Page pr�c�dente

Philippe

"Allo c'est Philippe tu te souviens de moi salope ?"
"Oui tr�s bien" le plan n'avait qu'une semaine "tu serais dispo pour venir me vider au bureau demain?"
"Oui � quelle heure ?"
On se fixe rendez-vous pour le lendemain � 17H. Il me demande de me pr�senter � l'accueil et de demander monsieur Philippe et d'�tre discret.

Le lendemain je me pr�sente � 16h45 � l'accueil d'une mairie et je demande � une dame de l'accueil le bureau de monsieur Philippe.
"Vous avez rendez-vous ?" me dite-elle sans me regarder.
"Oui" lui dis-je.
"Vous �tes ?"

J'ai failli r�pondre une grosse salope qui vient le vider mais je me suis retenu.

Elle lui t�l�phone et apr�s avoir eu confirmation elle m'indique son bureau au deuxi�me �tage sur la droite.
Je prends l'escalier, en ne me pressant pas. Je d�teste arriv� essouffl�. Un deuxi�me accueil m'indique sa porte. Je frappe.
"Entrez"

Et l� je vois mon Philippe, beau comme un camion, v�tu d'un costume, derri�re un immense bureau, il est au t�l�phone, me fait un clin d'oeil et me pr�sente une chaise, il continue sa discussion, je regarde au tour de moi, il y a des plans sur les murs. Il se l�ve pour me montrer qu'il se touche le paquet. Me fait signe de venir vers lui alors qu'il discute toujours.

Je me l�ve et m'approche de lui, il me prend la main et me la met sur son entre jambes. Je malaxe, il ne bande pas dur. J'adore quand c'est le d�but. Il me retourne et se frotte � mon cul.
Il raccroche enfin. Tout en se frottant derri�re moi il me dit d'une voix basse :
"�a va ma salope ?"
"Oui tr�s bien" lui dis-je
"J't'ai fait une surprise"
"Ha oui ? Laquelle ?"
"Hier j'ai bais� ma femme et je me suis pas lav�. Ma bite me d�mange. Tu vas gouter � ma femme �a m'excite."
Je suis un peu d�sabus�. Il s'assoit �carte les jambes et me fais signe de m'agenouiller. J'enfonce mon nez entre ses jambes et c'est vrai que l'odeur est in�dite.
"L�che pas le pantalon, sent ma queue � travers. Quand j'ai bais� ma femme, je pensais d�j� � notre plan. Tu vas bien me la d�crasser."

Il prends son t�l�phone et demande qu'il ne soit pas d�rang�. Il ouvre sa braguette, baisse son pantalon au mollet, il a un boxer blanc. je me jette dessus. L'odeur est rebutante et excitante � la fois. J'suis comme un fou, je fais remonter les couilles avec ma langue � travers le tissu.
Il vire le calbut. Sa queue est � moiti� d�calott�e. Le gland est tr�s rouge je le sens avant de le l�cher doucement. Elle durcit. Je le d�calote et regarde son gros gland tout rouge avec des traces blanches pas tr�s catholiques. J'enfonce le gland dans ma bouche pour le nettoyer et le soulager. Il soupire. J'aspire doucement. Il appr�cie. Puis je l�che toute la queue pour r�cup�rer ce gout bizarre mais pas d�sagr�able. A pr�sent il bande dur. Je le prends en bouche et lui taille une pipe fi�rement, j'ai les images de cette queue qui a lim� une femme la veille, �a m'excite � pr�sent. Je me d�chaine. Je lui fait une gorge profonde, qu'il bloque. J'�touffe. Il s'en fou. Il bloque encore.

"Vas y ma salope, elle t'excite ma queue hein? Elle est bonne hein? Profites en elle est � toi." il lache la pression. Je reprend mon souffle �talant une bave blanche sur sa queue et ses couilles, que je l�che imm�diatement.
"C'est bien �a" dit-il
Et je la reprends imm�diatement, alternant suce et l�che.
Je descends vers les couilles, que je maintenais jusque l� dans ma main.
"Ouais vas-y bouffe les, fais monter le jus. Putain comment je vais t'orroser."
je les fais rouler dans ma bouche, des poils se d�tachent dans ma bouche et me gratte la gorge au moment o� je les avalent. Je l�che le dessous des couilles et �videmment il fait glisser son cul pour que ma langue y acc�de.
"Non. Attends, allonges toi par terre" me dit-il en me poussant, tout excit�. Je me retrouve allong� sur le dos, il retire tr�s vite ses pompes son pantalon et son boxer gardant sa veste et sa chemise.

"Tu vas me d�crasser le cul" dit-il en s'asseyant sur ma gueule et en �cartant ses fesses. J'ai juste eu le temps de sortir ma langue et d'ouvrir la bouche. Une effluve atterrit dans mon nez. Je l�chais comme un fou ce cul offert.

"Ouais vas-y bouffe moi ce cul. Enfonce ta langue salope. Putain de salope." Son cul �tait tremp� de ma salive. Il se frottait sur ma gueule comme un fou. Il prenait son pied et j'adorai �a. Le lieu, le mec, l'histoire de ce soi disant h�t�ro qui se servait de moi apr�s avoir bais� sa femme m'excitait � un point. Mais ce qui me faisait le plus kiffer c'est qu'il savait o� �tait son plaisir sans aucune prise de t�te. Il continua longtemps. Puis il me mis sa queue dans la bouche, elle �tait dur comme du b�ton, il me pilonna la gueule comme pas possible. Lui allong� sur moi comme si il faisait des pompes. J'ouvrais en grand la bouche, il voulait un trou, je lui faisait le plus profond possible, ses couilles tapaient sur mon menton. Il s'enfon�a une derni�re fois dans ma gorge puis se releva.

"C'est bien ma salope putain qu'est-ce que t'es endurant. T'aimes le m�le toi !" dit-il en me tapotant sur la t�te. Il s'assit � son bureau, retira sa veste, sa chemise �tait tremp�e. Il l'a retira et s'essuya le torse avec, il alla ouvrir un placard o� il y avait des fringues et en repris une autre. J'�tais assis en tailleur, je le regardais aller et venir, s'habiller, plier son pantalon et remettre ses chaussures derri�re le bureau. Sa bite �tait au garde � vous. J'admirai son �tat de "m�le" bien dans sa peau, s�r de lui.
"C'est pas fini ma salope, on va finir plus cool. Tu vas venir sous le bureau, pour me la t�ter bien � fond. J'ai toujours r�v� de �a. D'avoir une bonne gueule sous le bureau. Qu'est-ce que t'attends? Viens." Je me me suis mis sous le bureau, l'espace �tait restreint, il �carta sa chaise pour que je puisse avoir plus de place. Je repris sa queue en bouche.Et lui tailla une pipe � la cool. Un long moment. Le t�l�phone sonna.
"Non j'suis encore l�, bah passe si tu veux." Il raccrocha. "On va avoir de la visite, �a mexcite" me dit-il en m'appuyant sur la t�te "sois discret mais pompe". Il mit de la musique sur son ordi et trifouilla des papiers. Je su�ais avec passion cette queue qui ne d�bandait pas. On frappa � la porte.

"Entre"
"J'te d�range pas longtemps" la voix �tait rauque "je te file le dossier et on en parle demain"
"Ok pas probl�me" dit-il en me caressant les cheveux sous le bureau"
"Bonne soir�e"
"Bonne soir�e Laurent."

La porte se referma.
"Celui l� je voudrais que tu le suces. C'est un antillais h�t�ro qui baise tout ce qui bouge, j'suis s�r que tu peux l'avoir. Tu me feras se plaisir ?"
Je le regardais, sa queue dans ma bouche, ne sachant quoi r�pondre.
"Vas-y t�te bien � fond j'vais venir." il acc�l�ra les mouvements et me balan�a son jus dans la gueule en soupirant des "ouais"
"ouais vas-y avale salope, avale mon jus, hum ouais" une quantit� impressionnante se d�versa dans ma bouche que je m'empressai d'avaler. Je gardais sa queue en bouche pendant qu'elle d�bandait, je la l�cha longtemps pour ne laisser aucune trace de cette aventure. J'�tais en eau.
Je sortis de dessous le bureau, il se rhabilla.
"J'aimerai bien te faire le cul mais avec la capote c'est pas possible pour moi. On verra hein ?"
"Oui on verra" lui dis-je

Il m'offrit un verre d'eau et on sortit en ensemble de la mairie. Il �tait 18h50. Il me glissa � l'oreille : "A bient�t salope"

ppeurdcil

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :