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Le p'tit con du 3�me.

Une nouvelle famille a emm�nag� au 3�me �tage de l'immeuble o� j'habite.
Moi, je suis au 4�me.
Le fils de la famille est un petit mec lambda, un peu grassouillet, un petit cul si bien rebondi qu'on voudrait bien s'en servir comme garage � bite, un passif qui laisse deviner du volume dans les bas morceaux, des l�vres si sensuelles, si humides, si rouges qu'on a envie de s'en faire un collier autour du gland. Ce p'tit con de 18 piges, il est toujours sur mon passage, je le trouve dans mes pattes partout : dans l'escalier, dans l'ascenseur, dans la rue, sur le parking, � l'arr�t de bus, dans les magasins etc... . .

� chaque fois, il me mate d'un air provocateur qui semble dire : " Si tu veux, tu m'as". De mon c�t�, je fais tout pour l'ignorer, je ne veux pas d'histoire. En plus, s'il me disait un mot, un sourire, un bonjour ! Mais non ! Un vrai p'tit con.
Seulement voil� ! Je me suis rendu compte depuis deux ou trois semaines qu'il conduit parfois la voiture de papa et qu'il y a un A sur la vitre arri�re.
La barri�re de la minorit� est tomb�e. Maintenant quand il me mate de son oeil salingue, je lui renvoie un regard qui veut dire " c'est quand tu veux". Mais toujours rien, pas un mot, pas un sourire, pas un bonjour, quel p'tit con !
Un samedi apr�s midi, je descends � la cave chercher des bouteilles car je re�ois ce soir. Je sors de l'ascenseur au rez-de-chauss�e, je me dirige ves la porte qui donne sur les caves et je le vois, il est l�, assis dans l'escalier.
�change de regards, toujours pas un mot.
Je passe dans le couloir o� sont align�es les caves, la mienne est presque au fond. Je prends ce que j'ai besoin, je referme la porte et je reprends le couloir en sens inverse.
Tiens ! Une porte de cave est ouverte et il y a de la lumi�re. En passant devant, je risque un oeil et je vois le p'tit con du 3�me, la pine � la main en train de se masturber.
Le temps de r�agir, j'ai d�j� d�pass� sa porte de cave et c'est quelques m�tres plus loin que je m'arr�te et me retourne.

Il est l�, debout, au milieu du couloir, exhibant son bitard et me faisant signe d'entrer dans sa cave.
Y'a pas � h�siter, j'y vais.

A peine entr�, il ferme la porte � cl� et �teint la lumi�re. J'ai juste eu le temps de poser mon panier de bouteilles par terre.
On est l� dans le noir, je m'adosse au mur du fond et j'attends ce qu'il va faire. Je le sens avancer vers moi, il est face � moi, il me met sa bite dans la main, c'est gros, c'est chaud, c'est ferme (tout comme je l'imaginais). Je le branle doucement pendant qu'il s'occupe de faire sauter les boutons de mon jeans un par un, il me caresse le sexe � travers mon calbute, je suis d�j� en pleine �rection. Le calbute et le jeans atterrissent sur mes mollets, je le d�fringue � mon tour. Apr�s quelques minutes de caresses sur nos zobs, j'attrape sa t�te et la penche vers moi pour qu'il me suce. Il ne se fait pas prier et j'ai la jouissance de la douceur de ses l�vres sensuelles sur ma bite.

Il suce bien ce p'tit con, il y met du coeur, sa langue est une vraie vip�re, je la crois � un endroit, elle est ailleurs, il me bouffe les couilles avec ardeur, remonte sa langue le long de ma bite, un vrai plaisir.
Je lui rel�ve la t�te, ne voulant pas jouir trop t�t, je le retourne, lui plaque ma bite bien dure sur le dos, je m'occupe de son sexe, je lui malaxe, le p�trit, je lui claque les fesses, il rugit de contentement, j'insinue un doigt dans sa raie, je lui enfonce dans le cul, je le remue, il a l'air d'appr�cier, je lui en mets un deuxi�me, il aime bien, il demande un troisi�me doigt, je lui donne satisfaction.

C'est alors qu'il me dit : Fout moi ta bite dans le cul! J'en r�ve depuis que je t'ai vu, je me branle en pensant � toi.Vas-y, d�fonce moi! Mon cul est � toi, prends moi comme une chienne! J'ai le cul en feu! J'en veux! J'en veux!
Moi aussi je voudrais l'explorer de petit cul rebondi mais je ne m'attendais pas � �a aujourd'hui et je n'ai pas de capote sur moi.

Je lui dis, il farfouille dans son jeans et me donne de quoi satisfaire mes envies.
C'est couvert que je pr�sente ma bite � l'entr�e de son cul, je n'ai pas beaucoup d'efforts � faire pour l'enfoncer toute enti�re. Au d�but, je lui fais des va et vient assez doux, mais il ne l'entend pas de cette oreille, il veut vraiment se faire d�foncer, alors je lui fout de sacr�s coups de bite � r�p�tition. Je lui branle sa queue en m�me temps et je la sens fr�tiller dans mes mains, il en demande toujours plus et toujours plus fort (il va me crever ce p'tit con!)
Un coup de bite sans doute mieux plac� que les autres lui fait cracher son sperme, j'en ai plein les mains, je lui enduit la bite avec, �a l'�lectrise, il serre les fesses, les rel�che, les resserre et c'est moi qui gicle � mon tour.

On reste l� sans bouger, savourant le pied qu'on a pris ensemble, �a promet des bonnes choses pour l'avenir.

Plus tard, chacun s'est rhabill�, je r�cup�re mes bouteilles, il ouvre la porte, me pousse dans le couloir et se renferme dans sa cave.
Depuis, quand j'ai envie de me vider les couilles, je vais voir � la cave s'il n'est pas � roder par l� et c'est souvent qu'il m'attend, assis dans l'escalier.
Je continue � le rencontrer partout, mais jamais un mot, jamais un sourire, jamais un bonjour. Je n'entends sa voix que quand il me crie de le bourrer.

Quel p'tit con!

Zicom

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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