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Solitude du Camionneur de Fond...Suite
Nous avions laiss� John en route pour Las Vegas avec son chargement de melons � livrer en urgence.
Il s'�tait arr�t� un moment sur le bord de cette route du Nevada pour assouvir une envie irr�sistible de se soulager les couilles.
Bizarrement, lui qui �tait h�t�ro bon teint fantasmait sur son voisin Roberto ; il s'�tait fait tout un cin�ma �rotique dans la cabine de son MACK et avait failli se faire surprendre par un motard de la route !
En fait, il �tait s�r que le motard l'avait vu se branler et avaler son foutre par la vitre de la cabine surchauff�e. Il en avait eu la preuve en s'�loignant de la moto au d�marrage du camion car le flic lui avait lanc� une invitation explicite tout en se triturant le paquet !
John n'en revenait pas ! Si m�me les flics pouvaient �tre homos o� allait-t-on ? Il avait d� r�ver et inventer toute cette histoire. De toutes les fa�ons, sa cargaison ne pouvait plus attendre et il allait compter ses abattis si jamais il les livrait pourris !
Insensiblement, sa ranger droite appuyait de plus en plus fort sur l'acc�l�rateur et le moteur �mettait un grondement feutr� rassurant. La puissance de son MACK lui donnait confiance en lui, au moins son camion ne le l�cherait pas cette fois.
Le vent de la nuit tombante se fit plus violent dans la cabine et le rougeoiement du soleil couchant donnait � cette partie de la route un aspect irr�el.
Il sentit, plus qu'il ne vit une pr�sence derri�re le camion, sa sensation bient�t confirm�e par la vision dans son r�troviseur. Un v�hicule de police arrivait � grande vitesse derri�re lui, c'�tait une moto.
-Merde ! C'est pour moi ! Il venait de s'apercevoir qu'il roulait bien au del� des 60 Miles � l'heure autoris�es pour son type de camion. Encore une emmerde ! Si jamais on me retire le permis, je suis foutu ! Ma grosse pourra aller cueillir des p�ches en Californie et mes gosses seront plac�s en famille d'accueil !
Son angoisse croissait au fur et � mesure que la moto s'approchait du camion pour bient�t le rattraper � hauteur de la cabine tous feux clignotants et sir�ne hurlante. Le flic lui fit des signes pour qu'il se range sur le bas c�t�.
Il obtemp�ra sans discuter se sachant en tort. Une fois le moteur arr�t�, et la poussi�re provoqu�e par son arr�t brutal dissip�e, le flic mit la b�quille de la moto et se dirigea vers lui.
Il enleva son casque et John reconnut imm�diatement le flic de son arr�t pr�c�dent, celui l� m�me qui lui avait fait des signes obsc�nes ! Il avait d�graf� la boucle de retenue de son flingue de fa�on r�glementaire et dit � John :
- Descendez de l� monsieur imm�diatement, vous rouliez � une vitesse excessive inadmissible ! Le reconnaissez vous ?
- Ben, oui j'�tais press� de livrer mes melons monsieur l'agent.
- C'est pas une raison pour mettre la vie d'autrui en danger, alors dans l'ordre :
- Papiers
- Permis
- Descendez du v�hicule.
La matraque du flic, noire et luisante lui battait les jambes et ses bottes de motard refl�taient l'ambiance orang�e du soleil couchant.
John ob�it, un peu contrit mais �nerv� par ce contretemps suppl�mentaire Il prit quand m�me le temps de mieux regarder le flic Son m�tre quatre-vingt dix ainsi que sa carrure imposante l'impressionnait.
Le flic eut soudainement un petit sourire en coin et se saisit de sa matraque coud�e, il en appuya l'extr�mit� sur la bosse du pantalon de John et dit :
- Alors on s'est soulag� sans moi tout � l'heure ?
- Je ne comprends pas monsieur l'agent...bredouilla John.
- Tu sais bien de quoi je parle, t'as encore du foutre qui s�che sur le coin de la bouche !
Et sans crier gare le flic lui empoigna la nuque avec force et l'embrassa � pleine bouche en passant bien sa langue sur la barbe de trois jours encore gluante.
Sous la surprise, John recula vivement comme piqu� par un scorpion.
- Ben, vous g�nez pas ! Suis pas un P�d� !!!!
- Petit bonhomme, je viens de te prendre � 40 miles au dessus de la limite autoris�e et je te garantis que ton avenir tout entier d�pend de moi. Alors t'as int�r�t � fermer ta gueule et faire ce que je dis.
Joignant le geste � la parole le flic poussa John vers l'arri�re du camion et lui fit ouvrir les vantaux, une forte odeur de melons murs faillit les suffoquer.
- Allez, monte l� dedans lui intima le flic.
John ob�it � contre-coeur mais ne pouvait r�sister � la pouss�e de la matraque point�e vers ses fesses.
- On va voir comment tu vas pouvoir te tirer de ce mauvais pas mec !
Le flic le suivit dans la remorque et referma le vantail avec force. Il saisit John par la nuque avec le coude de la matraque et le for�a � s'agenouiller.
- Tu commence par me l�cher les bottes avec soin et je veux que �a brille ! Salive bien dessus mec !
- Mais...jamais...je ne..
- Fais le o� je te fais sauter ton permis !
John se mit d'abord � l�cher timidement le bout des bottes lustr�es et s'aper�ut � sa grande stupeur que l'odeur du cuir le faisait bander !!!! La position de totale soumission �galement, bient�t la bosse de son jean, non encore visible par le flic allait le trahir.
Mais bien plus visible �tait sa satisfaction � barbouiller les bottes de sa salive ainsi que ses grognements de plaisir. Il sentit soudainement, un liquide chaud lui mouiller la nuque et inonder son visage tourn� vers le cot� pour ensuite �clabousser le sol. Le flic lui pissait dessus !!!!
En levant la t�te pour protester, il vit une bite �norme au dessus de ses yeux d'ou jaillissait un flot puissant de liquide dor�. De surprise, il ouvrit la bouche en grand et se retrouva en train de prendre le tout dans la bouche.
Il faillit s'�touffer.
Le flic lui empoigna le t shirt, et lui fourra la bite dans la bouche tout en continuant � pisser.
- Allez bois un coup il fait chaud aujourd'hui, et dans le d�sert vaut mieux boire chaud !
John avala le liquide br�lant qui �tait bien moins �cre qu'il ne s'y attendait ; mais en m�me temps il ne pouvait s'emp�cher de bander comme un fou. M�me la bouche pleine, il voyait les lourdes couilles du flic se balancer en rythme ainsi que l'abondante toison qui montait vers le torse offert.
- J'ai comme la vague impression que tu aimes �a hein ?
John avala les derni�res gouttes et s'essuya la bouche du revers de la main avant de tenter de r�pondre.
Avant qu'il n'ait eu le temps de dire un mot le flic se pencha et l'embrassa � nouveau goul�ment.
Il lui reprit la nuque avec force et l'obligea � se lever, le fit pivoter sur lui m�me et lui saisit la boucle du ceinturon.
- On va d�faire gentiment ce pantalon et s'en d�barrasser, ensuite je t'attache les mains avec ta ceinture aux ridelles de la remorque.
Aussit�t dit, aussit�t fait ! Ceinture retir�e, T-shirt arrach�, JOHN se retrouva les bras lev�s, son torse muscl� en p�ture aux crachats r�p�t�s du flic qui l'insultait copieusement.
- Pauvre salope, tu vas voir ce que je vais te faire subir ! T'appelleras ta maman au secours d'ici dix minutes, camionneur de mes deux, �a roule des m�caniques, fait chier son monde !
Les crachats s'accumulaient sur son corps, le flic lui baissa e jean avec force sur les chevilles et les rangers.
- Belle, petite tige mec ! Mais si tu crois que je vais y toucher tu te trompes lourdement, si tu veux gicler ce sera tout seul et sans mon intervention..... ni tes mains d'ailleurs...
John ne comprenait pas o� le mec voulait en venir, mais il pressentait un mauvais coup quand il vit le mec passer derri�re lui. Il sentit le bout de la langue du mec lui fourailler le trou avec insistance.
Il ne put r�primer un cri de plaisir, quasi animal. Putain ! que c'�tait bon !!!!
Il sentit quelque chose de dur remplacer la langue, mais ce n'�tait pas la bite du mec, non.... C'�tait la matraque !!!
- Je te la fourre bien profond, et ensuite je la remplace par ma queue ! Le flic imposa un mouvement violent vers l'avant � la matraque qui s'enfon�a de quelques centim�tres en John.
Il faillit hurler, mais ne savait plus si c'�tait de plaisir o� de douleur, les deux se confondant en un seul r�le. Les centim�tres augmentaient, le plaisir aussi....
Ll matraque fut retir�e brutalement pendant que le flic lui mordillait la nuque, et il sentit le gland du flic qui s'insinuait avec une force colossale dans son trou.
- Et maintenant, passons aux choses s�rieuses, phase deux, je te pine jusqu'� ce que tu jutes mec !
L'odeur de la cargaison, m�l�e � celle de la sueur des hommes cr�ait une moiteur insoutenable. John �tait au bord du malaise. Les coups du flic, port�s avec violence, lui massaient l'int�rieur avec une grande pr�cision, comme s'il cherchait � d�clencher quelque chose.
John comprit vite que ce " quelque chose " �tait l'annonce que lui avait faite le flic, il lui semblait d�j� une �ternit� maintenant. Il commen�a � sentir les pr�mices d "une jouissance monter en lui si forte que sa t�te tournait.
- Alors �a vient ma petite pute ? Tu le craches ton venin ?
John vit la main du flic venir se placer juste au bout de sa queue, ouverte, en attente.
- Vas y crache ma salope, te fais pas prier, j'ai faim !
Submerg� par un d�ferlement �lectrique, John r�pandit ce qui lui sembla une tonne de foutre dans la main ouverte du flic, c'est simple, la paume en �tait recouverte et du sperme se r�pandant sur le sol.
- C'est bien mon pt'it gars....
Tout en continuant � limer John, le flic amena la main poisseuse � sa bouche et l�cha le foutre, s'en massa la figure. Il explosa simultan�ment dans le cul de John en hurlant de plaisir.
John crut que s'en �tait fini, mais le flic tomba � genoux derri�re John et enfouit sa bouche sur le trou de John pour en boire son propre jus.
Putain ! Ce mec est crade � mort pour un flic !!!!
C'est en silence que les deux mecs se rhabill�rent. Les regards s'�vitant soigneusement.
Gants, casque, pantalon d'uniforme r�ajust�, le flic lan�a du bout des l�vres :
- Allez y Monsieur ! Ca va pour cette fois mais faites attention !!!
TERENCE
2 MAI 2002
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