R�v�lationJe m'appelle Christian et j'ai aujourd'hui 34 ans Il est vrai que je n'ai pas toujours voulu faire face � mon homosexualit�, que je cachais comme un mal honteux � tout mon entourage. Cela �tant, il est d'autant plus difficile d'avoir des relations quand vous voulez cacher votre v�ritable nature. Il se glisse sur moi et non seulement je le laisse faire, mais surtout je le prend dans mes bras et cherche sa langue avec la mienne. Ma queue s'est subitement gonfl�e, et sort du slip que je ne tarde pas � enlever, pour le plus grand plaisir de Pascal. Nos bites sont l'une contre l'autre pendant que nous nous embrassons et nous caressons � en perdre haleine. Je le pousse sur le c�t� afin de me retrouver sur lui. Ma langue quitte la sienne pour descendre lentement le long de son coup, jusqu'� ses seins. La, je m'attarde sur ses t�tons qui sont incroyablement �rectiles. Je continue mon chemin de langue jusqu'� son nombril. ses poils pubiens, noirs et drus comme j'aime me chatouille le menton. Pendant ce temps, je lui pince d�licatement les t�tons, ce qui lui retire des r�les et g�missements. Pendant tout ce temps, Pascal frotte sa cuisse contre ma queue au bord de l'explosion. D�cid�ment, je l'aime de plus en plus ce mec. Apr�s avoir bien l�ch� son ventre, ma bouche se dirige vers son gland, gros et bien d�calott�, afin de le gratifier d'une fellation dont il gardera un souvenir m�morable. Sa bite �tait tr�s �paisse et tr�s droite. A sa base, ses couilles �taient lourdes et ras�es de frais, ce qui augmenta mon excitation. Je le su�ais comme j'avais toujours r�v� de sucer. Et il ne s'en plaignis pas un seul instant. Je sentais qu'il �tait au bord de l'�jaculation. M�me si j'avais envie de go�ter sa semence, je voulais absolument le sentir en moi avant. Je montais donc sur lui et m'asseyais sur son dard. Une br�lure vive fit vite place � un plaisir intense. Nous jouions tout les deux � faire des mouvements qui d�cupleraient notre mutuel plaisir. Nous avons fini dans un 69 qui ne dura que quelques instants, tant nous �tions excit�s. Lui et moi n'en avons pas perdu une seul goutte. Son sperme �tait doux et sal�, et je l'avalais comme j'aurais aval� de l'ambroisie. Je suis reparti au petit matin, le cour l�ger d'avoir pass� une nuit de sexe intense, et avec l'intime conviction qu'une nouvelle vie commen�ait pour moi : une vie o� l'homosexualit� n'�tait plus une honte. BorsalinoR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |