En voitureJe me pr�sente � nouveau : je m'appelle Pierre, j'ai 23 ans, je suis ch�tain, mince, imberbe, et totalement gay. Un soir, cet �t�, alors que je passais mes vacances dans le Loiret, je sors de bo�te vers 2 heures du matin. J'y �tais venu avec des amis qui avaient une voiture, et je les avais perdus de vue pendant la soir�e. Je me retrouvais donc � la sortie de cette bo�te perdue pr�s d'une autoroute, sans moyen de transport, et � une bonne cinquantaine de kilom�tres de la maison dans laquelle je m'�tais install�. Evidemment, j'ai bien tent� de chercher quelqu'un qui pourrait me raccompagner, mais il n'y avait que des mecs bourr�s, ou qui habitaient tr�s loin de mon chez moi provisoire. Je me d�cide donc � faire du stop le long de l'autoroute. Je ne suis pas le seul : au moins une dizaine de mecs font comme moi. Je marche un peu dans ma direction, histoire de m'�loigner d'eux et d'avoir plus de chance d'�tre pris (en voiture, je veux dire ^^). - " Ah ! dit-il, c'est une bo�te gay, non ? Sans r�pondre, je me baisse vers sa bite et je commence � donner des coups de langue sur son gland encore recouvert de peau, puis je le prends dans ma bouche et je commence � le sucer, je le sens commencer � durcir, je le vois gonfler sous mes yeux, la bite prend une belle taille excitante et le mec g�mit sans quitter la route des yeux. Je me contorsionne pour prendre le moins de place possible et le laisser conduire tout en le su�ant, en prenant sa bite de plus en plus profond�ment dans ma bouche ; je sens son gland qui atteint le fond de ma gorge et je le suce de plus belle en salivant bien sur sa belle queue raide qui d�passe juste de son jean � peine baiss�. Il me laisse sucer pendant au moins dix minutes en donnant des coups de rein pour me niquer la bouche plus profond�ment, de temps en temps il me prend les cheveux de sa main droite pour maintenir sa bite enfonc�e dans ma gorge, j'�touffe jusqu'� ce qu'il rel�che la pression puis, � peine le temps d'inspirer, je me remets � pomper comme une chienne cette queue dure et droite. Soudain je sens la voiture ralentir ; je veux lever la t�te pour voir ce qui se passe mais il m'en emp�che en appuyant sur ma nuque. Je le suce donc � nouveau, la voiture s'arr�te, j'entends le conducteur parler � quelqu'un que je ne vois pas : Sans plus h�siter, je me redresse et me glisse entre les deux si�ges avant pour gagner la banquette arri�re. Le type qui est l� semble avoir mon �ge, il est plut�t carr�, mignon, avec une petite barbe de quelques jours. Il s'approche de moi, commence � m'embrasser, et passe ses mains sous mon t-shirt. Je le caresse aussi, il glisse une main sous mon boxer, je d�fais mon jean et enl�ve mon t-shirt, et me jette sur sa queue que je vois durcir � travers son pantalon. Il est assis sur la banquette, je me mets � 4 pattes � c�t� de lui pour sortir sa bite et le sucer en me cambrant ; pendant que je prends sa queue dans ma bouche ses doigts reviennent sur mon cul et commencent � me caresser le trou. Son sexe est d'une taille moyenne, je le prends facilement tout entier dans ma bouche, en g�missant quand ses doigts entrent en moi. Il les humidifie de sa salive et recommence � me doigter, je me sens m'ouvrir, et vois alors par terre un tas de capotes pr�tes � l'emploi. Apr�s une fellation de quelques minutes, le mec me donne une petite tape sur les fesses, je me retourne, je suis toujours � 4 pattes mais je tends mon cul vers lui, j'entends le bruit de la capote qu'il sort, et aussit�t son gland vient glisser contre mon cul, il ne tarde pas � me le mettre ; malgr� sa pr�paration il doit forcer un peu, je g�mis encore plus, c'est presque douloureux, sa queue s'enfonce progressivement en moi, et bient�t il commence � faire des va et viens dans mon cul, faisant claquer ses couilles contre ma peau, et me tenant fermement par les hanches. Il acc�l�re ses mouvements, et dans un r�le s'enfonce � fond dans mon cul en �jaculant. Il reste quelques secondes en moi, puis se retire sans dire un mot. Il rentre sa bite dans son cale�on, rajuste son jean, et la voiture s'arr�te alors. Il ouvre la porte, lance un " merci ! " au conducteur, et sort. Je le pompe � fond de plus en plus vite, quand elle est enti�rement dans ma bouche je sens ses poils contre mon visage, une odeur de m�le m'envahit, une odeur de sueur et de pisse m�l�es, il me d�fonce la gueule de plus en plus vite, en me tenant les cheveux tellement fort que j'en ai mal, je g�mis, il n'en a rien � foutre et continue � me baiser la bouche � fond de gorge, sa queue semble �norme et m'�touffe ; il me fait sucer pendant une �ternit�, en m'insultant copieusement, et finit par jouir en maintenant sa queue enfonc�e dans le plus profond de ma gorge, me for�ant � tout avaler, puis � la nettoyer avec ma langue jusqu'� ce qu'il n'y ait plus une seule goutte de sperme. Il me tapote la t�te, l'air content, puis remonte son pantalon. Il s'�loigne sans dire un mot, remonte dans sa voiture et d�marre. Je regarde mon conducteur. Il n'a pas boug�, il m'observe dans le r�troviseur, un petit sourire aux l�vres. Il attend quelques instants, puis en silence remet le contact et d�marre. Je reste l�, un go�t de sperme dans la bouche, nu sur la banquette arri�re. Apr�s avoir roul� quelques minutes, il engage la voiture sur une aire de repos. A cette heure-l�, il n'y a qu'une autre voiture et trois camions stationn�s. Mon conducteur se gare, me fait signe de ne pas bouger, et sort. Il se dirige vers les toilettes, y reste une ou deux minutes, en ressort ; sans un regard vers moi il marche vers l'un des camions, et parle avec le chauffeur que je ne distingue pas. Puis il revient vers la voiture, ouvre la porti�re : Il commence � me donner des baffes, me gifle le visage avec sa queue qui est �norme et dure, je lui l�che les couilles qui sont grosses et pleines de sperme, puis il se penche et me remet quelques doigts dans le cul � m'en faire g�mir ; enfin il me redresse et me plaque contre le si�ge passager, je tends mes fesses, il vient derri�re moi et me frappe le cul avec sa bite en crachant sur mon trou. Quand il est bien humide son gland vient se placer contre mon cul et il s'enfonce brutalement de toute la longueur de sa bite, il me d�chire, je hurle mais il me frappe � nouveau en gueulant : " Ta gueule, petite pute ! Tu voulais te faire d�foncer ? Ben je vais tellement te d�foncer que tu pourras plus te faire baiser pendant des semaines ! Prends �a, salope ! Chienne ! T'as un bon petit cul de pute, t'as envie de te faire remplir, hein ? Tiens ! ". Il me bourrine le cul comme un malade, sortant et rentrant sa bite titanesque, me la mettant toute enti�re jusque dans le fond de mes entrailles. �a dure au moins 10 minutes, jusqu'� ce que d'un geste il me retourne violemment face � lui pour gicler abondamment sur mon visage et mon torse, se tenant la bite de la main gauche. De la droite, il me prend alors la t�te et l'am�ne brutalement � sa queue qui ramollit d�j� ; j'ouvre automatiquement la bouche pour la prendre et je la l�che, avalant les derni�res traces de sperme. Il ouvre alors la porti�re c�t� passager, et me jette hors du camion. J'atterris sur le sol, un peu sonn�, et regagne la voiture de mon conducteur. Il n'y est plus. J'entends un sifflement derri�re moi, je me retourne : il est � c�t� des toilettes et me fait signe de le rejoindre. J'y vais, toujours nu, en regardant autour de moi, honteux. Je me pr�cipite dans les toilettes. Mon conducteur m'y attend. Il me pousse pr�s des urinoirs, me fait agenouiller, et, debout devant moi, sort sa bite. Elle est molle, je la suce jusqu'� ce qu'elle soit bien raide, la prend enti�rement dans ma bouche, jouant avec ma langue sur son gland, la gardant dans le fond de ma gorge en caressant ses belles couilles. Il ne bouge pas, me laisse faire quelques minutes. Un mec entre dans les toilettes, nous regarde, surpris, puis, naturellement, vient se mettre � c�t� pour pisser, nous regardant toujours. Quant il a fini de pisser, il commence � se branler, sa bite entre en �rection. Mon conducteur me prend la t�te et la dirige vers le gars, qui me pr�sente sa queue raide. Je la suce aussit�t, elle est tr�s large, d'une longueur moyenne ; mais tr�s vite le mec s'int�resse � mon cul, et me retourne fermement. Il me caresse le cul, le trou, et s'adresse au conducteur : Le conducteur en sort alors une de sa poche et la lui tend. Le gars l'enfile, et aussit�t pr�sente sa queue � l'entr�e de mon cul, et s'enfonce directement. Tr�s vite il se met � me niquer � fond, faisant claquer ses couilles sur ma peau, m'agrippant violemment les hanches, silencieusement, en me p�n�trant compl�tement, s'arr�tant parfois quelques secondes dans le fond de mon trou puis reprenant ses va et viens brutaux, sauvages. Il se retire d'un coup sec, enl�ve la capote, et m'envoie son sperme sur le cul. Il ne s'�tait m�me pas d�shabill�, il n'a qu'� remonter son pantalon et il se casse, me laissant allong� sur le ventre � m�me le sol. Mon conducteur est rest� l�, � nous regarder, il ne dit rien non plus, me rel�ve, et nous regagnons sa voiture. Je monte � l'arri�re. Il ne referme pas la porti�re, il reste debout hors de la voiture, me caresse, me fait mettre � 4 pattes � nouveau. Il a ressorti sa bite, et la fait glisser sur ma raie. Il se penche, attrape une capote par terre, l'enfile sur sa queue raide et me prend sans un mot. Je n'ai plus la force de r�agir, il s'enfonce facilement en moi, je le laisse faire, je me sens vide, je ne pense plus, n'agis plus. Il me baise � un rythme r�gulier, lentement, profond�ment, sans forcer, les mains appuy�es sur le toit de la voiture, jusqu'� ce que je sente son sperme jaillir et remplir la capote. Il reste quelques instants enfonc� en moi sans rien dire. Je ne dis rien non plus. Je suis immobile, � 4 pattes sur la banquette, plein de cette bite qui perd de sa raideur mais reste en moi, sa peau � peine en contact avec la mienne ; quand enfin il sort de moi, je l'entends jeter la capote par terre et gagner le si�ge avant. Il me lance : " Sors. ". Je comprends que c'est d�finitif. J'attrape mes fringues en boule sur le sol de la voiture, sors et referme la porti�re. Le 4x4 rugit et s'�loigne aussit�t. Apr�s quelques tr�s longues secondes, je me rhabille lentement. Je ne sais pas o� je suis. Je suis �puis�. Je dois rentrer. Je ne bouge pas. Un bruit de klaxon me fait sursauter : un des camions qui stationnaient l� a d�marr� et roule lentement dans l'aire. Il s'arr�te � ma hauteur. Le chauffeur ouvre la porti�re : " Je te ram�ne ? " Je le regarde. Il a l'air doux. Je monte, sans un mot. Il se remet � rouler, me regarde gentiment. Pierre23a
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |