SLINGPas loin de la gare centrale d'Amsterdam il y a un bar � gar�ons que je fr�quente quand je vais dans cette ville pour mes affaires, environ trois fois l'an. Pour cent euros on peut passer une heure avec un gar�on de vingt � vingt cinq ans qui en g�n�ral fait tr�s bien les choses : on se paluche un peu au bar, on passe dans une chambre propre o� il y a une grande baignoire, le gars qui s'est mis � poil et arbore une belle queue t'invite � en faire autant et � entrer dans la baignoire o� il a mis l'eau � couler. Tu rentres dans l'eau mousseuse et parfum�e. Ses mains parcourent ton corps dans l'eau et hors de l'eau. L'eau te vient � la bouche aussi de voir sa queue et ses couilles se balancer � quelques centim�tres de ton visage. Si tu en as envie tu commence � passer un peu ta langue sur le gland qu'il t'offre volontiers tandis qu'il te malaxe les couilles sous l'eau. Le gar�on te s�che avec un grand drap de bain quand tu ressors de l'eau, il te frotte le dos, les fesses, les cuisses, l'entre jambes avec conviction. Tu as une belle �rection Il t'invite � t'allonger sur le lit king size et vous vous enlacez. Il te suce longuement, tu le suces � ton tour. Ces gar�ons viennent de tous les pays du monde, beaucoup sont l� pour leurs �tudes et viennent gagner dans ce bar de quoi les poursuivre. Beaucoup sont h�t�ros, ont une copine. Si tu aimes �tre encul�, ce qui est mon cas, la plupart acceptent de t'enculer moyennant un petit suppl�ment. Il m'entraine dans une partie de l'�tablissement o� je n'ai jamais mis les pieds, dans la cave qui est une vraie cave vo�t�e de briques, ou plut�t un vrai labyrinthe de caves vo�t�es et encombr�es de canalisations courant le long des murs, le tout baignant dans une lumi�re assez glauque. Dans la derni�re cave plus grande que les autres travers�es ou entrevues au passage pend du plafond un �trange objet : quelque chose comme un si�ge en cuir, pendu au plafond par des cha�nes m�talliques. Nous nous d�poilons rapidement, il flatte quelques instant ma queue de la main et il me fait signe de m'installer, ce qui n'est pas si commode, car le si�ge est un peu haut environ un m�tre et se balance Quand je suis dedans pratiquement allong�, la t�te un peu relev�e, il me montre les �triers o� mettre mes pieds, un peu plus haut et les poign�es au dessus de ma t�te. Bien cal� je suis plut�t bien. Mon cul est exactement � la hauteur de la base de la bite d'un mec normal de un m�tre quatre vingt et ma bouche � la hauteur de son gland si sa bite se dresse verticalement et mesure quinze centim�tres. En principe me dit le gar�on quand tues l� dedans c'est pour que tous les mecs qui p�n�trent dans la pi�ce puissent te mettre la bite dans le cul ou dans la bouche. Je ne peux gu�re voir ce qu'il fait mais c'est sans importance, c'est bon. Je ferme les yeux, me laisse bercer doucement par les oscillations du sling et envahir le cul par les mains expertes de Mike. Je ne cherche plus m�me � compter le nombre de doigts qui fourragent dans mon cul, , je sais seulement qu'ils y en a plusieurs qui glissent de plus en plus facilement mon cule se dilatant. Et naturellement j'ouvre mes l�vres quand je sens se poser dessus quelque chose qui ne peut �tre qu'une bite, je l�che, je salive, et suis heureux quand la bite sans violence mais fermement commence � me limer la bouche. De fait je ne sais pas du tout qui je suce mais je m'en fous, je ne sais pas non plus � qui appartient la queue qui vient de remplacer dans mon cul les doigts de Mike ni qui me malaxe vigoureusement les couilles et masse mon p�rin�e, la zone la plus sensible de mon corps. La bite dans mon cul va et vient avec de plus en plus de force, le mec donne de puissants coups de reins qui font bouger mon sling. Mais la position est parfaite, la bite me p�n�tre tr�s profond et je suis envahie de fortes sensations. Sans surprise je sens que je jute en m�me temps que se r�pand en moi la chaleur du sperme jailli de la queue qui me d�fonce. Et je ne suis pas plus surpris qu'une autre queue vienne imm�diatement remplacer la premi�re dans mon cul et encore une autre dans ma bouche. Encore deux queues qui jouissent et l�chent leur jus, des mains �talent sur ma poitrine et mon ventre le jus de la bite qui me limait la bouche et s'est retir�e juste au moment de cracher. Et moi je jouis encore non pas de la jouissance rapide un peu �lectrique qui vient du gland et de la tige mais de la jouissance profonde, sortie des entrailles, et qui se r�percute longtemps dans le corps tout entier. Et les queues se succ�dent, je jette tout juste un oeil, je ne vois rien de celui qui m'encule, j'aper�ois le ventre, le pubis et les couilles de celui qui pr�sente son gland � mes l�vres Je ne pense � rien qu'au sperme qui s'accumule sur ma poitrine je d�couvre qu'en tirant sur les poign�es au bon moment en synchronisation avec les coups de rein de mon baiseur je peux les rendre encore plus efficaces et plus jouissifs. Je jouis presque contin�ment, je perds la notion du temps, je ne sais plus combien de queues m'ont lim� la bouche et le cul. MichelR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |