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Massage glissant

J'ai recrois� le chemin de Samuel il y a peu. Nous �tions tr�s proches � la fac. Et �a nous semblait tout naturel de poursuivre l� o� nous en �tions rest�s. Nous prenons beaucoup de plaisir � passer des moments ensemble, de temps � autre.

Cet apr�s-midi il me pr�vient qu'il n'a pas la grande forme. Des douleurs au dos apr�s un d�m�nagement acrobatique. Je lui propose de se voir quand m�me. Je vais le d�tendre avec un massage, c'est le minimum.

Il commence � se d�shabiller dans le salon, il pense que je vais m'occuper de son dos sur le canap�.
- pourquoi pas le canap� ? Pourquoi tu fais cette t�te-l� ?
Je rigole. " je ne travaille pas � la sauvette sur un coin de canap' ! Va t'installer dans ma chambre, j'arrive"
Il ne fait pas de mani�res et il est ob�issant ! Il monte les escaliers, son tee-shirt � la main. Son dos s'est muscl� ces derniers temps. Sans doute gr�ce � la salle qu'il fr�quente depuis quelques temps. Il gravit les marches de sa d�marche d�contract�e. Il a beaucoup d'allure avec ses cheveux mi-longs. Les atouts de la quarantaine qui s'�panouit !

Je lui ai dit de se d�shabiller et de s'allonger sur mon lit. Je passe � la salle de bain chercher mon huile. J'ai toujours un flacon d'une bonne huile de massage, pour les d�tentes occasionnelles et les douleurs passag�res. Il est baiss�, en train d'enlever ses chaussettes, lorsque je reviens. Je le d�taille un peu mieux. Il a chang� en quelques ann�es. Ses cuisses sont plus muscl�es, ses �paules aussi. Et il y a tous ces poils qui couvrent sa poitrine jusqu'� son bas-ventre...
Il me regarde avec une interrogation dans le regard, et quelque chose d'un peu maladroit dans son attitude. Comme s'il �tait un peu intimid�. Pas son genre pourtant. Je fais l'effort de d�crocher mon regard de ses pectoraux aux t�tons larges et bruns.
- tu n'as qu'� t'allonger l�, dans la longueur. Laisse ta t�te d�passer au bord, �a t'�vitera d''avoir mal au cou.
- ah ok ! Je n'ai pas � faire � un d�butant on dirait ! Je suis entre de bonnes mains, c'est cool.
Je me sens d�contenanc�. Je laisse mes mains jouer avec la bouteille d''huile, par r�flexe. Je ne sais plus quel genre de massage je voulais lui faire... Il se retourne, pose un genou sur le lit et va pour s'allonger. Son boxer bleu se tend sur ses fesses. Il a bien pris un peu de bide, mais toutes ces petites rondeurs sont � mes yeux plut�t charmantes. Et de dos il n'y a rien � dire.
La bouche s�che, je laisse glisser mon regard vers ses reins, �pouser la forme de son cul que je devine ferme, et descendre vers ses cuisses. Quelques poils blonds plus longs remontent le long de sa jambe et s'insinuent dans son boxer, qui baille l�g�rement. �a ne dure qu'un instant. Mais un �clair de chaleur m'envahit, remontant de mon ventre jusqu'� ma t�te. Il se tourne vers moi. Je dois avoir l'air h�b�t�.
- �a ne va pas ?
Affichant un sourire de la gamme " d�tendu-cool " je r�ponds sans le regarder en face :
- si, je me demande seulement si cette huile est la plus adapt�e, mais en m�me temps, je n'ai plus que celle-l� ! "
Je hausse les �paules pour me donner une contenance, " on va s'en d�brouiller. "
Samuel affiche un large sourire confiant. Il est allong� sur le ventre, appuy� sur un bras. J'�vite ses cuisses du regard. Elles sont solides, �cart�es dans le d�hanchement qu'il op�re pour me regarder.
- t'inqui�te, j'ai toujours davantage cru aux bienfaits du masseur que de son mat�riel ! " Et sur ce, il s'aplatit en poussant un soupir. Sa nuque massive retombe. Elle se prolonge par des �paules plut�t carr�es et un dos muscl� qui s'amincit vers la taille. La lumi�re r�duite qui entre par la fen�tre dore ses mollets ronds. Ils les a moins poilus que ses cuisses, mais plus doux.
Je n'ai pas assez de mes yeux pour le toucher.,
- je te masse tout le dos ? �a ne te fera pas de mal de toute mani�re.
- je vote pour, grommelle-t-il, la bouche enfouie dans la couette.
Je retire mon tee-shirt pour �tre plus � l'aise de mes mouvements, je pense que �a va �tre du boulot.

En un rien de temps je suis en nage. Quelques gouttes de transpiration tombent de mon front sur son dos. Il respire moins fort depuis quelques instants. Endormi sans doute. Ses muscles sont tendus et je fatigue � m'acharner sur ses �paules muscl�es et contract�es. Je r�pands encore plus d'huile sur ses omoplates et la fait p�n�trer par des mouvements larges. Peu � peu il se d�tend. Sa t�te roule de gauche et de droite selon mes mouvements. Je fais glisser mes mains vers le milieu du dos. Je travaille ses flancs. Il semble compl�tement abandonn�. Je pose mes paluches huileuses sur ses reins, o� sa douleur est localis�e. C'est une zone que je trouve tr�s �rotique, chez un homme. Blottie au bas du dos, souvent offerte aux regards, se d�voilant sous une ceinture de jeans, pas intime mais presque. Mon sexe r�agit � mes pens�es qui s'�garent. Je respire un grand coup en passant le dos de ma main grasse sur le devant de mon boxer.

Toujours � genoux au-dessus de lui, j'enjambe sa cuisse droite pour faciliter ma position, et limiter la fatigue de mon propre dos.
Mes mains huil�es remontent sur ses flancs et glissent de haut en bas sur sa colonne. L'huile me facilite la t�che. J'ai l'impression de le caresser � travers un voile, comme s'il �tait presque nu, offert. J'insiste sur ses reins par des mouvements concentriques plus appuy�s. Je suis pench� au-dessus de lui. Ses bras sont relev�s, d�gageant ses aisselles. Ses poils sont l� tr�s fournis, plus fonc�s, et humides de sueur.
Je ne sais pas s'il dort vraiment mais l�, je m'en fous. Je fais remonter une main le long de ses c�tes et caresse au passage le dessous de son bras. J'insiste un peu, comme pour le d�tendre. Je me fais plaisir. Il a un sursaut. Chatouilleux ? J'appuie plus fermement pour faire disparaitre cette g�ne passag�re. Je suis bien excit�. Pench� au-dessus de son dos, j'absorbe les effluves musqu�es de son corps qui se m�lent � celles de l'huile. Je me penche un peu plus, ram�ne ma main droite � mes narines. Mon sexe gonfle. J'�carte les cuisses par r�flexe. La bosse de mon short touche son boxer. Puis � nouveau, au fil de mes mouvements. Je n'insiste pas, mais j'ai une gaule ph�nom�nale.
Le probl�me c'est que je ne porte rien en dessous. C'est une esp�ce de short de jogging. L�ger, mais pas discret pour les �rections.
Je fais redescendre mes mains et r�chauffe ses reins par des mouvements amples qui descendent sue les c�t�s. Je me penche, mes mains s'insinuent presque � lui toucher l'aine. Il g�mit doucement. Un grognement qui monte de sa gorge, ou de plus bas...
- oui c'est l�... Ouah c'est bon, tu peux appuyer fort, �a ne me fait pas mal quand je suis allong�. Mais bordel qu'est-ce que c'est bon."
Je ne reconnais pas Samuel, enfin pas celui que je croyais connaitre. Ouvert d'esprit, certainement. Ouvert � tout ? Peut-�tre pas...
Au diable les h�sitations. Il m'a chauff�, je n'arrive pas � me contenir. J'ai les couilles br�lantes, la queue qui me lance tellement elle est tendue. Je la prendrai bien � pleine main pour me soulager, l� tout de suite. Un frisson d'excitation me remonte le long de la colonne, pulse dans ma t�te.
- Je vais foutre de l'huile sur ton boxer si je continue comme �a, tu peux baisser un peu la ceinture ?
- Mm ? Il tourne la t�te sur le c�t�. Le bout de sa langue vient mouiller ses l�vres. " j'aurais d� l'enlever tout � l'heure directement ". Et d'un mouvement de reins il d�colle son ventre du lit, se met presque � quatre pattes. Son cul plus clair se rapproche de moi. Il fait glisser son boxer bleu le long de ses cuisses. J'aper�ois furtivement ses couilles bien rondes qui ballottent furtivement entre ses jambes. Son membre parait �pais, le gland du moins. Son dernier v�tement atterrit par terre. J'ai super chaud. Je passe ma main dans mon sous-v�tement qui devient trop �troit, et coince sous ma ceinture ma gaule encombrante. Samuel s'est rallong�. Il n'a pas vu mon geste. Ses jambes sont maintenant davantage �cart�es, d�voilant la raie poilue de son cul. Mes yeux la fixent, puis glissent vers ses couilles chaudes et lourdes. Il rel�ve son bassin un instant pour remettre sa bite en place. Son geste est viril, assur�. Ses fesses se sont contract�es un instant sous mes yeux. Je suis en train de mouiller.

J'oublie un peu le massage th�rapeutique promis. Je caresse son cul de ma main encore huileuse. Je ne sais pas trop ce qu'il va en penser. Ses reins ondulent imperceptiblement. Sa main droite descend le long de sa cuisse et remonte sur la mienne. Je loupe une respiration.

- merde, j'ai mis trop d'huile.
Elle forme une flaque dans le creux de ses reins, une mare presque. Je referme h�tivement le flacon.
- ne bouge pas, �a va aller.
Il sort de sa torpeur et grommelle un "hum, quoi ?" en tournant � demi la t�te.
- bouge pas !
Trop tard. L'huile glisse vers le haut de ses fesses, s'insinuer dans sa raie plus sombre. Une fraction de seconde d'h�sitation. J'y glisse un doigt pour ralentir la coulure. Puis un deuxi�me que je colle au premier en les remontant vers son dos. Il �carte les cuisses. R�flexe ?
Je vois le liquide gras continuer � glisser vers ses bourses. Son anus, lisse, est brillant, d'huile ou d'autre chose ?
Je l�ve les yeux vers sa t�te. Il s'abandonne. Son dos est relax�. Je repasse un doigt le long de sa raie l�g�rement poilue. J'�tale carr�ment l'huile. Je me fais plaisir.
Ses cuisses sont largement �cart�es, �a n'a pas l'air de lui d�plaire non plus. Je mate ses couilles gonfl�es �cras�es sous son corps. Elles roulent au rythme de mes mouvements, au rythme de son bassin. Tangage lent, intense. Son cul puissant monte vers moi par vagues. Je salive. Je ne sais pas de ma bouche ou de mon gland lequel est le plus mouill�. J'insinue en le vrillant mon index dans son cul, qui le happe.
Samuel grogne. Il soul�ve son bassin. Ses cuisses se crispent. Je vois son cou se tendre et et ses �paules rouler. Le plaisir semble le traverser de part en part. Il d�plie son bras droit et lance sa main � l'aveuglette vers moi. Elle remonte le long de ma cuisse et m'�lectrise. Ses doigts larges et chauds saisissent ma queue hyper band�e. Ils me caressent avec une certaine rudesse tr�s jouissive. Il sort ma trique. Pris par surprise, je g�mis lorsqu'il se met � me pincer le frein. Je suis � deux doigts de juter. Je me ressaisis, et j'enfonce deux doigts bien profond, qui atteignent sa prostate. Il se cambre en feulant. Il en profite pour me serrer lentement le mandrin � peine main, c'est presque douloureux.

Je ferme les yeux quelques instants, j'ai perdu tout contr�le l'espace d'une respiration. Je ressors ma main doucement de son cul et lui masse le trou.
Je rouvre les yeux. Son regard lubrique est fix� sur moi. Il s'est tourn� sur le c�t�. Je baisse les yeux vers sa pine, tendue en un arc bouillant de testost�rone vers son nombril.

Turgescente et �paisse. Son gland cramoisi est presque d�calott�. Luisant de mouille.
Il me branle le gourdin tout doucement avec sa grosse paluche. Elle est gorg�e de sang et vibre dans sa main chaude.

Je me rapproche insensiblement de son cul, au rythme des mouvements de son bras. Sa raie est moite, offerte, ses grosses bornes ballotent entre ses cuisses. J'ai envie de l'enculer. Je ne pense plus qu'� �a.

Garou

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