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Mon Ouvrier

Ce soir, une petite envie me d�mange dans le bas du dos. Apr�s une rapide douche et l'application d'un peu de gel, je mets un short en jean et un t-shirt et sort me balader dans les rues de ma ville. Devant le faible nombre de regards int�ress�s ce soir, je me d�cide d'aller voir du c�t� d'un WC public bien fr�quent�.

D�s mon arriv�e, je ne suis pas d��u: il y a du monde. Il y en a m�me un qui ne me laisse pas le temps d'entrer et me fait une proposition des plus directe:
- Suis moi dans un endroit plus tranquille afin que nous ne soyons pas d�rang�s par ces mateurs.

Je le d�taille: grand, large d'�paules, muscl�, bronz�, burin�. Ce n'est s�rement pas le genre � fr�quenter les salles de musculation et les solariums mais plut�t un manuel ayant atteint la quarantaine. � cela s'ajoute un visage doux et souriant et une braguette des plus prometteuses. Je lui demande o� il pense aller et il me r�pond:
- Au bord du lac pour commencer, apr�s on verra... La promenade au bord du lac est encore fr�quent�e par de nombreuses familles et couples h�t�ros qui profitent de ces quelques heures de frais avant une bonne nuit. Ce n'est pas vraiment l'endroit id�al � mon avis mais je me laisse entra�ner. L�, sur un banc un peu � l'�cart, il me dit qu'il ne peut pas m'emmener chez lui, il est en colocation, mais il n'a pas envie de faire �a � la sauvette dans un lieu public. Je lui dis de venir chez moi.

Arriv�s chez moi, je lui propose � boire et le temps d'aller chercher verres et gla�ons dans la cuisine, je le retrouve en jockstrap devant ma collection de DVD. Il est encore plus app�tissant qu'habill�... M'entendant rentrer dans la pi�ce, il se retourne brusquement et l�, je laisse presque tout tomber par terre: sa queue n'est que tr�s partiellement cach�e par le tissu qui n'a jamais d� pouvoir la contenir en entier: elle doit faire pr�s de 25cm et elle n'est pas encore totalement �rig�e!

Pendant que je lui sers un verre, il choisit un DVD X o� un petit jeune se fait prendre en gang bang par un groupe de noirs bien b�tis. Une fois la lecture lanc�e, il s'approche de moi, me d�shabille, m'enlace, me caresse avec une grande douceur. Puis je m'agenouille et entreprends de sucer le bout de sa queue qui, m�me si elle ne s'allonge plus, prend du volume; je sais d�j� que je ne pourrai jamais en prendre plus de la moiti� en bouche. Je redouble d'ardeur et entreprends de l�cher son membre sur toute la longueur. Lorsque je me remets � le sucer, il fait de l�ger mouvements de va-et-vient et tente de faire entrer un maximum de sa bite dans ma bouche.

Puis je l'entra�ne sur mon lit o� nous nous mettons t�te-b�che. Je continue mes caresses buccales et lui, apr�s m'avoir bri�vement suc�, entreprend de me l�cher la rondelle, de l'�carter avec un puis deux doigts - le gel mis en d�but de soir�e l'aide bien. Il me demande si j'ai un gode afin de me pr�parer au mieux pour la suite. Je lui r�ponds que oui, dans la table de nuit mais que je suis certain qu'il ne pourra pas me mettre sa queue en entier. Il me dit que l'on verra �a. Apr�s une pr�paration tout en douceur avec le gode, il met un pr�servatif (�a existe vraiment en cette taille?) et entreprend de me p�n�trer tout doucement.

Le passage du gland est douloureux mais il me laisse le temps pour m'habituer puis entreprend de me p�n�trer un peu plus profond. Il y va progressivement, lentement, en redoublant de caresses sur mon corps et ma bite - que c'est bon et douloureux � la fois. Puis il s'arr�te brusquement, se retire presque compl�tement et revient en force et me p�n�tre de toute sa longueur. Je pousse un hurlement de douleur, l'insulte, souffre... Il ne bouge pas et au bout de quelques instants, se met � faire de l�gers va-et-vient en moi. Je sens un plaisir inconnu monter en moi et je jouis rapidement sous ses coups de boutoir. Les palpitations de mon cul le font aussi jouir.

Nous nous �croulons sur le lit, tendrement enlac�s. Nous entendons les cris pouss�s par le petit jeune de la vid�o qui tourne encore au salon. Il me demande si un tel gang bang fait partie de mes fantasmes car il a vu un certain nombre de DVD de ce genre. Je lui r�ponds que oui, mais qu'il faut d'abord laisser le temps � mon cul de se remettre de ce qu'il a subi aujourd'hui...
Il me propose de nous revoir demain chez moi et que le jour o� je me sentirai pr�t, il pourra m'emmener dans sa colocation, ses cinq camarades sont pr�t � r�aliser mon fantasme m�me s'ils ne sont pas tous aussi tendre que lui.

Le lendemain dans la matin�e, je re�ois un SMS me demandant d'aller acheter un plug et de d�j� le porter en rentrant du travail afin que la soir�e soit moins douloureuse pour mon cul. Lors de la pause de midi, je me rends dans un sex-shop et choisis un petit plug noir l�g�rement moins grand que le gode que j'ai d�j� et en profite pour en acheter un nouveau de taille plus respectable.

Apr�s avoir planqu� mes achats dans mon casier, j'ai de la peine � me concentrer sur mon travail durant tout l'apr�s-midi car je me pose la question de la sensation du plug sur le chemin du retour. Juste avant de partir, je me rends discr�tement aux WC et m'enfile le plug doucement. La dr�le de sensation, une l�g�re g�ne, lorsque je me mets � marcher ainsi rempli ne s'estompe pas sur le chemin du retour; j'ai vraiment l'impression d'�tre rempli et le plug se rappelle � moi lors de chaque pas.

Vite, ne pas oublier de faire les courses, rentrer chez moi, prendre une douche et pr�parer le repas. � peine j'ai ouvert la porte de mon appartement que je re�ois un autre SMS me demandant de confirmer le port du plug. Pour faire court, je fais vite une photo avec mon portable et envoie un MMS.
Une heure plus tard, il sonne et d�s qu'il est entr�, me demande de me d�shabiller et me dit que je dois d�s � pr�sent toujours �tre nu lorsque je le re�ois; n'ayant pas de vis-�-vis, cela ne pose pas probl�me. Avant de passer � table, il me demande une fellation - compl�te. Il tente plus d'une fois de me forcer � prendre toute sa queue mais ma glotte l'en emp�che � chaque fois. Une fois qu'il soulag� sur mon visage, nous passons � table.
Apr�s le repas, il me demande de le remettre en forme, puis il me donne un pr�servatif afin que je couvre sa queue et m'empale dessus. Certain de pouvoir choisir le rythme de p�n�tration, une fois le plug retir�, je commence � descendre tout lentement sur sa queue mais rapidement, il me prend par les hanches et me p�n�tre en une seule fois. � mes cris, il me r�pond que je n'avais qu'� acheter un plug de la bonne taille et pas un si petit... Il change plusieurs fois de position et me fait jouir par deux fois avant de se r�pandre en moi.

Apr�s une petite heure de repos o� je me blottis tout contre son corps protecteur, il me r�veille en me massant le dos. Je commence par caresser sa queue puis la prends en bouche, toujours �merveill� par la taille de l'engin. Une fois bien dure, il me laisse la mesurer avec un m�tre de couturier: 30,5cm de longueur pour un diam�tre de pr�s de 5cm... Puis il me prend encore une fois. Il semble que mon cul s'habitue � sa queue (ou ne s'est pas encore referm�!) car pour la premi�re fois, je ne ressens pas de douleur lorsqu'il me p�n�tre.
Il reste pour la nuit et part avant que je sois r�veill�. En me levant, je trouve un petit billet sur la table me demandant de le rejoindre � midi sur son chantier, sans oublier de mettre le plug toute la matin�e car il ne peut me voir le soir.

La matin�e est longue: impossible de me concentrer sur mon travail avec le plug qui se remet en place � chaque mouvement. M�me la pause-caf� n'apporte aucun r�confort et l'incertitude quant � savoir ce qui va se passer � midi me rend nerveux.
Peu avant midi, je quitte le travail. Heureusement que son chantier est dans mon quartier, cela me laisse plus de temps pour �tre avec lui. Arriv� sur place, je remarque que je ne suis pas le seul � venir sans �tre en habits de chantier. Dans quel traquenard me suis-je fourr�? Je le vois enfin arriver, il me salue et me dit:
- Mon petit Chris, c'est bien, tu ne t'es pas d�gonfl�. Je n'�tais pas s�r que tu viennes aujourd'hui!

� la question de savoir qui est l'autre qui attend � c�t� de la cabane du contrema�tre, il me r�pond que c'est l'assistant de l'architecte qui vient faire pardonner l'arrogance et le m�pris de son patron. Et il ajoute:
- Comme �a, tu assisteras une fois pour de vrai � un gang bang.
Puis nous entrons dans le b�timent, rejoignons le quatri�me �tage dans un recoin derri�re deux palettes de mat�riel qui nous permettent de voir sur le plateau de l'�tage non encore divis� en appartements sans �tre vu. Il y a d�j� une quinzaine d'ouvriers pr�sents qui discutent et plaisantent entre eux. Le monte-charge ext�rieur arrive et une acclamation accueille l'assistant de l'architecte. Un homme d'une cinquantaine d'ann�e, un peu bedonnant, donne de la voix et exige qu'il leur fasse un striptease en musique. Alors qu'il met en route la radio-cd pr�vu pour cela, mon ouvrier me pr�cise � l'oreille qu'il s'agit du contrema�tre et que de toute fa�on, il passera en premier quoi qu'il arrive.

Une fois nu, l'assistant est install� � quatre pattes sur deux palettes vides sur lesquelles un peu de mousse isolante et du plastique ont �t� install�s. Le contrema�tre me tourne le dos, ouvre sa braguette et lui ordonne de le sucer. Le sexe semble avoir de la peine � rentrer dans la bouche �tant donn� que le contrema�tre le gifle plusieurs fois et ce n'est qu'� la quatri�me tentative qu'il se met � lui baiser la gueule. Apr�s quelques minutes, il se retire, se place maintenant dans mon axe de vue, t�te l'anus d'un puis de trois doigts. Le gland, tr�s large, aura de la peine � passer! Il est encore plus large que celui d'Antoine mais la queue est plus courte.

D'un grand coup de reins, le sexe du contrema�tre p�n�tre l'anus et arrache un grand cri � l'assistant. Cette premi�re p�n�tration est suivie imm�diatement, sans tenir compte des cris du jeune homme, d'all�es et venues du large sexe. Les ouvriers se d�braguettent les uns apr�s les autres, comme si la p�n�tration avait �t� le top d�part et se font sucer � tour de r�le. Certains �jaculent tr�s rapidement sur le visage ou dans les cheveux du jeune homme, d'autres observent la rondelle d�fonc�e. Dans un grand cri, le contrema�tre �jacule sur le dos de l'assistant. Il est imm�diatement remplac� par l'un des ouvriers qui sera suivi par tous ceux n'ayant pas �jacul� ou ayant reband�.

Au bout d'une heure, le contrema�tre est seul avec l'assistant. Il se fait sucer encore une fois et lui �jacule sur le visage. Il lui donne ensuite l'ordre de repasser la semaine suivante � la m�me heure.

Depuis le d�but, je sens la queue tout raide d'Antoine dans mon dos. Il me demande de me d�nuder. Je prends appui sur notre cachette et il me p�n�tre brutalement apr�s avoir enduit mon petit trou d'un peu de gel. Nous jouissons presque en m�me temps. Il me dit ensuite de retourner travailler et de passer le chercher � la sortie du bureau.

Le soir venu, lorsque j'arrive � proximit� du chantier, Antoine me fait signe de le suivre � nouveau dans le b�timent, direction le sous-sol cette fois-ci. Arriv� dans une petite cave, je vois un confortable nid d'amour: un grand lit et une table avec un couvert pour deux. Nous prenons rapidement notre repas puis nous allongeons sur le lit. Quelques instants plus tard, j'ai sa belle verge dans ma bouche. Puis il me prend par les hanches et m'empale sur son engin. Apr�s plusieurs changements de position, il �jacule sur mon ventre puis me branle jusqu'� ma jouissance.

correspond � mon fantasme de gang-bang et, apr�s avoir tourn� autour du pot, si cela me tente... Je lui r�ponds que oui, mais seulement avec son accord et en sa pr�sence.

Chris-Jean

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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