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Christian, le directeur sadique

Christian est un homme comme on en fait plus de nos jours. C'est un m�le, un vrai. Pas comme tous ces p�d�s, ces m�tro-machin-sexuels et ces femmelettes dits "hommes modernes" qui ont envahi nos rues.

Christian a 47 ans. Il est grand de taille, bien b�ti, velu et sexy � souhait. Il est blond/ch�tain mais commence � avoir quelques cheveux gris. Les femmes de tous �ges n'h�sitent pas � le suivre du regard quand il marche fi�rement dans la rue. C'est un ancien militaire reconverti dans le civil. Il est veuf et vit seul. Ses deux fils de 22 ans et 20 ans sont d�j� ind�pendants. Le premier poursuit une carri�re de militaire comme papa. L'autre est �tudiant en m�decine � Nantes. Quant � Christian, il est depuis quelques ann�es directeur d'�cole. Enfin, pas exactement. Il est directeur d'un centre charg� de r��duquer la racaille de ce pays. Centre �ducatif ferm�, Centre pour jeunes d�linquants,...Christian n'a m�me pas fait l'effort d'en connaitre l'intitul� exact. Tout ce qu'il sait, c'est que le Centre se trouve en pleine campagne et qu'on lui envoie la pire racaille made in banlieue parisienne.

L'�tablissement re�oit 8 jeunes en difficult�. Tous ont de graves lacunes sur le plan scolaire, social et civique. Tous ont fait de la prison pour divers infractions (vols, drogue, agressions,...). Les cours sont du niveau coll�ge, parfois lyc�e. La majorit� des jeunes ont entre 18 et 19 ans. Le plus �g� a 22 ans et n'a m�me pas le niveau de la troisi�me. Les profs qui enseignent viennent d'�tablissements scolaires normaux des petits villages ruraux des alentours. Christian vit sur place avec les 8 jeunes et un vieux concierge qui fait aussi office de cuisinier de cantine et de gardien. Normalement, il doit y avoir au moins 5 �ducateurs, 1 directeur-adjoint et 1 cuisinier mais l'�tat a ouvert le Centre dans la pr�cipitation sans y mettre le budget n�cessaire. Les collectivit�s locales refusent de mettre la main � la poche pour embaucher du personnel. �tant donn� que Christian semble bien tenir en laisse ses jeunes et qu'il n'y a jamais eu de probl�mes avec les villageois des alentours, tout le monde a fini par oublier le probl�me d'effectif insuffisant de l'�tablissement.

Le Centre est compos� de trois b�tisses construites au milieu d'une v�ritable for�t. Il y a un grand b�timent avec les salles de cours et le bureau du directeur. Un autre avec des petites chambres individuelles pour chaque �l�ve, le vieux concierge et une salle au rez-de-chauss�e qui sert de cantine. Enfin, le dernier b�timent est un peu isol�. Il faut traverser un chemin forestier tr�s �troit pour l'atteindre. C'est la jolie maison du directeur. En r�alit�, elle a �t� construite avec l'id�e en t�te d'un directeur mari� et p�re de famille. Tout a �t� fait pour isoler la maison du reste de l'�tablissement et fournir un maximum d'intimit� pour le directeur et sa famille. Le truc c'est que Christian vit seul. Y a donc beaucoup d'espace vide. Mais il ne s'en plaint pas car cela lui permet d'avoir un espace o� il peut se branler et mater du porno en toute tranquillit� sans avoir � craindre l'irruption d'un �l�ve.

Cette ann�e, il y a un nouvel �l�ve qui a retenu l'attention du directeur. Youcef, un jeune beur de 18 ans originaire de Seine-et-Marne. Il n'est pas tr�s grand de taille mais c'est un tr�s beau gar�on avec une musculature fine et un regard de braise. Le jeune homme est aussi sacr�ment pr�tentieux et arrogant. Il a un casier judiciaire long comme le bras. Un vrai petit ca�d qui n'a pas h�sit� � traiter Christian de "Sale c�fran" et de "Suceur de zob" au moment o� ils se sont rencontr�s pour la premi�re fois. C'est habituel pour ces jeunes d'�tre agressifs verbalement d�s le premier contact. Christian aime bien les d�fis. Il aime bien aussi les petits mecs qui se la jouent comme Youcef. Ce sont g�n�ralement ceux qui finissent par �tre les toutous les plus dociles et les plus ob�issants.

Christian a d�cid� d'y aller fort d�s le premier jour avec Youcef. Il l'a convoqu� dans son bureau � 18h apr�s les cours. Il a pr�vu de lui faire un rappel � l'ordre sur le respect et l'ob�issance. Il envisage d'�lever la voix � certains moments afin d'effrayer un peu le jeune arabe. G�n�ralement, ce genre de mise au point marche plut�t bien avec les jeunes car cela permet d'�tablir d�s le d�part que le directeur n'est pas une esp�ce de couille-molle qui va les chouchouter et leur trouver des excuses.

Youcef arrive avec 20 minutes de retard en fumant une clope et avec la casquette retourn�e.


-20 minutes de retard, Youcef! Ceci est INACCEPTABLE!

-Waouh! Pas la peine de me crier dessus, gros bouffon!


Christian a d� faire appel � tout son sang froid avant de r�pondre.


-Ce n'est pas une fa�on de parler...

-Qu'est-ce que j'ai fait? Pourquoi y a que moi de convoqu�? Wellah, premier jour et vous �tes d�j� en train de me faire chier!


D�cid�ment, ce petit arabe a d�cid� de faire monter les nerfs du directeur en un temps record.


-Cet �tablissement ne saurait tol�rer cette fa�on de parler, jeune homme. Il y a une hi�rarchie et une fa�on de se comporter...


Christian s'est s'arr�t� car Youcef est en train de regarder par la fen�tre de son bureau.

-Youcef! Je suis en train de parler et j'aimerais bien que...

-Sur la vie de ma m�re, vous me cassez tous les couilles avec vos discours. Le prof de maths tout � l'heure a parl� pendant 2 heures non stop. En plus, il a une voix de p�d�. Vous les c�frans vous avez tous des voix de p�d�s!

C'est bon, le directeur n'en peut plus. En un clin d'oeil, il fait le tour de son bureau et attrape le jeune arabe par la gorge.

-Premi�re r�gle : Quand tu t'adresses � moi petit con, tu me vouvoie et tu dis "Monsieur" � la fin de chaque phrase. COMPRIS?

Youcef a le regard d'un enfant apeur�. Mais apr�s quelques secondes, son expression se durcie et il crache au visage du directeur.

Christian n'en revient pas. Jamais de toute sa vie on ne lui a crach� � la figure. C'est r�voltant. Surtout l'id�e m�me que cette caillera de merde a os� lui larguer un gros mollard entre les yeux. Christian a tout de suite vu rouge et tout son pass� de militaire a repris le dessus. Il donne un coup de genou � l'estomac du jeune rebeu. Puis il lui fout un coup de poing en plein torse avant de lui balancer baffe apr�s baffe apr�s baffe jusqu'� ce que les joues du jeune con deviennent rouge vif. Youcef est � demi conscient. Les yeux ferm�s. Des larmes coulent sur son visage. Sa bouche est entrouverte mais aucun son n'en sort. Christian prend le visage de Youcef entre ses mains puissantes et viriles et lui dit :


-Ouvre les yeux, tapette! Regarde-moi quand je te parles!


Les yeux humides de Youcef se sont ouverts pour d�voiler le regard terrifi� du jeune maghr�bin.


-Alors, couillon on fait moins le malin, hein? A partir de maintenant, tu me parles avec le respect que tu me dois. T'es qu'une sale petite racaille de merde. C'est moi le patron ici. Tu fais tout ce que je te dis de faire. Pas la peine de chercher � n�gocier ou � te d�rober. Tu m'appartiens � partir du moment o� tu es entr� sur mon territoire. Fini la d�marche pr�tentieuse et le regard fier. Dor�navant, tu baisses la t�te quand tu me voies. Tu fermes ta gueule quand je te parle. Tu rases les murs quand je te croise dans les couloirs. Tu te souviens de la premi�re r�gle? Et bien si tu ne la respectes pas, je te casserais fils de pute! Je te d�foncerais la gueule. Je te ferais regretter d'�tre sorti de la chatte de ta m�re. Est-ce que tout est bien compris bicot?

-...oui...

*Slap* Une grosse baffe en pleine tronche.


-J'ai pas entendu. Vas-y r�p�te!

-Oui...Monsieur! J'ai compris, Monsieur.


Satisfait, Christian renvoie le jeune homme rejoindre ses camarades. Puis, il se met derri�re son bureau et c'est l� qu'il remarque pour la premi�re fois qu'il bande comme un �ne. Christian n'est pas p�d�, loin de l�. Il n'a jamais bais� avec un homme. Il n'a jamais voulu baiser avec un mec. Mais quelque chose chez ce Youcef semble avoir suscit� l'int�r�t de sa grosse bite. Peut-�tre est-ce l'id�e de dominer et d'humilier le jeune homme?

Le directeur s'approche de la fen�tre de son bureau. De l�, il peut voir la cour et le groupe de ses �l�ves. Tous des gamins de banlieue qui parlent � haute voix et avec des gestes exag�r�s. Seul Youcef se tient � l'�cart, fumant une clope et visiblement tr�s secou� par son "entretien" avec le directeur. Tout � l'heure, Christian a vraiment eu envie d'aller plus loin dans la punition de Youcef. Mais le peu de conscience professionnelle qui lui reste l'a emp�ch� de prolonger la torture du jeune homme. La prochaine fois peut-�tre...

Merci de m'�crire pour me dire si vous avez aim� et si je dois continuer. Les suggestions d'id�es et les critiques constructives sont les bienvenues.

Loveleyop

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