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Le jouet

Suite � une annonce sur internet, un homme dominateur m'a contact�, se disant tr�s int�ress� par mes d�sirs.

Selon sa description, il a 50 ans, est brun, mince et tr�s membr�.

Je l'appelle et nous convenons d'un rendez-vous � son domicile.

Je sonne � la porte de sa maison, situ�e dans un lotissement de Cavaillon.
Un homme m'ouvre et me dit : " bonjour, vous �tes Olivier ? " .
J'acquiesce et il me fait entrer sans autres paroles.

Une fois dans son salon, il s'assoit sur un divan, pr�s d'une table basse, et me dit " d�shabilles-toi lentement ".
Je m'ex�cute sous son regard. Une fois nu, il me fait venir pr�s de lui, m'attache au cou un collier en cuir avec des anneaux, me menotte les mains dans le dos et relie la cha�ne des menottes au collier ; puis il me lie les chevilles avec une barre qui m'oblige � garder les jambes tr�s �cart�es.

Par gestes, il me fait me pencher en avant sur la table basse, jambes �cart�es et tendues.
L�, tout en commentant ce qu'il voit comme s'il parlait � une petite femelle, il me caresse les fesses, les �carte � deux mains puis passe son doigt en appuyant doucement dans le sillon fessier.
Il appuie l�g�rement sur l'anus puis continue lentement sa descente jusqu'� mes testicules ; il les caresse doucement puis en triture chacune du bout des doigts ; il les isole, les �tire, les serre du bout des doigts puis dans le poing mais sans serrer trop fort, je peux encore supporter la douleur.
Enfin, il passe � mon p�nis , le tire vers le haut, entre les fesses . Il d�couvre le gland et le presse entre deux doigts jusqu'� ce qu'il soit tout blanc, exsangue ; puis, le tenant � sa base, il tire le gland vers le bas tout en me tenant les couilles tir�es vers le haut afin de m'emp�cher de me baisser ; il tire progressivement de plus en plus fort et termine par quelque coups secs, comme s'il voulait le d�crocher. .

Il fait cela lentement, avec soin ; tout au long de la s�ance il prendra son temps, effectuant s�vices et plaisirs m�thodiquement et calmement.
Il se l�ve, pousse la table basse et m'attache chaque cheville � un pied. Puis il me masturbe et, une fois que je suis bien tendu, il me serre la base du p�nis avec une cordelette pour m'emp�cher de d�bander.

Il enl�ve son pantalon et son slip (je constate alors qu'il n'a pas menti : m�me au repos, il a la taille d'un salami), s'assoit devant moi et me fait s'agenouiller entre ses jambes ; il me dit " au travail ".
Je lui suce les couilles puis la base du p�nis mais cela lui fait peu d'effet et ne lui suffit pas : il se penche, m'attrape les couilles par derri�re et les serre ; " avale tout " dit-il ; contraint par la douleur, je m'efforce de le prendre compl�tement en bouche, distendant mes m�choires et essayant d'oublier le go�t ; il continue � me triturer les testicules et � me les supplicier (les tirant, les �crasant, les tournant) pour ponctuer chacun de ses ordres jusqu'� ce qu'il soit si dur et si gros que je ne peux garder en bouche que le premier tiers de son p�nis.

Il me rel�ve en me tenant par les couilles, me d�tache les chevilles de la table et me met un b�illon tr�s efficace (je m'apercevrai vite que seuls des g�missements �touff�s le traverse) puis il m'attache, sur le dos, sur la table ; il fixe la barre des jambes au collier et, ainsi, mon cul d�passe, offert, de la table ; je suis compl�tement ouvert et � sa merci.

Il joue � me secouer les parties sexuelles de son pied nu puis � me pi�tiner les testicules ; la douleur me remonte dans le ventre mais je ne peux rien faire.
Il me gifle alors le p�nis, le faisant balancer puis prend une palette de cuisine en bois et joue � me faire valser le p�nis avec ; d'abord, avec des petits coups l�gers puis de plus en plus vite, comme s'il s'agissait d'une balle de jokari, jusqu'� ce que mon sexe me cuise .

Il passe alors aux testicules qu'il fait sauter par en dessous, doucement ; puis il les secoue en les tapant de chaque cot� ; pour finir, passant par dessus, il les tape comme si elles n'�taient que des grosses mouches � �craser ; je hurle mais il ne tient aucun compte des sons �touff�s.

Il allume alors une bougie � vis d'un diam�tre respectable et joue � me chauffer le gland en le tenant entre deux doigts ; puis il chauffe, par en dessous, les testicules et finis par l'anus jusqu'� ce que celui-ci, dilat� par la chaleur, s'entrouvre.
Cette chaleur est excitante : parfois douce et agr�able, parfois l�g�rement douloureuse, elle m'excite par l'id�e que toutes mes parties sont � la merci du moindre �cart.

Il me remplis alors le rectum de gel et me visse la bougie, �teinte et elle aussi pr�par�e avec du gel, dans l'anus.
Il la rallume, m'enl�ve le b�illon, me met un coussin �pais sous la t�te et me dit " pr�pare moi pour que je d�fonce � fond ton joli petit cul, et d�p�che toi si tu ne veux pas que ta merguez et tes petits rognons ne soient cuits � point" ; il m'enfonce sa bite dans la bouche et je met du cour � l'ouvrage, su�otant et aspirant : je sens d�j� la chaleur de la bougie sur mes fesses et mes parties sexuelles.

Une fois tendu, il met un pr�servatif, enduit de gel, sur son sexe monstrueux, �teint et d�visse la bougie puis se positionne entre mes fesses.
Malgr� sa pr�paration, je r�siste et il ne parvient pas � forcer l'entr�e ; il me saisit alors les couilles et les serre dans son poing ; je me rel�che sous la douleur et il en profite pour faire passer � son gland le barrage ; tr�s lentement il me pistonne, tout en me masturbant (il a enlev� l'�lastique) et en me triturant les couilles de son autre main ; il finit par jouir et me finis en me masturbant (il m'a �tir� la peau du gland au maximum en me tirant les couilles qu'il triture) ; au moment o� je jouis, il me serre les couilles � fond dans son poing ; je jouis et j'agonise � la fois.

" Bien ", dit-il, " Je sens que tu vas me plaire ; attends toi � des surprises � notre prochaine rencontre"

mecs