Cyrillo

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La randonn�e ;

C'est l'�t� et ce n'est pas que Vincent aime particuli�rement �tre seul en vacances, mais ce qu'il aime bien quand il part sans les potes ou la famille, c'est qu'il fait ce qu'il veut, s'habille comme il veut, passe du temps avec qui il veut et reste disponible pour l'impr�vu ! Cette ann�e, c'est randonn�e dans le Massif Central ; il a lou� un g�te et se fait des randos � la journ�e. Il part le matin t�t avec t-shirt, polaire et blouson et, � mesure que la journ�e avance, il vire les �paisseurs et se retrouve g�n�ralement d�s les 11h ou midi torse nu dans la nature ; le soleil le chauffe et le vent lui caresse les poils des jambes, des bras et du torse : il adore �a.

Ce jour-l�, il est sur un sentier d�sert sauf qu'il y a une ferme isol�e : deux mecs sont en train de s'occuper des b�tes et, vu leur �ge, �a a tout l'air d'�tre le p�re et le fils. En passant devant la ferme il les salue et engage la conversation : sont-ils l� � l'ann�e, ou juste pour l'estive ? Combien de b�tes ? Pour le lait ou pour la viande ? " Et vous, la randonn�e, �a va ? lui fait le p�re. Vu votre tenue, vous devez avoir chaud. " Pour un peu il aurait l'impression de voir le jeune rougir. Comme c'est l'heure de leur pause et aussi celle de la mienne, ils lui proposent d'entrer prendre un caf� et il accepte.

- Ca vous d�range pas si je reste torse nu ?

- Pensez donc, les femmes sont pas l�, on est entre hommes, qu'est-ce que �a peut bien faire ?

- Ca tombe bien, parce que mes v�tements sont bien rang�s dans le sac, �a m'emb�terait de le d�faire.

En fait, ce qu'il veut, c'est exhiber un peu son torse, ses muscles et ses poils pour voir comment r�agit le jeune ! Le p�re est pas mal, d'ailleurs, dans le genre rude et trapu. On voit qu'il s'est charpent� et endurci en altitude, il porte une petite cinquantaine qui fait plut�t envie, yeux clairs, cheveux poivre et sel bien drus, avant-bras charnus et basan�s et carrure petite mais trapue. Bref, les trois hommes discutent en prenant un caf� et Vincent a bien l'impression que le jeune lutte entre l'envie d'�tre discret et celle de reluquer ses pectoraux couverts de poils ch�tains fris�s, comme pour essayer de retrouver ses t�tons au milieu de toute cette toison !

Vincent leur dit qu'il a toujours �t� attir� par le travail de la ferme aupr�s des b�tes sans jamais avoir eu l'occasion de s'y frotter. Est-ce que �a lui dirait de venir travailler avec eux demain ? propose le p�re. Il accepte et finit sa rando du jour tout guilleret, avant de rentrer au g�te o� il s'astique le pieu en imaginant le p�re torse poil en train de se faire tailler une pipe par dieu sait qui, peu importe : ce qui l'excite, c'est d'imaginer � quoi peut bien ressembler cette poitrine dont il n'a vu qu'un centim�tre carr� ! Il imagine la bite du p�re, aussi trapue que le reste du bonhomme, entrer et sortir d'une bouche goulue, le pr�puce retrouss� sur un gland violac�, la hampe fortement vein�e, dure comme du bois en profondeur, mais douce comme de la soie en surface. Evidemment Vincent s'imagine bien vite que c'est lui qui suce le p�re, il invente le go�t de cette queue, la sensation de sa langue sur le braquemart qui lui emplit g�n�reusement la bouche. Vincent imagine que le p�re se passe une main sur la poitrine, que le geste devient caresse : le p�re d�couvre le plaisir de se parcourir les poils du torse, de se caresser les t�tons ; dans son fantasme, Vincent l'y aide, parcourt le ventre velu et le reste du torse vigoureux de ce bon petit paysan �lev� au grand air, rencontre deux t�tons moelleux qui durcissent au contact de ses doigts - dans la r�alit�, c'est � son propre torse, � ses propres muscles, poils et t�tons que Vincent prodigue ses caresses. Faisant un avec l'objet de son d�sir, il imagine que le p�re lui jouit abondamment dans la bouche, au moment m�me o� son propre manche laisse jaillir un flot de sperme qui vient s'�craser dans les poils de son ventre.

Le lendemain il se pointe chez eux et, apr�s s'�tre un peu occup�s des b�tes, les trois hommes partent r�parer des cl�tures. Chacun prend son lot de piquets, de fil de fer et d'outils et une fois sur place, ils se mettent au travail. Vincent commence � comprendre pourquoi le p�re est si trapu et le jeune semble prendre le m�me chemin : c'est qu'on se d�pense � arracher, planter, taper, r�parer ; et puis, �a r�chauffe ! A 9h, il enl�ve le blouson, � 10h la polaire et � 11h il est en sueur sous son t-shirt et se fout torse nu. Pas de doute, le jeune d�tourne le regard pour le regarder faire et Vincent lui sourit et lui fait un clin d'oeil au moment o� il se sert du t-shirt pour s'essuyer la poitrine. Le p�re, �a le fait marrer de voir faire Vincent : " Toujours � vous mettre torse nu, vous, on dirait ! Remarquez, vu la chaleur, vous avez pas tort. "

Ils continuent � bosser et Vincent se d�brouille pour �tre pr�s du jeune, lui laisser voir son torse et son dos, lui donner � sentir quelques effluves de sueur et lui faire une tape dans le dos quand il passe � sa hauteur pour chercher un truc. Petit � petit, le jeune a l'air de se d�tendre. Mais, tandis que peu apr�s, le p�re se met en marcel et r�v�le des �paules et des bras puissants, le fils reste r�solument couvert ; pourtant son haut � manches longues commence � �tre bien humide sur le haut de la poitrine et carr�ment tremp� entre les omoplates.

- D�shabille-toi, tu as trop chaud, lui fait le p�re, tu vas prendre froid apr�s !

- J'ai rien en dessous...

L�, Vincent et le p�re se regardent et, ni une ni deux, partent d'un �clat de rire ; et le p�re de dire " si �a peut te mettre � l'aise " en se mettant lui aussi torse nu. Vincent est tout surpris de le voir aussi vigoureux que dans son fantasme de la veille : un peu de ventre, certes, mais ferme et surtout une belle musculature. Il ne doit pas se mettre torse nu bien souvent, parce qu'il a le bronzage agricole, comme on dit : bras et cou basan�s, dos, ventre et poitrine blancs, ce qui fait ressortir la noirceur de ses poils.

Du coup le fils est coinc� et quitte de mauvaise gr�ce son sweat-shirt pour r�v�ler un beau torse juv�nile, svelte et muscl�. Alors qu'il est plut�t port� sur les mecs baraqu�s du genre du p�re avec dix ans de moins, Vincent est fascin� par la peau fra�che de ce jeune mec, qui est couverte d'un duvet blond, avec des taches de rousseur sur les �paules et les bras. Il en a instantan�ment une �rection et ne peut d�tacher les yeux de son corps en mouvement. Les trois hommes se remettent � bosser et Vincent se d�brouille pour fr�ler le jeune d�s qu'il passe pr�s de lui : � aucun moment celui-ci ne s'�carte. Apr�s le pique nique du midi, le p�re s'allonge pour faire une sieste et Vincent demande au jeune de lui faire faire le tour du propri�taire.

Les voil� partis, toujours torse nu l'un comme l'autre. En marchant, Vincent demande au jeune comment il s'appelle : " Beno�t ". Vincent le complimente sur sa carrure et sa musculature, lui demande s'il fait du sport.

- Je faisais un peu de foot et de rugby quand j'�tais au bahut, fait-il en rougissant.

- Ca te g�ne que je te dise �a ?

- Non, un peu, je sais pas, �a me fait dr�le...

- Et t'aimes �a, jouer au foot et au rugby ?

- Ouais, plut�t, disons que j'aime bien me d�penser.

- Moi, au foot, au lyc�e, j'adorais jouer dans l'�quipe torse nu... �a se fait toujours, �a, une �quipe qui joue en t-shirt et l'autre torse nu ?

- Ca d�pend des profs, la derni�re ann�e, on avait un prof qui nous faisait mettre des hauts de couleur par-dessus le t-shirt, mais les autres ann�es, c'�tait souvent t-shirt contre torse nu.

Vincent bande encore un peu plus en repensant � ces cours de sport o� la moiti� des mecs �taient torse nu, o� il pouvait sans vergogne reluquer ses copains de classe : en premi�re et en terminale, certains �taient d�j� de vrais hommes, musculature dessin�e, cuisses poilues et parfois m�me du poil au creux des pectoraux, autour des t�tons ou au-dessus du nombril.

- En tout cas, dit Vincent en lui donnant une petite claque dans le dos, t'es un beau gaillard, Beno�t : regarde un peu comme t'es baraqu� pour ton �ge ; t'as quoi ? m�me pas vingt ans ? Je sais pas si c'est le sport au lyc�e ou de bosser en pleine nature, lui dit-il en le prenant par l'�paule, mais ton p�re, il doit �tre fier de te voir muscl� comme �a... encore quelques ann�es et tu auras autant de poil que lui sur le torse ! plaisante-t-il en lui posant une main sur la poitrine.

Beno�t rougit un peu mais ne retire pas la main de Vincent. Ils continuent � marcher et Vincent garde une main sur l'�paule de Beno�t ; de l'autre il se caresse la queue par la poche du short : il n'en peut plus, il faut qu'il le baise. " Viens, on va faire une petite pause. " Vincent s'allonge dans l'herbe au milieu d'un bosquet d'arbres et Beno�t vient � c�t� de lui. Au bout de quelques minutes Vincent se d�brouille pour �tre tout pr�s de Beno�t : il allonge le bras, sa main fr�le celle de Beno�t, puis remonte le long de son bras. Beno�t a un peu la chair de poule. Vincent tend la main pour lui caresser le ventre, qui se r�tracte un peu, puis se d�tend. Vincent me met sur le c�t� pour admirer le corps frais de Beno�t �tendu � ses c�t�s : sa peau est satin�e et sa p�leur la fait luire � la lumi�re du soleil qui filtre � travers les arbres. Vincent admire ses t�tons juv�niles, charnus et roses comme de petits fruits qu'on aimerait croquer, le dessin de ses muscles longs et fins, mais galb�s : ce Beno�t est la douceur m�me, mais on sent la force pr�te � s'exprimer dans ces bras et ce torse-l�, d�s qu'il remue le bras, ses muscles se contractent, ses biceps se gonflent et durcissent... Vincent a d�j� bien eu le temps d'observer tout cela quand ils travaillaient, mais il est content de pouvoir savourer le spectacle tout � loisir et de pr�s.

- Tu l'as d�j� fait, Beno�t ? demande Vincent.

- Quelquefois avec des filles.

- Je vais te caresser, Beno�t, et je vais t'embrasser, je vex prendre ta bouche dans la mienne, je veux l�cher ton torse aussi, go�ter ta peau, d'accord ?

Beno�t ne dit rien, rouvre les yeux un instant, croise le regard de Vincent, hoche l�g�rement la t�te, soupire, esquisse un sourire et referme les yeux.

- Et en plus il faut que tu aies les yeux verts, Beno�t ! N'aie pas peur, je veux te faire du bien.

Et Vincent se redresse sur l'avant-bras, sa main remonte le long du ventre de Beno�t pour atteindre sa poitrine, l� il effleure un t�ton : sa texture est tellement souple qu'il se comprime l�g�rement sous le doigt de Vincent pour apr�s reprendre sa forme initiale, plate sur le pourtour et un peu gonfl�e au centre. Vincent caresse les pectoraux, les �paules, les bras, revient au creux de la poitrine : son corps est parcouru de frissons de volupt� au contact de cette peau suave et de ce duvet d�licat. " Que tu es beau ", soupire Vincent avant de se pencher pour go�ter ses l�vres : il commence par lui effleurer la bouche, avant de doucement lui l�cher les l�vres et de les entrouvrir de sa langue pour plonger � l'int�rieur. " Ce gamin doit merveilleusement bien sucer ", se dit Vincent. Beno�t soupire puis se redresse soudain, lui passe un bras autour de l'�paule et lui rend son baiser, goul�ment, ardemment. Vincent n'a pas cess� ses caresses sur le torse du jeune homme, il passe la main sous ses aisselles, elles sont chaudes et les poils sont tremp�s de sueur.

Beno�t s'est mis � caresser les �paules, les bras et le torse muscl�s de Vincent, s'attarde sur sa poitrine couverte de poils, revient sur les �paules charnues. Pendant ce temps, Vincent a entrepris de l�cher le cou du gar�on, un coup de langue derri�re les oreilles, dans les oreilles, Beno�t geint, Vincent descend du cou vers la poitrine, effleure des l�vres le t�ton, le gratte un instant avec les poils de sa barbe, puis le l�che, le gobe... sa queue va exploser : lui qui est d'habitude plut�t port� sur les plans hard, le voil� qui conna�t un plaisir �rotique incroyable dans ce sc�nario tout en douceur pastorale ! Le baiser reprend, plus fougueux, Beno�t lui a saisi les cheveux � pleines mains, Vincent le serre contre lui tout en continuant � lui caresser le torse, les aisselles, le dos, risque une main sous la ceinture du short, Beno�t se dresse sur les genoux, Vincent peut � loisir caresser une fesse bien galb�e, � la texture � la fois ferme et moelleuse, � la peau douce �galement couverte d'un fin duvet. Mais voil� que Beno�t se jette litt�ralement sur lui, le fait basculer � l'horizontale avant de se redresser � califourchon sur lui pour le contempler d'un air quasiment victorieux : une �tincelle dans le regard, un sourire aux l�vres, Beno�t lui passe une main experte sur le torse, sous les aisselles, sur les t�tons, le long de l'abdomen.

- Et tu veux me faire croire que tu l'as jamais fait avec un homme ?

- Jamais, mais j'en r�vais ; et avec un mec comme toi, muscl� et poilu, r�pond Beno�t avant de replonger vers la bouche de Vincent, puis de lui l�cher cou, torse, t�ton, aisselle. J'aime ton odeur...

Beno�t se redresse et aventure une main sur la cuisse de Vincent, puis remonte le long de la cuisse sous le short, jusqu'� l'aine et, comme Vincent ne porte pas de slip, aux boules et � la queue. Pendant ce temps, Vincent en profite pour lui baisser le short et caresser, palper, soupeser ses fesses. Les deux hommes se d�gagent mutuellement la bite du short, se la caressent l'un l'autre, se d�barrassent mutuellement de leur v�tement. Maintenant qu'ils sont compl�tement � poil, Vincent rel�ve les genoux et assoit Beno�t dessus, puis redresse le buste et lui l�che la hampe, les boules, le gland : " Je vois que tu es un beau gaillard de ce c�t�-l� aussi, Beno�t ", susurre Vincent avant d'avaler la belle queue du jeune homme, qui lui suinte dans le gosier, va et vient entre ses l�vres avides, glisse sur sa langue gourmande.

Pendant qu'il re�oit cette pipe magistrale, Beno�t empoigne d'une main la queue de Vincent, de l'autre ses pectoraux : il branle vigoureusement l'une et caresse, soup�se, malaxe l'autre. Ses doigts glissent entre les poils de Vincent, sa paume �pouse le galbe du muscle, il atteint le t�ton et le caresse, le pince doucement. " J'ai envie de �a depuis que je t'ai vu torse nu, hier ; tu peux pas savoir comme �a m'excite depuis hier de te voir te balader tout le temps torse nu, exhiber tes muscles et tes poils ", murmure Beno�t. Vincent geint en continuant � pomper sa bonne queue charnue, les paroles et les caresses de Beno�t sur son torse le stimulent, ses t�tons sont un concentr� d'excitation : �a faisait longtemps qu'il n'avait pas suc� une aussi jolie bite, senti un gland suintant au fond de son gosier, la pulsation du sang dans la hampe sous ses coups de bouche et de langue. " Laisse-moi te sucer moi aussi ", fait Beno�t en s'allongeant sur Vincent : une caresse sur le torse, un coup de langue qui descend du cou vers les pectoraux, se perd dans les poils du torse, descend vers le nombril, le pubis, monte le long du braquemart, atteint le gland... Beno�t pousse un g�missement de bonheur en avalant le pieu magistral de Vincent, dress� fi�rement au milieu d'une for�t de poils, courbure parfaite, hampe vein�e et soyeuse, gland turgescent d�goulinant de glaire, au bord de l'explosion.

Beno�t est � quatre pattes au-dessus de lui, Vincent redresse le buste pour contempler le spectacle de sa queue qui entre et sort de la bouche avide du jeune homme, des muscles tout en tension de ses bras et de ses jambes : Vincent tend la main pour lui caresser la cuisse, douceur des poils clairs, fermet� du muscle, remonte vers les fesses � la peau suave, rebondies comme des melons ; " des vraies fesses de footballeur, pas comme ces bourrins de rugbymen ", se dit Vincent en aventurant sa main dans la raie du cul de Beno�t, o� il rencontre une touffe de poils fris�s, tremp�s de sueur. Sa main frotte contre le fion de Beno�t, dont les coups de langue redoublent sur sa queue. " Tu aimes �a ? " demande Vincent ; Beno�t geint en guise de r�ponse. " Et �a ? " demande Vincent en faisant p�n�trer le bout d'un doigt dans le trou de son cul, Beno�t geint de nouveau, Vincent continue, entre progressivement tout le majeur, explore l'int�rieur de ce cul vierge, empoigne de l'autre main la queue de Beno�t tout en lui massant le fion du dedans. Puis Vincent l�che la queue du gar�on, se caresse les t�tons, pour profiter � fond de la pipe extraordinaire qu'il re�oit, et entre petit � petit un deuxi�me doigt dans son cul bien serr�, tout mouill� de sueur et d'excitation.

Et l�, de l'autre c�t� des arbres, il aper�oit soudain le p�re qui les observe : au moment o� leurs regards se croisent, le p�re met un doigt sur ses l�vres et pose une main sur son paquet ; Vincent comprend et lui r�pond par un clin d'oeil. Le p�re est rest� torse nu et exhibe sa musculature de montagnard, Vincent en est encore plus excit�... ah s'il pouvait se faire le p�re en m�me temps que le fils ! Ce dernier vient justement de cesser sa pipe, saisit la queue de Vincent et se remet � lui l�cher l'abdomen, le torse, les t�tons, le cou, puis lui murmure � l'oreille " T'as une capote ? " Tandis que Vincent tend le bras vers l'arri�re pour prendre l'objet dans sa poche de short, Beno�t en profite pour lui l�cher l'aisselle. " Ca sent bon, ta sueur, �a a bon go�t ", murmure-t-il. Vincent se dit qu'il va pouvoir se payer un tour de ce petit cul tout neuf, il est tr�s excit� de se dire que le p�re va assister au d�pucelage sodomique de son fils. Mais quand Vincent lui tend la capote, Beno�t la sort de l'emballage et se la met sur la bite : " Je vais te faire l'amour, je vais te baiser le cul, tu veux ? " lui demande-t-il. Vincent n'en revient pas, mais il est conquis et sans dire un mot, sourit � Beno�t et �carte les jambes pour lui offrir son cul.

" Qu'est-ce que tu as les fesses et le cul poilus, j'adore �a, dit Beno�t. Rel�ve les fesses, oh oui, comme �a... la vache, qu'est-ce que tu peux �tre muscl�, j'adore tes cuisses... et tes fesses, putain ", dit-il en les lui caressant d'une main, tandis que de l'autre il guide sa queue vers le fion de Vincent. " Je parie que t'as pas l'habitude de te faire mettre, hein ? Toi, t'es un grand bal�ze... baraqu� et velu comme t'es, je suis s�r que c'est plut�t toi qui encules, pas vrai ? ", lance Beno�t en faisant p�n�trer les premiers centim�tres de son manche. Vincent rel�ve les cuisses pour offrir compl�tement son cul aux assauts de ce jeune m�le : " T'apprends vite pour un d�butant, lui dit-il ; oui, en g�n�ral c'est moi qui encule, mais je sens que je vais pas regretter de me laisser mettre par toi... vas-y entre, allez baise-moi... ouais, comme �a, vas-y � fond... ooooh, oui, Beno�t... dis donc, si tu as essay� avec des nanas, tu as d� faire des heureuses... ah, t'as pas seulement une grosse queue, tu sais bien t'en servir... ooooh, ouais, vas-y Beno�t, laboure-moi bien le cul, pilonne-moi bien � fond... hhhhmmm ". En disant cela, Vincent plonge le regard dans celui du p�re, qui n'a pu s'emp�cher de s'approcher, faisant craquer quelques branches au passage ; mais Beno�t est tellement concentr� qu'il ne s'aper�oit de rien. Le p�re a maintenant pass� une main sous sa ceinture et se caresse ostensiblement le manche, puis il d�fait son froc et sort une superbe queue suintante band�e � fond, qu'il branle en se touchant le torse, se passant une main sur les pectoraux, les poils, les t�tons, et en observant avidement les mouvements de reins de son fils, ses fesses qui se contractent � chaque coup qu'il envoie dans le cul de Vincent.

Vincent sent son cul se faire d�foncer par le manche de Beno�t, il se laisse branler la queue, ses mains parcourent tant�t son propre torse, se perdant au milieu des poils tremp�s de sueur, caressant ses t�tons dress�s d'excitation, tant�t les cuisses, les bras et le torse de Beno�t, t�tant la peau soyeuse, glissant sur la sueur, palpant le muscle qui palpite, se bande et se rel�che � chaque mouvement. Vincent a le cul, la bite et les seins en feu, son regard va de la plastique extraordinaire du torse de Beno�t, � genoux devant lui, qui lui dispense toute la force de ses vingt ans ;- pectoraux dessin�s, bras et �paules vigoureux, abdomen tendu ;- au torse puissant de son p�re, debout un peu plus loin, qui continue � se masturber consciencieusement en les fixant du regard.

- Vas-y mon Beno�t, c'est beau de te voir me faire �a... Ha, �a faisait longtemps que je m'�tais pas fait prendre comme �a... putain, tu sais y faire, h, tu me d�chires le cul mon salaud... hmm, j'adore te sentir dans mon cul, j'adore te voir faire... hmm, qu'est-ce que t'es muscl�, mon gars, un vrai athl�te... ah, ce torse que tu te paies, aussi excitant que ton p�re : putain quand je vous ai vus tous les deux torse nu, je me suis dit que je me ferais bien l'un comme l'autre ! C'est un beau morceau aussi ton p�re, ce torse, cette musculature, cette toison sur le torse, c'est pas croyable ; je suis s�r qu'il a une belle grosse queue comme toi, hein ?

- Mon p�re, il passe son temps � se branler quand il croit que je le vois pas ; il se fout torse nu, il baisse son froc et il s'attrape la queue en se caressant ; et c'est vrai qu'il en a une grosse, c'est pas croyable. En attendant, c'est toi que je baise et �a me pla�t de planter ma bite dans ton cul et de te ramoner, h ! Tu aimes �a au moins, toi ?

- J'adore, Beno�t, tout ce qu'il me manquerait c'est une bonne queue comme celle de ton p�re � me mettre dans la bouche !

- Il pourrait bien arriver, je m'en fous, tout ce qui m'int�resse, c'est de te baiser... tiens, comme �a ! Han ! Tu l'aimes, ma bite ? Moi, ce qui me pla�t, c'est de t'avoir pour moi, de te baiser en te voyant l�, ton torse, tes muscles, tes poils, ta bite : je voudrais juste pouvoir te sucer en continuant � te baiser... mais putain, c'est bon de te caresser le torse, de sentir tes muscles et tes poils, h !

Alors Vincent prend Beno�t � la lettre et fait signe de venir au p�re, qui a tout entendu. Celui-ci s'approche doucement, quand Beno�t le voit, il s'�crie " Papa ? " mais le p�re lui met une main sur la bouche en lui disant " Tout va bien " et approche son gourdin de la bouche offerte de Vincent, qui murmure " Enfin ! " avant d'engouffrer centim�tre par centim�tre cette bonne queue trapue et ferme. " Vas-y Beno�t, fait le p�re, continue, il faut montrer notre hospitalit� � notre invit�... Hmm, qu'est-ce qu'il suce bien, le salaud, �a faisait longtemps qu'on m'avait pas fait une pipe pareille ! Je parie que c'est pas mal de l'enculer, pas vrai Beno�t ? En tout cas, �a a l'air de te plaire, tu te donnes bien � fond, mon fils, c'est bien... ah, je te savais pas aussi vigoureux, Beno�t, fait-il en lui passant une main sur l'�paule, le bras, le dos, puis le torse. Regardez-moi �a s'il est muscl�, l'animal, lance-t-il � Vincent, dont le regard va et vient d'un torse � l'autre, un juv�nile � la chair fra�che et tendre, l'autre trapu et couvert de poils. ah, reprend le p�re, vous aussi vous �tes un beau morceau dans votre genre, moi c'est pas mon truc, hmmm, mais pour celui qui aime les grands baraqu�s, vous avez de quoi plaire avec vos muscles et vos poils... �a m'�tonne pas que vous vous baladiez tout le temps torse nu. h, putain, qu'est-ce que vous sucez bien ! "

Vincent n'en peut plus, son cul est labour� par le pieu de Beno�t, sa bouche est envahie par le braquemart du p�re ; tandis que Beno�t lui malaxe la bite, il se caresse encore le torse. " ahhhhhh, " crie Beno�t en crachant la pur�e dans le cul de Vincent ; le p�re encha�ne aussit�t d'un " Oh putain, je jouis " en l�chant tout dans la bouche de Vincent ; Beno�t le branle de plus belle et lui caresse lui aussi le torse, tout en continuant de le pilonner ; la bouche et le cul pleins de sperme, Vincent s'abandonne aux caresses et, tout en continuant de savourer la queue d�goulinante du p�re, il est secou� d'une �norme convulsion au moment o� il �jacule entre les mains de Beno�t un flot de foutre �pais. Le p�re lui passe une main dans les cheveux en disant " C'est bien, c'est bien ", tandis que Beno�t se penche vers lui pour l'embrasser � pleine bouche en lui �talant son propre foutre odorant dans les poils du torse. Vincent serre fort le gar�on dans ses bras en lui murmurant " Que tu es beau quand tu jouis ", lui l�che l'oreille et lui caresse les bras et le dos, tandis que le p�re s'est agenouill� devant eux et les saisit tous deux par la t�te, puis les embrasse tour � tour ; Vincent en profite pour passer enfin une main sur le torse muscl� du p�re, o� il rebande presque au contact des poils tremp�s de sueur.

Gill

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