PAYSANJe marche sur ce chemin. C'est l'�t�, il fait chaud. Je suis torse nu sous le soleil, je transpire. Dans le champ, un peu plus loin, il y a un tracteur qui avance en faisant je ne sais pas quoi . La campagne , c'est vraiment pas mon truc. J'arrive � la hauteur du tracteur. Le paysan assis sur son si�ge me salue d'un signe de la main. C'est un mec dans la cinquantaine. Pas ras�, d�bardeur crasseux. Je marche un peu. J'entends le tracteur qui tourne au bout du champ. Je l'entends qui arrive derri�re moi. Je ne me retourne pas. Le paysan me d�passe. Il fait environ cent m�tres et s'arr�te vers un bosquet. Le paysan descend de sa machine. Il farfouille dans un sac et sort je ne sais quoi. Il va le poser sous un arbre et revient chercher un autre truc. Ah la vie myst�rieuse des paysans !!! ... Je soupir. Il s'est assis sous l'arbre et il boit du gros rouge qui tache � m�me la bouteille. J'avance, j'arrive � sa hauteur. Lui sous l'arbre, moi sur le chemin pierreux. Il m'appelle. Tu veux pas boire un coup ? j'h�site, mais il est sympa, je m'approche de l'arbre. Merci, c'est sympa. Je bois, c'est ti�de, c'est d�gueux, mais bon je ne vais pas faire ma chochotte on n'est pas au Coste. Il reprend sa bouteille et bois � nouveau plusieurs gorg�es. Il pose le r�cipent par terre. Tu veux manger un morceau mon gars ? Je n'ai pas tr�s faim, mais il est sympa, j'accepte. Je m'assois a c�t� de lui, je m'adosse contre l'arbre. Mon �paule touche la sienne. Il me tend un bout de pain et du fromage. Je mange. C'est meilleur que son vin. T'es pas d'ici toi ? Non, je suis de Paris ah bon.. je me disais aussi,... par ici y a pas de gars aussi muscl� que toi . Ah bon ? non, par ici on fait pas de sport ; a part le foot quand on est jeune, tu sais. Et il rit. Il me parle de son champ, il boit, il me parle de sa femme qui est morte voil� cinq ans. Il re re re boit. Je bois un coup pour lui faire plaisir. Il se met � pleurnicher que la vie est dur, qu'il est vieux, qu'il n'a pas de vie sexuelle. Je commence a m'emmerder, mais je suis poli, j'�coute. Soudain il me dit, tout net : Tu va �tre choqu� mais... tu voudrais pas te laisser toucher un peu, y a si longtemps que j'ai pas toucher quelqu'un ? Je suis surpris, je le regarde droit dans les yeux. Il dit T'es f�ch� ? ... tu sais, ... je suis pas une tapette tu sais, c'est juste que j'ai envie de toucher ta peau, elle a l'air si douce. Ses yeux de chien battu me font piti�. Je dis Ok monsieur, mais juste un peu alors. Il souri gentiment et pose sa main sur mon pec droit, il le malaxe, il touche mes abdos, il t�te. Il t�te aussi mes biceps. Il sourit plus. Il a l'air d'aimer �a. Je commence a avoir, non plus de la piti�, mais comme de l'affection pour ce paysan. Sa main tremble. Je lui dis Si vous voulez, on va dans les buissons et je me mets tout nu pour vous. Il me regarde, la bouche ouverte, les yeux tout ronds. Il est interloqu�. Je me l�ve, il me suit. On est dans le bosquet d'arbre, il fait meilleur ici, il y a de l'ombre plus que sous l'arbre. Il dit Tu sais mon gars, je suis pas une tapette. T'es une tapette toi ? Je dis Non monsieur, je veux juste vous faire plaisir. Il a l'air rassur�, il n'est pas une tapette, et je ne suis pas une tapette. Tout va donc �tre "normal". Merci mon gars, merci merci ! Et il me couvre de caresse avec ses mains c�leuses, je commence � bander sec. Il soup�se mes couilles, je vois bien qu'il n'a jamais fait �� de sa vie. Il est un peu maladroit. Je me laisse faire. Il a m�me pas l'id�e de me sucer la pine. Il me masturbe doucement en me malaxant les pecs. Merde... Je fais quoi, je suis fou... merde pas possible, oh la la !! Merde Je n'ose pas lui toucher le sexe. D'ailleur il ne l'a pas sorti de sa salopette. Je dis vous voulez que je vous touche aussi ? Il dit fi�rement Non, je suis pas une tapette. Il masse mes muscles J'ai tellement envie d'une queue dans le cul. Une semaine dans me faire enculer, c'est long Je lui dis Si vous voulez, vous pouvez m'enculer, on n'est pas des tapettes, mais si vous voulez je m'offre � vous pour le plaisir Il �te ses mains de moi, me regarde, l'air f�ch� et dit : Mais je suis pas une tapette, toi t'en ai une. Je dis : Oui monsieur, pour vous je suis ce que vous voulez Alors il fait quelques pas � reculons, il se gratte le menton. Il revient vers moi. Il prend mon visage, l'attire � lui et poses ses l�vres contre les miennes, j'entrouvre ma bouche et je sens sa langue entrer dans ma bouche �a sens le mauvais vin et le fromage. Mais putain que c'est bon de faire plaisir a ce vieux. Je risque ma main entre ses cuisses, il se laisse faire tout en me roulant une pelle baveuse. Je sens qu'il bande et qu'il est bien mont�, je d�fais sa braguette, je sors sa pine raide et monstrueuse, je quitte ses l�vres et je prends sa bite dans ma bouche. Il s'excuse. c'est parti tout seul, on m'a jamais fait ca, c'est vachement bon ,�a. Je savais pas qu'on pouvait faire �a.. Il rentre sa queue dans sa salopette. Il me regarde et dit J'habite la ferme juste apr�s le village � droite. Monsieur, vous ne me devez rien. J'ai eu beaucoup de plaisir avec vous, je vous aime bien. Je viendrai, mais pas ce soir ; je ne peux pas ce soir. Mais demain soir si vous voulez, je viendrai. Merci mon gars. T'es gentil toi et pis... qu'est ce que t'es beau ! C'est ainsi que j'ai fais connaissance avec la France profonde. Si tous les paysans sont aussi sympas que lui, je sens que je vais faire le tour de France l'�t� prochain. �crivez-moi pour me dire ce que vous en pensez. A plus, PascalR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |