Caillera.C'�tait samedi dernier je devais aller chez un ami pour sortir tous les deux en boite. M'enfin me voil� devant son immeuble. Un groupe de jeune racailles est devant je passe en vitesse. Devant l'ascenseur, il y a un jeune rebeu environ 25 ans, bien mat, environ 1m75 et assez muscl�. il portait un d�bardeur blanc et un bas de jogging qui laissait deviner qu'il portait un cale�on en dessous. Il avait cette bonne bosse que je kiffe. L'ascenseur arrive. Il me laisse monter en premier. J'�tais assez mal. On monte il me demande d'une grosse voix : "quel �tage ?". je r�pond timidement "euh..3�me". A peine lanc�, l'ascenseur s'arr�te. La lumi�re principale s'�teint et une veilleuse assez faible s'allume. Voyant ma panique il me dit "T'inki�tes, ca arrive tout le temps �a va repartir". Seulement le hic c'est que l'ascenseur �tait vraiment en panne. Serr� dans cet espace restreint, on attend... on attend. Puis au bout de dix minutes, il me dit que l�.. on va y rester pendant longtemps, que c'est le week end, et qu'en plus nos portables ne marchent pas. Je stresse. Il me fixe et frotte sa bosse et me dit : "T'es PD ?". je le regarde et lui dit "regarde comment j'suis habill�". il rigole. Puis il m'envoie une tonne de question comme "Ca fait mal ? t'aimes sucer?". Je le regarde je r�ponds pas. Il me dit "bon on va reprendre. d�sol�. J'mapelle Medhi". Je souris et "moi c'est Jean". Il s'assoit bien � c�t� de moi et se remet en place. A la vue de sa bosse (je bande) je lui sors "quoi tu bandes ?". Il me regarde (je me dis que je n'aurais pas du dire �a) et il me dit "c toi qui bandes ouais !" Je lui dis que non. Alors il met sa main sur mon paquet. Je retire sa main mais il r�ponds "arr�te je suis sur que t'aimes �a ! regarde t'as une bonne trique l� !!". Il r�essaie de toucher mais je ne le laisse pas faire et il finit par s'asseoir sur moi et me mets les deux mains derri�re la t�te. je le regarde. Il me dit "J'ai envie de te p�ter le cul". Il commence � d�boutonner mon pantalon et le descend. Je sors une capote de mon sac et lui montre. il me dit :"g�nial". Il se fout � poil. Elle est �norme. Il a une bonne grosse queue circoncise et il est bien poilu. Sans attendre ses ordres, je l'enfourne dans ma bouche. Il pousse un g�missement. "Vas y va plus vite". Au d�part je le suce � mon rythme bien comme il faut. je m'attarde longtemps sur son gland. j'avais jamais sucer de circoncis c trop bon. Je le branle en m�me temps. Tr�s vite il m'attrape la t�te et dirige. J'arrivais pas � respirer. Il poussait vraiment fort pour que sa queue rentre bien au fond de ma bouche. Je lui ai dis d'arr�ter. "quoi t'aimes pas sucer ?" Puis il rattrape ma t�te et me fout sa bite sur la t�te et la frotte sur mon visage. "J'vais t'cracher � la figure sale p�dale" Pendant que je m'occupe de sa bonne queue je faufile un doigt vers son cul et essaie de le rentrer. L� il m'arr�te. "Tu m'as pris pour qui ? J'suis pas un Pd moi !!". Il enfile la capote et me retourne �nerv�. tant mieux . Il commence � m'enfiler. je le stoppe car sa queue me fait mal. Mais �nerv� il force et parvient � me la rentrer d'un coup sec. J'ai mal mais en m�me temps c'est bon. je g�mis. Il pousse il pousse. Je change de position. Puis on reprend de plus belle. Il g�mit bien fort. C'�tait trop bon. Il me lime bien � fond puis d'un coup se retire et en hurlant me l�che tout son foutre sur le visage. Tout son sperme chaud qui gicle d'un coup sur ma face. Il continue � lancer sa liqueur tout en gueulant. Apparemment il avait pas bais� depuis longtemps vu la quantit� de foutre qu'il ma foutu sur la gueule. Puis il s'allonge �puis�. je retire ma teub de l� et lui dis "T pas un pd, hein ?!" On s'essuie on se rhabille. On est au final rest� bloqu� 4h dans cet ascenseur qui sentait grave le sperme. On a rebais� durant ce temps mais il n'a pas voulu que je l'enfourne. Ravi de cette soir�e je rentre au matin heureux chez moi avec une trique d'enfer, le cul compl�tement d�fonc�... R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |