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Cette journ�e de planche...

Je m'appelle Bat, j'ai 26 ans, je fais 1m80 pour 75kg. Je suis un planchiste, donc muscl� mais pas trop et de physique assez attirant.
Cette histoire m'est arriv�e, il y a quelque temps, et le fait de vous la raconter maintenant me fait encore monter l'eau � la bouche et le reste aussi.

J'�tais donc parti faire de la planche sur un lac des environs, comme d'habitude, seul. Le temps �tait ensoleill� et le vent suffisant pour faire de bon ride. Venant d'en finir un, je venais de poser mon mat�riel, quand je surpris deux mecs, qui regardaient dans ma direction avec insistance. L'un blond, cheveux mi-longs, l'autre brun ras�.

�tant assez loin, je ne pouvais voir d'autres d�tails. J'ai donc enlev� jusqu'� la taille la combinaison n�opr�ne que je portais, laissant ainsi le haut de mon corps l�g�rement mouill� prendre le soleil. Je me suis donc allong� � c�t� de ma planche, mon baladeur dans les oreilles et mes lunettes sur le nez.

Voulant changer de position, je venais de voir que les deux gars, eux venaient de se lever et se dirigeaient vers le lac. Leurs combinaisons laissant poindre des musculatures et des formes tr�s avantageuses. Voyant cela, dans ma combinaison cela devenait un peu inconfortable. Ma queue durcissait � vu d'oeil.

Heureusement que j'�tais allong� sur le ventre. Mais ma trique ne voulait pas partir et elle �tait d�j� depuis plus de dix minutes dans l'eau !
Ne tenant plus, il fallait me calmer, je pris ma planche et me dirigeai aussi vite que possible vers le lac. Il n'y avait pas beaucoup de monde ce jour-l�, mais ma bite dress�e comme un �tendard, c'�tait trop visible et g�nant. �tant arriv� dans l'eau, le vent devenant plus fort me fit partir sans trop de difficult�s.

Je les avais en vu. Ils naviguaient tr�s bien, ne devant pas �tre des amatrices. Ne faisant pas attention, je n'avais pas vu arriver dans mon angle mort, le second. Il me cria juste " attention ! " et tomba � l'eau, moi aussi d'ailleurs.
Nous nous sommes regard�s et de pr�s il avait un visage tr�s joli, ces cheveux blonds mouill�s tir�s vers l'arri�re, laissaient un visage avec des yeux vert profond, et un sourire naissant.
-Tu vas bien ? demandais-je
-Oui je vais bien, mais tu aurais pu faire attention, tu ne m'as pas vu arriv� ou quoi ?
-Ben faut croire. Mais tu t'es arr�t� avant de me rentrer dedans.
-Ouais ! Mais. Regarde la prochaine fois.
Et voulant remonter sur sa planche retomba � l'eau.
-Tu veux un coup de main ?
-Merci, je veux bien !!
Scotch� ! J'ai nag� jusqu'� sa planche, me suis approch� de lui. Je le regarde et lui ai dis,
-Accroche-toi � ta planche.

Lui ayant pris le mollet pour le faire monter, il bascula, dans l'eau, de l'autre c�t� de la planche. Le regardant, je souris, lui faisant comprendre que ce truc �tait vieux comme le monde. Il me fit un sourire et s'accouda sur sa planche. Entre temps son copain arriva et demanda ce qui se passait,
-Alors Jo, qu'es ce que tu fabrique ?
-Jess, voici.
-Bat, je suis Bat ! Lui dis-je.
-Jess, donc Bat, qui m'a aid� � remonter sur la planche, mais comme tu vois ce n'est pas gagn�.
En m�me moment, j'ai senti une de ces jambes entre les miennes ! Et il ne faisait pas qu'essayer de garder l'�quilibre. Surpris, je m'�loignais de la planche, et leur dis que j'allais sortir de l'eau.

Ils n'ont pas tard� � me suivre. J' ai pos� mon mat�riel et Jo s'est assis pr�s de moi.
-Alors tu viens souvent ici ? Me demanda-t-il.
-Oui, je viens souvent, mais toi et ton copain, je ne vous ai pas encore vu souvent ici.
-Oh ! C'est normal, nous faisons de la planche sur un autre lac, et en passant nous avons vu que des gens en faisaient ici aussi.
-Ok ! Je comprends !
Son copain se joignit � nous. Et de fil en aiguille, une blague chassa l'autre, et nous �tions partis dans des fous rires incontr�lables.
Jo me demanda de lui montrer le mat�riel que j'avais encore dans mon monospace et je lui ai dis, pourquoi pas !

Nous avons alors travers� la route et nous nous sommes dirig� vers ma voiture. J'ouvris la porte coulissante et je suis mont� � l'arri�re pour d�baller une planche.
-Beau mat�riel ! Dit-il et grimpa � c�t� de moi.

Au m�me moment, il me fit basculer sur la planche et commen�a � me palper la combinaison. Surpris par l'attouchement, je voulais le repousser, mais il colla ses l�vres sur les miennes et me roula un patin du tonnerre ! Son copain Jess, ne voulant pas rester sans y go�ter, ferma la porte derni�re lui et pris la rel�ve sur mon paquet. Jo commen�ant � enlever sa combinaison jusqu'� la taille, ce que Jess avait fait avant d'entrer. J'avais devant moi un torse superbe, muscl�, o� le t�ton pointait pour me dire, vient suce-moi, l�che-moi. Ma main effleura ce t�ton, il fr�mit, nos langues et nos bouches s'�tant un court instant rel�cher. Je lui rebouffais litt�ralement sa bouche, sa langue, il adorait.

Jess, lui se tenait nu � c�t� de moi, une de mes mains alla effleurer sa poitrine o� son t�ton durci � mon contact. Jo se releva et enleva aussi la combinaison qu'il portait. J'�tais couch� torse nu, une main sur le t�ton de Jess et l'autre essayant d'enlever ce qui g�nait encore pour pouvoir offrir un spectacle convenable � mes admirateurs. Je l�chais tout et r�ussi � sortir de mon fourreau. Je les avais en face de moi, nus, beaux et excit�s. Jo m'offrit ces t�tons de nouveau, je les pris dans les mains les malaxant, les rendant dur, les l�chant, su�ant, pressant, un r�gale ! Jess, lui commen�a par me toucher la queue, il titilla les couilles, donnant un sursaut � mon �rection, qui atteignait les 18 centim�tres, bien vein�s et mon gland �tait encore un peu recouvert par mon pr�puce. Sa langue s'approcha lentement de la pointe de ma bite et d'un coup il la goba nette ! Jo �tant remont�, il m'offrit sa bite qui laissait perler le pr�cum.

Avec ma bouche et ma langue j'entrepris de lui faire honneur. Ma langue effleura ce gland l�g�rement luisant. Je pin�ais et l�chais avec mes l�vres son pr�puce, sa hampe et ses couilles le rendant fou. Il se tortillait sur mon visage comme un fou furieux, ma bouche gobant ces couilles � chaque fois qu'il descendait sur mon visage. Mes mains �cartant alors ces fesses, me permettant d'entrer plus profond�ment en lui. Il se branlait, se pin�ait la l�vre entre les dents. le voir ainsi me donna envie de continuer pour qu'il jouisse � mon anulingus. Jess me su�ait toujours, comme un fou aussi. J'�tais oblig� de le freiner en montant un genou de temps � autre, sinon je lui aurais d�j� l�ch� la sauce en pleine bouche. Les couilles, la hampe, le gland, tout y avait droit ! Un d�lice. Il me branlait aussi, lentement puis rapidement, puis su�ant, l�chant.

Ne voulant pas jouir trop t�t, j'entrepris de faire monter au plafond de mon monospace, Jess. Jo restant � genou, Jess se coucha pour le l�cher, moi je me mis � genou aussi et j'entrepris un nouvel anulingus. Le cul de Jess mouillait, cela sera plus simple de le faire grimper, il est chaud. Ils sont chauds tous les deux, de vraies salopes. Jess l�chait donc Jo, qui continua � se tortiller et moi ma langue alla p�n�trer ce cul dilat� pour le l�cher en profondeur. Jess commen�a � mettre un doigt ou deux dans le cul de Jo et je fis de pareil. Ils ne voulaient plus qu'une chose, que mon chibre les p�n�tre et les fasse jouir.

Jo se coucha alors sur Jess, ne pouvant plus attendre. J'avais donc deux culs ouverts et pr�ts pour ma p�n�tration jouissive. Jo frotta sa bite sur celle de Jess, ma queue p�n�tra lentement Jess qui �tait entrain de rouler un patin � Jo. Trois de mes doigts all�rent au m�me moment p�n�trer Jo, pour qu'il ne soit pas en reste. Mes va-et-vient furent lent et rapide. Ce cul �tait dilat� comme jamais. En me retirant de Jess, j'ai p�n�tr� Jo. Il fut surpris et l�cha un " ouiiiii !! " de plaisir. Jess se masturba, pour ne pas perdre le rythme. Jo jouissait encore plus, ce cul ne pouvait pas �tre satisfait. Il fallait encore autre chose. Oui ! Il lui fallait ma bite compl�te. Le titillant uniquement � l'entr�e, il posa ses mains sur mes fesses et me fit p�n�trer enti�rement jusqu'� la garde. Cette p�n�tration me fit ressentir l'int�rieur de ces entrailles.
-Putain, c'est bon !
-Oui, continu ! Encore, explose-moi !!

Ne pouvant presque plus tenir, je faisais des va-et-vient entre Jo et Jess. Ils jouissaient de concert, un r�gal ! Je malaxais ces fesses pour me relaxer et penser qu'il fallait encore me retenir pour ne pas venir trop vite.
-Je vais jouir ! Dit Jo, je veux ton jus, donne-moi ton jus.
-Oui, donne-nous ton jus, gicle-nous sur le visage.
Sentant que je ne pouvais plus tenir plus longtemps, je me suis retir� de Jo, j'ai enlev� la capote, me suis rapproch� de leurs visages. Ils �taient couch�s sur le dos, leurs t�tes coll�es, je me branlais, mon excitation �tait � son comble et je l�chais un premier jet en plein sur Jess, qui fut surpris, mon second je le dirigeais sur Jo, qui la bouche ouverte en avala une partie. Mon troisi�me alla sur le coup de Jo et le dernier jet sur la poitrine droite de Jess.
Je n'arr�tais pas de me convulser de plaisir, tellement je venais d'exploser. Ils souriaient tous les deux, d'un sourire qui disait, je pense que nous n'en resterons pas qu'� �a.
Nous sommes sortis de ma voiture, quelques personnes nous regardant de travers, c'�tait s�rement du au fait que la voiture avait boug� ou qu'ils aient entendu des cris de jouissance. On ne saura jamais !

Jo et Jess sont retourn�s prendre leur mat�riel, moi aussi. Nous avons �chang� nos t�l�phones en pr�textant faire de la planche ensemble. Et nous nous sommes embrass�s. Ma journ�e venait de finir dans une apoth�ose fulgurante, j'ai h�te de les revoir, pas vous ??

Munich

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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