Les ouvriers.Les travaux de restauration �lectrique de l'appartement commencent aujourd'hui. J'ai 24 ans, je suis grassouillet mais mignon (1.80, les yeux noisettes, ch�tain, petite moustache et petit bouc). Mais une question me vient avant qu'il ne laisse ses ouvriers commencer leur bouquant infernal. Pour les toilettes comment je fais. Il m'explique que l'eau va �tre coup�e et que je ne pourrais pas utiliser mes wc. Il place un vieux seau devant moi en me disant, un peu amus�, que pour aujourd'hui, je dois pisser l�-dedans. Je fais une t�te de six pieds de long en me disant que c'est une blague. Et c'est parti, le chef laisse ses ouvriers et se rend sur un autre chantier. Les ouvriers s'affairent � droite et � gauche. Ils d�montent, d�vissent, d�placent, percent, trouent, tapent etc. C'est un bruit assourdissant qui r�sonne dans l'appart'. Seul sur ma chaise, je n'arrive pas � me concentrer sur mon livre. Je suis depuis une heure sur ce chapitre. Je vois passer ses mecs qui savent tr�s bien ce qu'ils veulent et ce qu'ils font visiblement. Chacun � sa pi�ce attitr�e. A mes cot�s, l'homme semble tr�s pris par son boulot. Je l'ai entend se parler fort de pi�ce en pi�ce dans une langue que je ne connais pas. Il fait tr�s chaud aujourd'hui, les fen�tres sont ouvertes et comme les meubles sont entrepos�s devant, l'air circule mal. Mon camarade bosse dur visiblement. Il est accroupi depuis un bon moment maintenant. Des aur�oles apparaissent sur son tee-shirt et son jean baisse de plus en plus. Son bas du dos se voit de plus en plus. Il a les reins poilus tout comme ses bras. Il est mal ras� comme ses coll�gues mais toujours tr�s souriant quand il me regarde. Plus �a va plus son jean bouge. Maintenant sa raie des fesses appara�t. Je sens pointer une �rection dans mon pantalon que j'essaie de ma�triser. Je me calme rapidement quand il remonte son jean. Ca bouge pas mal dans la baraque, je vois entrer et sortir quelques mecs avec des outils et des appareils qui font un bruit �pouvantable. Il fait si chaud que certains sont torse nu. Ils sont poilus et baraqu�s mais pas muscl�s. Je suis fatigu� pour eux. A un moment l'un d'entre eux entre dans la pi�ce et regarde par terre comme s'il cherchait quelque chose. Quand il voit le seau devant moi, il interpelle son pote � mes cot�s et lui demande quelque chose. L'autre lui r�pond sans que je comprenne mais ma surprise est l�. Le mec se place au dessus du seau, d�boutonne son jean, sort sa bite et pisse devant moi. Une fois termin�, il se d�calotte pour faire tomber la derni�re goutte d'urine et range son sexe dans son jean en me regardant avec un large sourire. Je suis surpris et troubl� par cette vision. �videment je ne m'attendais pas � �a. Mais ce qui suit va encore plus me " perturber ". A peine cinq minutes apr�s, un autre ouvrier torse nu et tr�s poilu, entre dans la pi�ce et se place lui aussi devant le seau. Il fait glisser la seule brettelle de sa salopette et la d�boutonne. Il se retrouve en slip gris qu'il baisse aussi pour pisser. Il tient sa bite d'une main et urine en me regardant comme si c'�tait naturel pour lui. Mon " compagnon " depuis ce matin n'est pas pass�. Au moment o� je n'y crois plus il est vient devant moi et pisse. Il est excitant comme tous les autres d'ailleurs. Ils poss�dent tous de belles queues : environ 18/20cm. A chaque fois ma braguette se soul�ve. Le petit jeune n'est pas venu piss� lui. Mais bient�t moi aussi, une envie de pisser me vient. Je me retiens le plus possible mais je n'en peux plus. Il me la secoue doucement pour me faire comprendre qu'il faut que je finisse mon affaire. Avec difficult� je vide ma vessie. Il me d�calotte pour m'�goutter la queue. Puis ils me poussent vers la table recouverte d'un vieux drap. Ils me d�shabillent en m�me temps qu'eux. Ils ne sont pas beaux mais tr�s excitant. L'un d'entre eux ferme la porte et je sais maintenant que je suis � eux. Ils m'appuient sur les �paules pour que je me baisse. Ils sortent maintenant leur sexe de leur jeans ou de leurs salopettes et se branlent devant moi. Ils sont c�t� � c�t� et le premier pose sa main sur ma t�te et me force � le sucer. J'engouffre sa queue �paisse et le pompe goul�ment. Sa bite n'est pas forte en go�t comme je le pensais. Il penche la t�te en arri�re, ferme les yeux et mord ses l�vres pendant que je lui t�te le poireau. Il murmure quelque mots que je ne comprends pas, il doit penser � une femme qui doit le sucer. Il a un mouvement de recul mais il est vite retenu par le mec qui l'approche du groupe. Il parle � ses potes qui lui r�pondent s�chement et le maintiennent par les bras pendant qu'un autre le d�sape. Il a une belle et longue queue molle le minet. Il est d�j� tr�s poilu pour son �ge. Une fois � poil, ses potes me l'am�nent et me force � le pomper. Je n'ai pas besoin qu'on me force je suis ok depuis le d�but pour tout. Apr�s un peu de r�ticence au d�but, le jeunot se laisse faire. Il ferme les yeux lui aussi et g�mit une peu. Je crois qu'il ne sait jamais fait sucer par un mec. Il bande tr�s vite. Sa queue devient tr�s longue. Et bient�t je n'arrive qu'� lui sucer le gland. Ses camarades se branlent en me regardant faire. Ils m'arr�tent, me rel�vent et me collent contre la table recouverte d'un drap blanc. Ils me forcent � me pencher sur cette table. Je suis pli� en deux, ma t�te est plaqu�e contre ce vieux tissu. L'un d'eux m'�cartent les jambes et me tape sur les fesses. Je sens quelque chose de froid qui d�gouline sur ma raie poilue. Un premier doigt s'enfonce et me p�n�tre l'anus pour me le travailler. Pas longtemps car j'aper�ois qu'on am�ne le jeune vers moi. Deux mecs le tiennent par les �paules et un autre � mes c�t�s, lui tient sa bite bandante pour me la mettre dans le cul. Sans m�nagement je sens la longue queue du jeune dans mes entrailles. Pas le temps de respirer qu'il me ramone d�j� le cul. Ses compagnons l'encouragent � me baiser visiblement tout en se masturbant eux aussi. Tr�s vite le jeune ressort et �jacule sur mes fesses. Il semble soulag� et honteux. Il s'�carte du groupe pendant qu'un autre prend sa place. L� aussi pas de douceur, on m'encule nerveusement et on jouit rapidement. Un troisi�me vient m'enculer toujours brusquement. Leurs bites me font mal mais ils se foutent de mes cris et de mes g�missements de douleur. Le quatri�me ne m'encule pas mais se masturbe simplement sur mon cul d�goulinant de sperme. Une fois leurs couilles vident, ils rigolent, se f�licitent et se rhabillent en me laissant l�. Ils se remettent au boulot comme si de rien n'�tait. Je me redresse, un peu perdu, en regardant mon compagnon toujours l� qui s'est remis au boulot. Je m'essuie les fesses sur le coin du drap presque machinalement. Je reste le pantalon baiss� sur les chevilles � comprendre un peu ce qui s'est pass�. Me voyant perdu l'ouvrier vient vers moi. Tr�s protecteur il me ram�ne � ma chaise et me parle. Je ne le comprends pas. J'ai un peu envie de pleurer. Il s'agenouille pour �tre � ma hauteur et m'embrasse sur la bouche. Son baiser est tr�s tendre. Je lui rend son baiser en glisse une main vers sa braguette. Il me fait comprendre que je ne peux pas lui toucher la bite. Voyant que je bande dur, il me branle �nergiquement sans fa�on. Il fait �a presque m�caniquement. Je jouis vite, il s'essuie les mains au mieux et reprend son boulot. Je suis toujours assis sur ma chaise. J'ai mal au cul, j'ai la bite molle et encore un peu baveuse et le pantalon sur les chevilles. Il me faut presque 15 minutes pour me rhabiller et retrouver mes esprits. La fin de la journ�e se passe comme si de rien n'�tait. Une ou deux fois un ouvrier est venu pisser. J'ai mat� leur queue pour me les mettre en m�moire. Vers 17h, le chef est revenu. Il a v�rifi� le travail ex�cut� et s'est excus� pour l'odeur de transpiration de ses ouvriers. Il les a engueul� pour n'avoir pas assez a�r� les pi�ces. Si il savait d'ou venait l'odeur ! Ils sont repartit en me souriant. L'un d'entre eux m'a envoy� un baiser comme pour me traiter de pute. Le petit jeune m'a regard� presque d�sol� et mon " compagnon " de la journ�e m'a donn� un baiser sur la joue discr�tement en me murmurant " marci ". J'ai compris qu'il me disait " Merci ". J'�tais mal � la fin de la journ�e mais en y repensant c'�tait extra de se faire baiser par ses ouvriers turcs. J'ai appris le lendemain qu'ils vivaient � plusieurs km d'ici et que lors des chantiers ils habitaient dans des baraquements sur des chantiers et qu'ils ne voyaient leurs femmes que rarement. J'ai compris pourquoi ils m'avaient baiser si " bestialement ". Fred R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |