Cyrillo

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Fameux jour...

Le soleil traversa les persiennes de ma chambre � coucher, le jour venait de faire son apparition, cela me r�veilla. Je me levai pour aller dans la cuisine, afin de faire couler un caf� bien m�rit�. Dans mon salon dormait mon meilleur ami, qui venait passer un week-end chez moi. La porte me menant au salon �tait entreb�ill�e, lui �t� couch� sur le ventre, laissant appara�tre, son corps nu, que recouvrai � peine le drap. Le soleil fit aussi son apparition dans la pi�ce, et les persiennes laissaient des traits d'ombres sur ce corps endormi. J'ouvris la porte doucement, pour acc�der � la cuisine, ce qui ne d�rangea pas mon ami.
Arriv� dans la cuisine, j'ai essay� de faire le moins de bruit possible pour ne pas le r�veiller. La cafeti�re fit couler le caf� si attendu, son ar�me du travers� la cuisine et le salon, car je fut surpris de voir Alex dans l'encadrement de la porte.
" Alors Benjamin ! Le caf� est pr�t ? "
J'ai sursaut� au son de sa voix, il me demanda s'il venait de me faire peur, je lui r�pondis que cela fait un bail que personne ne m'a plus appel� Benjamin mais Ben et qu'au moment o� j'�tais entr� dans la cuisine, il dormait encore et que.
Mes yeux le regardaient, il �tait devant moi, en cale�on, les cheveux en bataille, son corps, ses lignes, je me remis en face de la cafeti�re afin de ne pas le regarder avec insistance et je commen�ai � pr�parer le petit d�jeuner.
Il �tait l'homme de mes r�ves, simple, beau, bien foutu, nature quoi. Il donnait envie de le croquer, de go�ter � la saveur de son corps, savoir s'il �tait sucr�, �pic�. Un mec comme lui tu n'en trouves pas � tous les coins de rue, et il �tait chez moi, il �tait mon meilleur ami ! On se connaissait depuis le lyc�e, on �t� rest� ensemble jusqu'au bac, apr�s quoi, on a suivi des fili�res diff�rentes.
Le petit d�jeuner fini, je pris le journal pour lire les pages sportives et Alex alla dans la salle de bain.
" Tu as besoin de quelques choses ?? ", Lui demandais-je. Il n'avait pas du entendre la question, car je n'avais pas eu de r�ponse de sa part, sur quoi je me dirigeai vers la salle de bain, pour lui reposer la question. L'eau de la douche coulait, le rideau pas compl�tement tir�, je l'aper�us sous le jet, il �tait entrain de faire des mouvements de va et vient. Il se masturbait !! J'�tais en train de reluquer mon meilleur ami entrain de se masturber ! Dans un mouvement de r�flexe je m'adossais au mur afin de repenser � ce que je venais de voir. Je ne peux pas rater �a, et je repris position dans l'entreb�illement de la porte. Je me touchai, ma queue devint tr�s vite raide, sa queue �tait dure et d'un bon calibre. J'allai arriver � la jouissance, quand le jet de la douche s'arr�ta, je le vis sortir, la queue pendante. Je me pr�cipitai dans ma chambre me couvrant l'entrejambe, pour �viter qu'il aper�oive que je bandais. Il sorti tr�s vite de la salle de bain, serviette autour d
e sa taille, pour prendre un boxer short. J'en profitai alors vite pour aller me finir aux toilettes, il rev�nt et me trouva en train de me finir.
" Alors on joue ? " Le fait de me faire surprendre dans une telle situation, me fis rougir, mais pas plus. Lui, faisant fit de ma position, enleva sa serviette, et commen�a � se raser, nu comme un ver � c�t� de moi. Moi entrain de remballer, je tirai la chasse et m'assis sur la cuvette, essayant une explication � la situation, " Tu sais, ce n'est pas ce que tu crois ! . " Il se retourna vers moi, me regarda et me dit " Et moi je crois au P�re No�l !! " Et le regardant, j'eus un fou rire qui le contamina aussi. Je restais l�, � le contempler se raser, lui, debout nu, moi, assis sur la cuvette en cale�on.
Il me demanda ce que je faisais comme activit�, quels sont les trucs int�ressant que ma nouvelle ville proposait. Et cette petite aventure, ne me fit pas oublier, le but de sa visite, lui faire visiter la ville dans laquelle je venais de m'�tablir pour quelques ann�es s�rement. Notre journ�e venait de bien commenc� et continua dans la bonne humeur et les blagues. La complicit� se d�gageant de notre amiti� n'�tait plus � faire, mais nous n'avions jamais abord� le sujet des relations durables, celles d'une nuit, d'une semaine, de quelques mois, souvent, m�me tr�s souvent, les notant quelques fois, pour ainsi �tablir un palmar�s, comme le font tous les mecs dans la fleur de l'�ge, o� nous �tions.
De retour � l'appartement, sans quelques difficult�s, car l'apr�s-midi ne fut pas sans boire les quelques bi�res d'usage. Nous sommes tomb�s comme deux pierres sur le canap�-lit du salon, dans un flot de rires et de blagues � deux sous. " Tu sais, ont n'aurait pas du boire les derni�res, elles me font trop pisser ! " Il �tait couch� � c�t� de moi entrain de souffler, dans de long soupir, comme si une catastrophe allait arriver sans attendre. Ce qui ne fut pas long d'ailleurs, il se pr�cipita si vite aux toilettes, qu'il renversa quasiment tout sur son passage, chaise, panier � linge etc. Je ne devais s�rement pas �tre loin non plus du m�me r�sultat, mais je tenais encore le coup !
Il revint se coucher sur le lit, et me demanda si je n'avais pas un film � voir en dvd. Je cherchais un titre qui nous ferait passer le temps, lui proposa, mais �a ne lui convenait pas, il voulait un truc plus chaud, un film de cul, quoi !! J'avais un choix certes limit� mais raisonnable. Connaissant ces go�ts, je mis le dvd en route.
" Tu n'as rien de plus excitant ? " Me demanda Alex.
" De quel genre ? "
" Ben du genre de ce matin !! "
Du genre de ce matin, me dit-il ! Comme �a ! Sans que j'y sois pr�par�, il voulait voir un film de cul avec des mecs, un film gay !
" Tu crois que je n'ai pas vu ton man�ge ce matin, la cuisine, la douche, la salle de bain. "
J'�tais peut-�tre soul, mais la, je fus bluff� !
" Tu as quoi ? la cuisine. " Lui r�pondis-je.
" Oui, tu m'as mat� ce matin. Non ? Et puis ce n'est pas la premi�re fois que tu le fais. "
" Et ! Ca signifie quoi ? Que j'aime mater les mecs ! Ca ne t'as pas d�rang�, t'es rest� nu devant moi. "
" Oui, je sais ! Je voulais en avoir le cour net ! "
Ma r�ponse se faisait cinglante, voir provocante.
" Tu voulais avoir le cour net, sur quoi ? Le fait que je reluque les mecs et que �a me fait bander comme un malade, que je te connais depuis trop d'ann�e pour oser te dire que je n'arr�te pas de penser � ton corps, � ce que je pourrais faire avec. "
" Ben dis voir, l� je suis bluff. Pourquoi tu n'as rien dis, je suis ton pote non ? Et les copains sont l� pour. "
Notre �tat ne s'arrangeant pas, et mes r�ponses aussi, je d�cidais de continuer sur cette voie.
" Tu crois que tout est beau dans un monde parfait, mais tu te trompe, j'avais envie de te le dire des milliers de fois, mais jamais j'en ai eu le courage, tu es le premier au courant. "
provoquer la situation, ce matin, mais tu vois j'en �tais s�r, mais je voulais savoir. "
Sur ces paroles, je tentais, un coup que, s'il r�ussissait, ferait de moi le mec le plus heureux. Faire craquer mon pote Alex, lui rouler des patins et lui sortir le grand jeu. Sur ce, ne ma�trisant plus trop mes gestes, je me suis penchais sur lui, et je lui ai roul� un patin du tonnerre de dieu. Il �tait surpris, un peut r�ticent au d�but, mais s'est laiss� faire ensuite, notre �treinte devint plus forte, ma main dans ces cheveux, les siennes sur mon corps, tentant de passer sous mon t-shirt. Il me fit alors basculer sur le dos, lib�rant ainsi ma seconde main, qui alla enlever ses v�tements, pour pouvoir toucher sa peau douce, ce corps si souvent d�sir�, que j'avais enfin pour moi, je pouvais le toucher, le sentir, le caresser.
Nos l�vres se s�par�rent pour que je puisse lui enlever son t-shirt, et faire glisser son pantalon, il fit de m�me avec mes habits. Nous �tions en cale�on sur le lit, son regard dans le mien, ses yeux vert, ce visage, ce corps, il �tait � moi, j'en faisais mon objet ou lui le sien, qui sait.
" Ben, tu es pas mal, comme mec, tu sais ? "
" Tu viens de sortir la banalit� la plus banal qui soit, la phrase qui tue ! "Alex �clata de rire et moi aussi, mais ce fut de courte dur�e. Il approcha sa bouche de la mienne, nos langues se cherchaient, nos l�vres se touch�rent, mes mains parcourraient son corps doux. En le caressant, il frissonnait, je pouvais le sentir, j'�tais aux anges.
Bien s�r nous bandions de concert, cette excitation �tait de l'adr�naline pure, une drogue trop irr�elle encore, elle devait d'abord me faire arriver au nirvana des sens, pour en mesurer toute sa port�e.
Et l� ! Surprise, ses l�vres se dirigeaient vers mes t�tons et vers mon nombril, tout en continuant de m'embrasser sur mon corps, il fit glisser le dernier v�tement que je portais encore. Elle jaillit telle une �p�e de son fourreau, belle, dure, droite, il observa l'engin le jaugea, et me jeta un regard malicieux. Sa langue se dirigea alors vers la pointe de l'objet. Rien que de savoir sa langue aussi pr�t, me fit frissonner, elle s'�branla l�g�rement. En plus de ce regard, il venait d'ajouter un sourire aussi malicieux, que dominateur, me faisant fondre d'impatience.
" Tu veux me torturer ! C'est. " Je n'osais pas mettre mes mains sur sa t�te pour le forcer � me sucer, mais s'il ne le faisait pas de lui-m�me.
Et l�, joie et bonheur !! Sa langue alla se poser sur le bout de mon gland. Il commen�a alors � faire des va et vient sur la hampe de ma queue, engloutissant celle-ci et jouant avec, un vrai bonheur, une jouissance extr�me.
Mais Il venait aussi d'an�antir toute une vie d'amiti�, et de faire na�tre une nouvelle relation. Relation, qui allait dans une direction que nous n'avions pas voulue ou pas envisag�. Connaissant ces histoires pass�es, je ne pouvais imaginer un jour, le voir sucer ma queue, comme un vrai petit vicieux qu'il est, mes g�missements, le prouvaient, il me faisait litt�ralement grimper au rideau, juste avec sa langue.
Il revenait vers moi � nouveau, embrassant mon corps. Je lui pris la t�te et l'embrassa.
" Alex, tu es un dieu, tu suce, c'est le paradis, tu ne me l'avais pas dit. "
" Tu ne m'as jamais pos� la question, y pas que toi qui sois attir� par les hommes !! "
Je le regarde, il sourit, il ne l'�tait pas, mais tel que je le connais, il avait envie de go�ter aux hommes, c'�tait son esprit d'aventure qui venait de le pousser vers moi.
Nous avions d�j� eu des rencontres de par le pass�, des week-ends entre potes, o� la bi�re et les histoires salasses �taient de mise. On avait aussi des jeux entre mecs, bataille dans la piscine, des matches de foot endiabl�s, et la sacro-sainte douche. Mais avant, il n'aurait jamais os� me toucher de fa�on aussi sensuelle, alors me sucer, n'y pensons m�me pas. Il �tait content de cette rencontre, moi aussi, mais j'avais peur du lendemain.
