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Massage

Me voil� allong� sur la table de massage nu.
Mon m�decin m'a dit, au vu des radios, vous n'avez rien de cass�, vous devriez vous faire masser, je peux vous envoyer � un masseur qui est bon, qui masse beaucoup de sportifs, il est un peu sp�cial mais efficace en cas de claquage de muscles.
Bernard le masseur avec qui j'avais pris rendez vous m'a ouvert la porte en slip et j'ai tout de suite remarqu� que ce slip �tait bien gonfl�.
Nous traversons un �troit couloir et Bernard me fait p�n�trer dans une petite pi�ce nue, avec au milieu la table de massage, un fauteuil dans lequel Bernard m'invite � poser mes habits et, dans un coin, sur un gu�ridon, des flacons sans doute d'huiles de massage.
Je suis Bernard, me dit-il, et si tu permets on se tutoie. D�shabille-toi.
Dans un premier temps je garde mon slip, h�sitant, mais Bernard me dit :
Mets-toi � poil, et sur le ventre.
J'enl�ve mon slip, je bande � demi.

Tu es beau gar�on, me dit Bernard, �a va me changer des rombi�res que je masse le plus souvent.
Tu masses plus de femmes que d'hommes ?
H�las, beaucoup plus et si encore c'�tait de jolies nanas, mais c'est toutes des bourgeoises sur le retour, pleine de cellulite et de varices qui n'ont rien � foutre que venir se faire masser et essayent de m'aguicher. Mais il faudrait me payer cher pour que je leur donne le coup de queue dont elles r�vent.
Je con�ois dis-je qu'elles aient envie d'un coup de ta queue, tu es beau gar�on toi aussi.
C'est aux cuisses que tu as mal ? Tu pr�f�res talc ou huile ?
Oui je suis tomb�, je n'ai rien de cass�, cela a �t� v�rifi�, mais j'ai d� m'�tirer brutalement des muscles. Tu peux y aller � l'huile.

J'ai de l'huile camphr�e, �a pue un peu mais c'est bon pour les muscles.
Je ne pense � rien, je ferme les yeux et d�cide de me laisser faire. Les mains de Bernard se posent sur moi, enduites d'huile, et commencent � parcourir mes cuisses et me fesses en pressant et malaxant. Cela fait du bien, c'est agr�able et relaxant. Bien qu'ayant fait le vide dans ma t�te, je trouve au bout d'un moment que les mains de Bernard passent bien souvent entre mes fesses, effleurant mes couilles et ma rondelle. Ce n'est pas d�sagr�able mais je tiens � en avoir le coeur net :
Ce n'est pas au cul ni aux fesses que j'ai mal, mais eux cuisses, surtout la gauche.
Tu n'as pas confiance ?
Si, si, dis-je.
Alors tourne-toi.
Je me retourne et j'ouvre les yeux.
Bernard rigole.
Pourquoi tu rigoles ?
Tu bandes bien ! Mes mains sur tes fesses ne t'emp�chent pas de bander !
Si je ne me trompe pas, tu bandes pas mal aussi.
C'est vrai, et si tu permets je vais �ter ce slip.
Enl�ve, enl�ve.

Je vais toucher ta bite, tu peux toucher la mienne si tu veux, dit Bernard, en se d�faisant de son slip et en faisant appara�tre une bite magnifique, raide, droite, soigneusement �pil�e.
Je ne suis pas gay.
Allons, allons, dit Bernard, j'ai bien vu que tu ne d�testais pas que je caresse un peu tes couilles et la raie de ton cul !
Fais ce que tu voudras.

D�j�, Bernard a vers� de l'huile sur mon ventre et commenc� � m'en enduire consciencieusement tout le bas ventre, le haut des cuisses, les hanches et aussi bien s�r la bite et les couilles. Et ses mains s'activent : ce n'est plus un massage, ce n'est pas une caresse, c'est une v�ritable symphonie de caresses, et ce sont des vagues de plaisir qui m'inondent et se r�pandent dans mon corps tout entier.
Yeux ferm�s, muet, je me laisse envahir par un plaisir d'une intensit� que je n'ai pour l'instant jamais ressentie. Dix fois je pense que je vais exploser, mais diabolique, Bernard, en serrant un peu fort la base de mon gland stoppe la mont�e du sperme et retarde l'�jaculation.
La douzi�me fois quand m�me est la bonne et je gicle � longs traits, plusieurs fois de suite, Bernard trayant ma queue comme un pis de vache, et le sperme se r�pandant sur ma poitrine.

Michel

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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