PascalLundi pass�, j'ouvre mes mails et je trouve un mec qui m'�cris qu'il a lu mon histoire chez le kin�. Il me dit qu'il a bien aim� mais qu'il n'y croit pas une minute, que c'est du fantasme pur et que je dois surement �tre un brave p�p� devant son clavier et qui tape des histoires invraisemblables. Aussit�t je lui r�pond. Le mercredi arrive et je sors de chez moi apr�s m'�tre douch� et enduit d'huile chauffante pour me sentir bien. Je suis dans le m�tro. Des regards se posent sur mon allure. je fais semblant de rien. Je sors aux Halles et me dirige vers le parking. J'arrive � 11h 25. Il y a une dizaine de personnes qui ach�tent des boissons et autres cochonneries. Mais je reperds un mec qui me regarde fixement. Il est grand, env 180cm, maigre et il a l'air nerveux. Je m'appuie contre une colonne qui est l�. Il me m�te et mets sa main droite dans sa poche et je vois qu'il se masse discr�tement le sexe. Je souris en le fixant. Je me dirige vers le parking, il me suit, je vais dans un coin tranquille o� je sais qu'il n'y a pas de cam�ra et je m'appuie au mur, je remonte mon pull en d�couvrant mes abdos et mes pecs. Je roule mes muscles. Il arrive, il regarde. Je masse ma queue a travers mon jean's. Ma pine se durcit et fait une belle bosse, je cherche la fermeture �claire et je la descend lentement. Il regarde fixement comme un fou. Il branle sa teub avec sa main dans la poche. Je sors la mienne, grosse, longue, veineuse et bien d�calott�e. Je la sturbe doucement en me caressant les pecs. Je lui fais signe de s'approcher mais il a peur. Il fait signe que non. Je l�che mes l�vres. Je bande comme un cerf. je me pince un t�ton et je g�mis. Ce petit con n'ose pas approcher je vais jouir tout seul comme un idiot. Il pourrait me sucer la pine me caresser le torse, me faire ce qu'il veut. Quel petit con. Il se frotte la bite. Je rentre la mienne et je redescends mon pull. Je m'avance vers lui, il recule. Je lui dis: Et je marche sans me retourner; je ne sais pas si il me suis. J'entre dans un sexe shop et je descend vers les cabines vid�os. Il y a une douzaines de mecs. Des vieux lubriques, des arabes en manque et des h�t�ros qui me regardent quand m�me. Je m'installe sur un banc et j'attends. Au bout de 5 minutes je vois mon mec qui arrive. Il est affol� dans ce lieu sordide. Il me voit. Il s'approche. Je me l�ve et je me dirige vers une cabine pas trop petite. J'entre et je laisse la porte entre ouverte. Il regarde depuis dehors. Je me fous enti�rement nu, lui d�couvrant la beaut� sculpturale de mon torse bard� de muscles roulant sous ma peau imberbe et bronz�e, mes cuisse �normes cisel�es et mon sexe turgescent. Mes couilles sont pleines d'envie. Je me caresse langoureusement devant lui en me l�chant les l�vres. Il se masse la pine toujours coinc�e dans son fute. Je lui dis: il se d�cide et s'approche. Je le prends par le bras et je l'attire contre moi, je sens qu'il frissonne. Il est tr�s �mu. le contacte de mon corps muscl� et nu contre lui lui fait pousser un grognement de plaisir. Je ferme la porte. On est tous les deux dans la cabine. Ses yeux sont ferm�s, il a peur et �a se voit. je pose d�licatement mes l�vres sur les siennes et je lui entre ouvre la bouche avec ma langue. Il se laisse faire. Je mets ma langue dans sa bouche chaude. Il ne bouge pas. Je roule ma langue autour de la sienne. Il me prend dans ses bras et me sers. Il caresse mon dos, s'arr�te sur les muscles le long de ma colonne vert�brale. Il arrive � la hauteur de mon cul, ma langue est dans sa bouche. Il masse mes fesses. J'�carte les cuisses, il masse sans oser toucher mon trou du cul. Je dirige sa main vers mon anus moite de d�sirs. je sors ma langue de sa t�te et je dis: je commence a d�boutonner son pantalon je le descends sur ses chevilles, j'�te son slip. je d�couvre une pine 'environ 25 cm droite et dure, plant�e sur deux �normes boules velues et visiblement pleines. il est super monter le mec. Je me penche et je met cette merveille dans ma bouche chaude et je le suce. Pas plus de 30 seconde et il me gicle sa pur�e dans la gorge. Il y en a des litres. ce putain de mec n'a pas jouis depuis deux semaines au moins. J'avale le tout. Je me mets debout et je le fout a poils. Il se laisse faire tout en me massant les pecs. Il n'a pas encore oser toucher mon sexe. On est tout nu. Il n'est pas beau, mais sa queue est superbe. Il bande encore. Je le masturbe en malaxant ses couilles. Il me prends la queue. Je dis: alors... il se baisse et me l�che le gland doucement comme si '�tait un sucre d'orge . Il aime ca ce petit mec. Il malaxe mes burnes. Il l�che ma tige de viande. Il aime �a. Et tout a coup il se rel�ve et ouvre la porte brusquement, il se tourne vers moi et me dit fermement: "OUAI JE SUIS TA SALOPE DE PUTE DE MERDE !!! ENCULE MOI MEC !!! JE SUIS TA PUTE !!!! SOUILLE MON CORPS AVEC TON SEXE EN RUT !!!! PINE MOI !!!! JE VEUX QUE TU ME FASSE MAL !!! JE SENS TES COUILLE QUI TAPENT MON CUL DE PUTE !!! Je veux que les gens sachent que je suis un p�d� qui aime la bite des gar�ons muscl�s et puissants comme des taureaux, je veux qu'on sache que j'aime me faire p�n�tr� par les mecs, j'aime la queue, je veux sucer tous les mecs de France. Je veux que tous les bodybuilders de Paris m'enculent � fond sous la tour Effeil. Crache ta jute en moi, rempli mon trou du cul avec ta sauce de couilles gluante et �paisse." je n'en peux plus, je largue ma pur�e. Je jouis des hectolitres de jut dans ce corps de mec. Il se remplis de ma semence laiteuse et gluante. Il se bouche le nez et ferme sa bouche, le jut ne trouve aucun sortie. Je remplis de plus en plus ce corps jusqu'� ce qu'il se mette � gonfler comme une baudruche. Je le remplis de jute, pas saccade de foutre chaud, je le remplis plus qu'� fond, je me vide en lui. Il est plein de mon sperme, il est gonfl�, pr�s a exploser. Il se retourne, me regarde et ouvre la bouche. Des flots de ma jute en sort, se rependant sur le sol jusqu'� la hauteur des genoux des vieux qui lapent mon bon sirop de couilles. On baigne dans mon jut. On s' �clabousse dans mon sperme. Je suis vid�. le mec en a qui lui sort m�me des oreilles et des narines. J'ai jamais jouis comme �a. Et ma queue est encore pr�te, raide comme un essieux. Je me branle devant le visage d'un vieux qui a la bouche ouverte et la langue tir�, il veux de mon breuvage couillu dans sa bouche. je lui �jacule dans la t�te. C'est Niagara. Il y a des litres de jute qui saute des queues de tous ces hommes, un arabe se suce sa propre queue et se jouis en lui-m�me. Il avale sa cr�me qui fini par lui sortir du fion et de tous les orifices. Un h�t�ro nage dans le foutre. Un autre la boit goulument . Et soudain un jeune culturiste entre et vient me l�cher le torse, il titille mes t�tons de salope. Il est nu et offre son corps � tous ces messieurs. Son cul ouvert se prend toutes les queues les unes apr�s les autre. On est tous luisant de foutre. Il me suce en se faisant enculer;Je caresse son corps muscl�, tout gluant de tous nos spermes m�lang�s; je sens ses muscles qui roulent sous mes mains expertes. Il aime se faire baiser! il aime les caresses. Il aime se faire tarauder le fion. Il aime l�cher mon corps majestueusement muscl�. Nos v�tements sont tous englu�s dans la jute. On est tous � poils. On jouis tous une derni�re fois et on sort du sexe shop tout nus. Les gens nous regardent. J'aime que les gens me voient nu. J'aime savoir que les h�t�ros vont rentrer chez eux et se masturber dans leur chiotte en pensant � mon allure sportive et � ma queue lourde. J'aime me faire enculer. je suis une salope. M�me si tu ne veux pas que j'en sois une, ton Pascal qui attend un mot de toi et qui veut ta queue au fond de son cul de pute de mec en feu. PascalR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |