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Quentin

Quentin n'en pouvait plus. Il �tait 3 heures et demi du matin, et le bar gay dans lequel il travaillait pendant l'�t� ne s'�tait toujours pas vid�. Il devait encore nettoyer les tables, servir des bi�res et des martinis, ne pas faire attention aux clins d'oeil, et aux mains qui caressaient ses fesses "accidentellement".

Au d�but, cela lui plaisait. Quentin �tait une belle allumeuse, et il aimait l'attention que les clients du bar lui portaient. Il avait pour habitude de porter des jeans tr�s moulants, quand ce n'�tait pas des pantalons de lin quasi transparents, le but �tant �videmment que les regards se concentrent sur ses belles fesses, rondes et rebondies. Mais au bout d'un mois � �tre consid�r� comme de la viande par les clients, et � avoir l'impression d'�tre interchangeable avec les autres serveurs, Quentin en avait assez.

Aux alentours de 5 heures du matin, le bar �tait quasiment vid�. Il ne restait que quelques clients, et les serveurs s'occupaient essentiellement de ranger le bar pour le lendemain. Pendant qu'il s'occupait des cendriers, un homme lui demanda:

"Vous aviez pas l'air d'�tre enchant� de travailler aujourd'hui jeune homme. C'est dommage, vous aviez un si joli sourire..."

"Merci... C'est gentil" r�pondit Quentin.

Le jeune serveur d�tailla l'homme. La trentaine, brun, les cheveux courts, un peu plus grand que lui, et beaucoup plus muscl�. Le genre de mecs qui kiffait les petits minets comme Quentin.

"Evidemment" se dit Quentin, "il voit un blond aux yeux bleus, un jean un petit peu moulant, et il croit affaire � une pute".

Malgr� les apparences, Quentin ne se faisait pas baiser souvent. La plupart du temps, il se faisait draguer, r�pondait aux avances plus ou moins pouss�es de ses pr�tendants, et quittait ces derniers au moment fatidique ou ils d�siraient que leur p�nis entre dans l'un des trous de Quentin. Ce dernier entendait beaucoup d'insulte, mais il s'en fichait. Il aimait rendre fous les hommes qui le d�siraient, et plus Quentin jouait la salope, plus ils �taient frustr�s, et plus Quentin prenait son pied.

"Romain" dit le client avec un sourire

"Quentin" r�pondit le serveur.

"J'imagine que tu n'as rien � faire apr�s ton service, Quentin"

"Bien sur que si" r�pondit Quentin, regardant Romain droit dans les yeux. Ce dernier ouvrit la bouche mais Quentin l'interrompit. "Je dois venir chez toi, et me faire baiser comme une pute..."

Romain eut un petit sourire satisfait. "On dit que l'habit de fait pas le moine... Mais tu es bien la salope que tu as l'air d'�tre. En revanche, je ne t'ai pas autoris� � me tutoyer..."

"Je suis d�sol�... Monsieur..." dit Quentin. "Tar�" pensa-t-il.

"Bien. Je t'attends donc. Fais vite."

Romain sortit du bar. Quentin soupira. Il en avait vu des fantasmes bizarres, le vouvoiement �tait loin d'�tre le pire. Il finit donc de nettoyer les cendriers, rangea la vaisselle, dit au revoir a ses coll�gues et sortit du bar, qu'il devait revoir le lendemain. Nul trace de Romain. Quentin soupira, et d�cida de rentrer chez lui.

Il avait � peine commencer de marcher qu'une voiture noire le d�passa, et s'arr�ta. Un homme en costume en sortit.

"Par ici je vous prie" dit l'homme en ouvrant la porti�re arri�re.

"C'est une blague?" pensa Quentin.

Il jeta un coup d'oeil a l'arri�re de la voiture. Romain si�geait comme un roi, un verre � la main sur un �norme fauteuil de cuir de 4 places. Assez impressionn�, il monta. La porti�re se referma derri�re lui. Romain le regardait avec des yeux per�ants. Il jaugeait Quentin. Sans cesser de l'observer, il servit au serveur un verre. Quentin le but. La voiture d�marra. Les deux hommes ne s'�chang�rent aucun mot. Romain se contenter d'observer Quentin. Ce dernier buvait son verre et n'en menait pas large. Peu � peu, il se sentait tr�s mal � l'aise. Il avait tr�s chaud. Romain l'observait toujours. Les yeux de Quentin se fermait peu � peu, et il finit par s'endormir.

Lorsqu'il se r�veilla, il ne se rappelait plus vraiment ce qu'il s'�tait pass�. Il essaya de se lever, mais ses bras �taient solidement attach�s au lit sur lequel il �tait.

"Alors ma belle... Bien dormi?"

Quentin sursauta. Romain �tait assis dans un coin de la pi�ce. Il se leva et s'approcha du lit.

"On va bien s'amuser, maintenant que t'es r�veill�e ma ch�rie" murmura-t-il a l'oreille de Quentin.

Ce dernier tenta de se d�battre, de chasser Romain avec ses pieds, de hurler, mais rien ne se passait. Son corps ne lui ob�issait pas. Ses membres n'�tait que du chiffon, et il arrivait � peine a produire un g�missement plaintif et path�tique. Romain s'allongea sur Quentin, et l'embrassa � pleine bouche. Il chercha de ses doigts la raie des fesses du serveur qu'il avait kidnapper, et introduisit un doigt sec dans son anus.

"Mh... Comme je les aime : serr�e et humide..."

Quentin ne pouvait que lancer des regards implorants, il n'�tait capable d'aucune r�sistance. Romain regardait son amant contraint droit dans les yeux avec un sourire narquois.

"Tu vois, ces fesses, et surtout cette chatte sont faites pour accueillir un m�le. La fa�on dont tu marches, dont tu te tr�mousses, dont tu parles... Tout �a, c'est un ensemble qui fait que tu es une femelle, peu importe ce que tu as entre les jambes. Tu es physiologiquement, et psychologiquement fait, pour qu'on t'engrosse, salope... Mais je sais pas pourquoi, t'arrives pas � comprendre �a... Donc tu crois que tu peux t'amener, avec ton gros cul de pute devant nous, sans nous le donner... H� ben je suis l� pour t'expliquer un truc connasse... Ta chatte nous appartient, et on va pas se g�ner pour l'utiliser..."

Romain ajouta un doigt. Quentin sentit une vive douleur. Il �tait tr�s serr�, et Romain n'avait pas pris la peine d'utiliser la moindre goutte de gel. Ce dernier fit de vives va et vient, tout en embrassant Quentin sur la bouche, dans le cou.

"T'as m�me une belle bouche de suceuse..." murmura Romain. Il se redressa sur le lit, et approcha sa bite de la bouche de Quentin. Celui ci tenta de la fermer, mais Romain lui mit une baffe, et ouvrit la bouche de Quentin sans grande difficult�. Il introduisit son p�nis, et baisa la bouche du serveur. Des larmes se mirent a couler sur les joues du jeune homme.

"Fais pas ta princesse... Je sais que tu kiffes avoir la bouche pleine... T'es faite pour �a ma belle..."

Romain fit quelques va et vient dans la bouche, puis se rallongea sur le corps de son amant. Il lui �carta les jambes et mit son gland au bord de l'anus. Sans que Quentin ne puisse faire quoi que ce soit, Romain entra en poussant un r�le de plaisir.

"Oh putain ta chatte..."

Romain commen�a un l�ger va et vient, qui se transforma rapidement en limage profond. Les cris de douleur que voulaient hurler Quentin, s'entendaient comme des g�missements plaintifs. Bien entendu insensible, Romain continuer ce ramonage, s'arr�tant parfois pour gifler Quentin en lui demandant de fermer sa gueule. Au bout d'une dizaine de minutes, Romain sortit de l'anus de Quentin, retourna ce dernier comme une poup�e, et le r�encula.

"On dirait vraiment une meuf de dos, tu sais, avec tes hanches... Si tu veux �viter qu'on te confonde, faudrait commencer un r�gime ma ch�rie..."

Ainsi, en levrette, Romain d�fon�a Quentin, lui claquant le cul, lui tirant ses cheveux blonds, l'insultant de pute, de salope, de chienne, parlant de sa chatte comme un bien lui appartenant. Romain criait de plus en plus fer, frappait Quentin de plus en plus fort, et entrait de plus en plus profond�ment dans le corps de ce dernier quand il finit par jouir, lib�rant un flot de sperme dans les entrailles de Quentin.

"H� ben ma salope, je t'ai bien engross� l�. Si tu me fais pas un moufftard avec ce que je t'ai mis, je sais pas ce qu'il faut".

Si Quentin �tait rempli de sperme, il �tait vid� mentalement. La douleur, l'humiliation, et l'impossibilit� de toute r�sistance l'avait rendu dans un �tat quasi animale. Il ne se rendit m�me pas compte que Romain lui fit une piqure. Il ne se rendit m�me pas compte qu'il s'endormait.

Quand il se r�veilla, il avait mal partout. Il arriva peu � peu � se redresser, puis � se lever du lit. Il observa la pi�ce. Il n'y avait qu'un lit, d�fait, un fauteuil en cuir, et dans un coin, un miroir avec au pied, un tas de v�tement.

Il s'approcha du miroir. Il se regarda. Il avait la t�te de quelqu'un qui avait dormi des jours, et qui n'avait pas vu la lumi�re du soleil depuis trop longtemps. Du sang avait coul� sur ses cuisses.
Sur le tas de v�tements, il y avait un mot:

"Lave-toi, met les v�tements, et laisse toi faire. Nous pr�f�rons te poss�der consciente. Si tu d�sob�is, tu seras drogu�e � nouveau. Fais ton choix. R."

"Comment ca? Nous? C'est quoi ce cauchemar? Putain... PUTAIN DE MERDEEEEEE!!! A L'AIIIIIIIIIIIIDE!!!

A suivre...

Qqq

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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