Page pr�c�dente

ERIC N'EST PAS PRES D'OUBLIER CE CHANTIER DE NUIT !

Je n'ai que vingt et un ans, mais j'ai tout de suite eu marre de la baise traditionnelle entre mecs. C'est comme �a que j'en suis venu � fr�quenter les quais du c�t� d'Austerlitz.
Ce soir-l�, je savais que j'allais passer une premi�re nuit tr�s hard. Le moustachu, avec son fute, son gilet et ses bottes en cuir, je l'avais remarqu� d�s son entr�e dans le secteur, sur sa moto. Comme je r�dais de son c�t�, il m'a d�visag� en me demandant ce que je cherchais.
Il s'est �clips� ensuite vers une cabane de chantier o� je l'ai rejoint. Arriv� l�-dedans, en pleine obscurit�, j'ai senti un bras me saisir par la gorge : je n'�tais pas tout � fait rassur�, mais bizarrement je me suis mis � bander tr�s fort, comme jamais auparavant ! La peur sans doute... Au fond du local, il y avait un mec � plat ventre, des fausses menottes aux poignets, en train de tailler une pipe � un baraqu� tr�s poilu.

Le type me tenait toujours par la gorge. De l'autre main, il a commenc� � me t�ter les couilles. Je commen�ais � trouver cela tr�s excitant. D'un seul coup, il a d�chir� mon short et j'ai senti ma queue vigoureuse se balader contre ma cuisse. Je me suis retrouv� plaqu� au mur, la t�te face � sa bite qu'il avait d�gag� du froc.

C'est � ce moment-l� que j'ai d�charg� sur moi. Mon foutre s'est �coul� sur mes cuisses. S�r que j'allais d�rouiller ! Mais c'�tait tellement bon ! Il a baiss� son pantalon ; il portait un string en cuir clout�, avec juste une ficelle entre les fesses. II m'a ordonn� de lui brouter le cul. J'enfon�ais ma langue aussi profond que je pouvais. �a avait l'air de lui plaire. Au bout d'un moment, il s'est estim� suffisamment excit� par mes coups de langue et il m'a relev� avant de me plaquer contre le mur. Il me tenait par les cheveux. Moi, docile, je n'osais presque pas respirer. J'ai compris qu'il enfilait une capote et que j'allais d�rouiller une nouvelle fois. J'ai senti sa queue me p�n�trer d'un seul coup, mais comme la capote �tait lubrifi�e, ce fut plus facile. Il s'est enfonc� profond�ment en moi et, arriv� au plus profond. Il s'est immobilis�. J'�tais hors d'haleine. Mes t�tons avaient durci et ma queue aussi �tait de nouveau dure. Il resta ainsi au moins 15 secondes, peut-�tre plus. Puis, d'un seul coup il se retira pour s'enfoncer encore plus loin. Quelle sensation... Il recommen�a ce va-et-vient de la bite tout en me plaquant contre le mur, en me tirant les cheveux.

Je n'eus pas besoin de me branler : j'�jaculai une nouvelle fois. � son tour, il l�cha tout. Je sentais entre la capote et mes parois la chaleur de son sperme. Quelques instants plus tard, rhabill�, il disparut.
J'entendis au loin de bruit d'un moteur de moto.

Histoire extraite de MARCUS #2, 1990.

etienne02

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :