Cyrillo

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Jouissance anale 5

Ahmed, le pi�ge � salope

J'�tais encore accroupi, sur mes l�vres tra�nait du sperme, lui, il s'�tait d�j� barr�. Qu'est-ce qu'il fallait que je comprenne ? Qu'est-ce qu'il me restait � faire ? La prochaine fois ? Quand ? Pourrais-je attendre ainsi sans savoir combien de temps ? Demain ? Une semaine ? D�cid�ment ce type m'aga�ait au plus haut point. Sans compter ce don qu'il avait pour m'humilier, me ridiculiser, se foutre de ma gueule et me prendre pour un con. Quand je suis avec lui, j'ai envie qu'il parte, qu'il me foute la paix. Quand il s'en va, j'ai envie qu'il me dise quand il reviendra. A peine parti, je pensais d�j� � sa prochaine visite.

Je me suis relev�. J'avais envie de juter moi aussi. La queue toujours en �rection malgr� son d�part. Et je me retrouvais seul, comme un con. J'avais attendu sa venue toute la journ�e. Il �tait d�j� reparti. Il m'avait interdit de me toucher pendant que je me prenais sa bite au fond de la gorge. J'en voulais encore de sa bite. Mais je voulais me la prendre au fond de mes intestins. Et je voulais aussi sentir son corps sur moi, ses grosses mains me caresser les fesses, ses doigts me p�n�trer, ses mains remonter le long de mon �chine, s'agripper � mes �paules, serrer mon cou. Et vas-y que je te baise comme une chienne... Bref j'avais plus que jamais des envies de sexe et lui, si bandant �tait reparti sans qu'il me satisfasse. Par sa volont�. Pour me punir ? Mon �tat d'insatisfaction ne faisait qu'attiser mes griefs contre lui et pourtant, dans un m�me temps, j'aimais cette attitude de m�le absolu, qui d�cide, qui me soumets � ses d�sirs et uniquement les siens, m'utilise quand bon lui semble et de la fa�on qu'il souhaite, dans la position qu'il juge la plus am�ne � �pancher ses besoins. En fait et pour r�sum�, �tre son objet.

Et puis toujours cette lancinante question qui me revenait. Qu'avait-il voulu dire en me quittant " la prochaine fois, tu sais ce qu'il ;te reste � faire ? ". Et bien non, justement, je ne savais pas. Quand il est l�, dans mon appart, il m'intimide tellement que je n'ose pas lui poser de question.

Et puis maintenant, je fais quoi ? Je me branle et me fous au pieu ? Je reprends mes godes ;et m'astique la rondelle jusqu'� cracher mon jus ? Il ne devrait pas y en avoir pour tr�s longtemps ni m�me besoin de me toucher la bite pour arriver au r�sultat final. Pourtant, j'avais envie d'autre chose, enfin plut�t d'une vraie queue tout simplement. Je repensais � la sienne. J'aurais tant aim� voir tout son corps, nu, le d�shabiller, le toucher, l'embrasser. Voir ses couilles les soupeser, les l�cher, les gober. Non rien de tout cela n'�tait arriv�. Je n'avais droit qu'� me prendre sa queue dans la bouche. Comme ap�ritif, c'est bien. Mais maintenant j'en voulais plus. Il avait agit de telle fa�on qu'il m'en donnait un minimum, juste pour exciter mes sens et ma curiosit�, juste pour avoir ce d�sir d'en vouloir plus, encore un peu plus. Il est venu deux fois chez moi, je ne connais toujours pas son pr�nom. Pire, je n'ai jamais vu ses couilles ni pu les toucher. Tout juste j'ai pu les sentir fr�ler mon cul le premier soir. Si ce n'est pas du sadisme, je ne sais pas ce que c'est !

Je sentais en moi monter la col�re. Je d�cide donc de sortir et me venger. Ah �a ne te plait pas que je fasse la f�te � mon anus avec mes godes en attendant ta venue, et bien tant pis, ce soir, pour ta peine, je vais le donner � tous ceux qui voudront bien le prendre, mon cul... Et ils ne s'en priveront pas, eux ! Sur le champ, je d�cide de retourner dans le bar de cet apr�s midi. L�-bas, il y a une �norme bite qui va bien me d�chirer. J'esp�re bien qu'il sera encore l�. La bas, y'a plein d'Arabes. Je devrais bien r�ussir � m'en taper un certain nombre.

Ni une ni deux, j'enfile un jock-strap et je file.

La frustration de ne pas avoir pu me repa�tre de ce corps et de cette queue autant qu'il m'aurait plu, avait en fin de compte d�cupl� mes envies sexuelles. J'en voulais, des pines, encore et encore. Je ne pensais qu'� �a. Des petites, des grosses, des propres, des odorantes, des fromag�es, des droites travailleuses, des courb�es vicieuses, toutes, il me les fallait toutes. J'en �tais l� dans mes pens�es quand j'ai aper�u devant moi l'enseigne du bar. Mon coeur s'est remis � battre � toute vitesse. Quelque pas encore et j'�tais devant l'entr�e. L'humiliation de cet apr�s midi me revenait � l'esprit. J'ai ralenti le pas. Et si je faisais fausse route, si tous ces mecs n'�taient l� que pour m'humilier, m'avilir... j'ai approch� de la devanture et j'ai regard� discr�tement � l'int�rieur pour voir si par hasard je ne reconna�trais pas un ou plusieurs des types de cet apr�s midi. Le m�me barman �tait bien l�, et un type du groupe des 4 qui �taient accoud�s au comptoir cet apr�s-midi... mais il ne me semblait pas voir celui qui m'avait montr� sa si grosse teub dans les toilettes. J'�tais d��u mais en m�me temps, je me souvenais bien plus de sa queue que de son visage... peut �tre �tait-il l� lui aussi avec d'autres types assis aux tables du fond ? Car en effet, � cette heure, il y avait encore plein de monde et je ne pouvais pas distinguer tous les visages. J'ai allum� une clope en ne sachant pas trop quoi faire. Je n'osais pas entrer mais mon besoin de queues �tait trop puissant pour que je reparte.

Je r�fl�chissais � ce que j'allais faire quand j'entendis une voix tout juste derri�re moi " D�j� de retour ! Tu sais ce que tu veux, toi au moins !". Je n'ai pas eu le temps de me retourner que l'inconnu m'avait coll� sa main au cul. Un l�ger frisson me parcourut. Ma braguette gagna en volume. " Viens, suis moi, je connais un endroit plus calme qu'ici pour faire ce qu'on a � faire " dit � nouveau cette voix derri�re moi, juste � mon oreille. L'excitation me gagnait. " D'accord, je te suis " lui r�pondis-je. Je me suis retourn� et cet alors que j'ai aper�u le petit vieux de cet apr�s midi ! Je suis rest� bouche b�e, immobile.

- Oui, je sais bien que c'est Ahmed que tu voulais voir...

- Je voulais juste...

- D�sol� mais je ne sais pas o� il est. Allez viens, ne fait pas ton timide, je vais te d�tendre tu vas voir...

- Je voulais juste...

Il a pos� une main sur mon �paule tandis que l'autre me tordait le bras dans mon dos.

- Viens je te dis. Si tu es gentil, t'auras ta r�compense !

Il avait une voix tr�s douce, tr�s calme mais il se montrait d'une force implacable. Je ne pouvais rien faire d'autre que le suivre. Nous avons fait quelques pas ainsi puis avons pass� franchi la porte d'immeuble qui jouxtait le bar. Une fois dans l'escalier, il a desserr� son �treinte et m'a fait passer devant.

- Au deuxi�me mon ami ! M'a-t-il ordonn�.

Il avait une sorte d'emprise sur moi. J'ob�issais sans mot dire � ses ordres, pourtant je n'avais aucune envie de baiser avec ce type. Il devait avoir une cinquantaine d'ann�e, plut�t petit, des lunettes et des muscles assez fermes si j'en juge par sa poigne, grisonnant. Une chose est s�re, rien de m'excitait chez ce type. Nous sommes entr�s chez lui. Une grande pi�ce assez sombre, dans un coin un petit matelas pos� � terre, dans un autre, une petite table et des poufs autour.

- Vas-y, assieds toi. Je t'offre un th�.

Il s'est assis en face de moi. Il m'a servi le th�. En buvant il me d�visageait. Il y avait un grand silence entre nous. J'�tais g�n�.

- Moi, j'aime bien regarder les petites salopes dans le blanc des yeux avant de les baiser... Je ne suis pas comme toi !

- Pourquoi vous dites cela...

Ces mots crus tranchaient avec son attitude aimable, accueillante, pacifique.

- Parce que tu ne penses qu'� la bite d'Ahmed, tu crois que je ne le sais pas peut �tre ! Tu ne penses qu'� sa queue et tu voudrais te l'enfourner dans tous les trous. Moi, c'est ta petite gueule qui m'int�resse, ta petite gueule de blanc bec avant que je te baise et pendant que je te baise. Je veux voir la douleur et le joie que je te donne et que te procure ton cul � travers tes yeux, tu comprends. Ton cul, je m'en tape. Mais ce que j'aime, c'est voir les petites gueules des p�dales de ton esp�ce pendant qu'elles se font ramoner, leurs yeux avides de queues, leurs implorations silencieuses pour en avoir encore plus, une plus grosse, plus lourde, une qui s'enfonce encore plus, qui te d�chire encore plus, plus fort, plus loin, toujours plus... Ahmed, lui, il ne s'int�resse pas � toi... il se tape d�j� toutes les gonzesses qu'il veut... alors ton petit cul de p�d�... il s'en bat les couilles. Il t'a montr� son zob pour t'exciter, c'est tout. Il s'en fout de ta gueule et ton cul, c'est le cadet de ses soucis. Il fait juste �a pour moi... pour qu'elles reviennent, les petites p�dales de ton genre. Ahmed, c'est mon pi�ge � salope ! D�s que j'en ai rep�r� une, hop ;, je lui fais un signe et Ahmed lui montre sa queue dans les toilettes. Parce qu'un petite chienne de ton esp�ce, �a va toujours tra�n� dans les chiottes pour renifler la pisse des Arabes. Et tu vois, �a marche � tous les coups... J'aime voir les salopes de ton esp�ce et leur faim de bites jamais satisfaite... Tu comprends ;j'esp�re ? parce que c'est �a que tu vas me montrer maintenant. Allez, fous-toi � poil !

Son ton est devenu plus vindicatif m�me s'il n'y avait pas de violence, m�me s'il ne gueulait pas. En tout cas, il devait avoir un secret parce que je n'avais pas envie de baiser avec ce type et pourtant je lui ob�issais sans qu'il me contraigne par la force. A son ordre de me d�saper, j'ai ob�i. Certes je n'en menait pas large car je ne savais vraiment pas o� j'allais et ce qu'il avait dans la t�te, ce petit vieux vicieux. Lui il restait assis sur son pouf. Il matait le moindre de mes mouvements. En baissant mon jean, j'ai eu un instant d'h�sitation, et puis qu'y faire maintenant, je n'avais plus le choix. Je me suis alors retrouv� en jockstrap. A ma surprise, je bandais en m'exhibant devant ce type qui ne provoquait pourtant aucun d�sir physique en moi. Ce devait �tre la situation, juste la situation. Il m'a alors demand� de bouger devant lui, de me retourner. " Il est beau ton cale�on " qu'il a dit en se foutant de ma gueule.

- Vas-y remue de la croupe. T'inqui�te, j'en ai d�j� bais� pas mal des putes de ton esp�ce. J'en ai vu d'autres !

Dire que j'�tais � l'aise, c'est beaucoup dire ! Je n'osais pas trop bouger et pourtant j'aimais me montrer ainsi dans mon jock-strap.

- Bon sang, ondule du bassin, montre-moi ce que tu veux et o� tu veux ! Assume tes d�sirs ! Oui c'est �a, vas-y bouge bien des hanches, caresse-toi, penche-toi en avant, fais-moi voir ta fente.

J'�tais un peu trop raide ;pour bien bouger ! Je suis assez pute de caract�re mais pas trop exhibitionniste... Et puis je craignais que mon trou soit encore tout graisseux et que �a se voie.

- Penche-toi en avant je te dis. Caresse-toi le fion et enfile-toi avec tes doigts. Montre-moi o� sont tes d�sirs !

- Non, je ne peux pas. Je vais partir...

Partir ! Mais tu rigoles... Tu n'as qu'une envie : te faire mettre. Et pour �a, tu serais capable de bien pire pour y arriver !

Et je craignais en effet qu'il n'ait que trop raison. C'�tait cela qui �tait humiliant. Depuis quelques jours, je d�couvrais de nouveaux aspects de ma personnalit�, aspects difficiles � assumer ! En tout cas, depuis que j'�tais chez lui, cet �trange type, je n'avais jamais tent� de partir. J'aurais pu prendre la porte � tout moment pendant son discours. Mais non, rien, j'�tais l� et j'y restais. Consentant en somme. Il s'est alors lev� et m'a demande de me foutre cette fois-ci compl�tement � poil. J'ai accept� sans r�ticence. Il a fait le tour de moi. Me jaugeait comme si j'�tais du b�tail, me t�tait la nuque, les seins, les abdos, me flattait le cul. Son petit jeu a fini par m'exciter � nouveau. J'ai recommenc� � bander malgr� moi, malgr� ce que je pensais de mes envies. Puis, il s'est d�shabill� � son tour pour se retrouver en slibard. Il �tait maigre, poilu. Il s'est plac� derri�re moi, ma serr� dans ses bras. Il serrait fort. J'avais du mal � respirer. Il embrassait ma nuque. Ses mains parcouraient mon ventre, ma poitrine, s'attardait sur mes seins.

- D�tends-toi ch�ri, je sais ce qui te fait plaisir, t'inqui�te pas. Tu l'auras ta r�compense.

Il m'embrassait la nuque. Son souffle chaud remontait dans mes cheveux. Sa langue atteignit mes oreilles. Il la fit glisser � l'int�rieur. J'�mis malgr� moi quelques petits g�missements de plaisir sensuel. Ce type savait faire fondre ses proies ! Il est venu face � moi. Il rigola bruyamment : j'avais la queue tendue comme jamais.

- Et tu voulais partir ! Dis-moi plut�t ce que tu veux, ce que tu aimes, vas-y dis-le-moi, ce que tu veux que je te fasse. Et je te le ferai... Vas-y dis-le-moi, qu'est-ce que tu veux, qu'est-ce qu'une bonne petite salope comme toi pourrait bien vouloir... Vas-y dis-le-moi, je m'arrangerais pour r�aliser tes voeux...

- Je... euh... j'aime bien quand on me caresse et puis je... euh

- Vas-y crache le morceau, vas-y...

- J'aime bien quand on me prend... enfin c'est-�-dire...

- Oui, vas-y, vas-y dis-le-moi ton voeu le plus cher...

- Merde oui ! Hier au soir, j'ai joui du cul comme je ne croyais pas que c'�tait possible. ;J'ai toujours aim� qu'une une bite me travaille le fion, me dilate, me d�chire pendant des heures jusqu'� �puisement mais hier soir c'�tait encore plus fort... c'�tait... c'�tait...

Et bien, suffisait de le dire poulette. On va se mettre au boulot tout de suite alors...

Fin de l'�pisode 5.

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