Pas question que je me mette en couple !Je suis un casseur de cul. Je n'ai jamais fait l'amour avec un mec. C'est une expression qui peut arriver � me faire d�bander. Moi, les mecs, je les baise, je leur d�fonce le trou du cul, je les bourre � grands coups jusqu'� ce que je les entende crier de douleur. �a m'excite que le mec que je dilate me supplie: "Non! D�conne pas, tu me fais mal, tu vas me d�chirer !" Si les larmes commencent � couler, j'y vais encore plus fort. Je le tiens bien par les hanches et, quitte � me faire un peu mal, je redouble de violence et de brutalit�. Pourtant, c'est assez rare que je baise deux fois le m�me trou. Je me finis en me branlant seul devant le cul que je viens de d�foncer. Je suis pas mal (1,85 m pour 80 kg) et trouver un cul � baiser quand je l'ai raide, n'est jamais tr�s long. Je fais craquer facilement les petits minets. En plus, d�s qu'ils voient ce que j'ai � leur mettre, une belle bite de vingt et un centim�tres de longueur pour quinze de circonf�rence, ils ne sont jamais d��us. Pour moi, les mecs ne sont que des trous du cul. En dehors de la baise, je me fous pas mal de leur compagnie. Je n'aime m�me pas trop me faire sucer. Pourtant, si ma bite a d�j� �jacul� dans un cul et qu'elle est toute poisseuse, j'aime bien me la faire nettoyer avant d'aller me chercher un autre trou. C'est dans les chiottes que je voulais me le faire. Je m'approche de lui et j'y vais franco: "Suis-moi, j'ai un gros morceau pour toi." II est ravi. Ses yeux s'illuminent, sa bouche sourit et il me sort b�tement: "Tu vas pas le regretter." Une fois enferm�s dans les chiottes, je lui demande de mettre vite son cul � l'air. Il me r�pond: "D�sol�, mais je ne fais que des pipes, moi !" Il m'a encore plus �nerv�. Je lui ai balanc� une claque dans la figure. Il a port� sa main � sa joue en me disant: "Non mais �a va pas !" Il s'en est pris une seconde, de l'autre c�t� cette fois. Du coup, il s'est retrouv� avec ses deux mains coll�es aux joues: "Ton cul, et vite maintenant ! J'ai assez perdu de temps !" "T'en fais pas! Moi, j'encule les mecs tr�s bien. Tu vas voir. .." Je le fais tourner et je le place moi-m�me en position, les deux mains contre le mur, les jambes bien �cart�es et les fesses cambr�es au max. Son cul est parfait, lisse, rond et muscl�. Au milieu, l'anus est imberbe, rose au centre avec la peau brun�tre et pliss�e sur l'ext�rieur. Avec un doigt, je juge sa r�sistance. Il a du mal � s'ouvrir, �a ne sera pas facile mais pas impossible. Je fesse un peu le jeunot, histoire de l'�chauffer. �a marche ! Il bouge le cul, comme un qui ne dit plus non. Je prends sa main et je lui fourre ses doigts dans sa bouche, puis je tire cette main dans son dos pour qu'il s'humidifie le trou du cul. Mais juste une fois : ce n'est pas pour lui, c'est pour moi, pour ne pas avoir trop mal en entrant !... Le type tremble encore. Il me supplie une derni�re fois d'une voix � demi �touff�e. Mais c'est trop tard, mon gland est d�j� pos� sur sa rondelle. Il n'a pas vu ma queue mais il sent son diam�tre au passage entre ses fesses: "Non ! Arr�te! Je vais aller demander de la vaseline � un copain." J'attrape ses couilles et je les �crase dans ma main: "Tu restes l� et tu la fermes ! Compris ?" Je me plaque contre son dos, le cul en arri�re et je le bloque bien pour l'emp�cher de bouger. Premier coup de reins, �a n'entre pas et il crie. Il me supplie encore, mais j'�crase ses couilles pour le faire taire. Une fois que mon gland tout entier est pass�, il ne me reste plus qu'� pousser en tirant le type vers moi jusqu'� ce que ses fesses viennent buter sur mon ventre. J'ai l'impression d'avoir la queue prise dans un �tau br�lant, ce qui me fait bander encore plus. J'ai du mal � aller et venir mais d�j�, j'entends l'autre sangloter. Il ne sait pas que �a m'excite encore plus ! J'acc�l�re de plus en plus. Son trou du cul oppose de moins en moins de r�sistance. �a glisse et j'en profite. Je me d�cha�ne entre ses fesses, je le lime � grands coups de bite tout en le branlant assez s�chement. Il retient ses cris en serrant les dents. Je pose une main sur son visage et sens que ses larmes coulent. Du coup, j'explose, je l'inonde, je le remplis de foutre et je sens le sien qui gicle sur mes doigts. Je me retire et je contemple mon travail. C'est bien rouge mais la rondelle s'est vite referm�e. Une semaine apr�s, je le revois dans la m�me bo�te. Je m'attends � ce qu'il me tire la gueule, mais au contraire, il se pr�cipite sur moi :" Tu sais... Pendant trois jours, j'ai pas pu marcher, mais je ne t'en veux pas. J'ai recommenc� avec un autre copain et finalement, �a me pla�t beaucoup. Si tu veux..." etienne02R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |