Cyrillo

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Le Fils d'un Soldat - 2EME partie

Une fois dans ma chambre, je me suis allong� sur mon lit, les bras crois�s sur le corps. J'avais envie de pleurer tant je m'en voulais. Je ne comprenais pas ce qui m'avait pris. Et je redoutais ce que mon p�re pouvait maintenant penser de moi. Il allait penser que j'�tais une fiotte et il ne souhaiterait probablement plus m'adresser la parole. Je me sentais faible.

J'entendis ses pas dans les escaliers, attendant ce moment depuis plus d'une demi-heure d�j�. Ma respiration s'arr�ta net. Je me demandais : Est-ce qu'il monte pour me montrer ce qu'il pense des tapettes ? Alors que je n'en �tais pas une. Non, c'�tait juste arriv� sans que je ne m'y attende. Le son de ses pas lourds s'arr�ta juste devant ma chambre. Je sentais battre le sang dans mes veines. Personne ne frappa � la porte, mais je pouvais entendre sa respiration. Il traversa finalement le couloir et entra dans sa chambre. Je me retournai sur le ventre et je commen�ai � sentir contre ma peau les parties souill�es de sperme sur mon t-shirt.

Le lendemain matin, mon p�re �tait d�j� parti quand je me suis lev�. Il partait toujours avant que je ne me l�ve. Je ne pouvais pas pr�tendre que son d�part faisait suite aux �v�nements de la veille, compte tenu de ses habitudes. J'allai dans le salon et je regardai la sc�ne du " crime ", le canap�, la cuisine, la bouteille de bi�re que mon p�re n'avait pas jet�. Son torse puissant et sombre, ses biceps en mouvement, sa bouche... Les images me revenaient � l'esprit comme des flashs. J'attrapai mon sac � dos et je filai directement au lyc�e.

Je rentrais tard � la maison ce soir. Mon p�re �tait d�j� entrain de d�ner quand je passai le seuil de la porte. Je balbutiai un " salut " discret. Sans r�ponse. Il �tait assis � la table, portant un vieux jean d�lav� et un t-shirt avec le nom de son r�giment. Il �tait pieds-nus. Il mangeait son repas en silence, laissant seulement entendre le son de son couteau contre le fond de son assiette. J'entrepris de r�chauffer mon repas dans le micro-onde et je m'assis en face de lui � table. Il ne leva pas les yeux. Je pouvais voir sur son visage la m�me expression de col�re et de honte qu'hier soir.

" Je suis d�sol� papa " commen�ai-je apr�s un long silence. Il leva alors la t�te et soutint mon regard. Ses yeux �taient aussi noirs que du charbon et son regard aussi froid que la glace qui semblait nous s�parer.

" Je suis vraiment... "

" Ne le sois pas " a-t-il r�pondu s�chement en levant la main. " Plus jamais " a-t-il poursuivi.

" Oui, monsieur " ai-je jug� bon de conclure. Car malgr� ses 35 ans, mon p�re �tait plut�t de la vieille �cole. Quand je n'�tais qu'un enfant, il m'avait appris � r�pondre " oui, monsieur " quand on avait un reproche � me faire.

Je reposai ensuite mes couverts et je montai dans ma chambre.

La tension entre mon p�re et moi demeura largement perceptible les jours suivants. Je d�testais me retrouver dans la m�me pi�ce que lui autant qu'il pouvait d�tester de me voir. C'�tait trop g�nant pour nous. Je me branlai plusieurs fois en pensant � lui, ce qui �tait �trange, car je n'avais jamais pens� � un mec jusque l�, encore moins � mon p�re. Je rejouais de nombreuses sc�nes dans ma t�te, encore et encore alors que je manipulais avec vigueur mon membre dress�.

Parfois, c'�tait exactement comme cela s'�tait pass� ce soir l� : lui dans la cuisine, moi sur le canap�. D'autres fois, c'�tait diff�rent. J'entendais la porte s'ouvrir, sa silhouette apparaissant dans le couloir. Il massait sa nuque apr�s une dure journ�e � la base. Il entrait dans la cuisine, d�boutonnait sa chemise en exhibant ainsi son corps muscl� de soldat entra�n�. Il massait son torse, faisant aller et venir ses mains sur un corps solide. Il glissait la main sous l'�lastique de son cale�on pour attraper sa queue, la sentir grossir dans ses mains puissantes. Il regardait alors dans la p�nombre et me voyait allong� sur le canap�, entrain moi aussi de me branler. Mes yeux �taient ferm�s, je profitais des sensations offertes par mes caresses sur mon gland gonfl� � son maximum. Je n'avais alors aucune id�e d'avoir �t� rep�r�.

J'imaginais ensuite que mon p�re s'approchait en silence jusqu'� me surplomber en se positionnant derri�re l'accoudoir. Je prenais soudain conscience d'un changement dans l'atmosph�re et j'ouvrais les yeux pour apercevoir juste au dessus de mon visage, la large main de mon p�re entourant une queue impressionnante. Il avait sa main gauche pos�e sur les hanches et il entreprenait de donner un coup brusque de bassin en ma direction.

" Eh bien... Qu'est-ce que nous avons l� ? On dirait qu'on a une recrue dans le viseur. Es-tu entrain de penser � ta nana soldat ? Tu penses � ses l�vres enroul�es autour de ta tige, t'enfon�ant en elle jusqu'� ce remplir sa bouche de ton foutre ? Ou est-ce que t'es en train de penser � enculer une belle paire de fesses ? Les fesses de quelqu'un que tu aurais vu dans les douches sur la base aujourd'hui ? Une belle paire de fesses de soldat taill�e au ciseau ? Tu te vois labourer ce petit cul avec ta grosse bite ? Tes mains sur ses hanches alors qu'il s'appuie contre le mur, la joue au contact des carreaux pendant que tu lui offres la baise de sa vie ?

Sa voix changeant soudainement de ton, " Tu veux te soulager fiston ? Tu veux nous soulager tous les deux ? " Je l'imaginais alors se d�pla�ant � c�t� du canap�. Je tournais la t�te pour suivre du regard sa queue en �rection et son gland luisant. Sa bite �tait �paisse, en parfaite harmonie avec le reste de son corps. C'�tait une bite d'homme. Elle pointait droit � la verticale en sortant par le haut de son treillis grand ouvert. Son cale�on �tait coinc� en dessous de deux couilles poilues pendant lourdement et dont la taille paraissait amplifi�e par la pression exerc�e par l'�lastique de son cale�on.

Il branlait sa queue lentement. Positionn� en dessous de lui, je pouvais voir sa m�choire carr�e et ses yeux noirs derri�re la forme impressionnante de sa queue qui continuait de pointer en ma direction. Il plia l�g�rement les genoux jusqu'� ce que son gland atteigne ma bouche. Je ne bougeais pas. J'essayais de comprendre ce qui �tait entrain d'arriver. Il maintenait sa bite � quelques centim�tres de mes l�vres et je commen�ais � sentir l'abondant flot de liquide pr�-�jaculatoire qui s'�coulait de son gland. Je pouvais sentir ce contact chaud sur mes l�vres et je regardais sans bouger le liquide sortir du gland et se diriger vers ma bouche. Le filet se brisait soudain et sans r�fl�chir je passai ma langue sur mes l�vres pour en savourer le go�t.

Ce ne fut qu'ensuite que je sentis la pression de son �rection sur ma bouche. Il glissait son gland luisant entre mes l�vres qui s'ouvraient sur son passage. L'odeur de musc et de sueur devenait addictive. Je respirais profond�ment pour �tre certain d'en profiter pleinement. Puis la pression qu'exer�ait son �rection sur mes l�vres disparue. Il �tait sorti pour venir caresser ma joue du bout de son gland parfaitement lubrifi�e.

" Soulage-nous fiston. Montre-moi quel genre de gar�on tu es. " grognait-il. Je repris alors son membre droit en bouche pendant qu'il poussait un soupir de satisfaction. " C'est �a fiston. Avale cette queue de soldat ". Lentement, j'entourais mes l�vres autour de son manche. Je pouvais maintenant go�ter tout ce � quoi j'avais pu sentir quelques secondes auparavant. Il s'enfon�a doucement, plus profond�ment encore dans ma bouche. Je pouvais sentir ses testicules atteindre mon menton. Je caressais avec ma langue la meilleure partie de la bite de mon p�re et le pan de sa chemise venait frotter contre ma joue � mesure qu'il se d�pla�ait d'avant en arri�re. Je le repoussai quelques secondes pour m'assoir sur le canap� et mieux lui faire face. Il en profita alors pour laisser tomber son treillis et son cale�on � ses pieds et pour �carter un peu plus ses jambes. J'�tais envieux de la virilit� qu'il d�gageait � cet instant.

Il pla�a sa main droite derri�re ma t�te et joua un instant avec quelques m�ches de mes cheveux blonds. Il exer�a une pression sur ma nuque et enfon�a de nouveau son membre imposant au fond de ma gorge. Ma langue explorait chaque partie de sa hampe chaque fois qu'il s'avan�ait de nouveau en moi. Je regardai alors de nouveau son visage et il baissa les yeux en ma direction. Sa main libre caressait son torse poilu et les pectoraux qui se contractaient au rythme de ses mouvements. Je continuais de pomper avidement le p�nis de mon p�re et je sentais ma queue mouiller le fin tissu de mon propre cale�on. Elle bavait le long de mon �rection jusqu'� atteindre mes testicules. Mon p�re ne parlait pas. Il observait. Mes l�vres �taient fermement enroul�es autour de son membre dont je pouvais sentir chaque veine. Il se recula jusqu'� ce que seul son gland caresse mes l�vres, puis il s'enfon�a de plus en plus satisfait � mesure que ses 19 cm de chair remplissaient la gorge humide de son propre fils.

Je pla�ai mes mains sous ses deux testicules pendants lourdement dans le vide. Mes doigts se d�pla�aient lentement autour d'eux, partant � la rencontre de ses cuisses puissantes. Il soupira. J'avalai plus profond�ment encore sa hampe jusqu'� ce que mon front touche son abdomen. Un irr�sistible sentiment de pl�nitude m'envahit � cet instant. Mes doigts glissaient le long de ses jambes poilues dont les muscles se contractaient sur mon passage. Je remontai vers ses couilles pour les soupeser. Tout en les caressant avec pr�caution, je remarquai qu'il transpirait abondement � cet endroit. Il enfon�a son pieu plus rapidement entre mes l�vres mais j'interrompis son assaut pour l�cher ce que mes doigts avaient r�cup�r�s de sueur derri�re les poches pleines du pr�cieux sperme de mon p�re. Cela avait le go�t d'homme. Je veux dire, de vrai mec. Et je sentais ma propre queue se dresser un peu plus encore.

Chaque fois que j'enfon�ais sa queue un peu plus loin au fond de ma gorge, le soldat soupirait plus intens�ment et il accrochait ses mains plus fermement sur ma nuque. Je sentis sa bite vibrer nerveusement sur ma langue. J'augmentai alors la vitesse de ma pipe et je sentais son gland s'�chauffer. Il baisait ma bouche avec violence.

" C'est �a Edouard, suce-moi ! Oui ! Plus vite ! Suce-moi ! " Ses jambes commenc�rent � trembler. " Avale mon jus fiston ! Go�te-le ! Savoure mon putain de foutre ! " Ses muscles se contractaient dans un dernier mouvement et il remplit ma bouche d'une �paisse cr�me blanche. Une partie aspergea directement le fond de ma gorge, une autre d�borda en dehors de ma bouche. Je sentis mon corps se tendre et je saisis ma bite. Je me branlais sauvagement alors que le sperme de mon p�re go�tait le long de mon menton.

" Allez fiston ! Crache pour moi ! Crache pour moi ! " m'ordonna-t-il. J'�jaculai alors avec vigueur, aspergeant mon cou et mon torse de toute la tension que j'avais accumul� en suivant les ordres de mon soldat de p�re. Salve apr�s salve, je me couvrais de mon propre foutre.

" C'est bien mon gar�on. Du sperme chaud d'ado ! " reprit-il en me regardant d'un air diabolique. Je tombai � la renverse sur le canap� alors que mon p�re repoussait sa queue encore �paisse et baveuse dans son pantalon. Il essuya de sa main la sueur qui perlait sur son front depuis le d�but des hostilit�s.

Ma respiration se calma lentement. Je pouvais entendre le sang battre dans ma t�te. Le son du claquement de la porte d'entr�e me ramena � la r�alit� et ce n'est qu'alors que je compris que rien de tout cela ne s'�tait vraiment produit. D'un geste furtif je sortis la chemise de mon pantalon pour recouvrir le dernier t�moin de mon �tat d'excitation.

Jagger

Suite de l'histoire

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