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Seul en juillet par Joao

Bonjour je m'appelle Bernard j'ai 32 ans, je suis brun, 1m72, 66 kg, les yeux
marrons les cheveux courts et tout bronz�. Je suis seul, mon �pouse est en
vacances avec les enfants en Bretagne. Il fait chaud, il est 20 heures. Je
m'ennuie, les programmes de t�l� ne sont pas int�ressants je d�cide de monter
pour lire un livre, avant de quitter la salle de s�jour, mes yeux tombent sur
une de ces revues de publicit� o� on vend de tout, des voitures des meubles, et
des annonces de mariage. Monsieur cherche femme mignonne etc. Je regarde et je
tombe sur une page de pub pour des messageries. Il y a de tout, h�t�ros,
lesbiennes, travelos, gays, bi, SM.

Je monte dans mon bureau, et l� je regarde une pub pour une messagerie de mecs.
Je me branche sur la messagerie, on me demande un pseudo et une description. Je
tape Homme mari� seul, et comme carte de visite: homme mari� seul ce soir
cherche un mec sympa pour parler. Cela fait 10 minutes que je suis branch�,
quelques message d'autres mecs, les uns compl�tement fous, d'autres deux ou
trois questions puis pas de r�ponses. Je vais quitter la messagerie et lire mon
bouquin, quand un mec me r�pond "salut moi aussi je suis mari� et seul, o� es
tu?" Je lui dis o� j'habite il me dit �tre � 10km de moi, je peux aller chez
lui si je veux. Il me donne son t�l�phone et me dit qu'il va couper. Je prends
son num�ro et j'appelle. Une voix claire me r�pond, sympathique et dynamique,
nous �changeons quelques mots nos pr�f�rences. Il est comme moi mari�, ne
rencontre pas souvent des mecs, il aime des mecs qui ressemblent � des mecs,
bien dans leur t�tes. Comme moi il aime les caresses, les baisers, sucer
l�cher. La douceur et la fougue. Nous sommes en phase. Il me donne rendez-vous
� c�t� de chez lui pour que je ne perde pas il a une voiture une AX blanche.
"Tu peux �tre l� dans combien de temps?" Je lui r�ponds: "Une douche plus le
temps du trajet, je peux �tre chez toi vers 21h." "Ok � tout de suite."

Je prends ma douche, une touche discr�te de parfum, un boxer tr�s moulant, un
jeans noir qui moule mon cul et t-shirt noir aussi. Je saute dans la voiture et
une dizaines de minutes apr�s j'arrive au lieu du rendez-vous. Je me gare sur
le parking et j'attends, pourvu qu'il vienne. Une AX blanche arrive tourne
autour du parking, puis vient se placer � cot� de ma voiture. Un mec blond,
dans les 35 ans, 180 environ bien foutu sort de la voiture, je sors � mon tour,
il a un grand sourire il n'avait pas menti, il me dit: "Alors pas d��u?" Je lui
r�ponds: "Non et toi?" "Moi non plus, tu me suis?" "OK." Il remonte dans sa
voiture je mets le contact il d�marre et me guide par les rues, sa maison est �
300m de l�. Il me d�signe un endroit ou garer la voiture, se gare devant
l'entr�e du garage et sors. Je le rejoins, il ouvre la porte et m'invite �
rentrer. Une grande pi�ce avec des canap�s une table basse et une chemin�e.

- Installe toi, tu veux boire quelque chose?
- Je veux bien.
- Un cognac?
- Oui pourquoi pas?

Il va vers un bar prend deux verres ballon un bouteille de cognac et les d�pose
sur la table basse devant moi. Il sert une bonne dose, puis s'installe devant
moi dans un fauteuil. Il porte un pantalon de toile fine et un t-shirt. Il
�carte les jambes et se cale dans son fauteuil. On commence � bavarder, il est
mari�, il a des enfants, et comme moi il profite des cong�s pour rencontrer des
hommes mari�s. Il aime sa femme mais comme moi il a besoin de faire l'amour
avec un mec de temps en temps. Sans pudeur on �voque ce qu'on pr�f�re quand on
baise. Comme moi il aime d�shabiller une mec le caresser, le l�cher, le sucer
et parfois la sodo mais plus rarement. La premi�re fois qu'il a rencontr� un
mec c'�tait en �t� comme aujourd'hui et il avait vu une affiche pour une
messagerie de mecs. Il en avait envie depuis pas mal de temps et il a saut� le
pas, il a trouv� �a extraordinaire, et d'ajouter qu'il n'y a qu'un mec pour
savoir comment sucer et ce qu'il faut faire pour faire du bien sans avoir �
suivre des conseils.

- Qu'en penses tu?
- Je suis d'accord.
- Alors si tu es d'accord que faisons nous?

Je lui r�ponds qu'il peut venir se mettre � c�t� de moi sur le canap�. Il se
l�ve et viens s'asseoir contre moi, sa cuisse touche la mienne, la tension
monte, je le regarde dans les yeux, il me rend mon regard et approche ses
l�vres des miennes. Un premier baiser timide, il s'�carte un peu, me regarde
sans un mot avec un grand sourire et de nouveaux ses l�vres sur les miennes,
nos langues se rencontrent, cette fois le baiser est fougueux. Je pose mes
mains sur sa poitrine lui caresse les seins � travers le t-shirt, il g�mit.
Lui a pos� sa main sur ma braguette et commence � me masser doucement. Je
commence � bander ferme, ma main descend sur son ventre muscl� et progresse
jusqu'� son entrejambe. Je sens une belle paire de couilles et une queue de
belle taille bien raide � travers le tissus l�ger de son pantalon.

- Viens, me dit il, on va dans la chambre.

Je le suis dans l'escalier, au passage j'ai une vue imprenable sur un cul
muscl� et ferme avec des fesses bien rondes et hautes, pas de ces fesses qui
tombent. D�cid�ment ce mec me pla�t. On arrive dans la chambre, dans les tons
blancs et beiges. Un grand lit et face au lit une commode avec un grand miroir.
Il se retourne me fait face, on �change un baiser o� nos langues se m�langent
pour notre plus grande joie, nos mains courent sur nos corps, nous sommes
plaqu�s l'un contre l'autre, je sens sa queue raide contre la mienne. Il
s'�carte et me dit qu'il va me d�shabiller. Je me laisse faire, il enl�ve mon
t-shirt et me caresse les seins me l�che les t�tons me couvre de baisers. Sa
langue descend le long de mon ventre, il me l�che le nombril lib�rant des ondes
de plaisir. Maintenant il est � genoux devant moi, ses mains pos�es sur mes
fesses me rapprochent de son visage il mordille ma queue � travers le jeans,
ses doigts caressent mes couilles. Je suis bien. Il me regarde et avec un grand
sourire il me dit:

- Voyons ce que tu caches.

Et il d�fait ma ceinture �carte les pans de la braguette, ses mains remontent
sur mes fesses et font glisser mon jeans jusque sur mes pieds. Un petit coup de
sifflet, il me dit:

- Bel engin.
- Merci.

Il d�gage le pantalon, je suis maintenant en shorty moulant devant lui, une
petite t�che au bout de ma queue trahit mon excitation. Il pose ses l�vres sur
ma queue et commence � me mordiller la queue de haut en bas pendant que sa main
malaxe mes couilles. �a dure un moment d�licieux, s'il continue il va me faire
jouir, je lui dis. Il s'arr�te se rel�ve et m'embrasse. Je lui dis: "� mon
tour!" Je fait sauter son t-shirt, mes doigts parcourent son torse, je mordille
le bout de son sein, il aime et murmure un "Oh oui, c'est bon." Je lui t�te son
bout de sein tandis que je pince un peu l'autre, il appr�cie. Je me plaque
contre lui, peau contre peau, il d�gage un parfum d'homme enivrant. Mes mains
courent sur son dos. Il me presse contre lui.

Je bascule mon bassin vers l'avant pour �craser sa queue avec la mienne. Je
m'�carte et � genoux je d�fait sa ceinture, j'ouvre sa braguette, son slip
blanc a du mal � contenir sa queue raide. Doucement je pose mes mains sur ses
fesses et fait glisser son pantalon en caressant ses fesses, ses cuisses. Il se
d�gage de son pantalon. Je pose mes mains derri�re ses cuisses et je remonte
vers ses fesses, mes doigts glissent sous l'�lastique, il g�mit. Mes doigts
effleurent sa raie � la recherche de son intimit�, il remue le bassin simulant
un va-et-vient lent. J'abandonne ses fesses, mes l�vres sur sa bosse, je
souffle � travers le tissu, il ronronne de plaisir.

Je glisse un doigt entre ses cuisses et d�gage ses couilles de son slip; elles
sont bien pleines et pendent un peu. Je prends une couille dans ma bouche la
fait tourner avec ma langue. Il pose ses mains sur ma t�te pour guider ma
langue: "Tu suces vachement bien, c'est bon." Je lui l�che la peau des couilles
juste � la racine en haut des cuisses, l� o� la zone est tr�s sensible. "Ah
putain que c'est bon! Viens on va s'�tendre sur le lit."

Il me rel�ve et me fait coucher au milieu du lit, il vient � mes c�t�s nous
�changeons un baiser furieux nos jambes se croisent, nos corps se plaquent l'un
contre l'autre. Nos mains s'activent, il s'�carte, se met � califourchon et en
me regardant droit dans les yeux il prend mon shorty � 2 mains puis entreprend
de le faire glisser, doucement, lentement. Ma queue est emprisonn�e, maintenant
elle est coinc�e par l'�lastique du shorty, il le fait toujours glisser avec
lenteur. C'est intol�rable et d�licieux � la fois. Soudain ma queue lib�r�e
vient claquer sur mon ventre. Il �clate de rire et me dit qu'il va go�ter ce
morceau. Mon shorty vole dans les airs et d�j� sa langue l�che mes couilles et
remonte le long de ma queue.

Des petits coups de langue, il arrive � mon gland et l� il le gobe. Mon gland
glisse entre ses l�vres, sa langue virevolte autour. Doucement ses mains
massent mes couilles d'avant en arri�re, il commence � me pomper. J'accompagne
avec mon bassin ses mouvements, je sens que je vais jouir il le sent et
s'arr�te. Je pousse un souffle et c'est � mon tour d'attaquer son slip. Je
masse fermement sa queue et ses couilles � travers; il a une trace d'humidit�
au bout de sa queue. Je lui mordille le gland � travers pendant que je serre
ses couilles; il aime. Je le branle un peu il se tortille. Quand je le sens
pr�t, je m'�carte et les yeux dans les yeux, je lui dis: "Enl�ve ton slip et
fait moi bander comme si tu me faisais un strip."

L� calmement avec un sourire enj�leur, il commence � se caresser et fait
glisser lentement son slip. Au moment o� la queue se lib�re, elle vient claquer
sur son ventre. Il rel�ve les jambes pour enlever le slip et me d�couvre sa
rondelle et ses couilles puissantes. Il prend son temps pour me laisser
admirer. Le slip est tomb�, il va pour reposer ses jambes quand je le bloque et
me met � lui l�cher la peau entre les couilles et le cul et en quelques coups
de langue lui arrache des soupirs. Il repose ses jambes, je viens m'allonger
sur lui queue contre queue, nous simulons un va et vient langoureux. Sa mains
glisse entre mes cuisses � la rencontre de ma queue, nous tournons et couch�s
t�te-b�che, nous commen�ons un long 69, de temps en temps on arr�te et on
�change un sourire.

Au bout d'un moment je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir, je lui dis
en cherchant � me d�gager, il continue de plus belle. Mes couilles remontent
deviennent douloureuses, je sens les contractions, j'explose dans sa bouche. Il
continue de me pomper et me vide. Quand je retrouve mon souffle il vient pr�s
de moi et me donne un baiser, il a gard� mon sperme dans bouche, sa langue
pleine de mon foutre tourne autour de la mienne. C'est bon.

Je retrouve ma forme, je vais pour le sucer et le vider mais il me dit non, il
pr�f�re que je le prenne. Il n'en a pas beaucoup l'habitude mais il en meure
d'envie, c'est moi qui lui fait cet effet me dit il. "OK je serais tr�s doux."

Je glisse un oreiller sous ses fesses et commence � lui l�cher le trou, il
g�mit et se tortille. Ma langue tant�t large ou pointue titille son orifice,
lentement son trou s'ouvre. Je glisse un doigt qui rentre sans trop de
difficult�. Je tourne � l'int�rieur et lui masse sa prostate, sa queue fait des
soubresauts. Je glisse un deuxi�me doigt, il me dit d'aller plus doucement, mes
doigts finissent par rentrer, un troisi�me vient rejoindre les deux autres. Il
me dit que deux doigts �a fait un peu mal, je lui dit regarde il y en a trois,
il rel�ve la t�te et regarde, incr�dule, mes 3 doigts dans son cul.

- Je pense que tu es pr�t, on essaye?
- Oui, mais vas y doucement.

Je pr�sente mon gland contre son trou ouvert, je pousse un peu il fait une
grimace mais me dit de continuer. J'avance un peu, son muscle serre, il a u peu
mal. Je lui dis de respirer un bon coup et de pousser. Il le fait et pendant
qu'il pousse je rentre un tiers de ma queue, elle passe le point de r�sistance.
Il pousse un cri me dit qu'il a mal. Je ne bouge plus, j'attends qu'il se
d�tende. Je me penche et lui donne un baiser qu'il me rend plein de passion.

Je sens son trou se dilater, il me dit de continuer. Je pousse lentement ma
queue vient buter contre sa prostate je rentre toujours. Ma queue est � fond
dans son antre chaud, je ne bouge plus, je lui laisse le temps de prendre la
mesure de mon engin. Au bout d'une minute il me dit de le d�foncer. Je
commence un va-et-vient lent. Son visage crisp� � l'instant est maintenant
souriant, il me dit que c'est bon de sentir ma queue dans son cul. Je sens des
ondes de chaleur partir de ma queue descendre dans mes couilles.

Il commence � se branler je l'arr�te et lui dis de se laisser faire. Il arr�te
je lui caresse la queue et les couilles. Je sens de plus en plus des ondes de
chaleur envahir mon bas-ventre. Je lui dis que je vais jouir, il me dit que lui
aussi commence � sentir de la chaleur dans les couilles. Je sens des
contractions de son cul sa jouissance est imminente, ses contractions se
r�percutent dans ma queue je sens le foutre monter. Il �jacule sur son torse
des flots de cr�me �paisse, il en a plein la poitrine. Du coup je viens dans
son cul, je crois que je ne vais pas pouvoir m'arr�ter de juter. Il a cri� de
joie quand il a senti mon foutre se r�pandre dans son cul.

Je sors doucement ma queue de son cul. Je l�che son sperme �tal� sur son torse
et viens lui donner � go�ter. Il semble vouloir me d�vorer la langue. Il �clate
de rire et me dit que c'�tait la premi�re fois qu'il se faisait enculer et que
je lui ai donn� un plaisir inimaginable.

Nous avons quitt� le lit et sommes redescendus dans le salon pour prendre une
gorg�e de cognac. Nous sommes enlac�s, nous nous caressons doucement. Sa queue
retrouve de la vigueur, � genoux entre ses cuisses j'entreprends de lui pomper
sa queue magnifique. Il bande ferme. Je lui demande s'il veut bien m'enculer.
Il me dit qu'il n'osait pas me le demander. Je cours vers le premier et
m'allonge sur le lit, il est sur mes talons. Il me demande si c'est la premi�re
fois pour moi aussi, je lui r�ponds que non mais que �a m'arrive tr�s rarement,
la derni�re fois c'�tait il y a deux ans. Il me dit: "Tu es comme vierge, c'est
un peu �a?"

Il entreprend de me l�cher le cul, sa langue p�n�tre dans mon trou, je suis
tellement excit� que mon cul s'ouvre tout seul. Il glisse deux doigts et les
fait tourner. Il me dit qu'il va essayer il pose son gland contre mon trou et
le fait rentrer, j'ai mal. Il attend un peu, puis pris d'une envie furieuse il
plonge sa queue d'un seul coup. Une douleur fulgurante me traverse le cul, je
pousse un cri. Il me dit: "Pardon je suis idiot." Il va pour se retirer, je le
retiens. Sa queue est � fond, je sens la douleur se dissiper lentement, il ne
bouge pas. La douleur a disparu. "Vas-y!"

Il commence son va et vient, son gland vient buter contre ma prostate
d�clenchant des ondes de plaisir. Il a pris ma queue dans sa main et me branle
doucement, parfois il se penche pour m'embrasser. Je sens la chaleur gagner mes
couilles, je vais jouir. Il sent mes contractions annonciatrices et �a provoque
sa mont�e en puissance: il acc�l�re ses mouvements, ma queue vibre, je viens,
mes premi�res contractions d�clenchent sa jouissance. Je sens son foutre chaud
se r�pandre dans mon cul ; il pousse un cri rauque. De sentir sa queue se vider
dans mon cul provoque ma jouissance, un deux, cinq longs jets de sperme
viennent s'�taler sur ma poitrine. Je suis vid�.

Il s'�croule sur moi, me roule une pelle d'enfer; nous nous s�parons repus. On
prend une douche et rhabill�s, nous descendons finir nos verres. Nous sommes
bien. On bavarde quand il me dit: "Que fais-tu tout � l'heure?" Je lui demande
pardon, puis je comprends, je regarde ma montre il est 1 heure du matin je dois
me lever � 6 heures. "Je dois te quitter." Il me r�pond: "Que fais-tu tout �
l'heure?" Je le regarde interrogateur, il me dit qu'il n'a qu'une envie, c'est
de ne pas �tre seul ce soir. Un rapide baiser et un rendez-vous est pris pour
ce soir. La journ�e va �tre longue.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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