n'a pas chercher � prendre place: il nous caressait l'un et l'autre, gentiment. Un moment j'ai senti comme une odeur chimique: il s'amusait � balader une bouteille de poppers sous la queue que je t�tais. Je n'ai pas r�sist� � la tentation: je le lui ai emprunt� pour me gazer comme il faut, en pr�cisant aux deux mecs que comme �a, j'allais �tre leur petite salope bien gentille. Mon coeur s'est emball�, j'ai senti un serrement dans le ventre accompagnant ce soudain besoin physique d'avoir cette queue en moi, de recevoir son jus dans ma gorge. Mes mouvements se firent plus marqu�s, faisant plonger son gland au plus profond de ma gorge, serrant bien fort sa hampe tout en prenant soin de faire mes dents discr�tes, sauf pour mordre d�licatement sa queue pour bien montrer combien j'avais envie de la manger. Ca n'a pas rat� le mec a rapidement g�mi plus fort, sa respiration devenant haletante. Sa queue s'est subitement raidie � rompre, et j'ai senti les salves de son plaisir envahir ma bouche. Je me suis fais fort de lui tirer jusqu'� la derni�re goutte de son nectar, bien au fond dans ma gorge.
J'ai ensuite voulu m'attaquer au deuxi�me mec. Il m'a directement gaz� lui-m�me, en insistant sur la dose. �a m'excitait bien car j'ai pens� qu'il me voulait bien lope pour faire sur lui la repr�sentation � laquelle il venait d'assister. Il avait une �norme queue bien raide, avec un gland encore plus �pais. Mais au lieu de me laisser m'en occuper, il a commenc� � sortir la mienne, � me caresser, d'abord en douceur. Il me re-gazait sans arr�t, j'�tais tremblant, et il a commenc� � jouer avec mes couilles. D'habitude, je ne me laisse pas sucer, ni encore moins toucher les burnes, que j'ai trop sensibles: il en faut peu pour me faire mal. J'�tais trop d�fonc� par le poppers pour faire autre chose que le laisser faire.Rapidement, il les a entortill� � l'aide de mon boxer. C'�tait un peu douloureux, mais �a allait encore. Plus �a allait, et plus il les torturait, m'infligeant des douleurs de plus en plus vives. Il m'interdisait d'approcher mes mains, d'abord en les repoussant, puis en accentuant la pression si j'essayais: j'�tais � sa merci.... J'ai n'avais plus d'autre choix que de subir sa torture, le suppliant au bout de quelques minutes d'�tre doux, de ne pas me faire trop mal, que je ferais tout ce qu'il demande, que je serais sa petite pute soumise. J'�tais partag� entre le besoin pressant de me lib�rer de son �treinte douloureuse et l'excitation procur�e par cette exp�rience nouvelle, ainsi que par la tournure que pourraient prendre les choses s'il d�cidait de me faire honorer mes promesses: mon cul n'a servi que 3 fois et la d�rouille serait s�v�re s'il d�cidait de me prendre. Finalement, apr�s avoir jou� quelques longues minutes, il est parti, me plantant l�, avec les burnes douloureuses. Je crois bien que j'ai �t� trop chochotte avec lui...
Je suis retourn� en direction de l'entr�e du bois, tout doucement, pour laisser le temps � mes couilles de se remettre de leur calvaire. Je ne voulais pas trop tra�ner quand m�me, car le bruit d'une voiture, suivit de celui du claquement d'une porti�re, m'indiquait un arrivage de bite, et je ne voulais pas la laisser si facilement aux ind�cis qui grouillaient � l'entr�e du bois. Je suis rapidement tomb� sur le nouvel arrivant, qui avait l'air bien cho: il s'est mis dans l'ombre et attendait visiblement que je m'approche.
J'ai commenc� � toucher la zone convoit�e et ai constat� qu'il y avait du potentiel... Sa queue molle descendait assez bas dans son pantalon, promettant un bel organe une fois �veill�. La simple �vocation de l'int�r�t que je portais � ce que contenait ses v�tements pendant que je le caressais l'a fait g�mir. Rien de tel pour exacerber mes envies! Il m'a alors sorti son matos, confirmant les premi�res impressions: une queue qui mi-molle faisait d�j� 18-20cm et �tait d�j� �paisse. Je ne l'ai pas fait attendre et ai attaqu� sa tige avec avidit�, afin de lui faire comprendre que son morceau ne me faisait pas peur. Ce mec l� �tait un vrai d�lice: il g�missait bien, je l'entendais dire pour lui des trucs genre "mmmh c'est trop bon" bref tout ce que j'aime, qui me rend bien lope et encore plus appliqu� sur ma besogne. Il m'a gaz� aussi un peu, et il n'a pas regrett�. J'avais peine � respirer tellement son chibre �tait �norme, occupant toute ma gorge bien avant d'�tre enfonc� � la garde. Mais je pouvais pas m'emp�cher de recommencer sans arr�t, tellement �a le mettait dans tous ses �tats. j'ai cravach� une petite demi-heure avant d'obtenir sa pr�cieuse s�ve... Pendant ce temps, 2-3 mecs sont pass�s autour, attendant leur tour. Mais une fois fini, j'�tais en nage, plus essouffl� qu'apr�s 1/4 de tapis de course, le coeur cognant � rompre. J'ai suppli� pour une petite pause avant d'attaquer celui qui �tait rest� pour prendre son tour.
Ce mec l�, bof, sentait pas trop bon, ne me plaisait pas des masses pour une pipe, et je l'ai suc� un peu quand m�me, tout doucement, pour pouvoir r�cup�rer. Mais j'�tais pas assez salope pour bien faire, le coeur n'y �tait pas.. Au bout de dix minutes un mec est arriv� � c�t�. J'ai tendu une main vers son paquet pour lui montrer que je n'�tais pas indiff�rent. En fait n'importe quel autre mec que celui que j'avais en bouche m'aurait excit� plus. J'ai j�t� un oeil: c'�tait le mec pr�c�dent. Je lui ai fait remarqu�: "tu as d�j� envie de remettre �a?" ce � quoi il a timidement r�pondu que oui.... je suis donc revenu sur sa queue tellement d�licieuse, d�daignant celui qui ne me plaisait pas trop, qui s'est poliment �cart� quelques minutes. Le mec � la belle queue avait bien remarqu� dans quel �tat il m'avait laiss� quelques minutes plus t�t, et il a eu l'extr�me gentillesse de venir vite. Comme on savait �a tous les 2 implicitement en commen�ant, je me suis appliqu� sans compter mes forces, afin de ne pas lui faire une pipe au rabais. Il a donc vraiment aim� cette deuxi�me visite.. Lorsqu'il a joui, je m'accrochais comme si ma vie en d�pendait � sa grosse queue pour lui tirer les derni�re gouttes de son plaisir.
Pour finir, le mec que j'avais pas trop envie de t�ter est revenu se caler derri�re moi, me caressant. J'�tais g�n� de lui avoir refus� ma bouche (c'est rare...). Comme depuis quelques temps �a me travaille, j'ai commenc� � me cabrer, lui faisant comprendre que si ma bouche n'�tait plus disponible.... mon cul ne d�daignerait pas une visite. Je lui ai expliqu� que je ne l'ai fais que 3 fois, en appartement. et qu'il eut l'avoir s'il sait s'y prendre en douceur, mais que j'ai vraiment envie de me faire ramoner. C'est vrai qu'� force de lire des r�cits bien chauds, j'ai commenc� � me dire que la meilleure fa�on d'aimer se faire prendre, c'est encore de passer � la casserole s�rieusement pour faire le passage. Il m'a emmen� dans un coin plus tranquille, et l� il a fallu que je me d�s-sape. Il a fallu quelques minutes pour pr�parer et trouver une position pour entrer, mais �a a �t� assez rapide. J'�tais � genoux par terre, et pass� les premi�res minutes d'incertitude, j'ai commenc� � appr�cier sa besogne, � pousser moi-m�me vers sa queue pour l'avoir plus profond, plus fort... Il a d� me limer une bonne 1/2h....Ce n'�tait pas encore l'extase, mais... j'ai h�te de renouveler cette exp�rience, j'y prends go�t!
Apr�s cette soir�e de d�bauche, maintenant que mon cul devient praticable, je crois que je m'approche de ce que doit �tre une lope accomplie. Je ne manquerais pas de venir vous raconter quelques-unes de mes soir�es de d�bauche ici.
mmmm44
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