Le laissant me rouler un patin, je le fis basculer et j'entrepris, � mon tour, une route sensuelle, vers son cale�on, d'o� une protub�rance non dissimuler voulait jaillir. Elle �tait belle, droite, et mes estimations � vu de nez, �tait encore en dessous de la r�alit�. Elle �tait d'un calibre tr�s dangereux, et �tait recouverte de son pr�puce. Je la saisis, la l�chai lentement et langoureusement, le long de sa hampe vein�e jusqu'au gland, que je fis sortir. Il tressaillit au touch�. Le faite de le sentir impuissant, de ma�triser l'homme qu'il �tait, me donna de l'ardeur pour la suite. J'engloutis d'un trait l'engin, en gloussant, manquant de m'�touffer, et continua � le satisfaire.
L'un entra�nant l'autre, il revint � la charge, et nous f�mes un 69. Mon excitation et celle d'Alex �taient au bord de l'explosion, je sentais monter en moi, des g�missements qui ne me trompaient jamais.
" Je vais jouir Ben ! Arr�te ! "
" Pareil pour moi ! Mais j'ai envie que l'on se finisse, branle-moi et je fais pareil. "
Notre envie commune d'en finir �tait tellement forte, que sans r�fl�chir, il prit ma queue et commen�a � la branler, et je fis pareil. Nous avons gicl� ensemble, dans un immense soupir de bien-�tre. Il me regarda, me fit un sourire, m'embrassa.
" Tu sais, j'avais pens� �. " je coupai sa phrase en lui apposant ma main sur la bouche.
" Ne dis rien ! Ferme les yeux, est revit le moment. " Nous sommes rest�s ainsi, nu sur le lit, ne nous couvrant que du drap et formant une �treinte charnelle, sensuelle, pour profiter du moment que nous venions de passer. Ce fut une belle branlette, mais quelle branlette. Mon meilleur pote et moi. Je voulais que cet instant ne finisse jamais. Mais il ne finira jamais ! Dans mon esprit, je repenserai toujours � cet instant. O� il posa sa langue pour la premi�re fois, o� ces mains se pos�rent sur mon corps, non pas en copain, mais en amant, ces gestes lents, pr�venants, sinc�res, fragiles et moi, fermant les yeux, photographiant avec ma m�moire, ces moments intimes.
Et nous �tions couch� ensemble, lov� sous le drap, lui dans mes bras, comme pour le prot�ger de l'ext�rieur. Et que ce moment ne finisse jamais.
Le soleil p�n�tra dans la chambre, et me r�veilla, j'en fus encore un peu �tourdi, je refis surface assez vite, et prenant conscience de la situation, je regardai autour de moi et je le vis, couch� � c�t� sur le ventre, le drap ne faisait que recouvrir une partie de son corps, laissant ainsi le reste d�couvert, pour que je puisse en profiter un maximum, je ne r�vais pas, il �tait en train de dormir.
Je me l�ve, et je le bouscule, il ne se r�veille pas. Non �a c'est une autre histoire. enfin dans la salle de bain, je me regarde dans le miroir et me dis, sacr� veinard. et l� je le vois qui entre aussi.
" Tu es d�j� debout ? "
" Oui, tu vois bien ! . tu aurais encore pu rester couch�. "
" Non, je ne pouvais plus, et puis j'ai faim. "
" Ok ! Je vais aller le faire. "
" Ben, �coute, pour ce qui est. " Et je l'ai arr�t�, en lui posant la main sur la bouche.
" Ne dis rien, on en reparlera plus tard. "
Plus tard, oui on en reparlera plus tard. Mais je ne voulais pas en parler plus tard, ni demain, ni un autre jour d'ailleurs. Mais il le faudra quand m�me, je ne pourrais pas le laisser partir, sans que nous ayons une explication, ou du moins mettre les choses � plat.
Il �tait assis en face de moi, en cale�on, buvait son caf�, moi beurrant un toast. Nous �tions silencieux, la radio venant de finir son flash info, une chanson triste prenant la suite. Je le regarde, il boit, �vite mon regard. Je continue et y ajoute la confiture, c'est lui qui me regarde, je le sens, mais ne le regarde pas. Nous sommes ridicules. Son regard se l�ve, le mien aussi, on s'est regard� dans les yeux. ces yeux, d'un vert profond, pesant, et magique.
" Il faut qu'on en parle " dit-il, et je le regardai en cherchant une r�ponse bateau du style, on a trop bu et on ne savait plus. Mais non, elle sera plus longue que ces excuses bidons.
" Ecoute Alex, je pense que ce qui nous est arriv� et. "
" Une erreur, oui c'�tait faux, nous n'aurions pas d�. "
C'est pas tout � fait ce que je voulais dire, mais il venait de trouver l'excuse qui, pour lui, �tait satisfaisante � ces yeux. Et je ne l'ai pas contrari�.
" Ouais tu as raison. On n'aurait pas du le faire, et les derni�res bi�res on n'aurait pas d� les boires. "
Et voil� !! L'excuse que je ne voulais surtout pas utiliser, je venais de la signer.
Il me regarda, me fit un sourire, et content de ma r�ponse, il continua � petit-d�jeuner. Et moi, comme un idiot je voulais encore en rajouter, mais il me coupa en me demandant du lait. Cela coupa net toutes mes autres r�actions. Je pensais qu'il allait dire autre chose du style, mais non, ce n'est pas les bi�res, mais mon envie de d�couvrir ou encore, tu en r�vais, je pense avoir r�alis� un de tes r�ves. Mais non, il voulait juste du lait !!
Nous finissions notre petit-d�jeuner, et nous sommes all�s, � quelques minutes d'intervalles dans la salle de bain. Il venait de finir de se doucher, et avait pass� une serviette autour de sa taille, et moi entrant. Le voyant ainsi, je lui ai demand� s'il avait fini.
" Oui, mais tu peux rester ! "
Tu peux rester ! Je peux rester, mais je venais de faire l'impasse sur la fin de la phrase, oups.
" Je sors !. "
En sortant, il m'a fr�l�, lui encore un peu humide, me donnant ainsi envie de le toucher, de le serrer, de l'embrasser, mais il est sorti, ne me jetant aucun regard. Je me mis sous la douche chaude et ne faisant que penser � lui, j'ouvris le robinet d'eau froide, pour me calmer et me rendre les id�es plus claires. Restant ainsi, je commen�ai � avoir de plus en plus froid, me donnant envie de crier. Dans ma t�te, je criai, mais je criai en r�alit�. La porte de la salle de bain s'ouvrit avec un tel fracas, que j'en fut surpris.
" Tu vas bien Ben ? "
" Quoi ?? "
" Tu viens de crier l� ? Alors je suis venu, je pensai qu'il venait de t'arriver un truc. "
" Euh non, c'est juste que je suis sous l'eau froide et que c'est trop froid. "
" L'eau froide ? ! "
" Oui, l'eau froide ! " Et en disant cela je vis son regard, qui s'�tait dirig� � la hauteur de ma bite, et par automatisme, mon regard aussi, et je vis ce que je pensais �tre une hallucination, mais non, elle �tait dress�e comme un �tendard, l'eau froide venait de me donner la trique.
" Dis, je veux bien suivre le m�me traitement. " Et ni faisant pas attention.
" Alors vient me rejoindre Alex ! "
Il entra sous la douche, avait toujours sa serviette autour de la taille, on se faisait face. Je sentais la serviette me frotter les jambes, ma main prit un bout et lui enleva, l'eau coulait toujours, nos regards se fix�rent, mes mains le touchant, il venait de me prendre la t�te, et je me suis laiss� tomber dans cette tourmente. Il m'embrassa le cou, puis les joues il arriva enfin � ma bouche, nos langues se sont entrelac�es, ce f�t divin.
" Tu ne devrais pas ! "
Je venais de lui dire de ne pas continuer. Il fallait que je sois fou ! Mais mon corps refusait d'arr�ter qu'il m'embrassa.
" Arr�te Alex, je ne peux pas, on ne peut pas !! "
" Tu ne peux pas, quoi Ben ? "
" On ne devrait pas, je suis. "
" Tu en meurs d'envie, laisse toi aller. "
" Non, ce n'est pas vrai ! Tu es mon meilleur ami, on a v�cu trop de choses pour casser cette amiti�, et ce qu'on a v�cu hier n'�tait pas juste, nous n'aurions pas d� nous embrasser et. "
" Arr�te !! Embrasse-moi ! Et pour le reste n'y pense pas. "
Il me demanda de continuer, l'homme qui me faisait fantasmer me demandait de continuer. Il �tait tout ce que je cherchais, tout ce qui fallait �tre pour me faire vivre. J'ai arr�t� l'eau qui coulait, sa main �tait toujours pos�e sur mon cou, la mienne sur sa hanche. Je le regardais, je n'avais pas quitt� ces yeux du regard, ils sont si vert. L'air chaud de la pi�ce, d�gagea de la vapeur, laissant perler des gouttes sur nos corps. Il rev�nt � la charge, m'embrassa � nouveau, ma main alla lui toucher ses fesses, remontant le long de son corps l�g�rement muscl�. On se touchait, sa jambe entre les miennes, sa bite, contre la mienne. Notre �treinte n'en finissait plus.
Nous �tions sorti de la douche et �tions dans ma chambre, allong� nos corps nu se faisant face. Il commen�a � me toucher la jambe de sa main. Ce contact me rendant fou, il m'embrassa, nos langues se touchant, se m�lant, il �tait d'une tendresse infini. Je le savourais, en toute impunit�, il �tait dans mon lit, l'homme de mes r�ves interdits, me comblant de douceur. Il entrepris de me sucer, le fr�lement de sa langue sur ma bite, me fit frissonner, il s'avait me faire languir, me faire monter l'envie, le d�sir de le poss�der. Cette fa�on de me limer, lui donna un air rebelle, pas d�sagr�able, et lui donnant encore plus de charme. Il le savait, en jouait, et moi je succombais. Le contacte de ses l�vres sur ma peau, me comblant, je le lui rendais en le su�ant � mon tour. Son membre dress�, je commen�ais � le limer de la base des couilles, vers le gland du bout de ma langue, tout en remontant je sentais son chibre frissonner, j'�tais aux anges et lui encore plus. D'un trait je gobais sa bite, le surprenant un peu, il me ret�nt la t�te de ses mains, pour lui donner un r�pit de courte dur�e, et mon travail de fond commen�a. Ses r�les de plaisir, ses g�missements, me donn�rent la satisfaction de mon bon travail. Je l'embrassai, quand il dirigea sa langue vers mon oreille, hum, l'oreille ! Et me demanda de le prendre. Tout d'abord un peu surpris par cette demande, je le regarde et il r�p�ta, prend moi ! J'enfile alors une capote, le lubrifie, et j'entrepris de le limer. Ma p�n�tration fut lente et sensuelle, il me fixait de son regard profond, se mordant les l�vres, au fur et � mesure de ma p�n�tration, arriv� � la garde de ma bite, j'entamais mes va et viens. Toujours avec cette lenteur sensuelle, qui le faisait fondre. Il me caressait les jambes, les serrant de temps en temps, lorsque ma p�n�tration fut trop vive. Il �tait aux anges, moi aussi d'ailleurs. Nous �tions partis pour une nuit, qui ne finirait jamais, nous ne voulions pas qu'elle finisse.
Cette nuit l�, il s'offrit � moi sans retenue.
L'aube se leva, laissant entrer, les premi�res lueurs du matin par la baie vitr�e de ma terrasse. La Lumi�re, jouait sur son corps, le drap le recouvrant � peine, je l'observais du fauteuil, se corps sensuel, doux, fragile. La vie n'est pas merveilleuse ?

Munich


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