Un soir de gr�ve 2Enfin le terminus. Il faut dire que je n'ai rien vu du voyage, tout � mon souvenir de ce que je venais de vivre avec Matthieu. J'ai trouv� une place assise, et mes yeux sont rest�s riv�s sur sa carte de visite. Comment ai-je fait pour qu'un homme, en si peu de temps, me laisse sa carte comme �a, dans ma poche. Il m'a fait un effet boeuf (et mon boxer tout humide de ma semence me le rappelle � chaque mouvement), mais qu'ai-je fait pour qu'il me laisse toutes ses coordonn�es en cadeau ? C'est l'esprit agit� de cette question que je chemine vers mon domicile. Une fois celui-ci atteint, je me glisse sous la douche, histoire de remettre un peu d'ordre dans mes id�es et effacer (a regret) les traces de notre rencontre. Pourtant, en sortant de ma douche, une seule id�e m'obs�de : revoir Matthieu, et vite. Je me pr�cipite sur mon portable, saisit la carte et commence � composer son num�ro. Mais juste avant le 10�me chiffre, ma main s'arr�te net !!! " r�fl�chis avec ta t�te imb�cile !!! Pas qu'avec ta queue !!! Il est chez lui, en famille, tu vas le d�ranger, le g�ner ". Je termine quand m�me le num�ro pour l'enregistrer dans mon r�pertoire. Voil�, maintenant, je pourrai l'appeler quand je le souhaite. Apr�s un diner frugal, je pars bouquiner tranquillement dans ma chambre, et comme 9 fois sur 10, c'est la chute de mon livre sur le visage qui me rappelle que je me suis encore endormi en lisant. La nuit est agit�e de r�ves tous plus �rotiques les uns que les autres, et je me r�veille pleins des mille et unes caresses que Matthieu m'a fait dans mon sommeil. Apr�s une douche rapide et un petit d�jeuner exp�di�, je cours vers mon cher RER. Je le regarde d'un autre oeil ce matin. D�j� il n'est plus en gr�ve, et depuis hier, je trouve l'endroit " sympa ", bizarre. Le trajet se passe sans encombre majeur, et j'arrive � mon bureau. La bise � Jacqueline de la comptabilit�, " oh belle cravate Chef... " Et me voila devant mon �cran.
" Et si je lui envoyer un mail, comme �a, il aurait mon adresse ". " Bonjour, suite � notre rendez vous d'hier, je vous confirme tout l'int�r�t que nous portons � l'avant projet que vous m'avez pr�sent�, projet visant � rapprocher les hommes de fa�on significative dans la jungle urbaine des transports en communs. Sign� Romain J... " Je clique sur Envoyer, et soupire d'aise et de crainte � la fois, esp�rant qu'il lira et comprendra mon message. Je me mets � mes diff�rentes t�ches quand retentit la sonnerie qui m'annonce un nouveau mail. Je clique sur Ouvrir et d�couvre un message de Matthieu !!!
" Monsieur, L�, le doute n'est pas permis, il me donne rendez vous, et seul � seul. Mon coeur bat la chamade, je sens des bouff�es de chaleur qui montent, et cela doit se voir parce que ma coll�gue me demande si je vais bien. " Oui, oui, ne t'inqui�te pas, j'ai mang� un truc hier qui ne passe pas, je vais prendre l'air 5 minutes et je reviens. " Je prends ma veste et sors rapidement de l'immeuble. Je saisis mon t�l�phone, et le coeur battant, j'entends la sonnerie sur le t�l�phone de Matthieu.
" Matthieu T., bonjour !!! " Il raccroche aussi vite qu'il a r�pondu. Mon Dieu, ce soir, mais je ne suis pas...enfin qu'est ce que j'avais de pr�vu...c'est rapide pour le coup..... Je m'assieds sur le trottoir tout chamboul� par ce rendez vous si rapide, histoire de regrouper un peu mes esprits. " Tu n'as rien de pr�vu ce soir, tu vis seul mec, rappelle toi, et ce soir, tu as un homme de r�ve qui te donne un rendez vous pour sans doute l'un des meilleurs moments de ta petite vie, alors, arr�te de te prendre la t�te et vas y....Et ram�ne une bouteille de vin, il aime peut �tre �� ". Ma voix int�rieure est parfois tr�s dure avec moi, mais je l'�coute souvent, parce qu'elle est de bon conseil en g�n�ral. Apr�s cette mise au point interne, je remonte � mon bureau, trouvant sur mon PC le mail de Matthieu avec une adresse et un code de porte. Je v�rifie illico sur Mappy o� cela se trouve et comment y aller. C'est sur ma ligne, et c'est une adresse priv�e !!! Il m'invite chez lui on dirait. Allez, calme toi, respire, voil�, maintenant tu bosses et tu verras bien ce soir. La journ�e ne semble pas en finir, mais enfin, je peux quitter mon poste. Je file chez un caviste que je connais et lui demande une bonne bouteille de blanc pour une soir�e intime. Puis je vais prendre mon RER pr�f�r�, descend � la station indiqu�e dans le mail et me rends � l'adresse de Matthieu. Je suis un peu en avance, et je vois sur le trottoir un monospace charg� de bagages, avec 2 bambins a l'arri�re, et Matthieu et une ravissante jeune femme qui lui d�pose un baiser sur la bouche. Je me cache derri�re un arbre. Elle monte, d�marre puis s'�loigne en faisant un signe de la main. Elle dispara�t au coin de la rue. Matthieu pousse la porte coch�re et j'en profite pour le rejoindre. " Bonsoir " Il se retourne, me gratifie d'un sourire ravageur " Bonsoir Romain, je t'attendais ". " Ta famille est partie pour les vacances ? " " Oui, mon �pouse souhaite se mettre au vert dans la maison de mes parents en Sologne, elle part une semaine avec les enfants." " Ah si peu...oh excuse moi, je suis d�sol� " " Allez, monte " me dit il " je crois que nous avons un dossier en cours que je dois reprendre en main ". Dans l'ascenseur, Matthieu se tient sagement � mes c�t�s. Mais d�j� son parfum m'entoure, et je sens mes sens s'animer s�rieusement. Il me pr�c�de sur le pallier, ouvre la porte et me laisse entrer. C'est un appartement cossu, moderne, typique du jeune couple qui a tout de suite bien d�marr� dans la vie. La porte se referme. " C'est pour nous la bouteille ? " " Ah oui c'est pour toi et moi, maintenant ou quand tu voudras " dis je en lui remettant. " On verra ca plus tard " dit-il en la d�posant sur la console de l'entr�e, " pour l'instant, j'ai faim, pas soif ". Il se place face a moi et doucement mais surement se rapproche et me pousse contre le mur. Ne pouvant plus reculer, je le sens se plaquer contre moi et poser ses l�vres sur ma bouche. Ah mon Dieu qu'elles sont douces. Un baiser pos� d�licatement pendant que de ses mains, il enserre mon visage. Je sens sa langue qui se glisse entre mes l�vres et j'ouvre les miennes pour l'accueillir.Le baiser se fait alors plus profond, plus intense, plus viril et dominateur. Il me fouille de sa langue, et je m'abandonne � son baiser plein de fougue. Ses mains glissent de mon visage et me caressent de partout. Je pose les miennes sur ses hanches et le plaque contre moi, sentant sa virilit� se dresser dans son pantalon, fi�re et puissante. Tout en m'embrassant Matthieu commence � m'effeuiller. Ma veste tombe tr�s vite et je sens que les boutons de ma chemise sautent les uns apr�s les autres. Les pans sortent de mon pantalon, et les mains de Matthieu viennent me p�trir les pectoraux. Je g�mis de plaisir, de d�sir quand il me pince les t�tons dress�s. Ma chemise rejoint tr�s vite ma veste sur le sol de l'entr�e. Nous n'avons toujours pas fait un m�tre depuis que je suis entr� chez lui. Je suis torse nu, le pantalon d�form� par la plus grosse �rection que je n'ai jamais eu jusqu'� pr�sent. Il sait m'exciter, me stimuler. Sa main se plaque sur mon sexe raide et une lente caresse sensuelle, torride s'applique � me masser la verge a travers le pantalon. Je sens contre moi son corps chaud � travers ses v�tements. Lui aussi a une �rection magnifique dans son pantalon. J'ose ma main sur sa bosse et sens un sexe qui me semble �norme et tellement dur. Pendant que je soup�se son sexe il d�fait ma ceinture d�grafe mon pantalon et baisse ma braguette. Il l'�carte et d�voile mon boxer compl�tement distendu. Mon pantalon glisse sur mes mollets, je vire mes chaussures, je suis presque nu, l�, dans l'entr�e. Matthieu glisse alors sa main dans mon boxer et s'empare de mon sexe, d'une poigne virile qui me fait comprendre qui sera le maitre dans nos �bats. Il entame une lente masturbation, comme hier dans le train. Je ferme les yeux de plaisir tout en malaxant sa bosse. Sa main coulisse sans heurt sur ma verge. J'aime cette force m�l�e de douceur sur mon sexe. Je sens que mon boxer glisse sur mes hanches puis mes fesses et finit par choir sur le sol. Me voila nu, offert � son d�sir et son regard qui me transperce. Il me prend par la main et m'emm�ne dans le s�jour. Il s'installe sur le canap�, me laissant debout face � lui. Il se redresse, m'attire a lui en me prenant par les hanches. Je sens sa main qui doucement me caresse les fesses pendant que l'autre reprend la masturbation entam�e dans le couloir. Je me laisse totalement guider. Je suis un jouet entre ses mains. Il se penche alors vers mon sexe et le lape avec une sensualit� jamais connue � ce jour. J'ai des frissons de plaisir partout dans le corps. Je g�mis, caresse sa nuque et je sens mon gland dispara�tre dans sa bouche. Il commence � coulisser le long de ma verge, entamant une fellation de r�ve. Je plane compl�tement pendant que Matthieu s'active sur ma queue. Je sens monter la jouissance, je le ralentis. Il faut que cela dure toute la nuit. Pendant qu'il me suce, Matthieu part explorer ma raie. Il immisce ses doigts dans ma raie et glisse vers ma rondelle. Je sens son majeur qui la caresse, la travaille un peu, puis me p�n�tre. Je pousse un r�le de plaisir sous la caresse buccale et anale. Sentant que je vais jouir s'il continue ainsi, Matthieu lib�re ma verge, et m'invite � m'agenouiller. Je m'ex�cute. " Vas y, dessape moi " me dit t'il dans un souffle. Alors sans retenue, je me jette sur ce corps tant d�sir�. Sa chemise vole en un instant, d�couvrant un torse dessin�, sans un poil, avec deux magnifiques petits t�tons bruns, gros comme une pi�ce de 2 centimes, mais avec une pointe ferme que mes doigts malaxent d'envie. Ma bouche s'attarde sur ses pectoraux, ma langue ne se lasse pas de jouer avec ses deux pointes d'�b�ne au bout des t�tons. Je respire � plein nez son parfum frais, citronn�. Je glisse sur ses aisselles qui fleurent bon le d�o de qualit� mais �galement une l�g�re pointe de transpiration, le rendant encore plus viril, excitant, d�sirable. Mes mais glissent alors sur son pantalon et rapidement celui vole au milieu du salon avec ses chaussures. Il est face � moi, juste en slip, un slip blanc a poche CK, le mettant magnifiquement en valeur avec son sexe band�. Je glisse ma main dans la poche, cherchant la fente qui me fera acc�der � son sexe. Je vais enfin pouvoir le toucher, le caresser. Je rencontre sa touffe, drue, �paisse. J'ai toujours aim� les toisons pubiennes, puis rapidement je sens son sexe le long de mes doigts. Alors n'y r�sistant plus, je lui arrache le slip pour l'avoir nu devant moi. Sa bite se d�voile d'un coup, claque sur ses abdos fermes et dessin�s. Une bite superbe, de 20 cm, droite comme un I, un vrai pieu surmontant une paire de couilles lourdes, bien viriles, poilues, des vraies couilles de mec. Je me penche alors sur ce sexe tant d�sir� et le prend en bouche pour l'honorer comme il se doit. Je suis agenouill�, entre ses cuisses et je pompe cette bite avec application et d�lectation. Je la fais coulisser dans ma bouche jusqu'� l'avaler toute enti�re. J'aime son gout l�g�rement sal�, le parfum d'homme excit� qui se d�gage de sa toison. Je m'applique � lui donner tout le plaisir qu'il m'a d�j� offert hier et ce soir. Sa main se fait plus pressente sur ma nuque, il a la t�te rejet�e en arri�re les yeux mi clos. Ma pipe lui plait dirait on. Il accompagne mon hochement de t�te de sa main ferme tout en me caressant les cheveux. Je le suce � fond pendant 10 bonnes minutes, en alternant les gorges profondes, la pompe du gland, le l�chage ou le gobage de ses deux grosses couilles. Il se d�tend de plus en plus g�missant de plus en plus fort, murmurant mon pr�nom avec une intensit� grandissante. " Arr�te toi, je vais jouir sinon... " Me dit il le souffle court, luisant de sueur Je l�che � regret cette verge luisante de salive. Il me rel�ve et me retourne, empoignant mes fesses a deux mains et les �carte sans m�nagement. " Penche toi et montre moi ta rondelle ". Aussit�t je m'ex�cute, offrant mon cul � sa langue experte. Elle pointe et commence un l�chage de 1er choix. Je sens peu � peu mon petit trou se d�tendre et sa langue s'introduire plus avant dans mon intimit�. Une fois encore, il sait me mettre en extase et je m'abandonne � lui. Il se rel�ve, la bite toujours raide, enfile une capote et vient se coller contre moi. Je sens son pieu le long de ma raie, il le fait monter et descendre, frottant parfois son gland sur ma rondelle sensibilis�e par sa langue. Ce frottement dure quelques instants quand sans me pr�venir, il me transperce d'un coup de queue et me d�chire le cul. Une brulure insupportable m'envahit le ventre en m�me temps qu'un plaisir intense. Je crie de douleur et de surprise sous cet assaut anal brutal. Il vient de m'enculer comme un m�le en rut, et me prend sans m�nagement. J'ai mal mais j'adore sa bestialit�. Il me saisit les hanches et entame un limage profond et rapide, histoire de bien me chauffer le fourreau. Je cherche un point d'appui pour r�sister � ses coups de butoir dans mon cul et la seule possibilit�, c'est la baie vitr�e. Je plaque mes mains sur la vitre et courb� en deux, pendant que je fais face � Paris, je me fais enculer par Matthieu comme un sauvage. Lentement il ralentit la cadence de ses assauts, comme s'il avait voulu me montrer qui �tait le maitre du jeu et me soumettre a son bon vouloir. La douleur a fait rapidement place � un plaisir sans nom et sa queue me ramone divinement bien, tout en profondeur, en longueur et en volupt�. Je le sens m'envahir au fond de mon ventre et son gland me frotte sur toute la longueur. Il me lime lentement maintenant, profitant pleinement de ma croupe offerte et d�di�e au plaisir. Dans le reflet de la vitre, je le vois prendre son pied � me caresser la nuque, le dos, � saisir ma queue pour la branler et la faire rebander. Le temps est suspendu, et seul compte le mouvement de son corps contre et dans le mien. " Tu aimes ? " me demande t'il en se couchant sur mes reins, " ca te plait de te faire prendre comme ca ? " " J'adore ca Matthieu, j'aime qu'un homme me prenne virilement, comme tu l'as fait. " " Alors viens sur le canap�, je vais te prendre par devant ". Il m'entraine et me retourne, me jetant dos sur le canap�. Il me rel�ve les jambes et sans m�nagement, me p�n�tre directement. Mais l� je suis pr�t et son gland entre sans me faire souffrir. Il reprend ses va et vient dans mon cul, joue avec son gland et ma rondelle. Je sens monter lentement mais surement un orgasme de folie en moi. Je n'ose pas me caresser de peur d'exploser de suite. C'est lui qui prend mes " choses " en main et tout en me limant, il me branle avec une langueur insupportable presque sadique, sachant s'arr�ter juste avant que je ne l�che tout !!! Mais je sens bien que lui aussi est au bord de l'extase, les mouvements de son sexe en moi sont plus saccad�s et d'un coup, je sens sa main se crisper sur ma queue et lui qui m'enfonce son pieu de chair au fond de mon cul. Aussit�t apr�s, un flot de sperme jaillit et emplit sa capote, pendant que de ma queue jaillit un flot saccad� de semence chaude qui gicle sur son torse et le mien, aspergeant nos visages. Il se vide compl�tement dans un cri de jouissance intense et un dernier coup de butoir qui me transperce le ventre, avant de s'effondrer sur moi et de reprendre nos esprits. Le temps semble suspendu, il n'y aucun bruit autour de nous hormis nos respirations qui retrouvent un rythme peu � peu normal. Il se retire lentement, me laissant comme un grand vide en moi. Il me sourit, tendrement, d�gage une m�che de cheveux coll�s sur mon front par la sueur de nos �bats et me d�pose un doux baiser sur les l�vres. " Je vais remettre la bouteille au frais, histoire qu'elle se rafraichisse pendant que nous prendrons une douche ensemble " me dit il � l'oreille. " nous la boirons ensuite � nos amours ... " Romain JM
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