Cyrillo

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Aventure qu�b�coise

Je suis pilote d'Airbus A330 chez Air France. C'est le m�tier que j'ai toujours voulu faire et je suis combl�. Un appartement avec vu sur la Tour Eiffel, un bon salaire, des voyages sans arr�ts ! Mais voil�, je viens d'avoir 30 ans, je suis beau gosse, mais je suis toujours seul ! J'ai bien eu quelques histoires avec des stewards et certains sont rest�s des " fucking friends ", mais rien de suffisamment s�rieux pour remplir ma vie sentimentale. Alors je reste ouvert � toutes les opportunit�s, d�sesp�r�ment � la recherche de la relation qui ach�vera de donner un sens � ma vie.

Nous sommes au mois d'octobre et en ce moment j'assure en tant que commandant en second le Paris-Montr�al et le Paris-Qu�bec. J'adore le Canada et en particulier sa partie fran�aise. Les Qu�b�cois sont des gens tr�s sympathiques et, ce qui ne g�che rien, des amants tr�s chauds. Sans doute qu'ils cherchent � compenser la froideur de leur climat.
La desserte de Qu�bec en vol direct depuis Paris n'a lieu qu'en haute saison, et aussi parfois hors saison quand la demande est importante. C'est justement le cas ce vendredi. Mon vol d�colle de CDG � 10h45 pour un toucher de piste pr�vu � Qu�bec � 12h25 pm local time.

Comme nous sommes hors saison, je me suis fait un petit plaisir, je me suis r�serv� une nuit au ch�teau Frontenac, le c�l�bre h�tel que l'on voit sur toutes les cartes postales de la ville. C'est un peu plus cher que ce que la compagnie m'octroie pour mes frais de mission, mais la diff�rence vaut vraiment la peine, d'autant que je ne repars que le lendemain soir pour Paris !
Le vol se passe tr�s bien. L'Atlantique Nord est couvert de nuages comme habituellement en cette saison, et l'anticyclone permet enfin de voir la c�te au large de Terre Neuve.

Le chef de cabine est un de mes ex. Visiblement il esp�rait que je l'invite � partager ma chambre au Frontenac. Il a de beaux yeux bleus et surtout une bite de 18 cm...Je suis � deux doigts de lui dire oui, mais je me ravise, pr�f�rant rester seul pour profiter de ma soir�e dans le plus c�l�bre ch�teau canadien. Je vois bien qu'il est d��u, mais je lui donne un rendez-vous pour le week-end � Paris chez moi...Il ne faut pas contrarier ses coll�gues, �a cr�e une mauvaise ambiance ! Et dans un avion, c'est important que les membres de l'�quipage soient soud�s ! Et m�me par la bite s'il le faut !

L'atterrissage se fait sous un franc soleil avec un peu de vent lat�ral qui m'oblige � quelques corrections avant de laisser le train toucher la piste. Puis la routine habituelle, roulage, stationnement, d�barquement des passagers, v�rification des �l�ments de la check-list de fin de vol. Je r�cup�re ma valise, passe les contr�les douaniers tr�s rapidement dans la file r�serv�e aux personnels navigants, puis je saute dans un taxi direction la haute-ville et le ch�teau Frontenac.

Je r�cup�re ma chambre situ�e au 14�me �tage. La vue sur le Saint-Laurent et sur l'Ile d'Orl�ans est vraiment superbe. Je ne regrette pas mes 250 dollars canadiens. C'est tr�s confortable. Le lit doit faire au moins 2 m�tres de larges, il y a un canap� deux places, une table basse, un bureau, un meuble TV avec un �cran plat de 26 pouces. La salle de bain tout en marbre est �galement magnifique.

Je retire mon uniforme de pilote pour m'habiller en civil et je descends sur l'esplanade devant le ch�teau pour me promener et profiter un peu du soleil. Il n'est pas loin de 16h et il n'y a quasiment personne, c'est tr�s agr�able. Dommage par contre qu'il y ait une partie de l'esplanade qui ne soit pas accessible. Un chantier de r�novation est en cours. C'est bien normal car avec 6 mois d'hiver par an, cela ne doit pas �tre facile de conserver les lattes de bois qui recouvrent le sol en bon �tat. Il y a un �chafaudage autour d'une statue et je remarque un ouvrier qui s'y trouve perch� et qui discute avec un de ses coll�gues. Il a l'air tout jeune, 18-20 ans, pas plus. Il a l'air mignon et je lui trouve plein de charme tout souriant sur son �chafaudage. Je passe mon chemin et je vais m'accouder sur la balustrade pour contempler le Saint-Laurent et les toits de la ville-basse. Je repense � mon petit ouvrier, je ne l'ai vu que quelques secondes mais il m'a fait un sacr� effet...Je l'aurais bien invit� � boire un verre. Mais il ne doit sans doute pas �tre PD...Ce n'est pas comme avec les stewards o� l'on peut draguer sans risque de se faire mettre un poing dans la figure.

Je suis perdu dans ma r�verie quand une voix que je reconnais me demande si je n'ai pas " un lighter ", autrement dit du feu en fran�ais. Je me retourne et je tombe nez � nez avec mon petit ouvrier. Ca fait tout dr�le car j'�tais en plein en train d'imaginer faire des choses cochonnes avec lui...Je mets trois secondes pour retrouver mes esprits puis je lui explique je ne fume pas...Et que de toute fa�on je suis pilote et que je ne pourrais pas avoir de briquet dans mes bagages.

Son int�r�t pour mon m�tier lui fait perdre son envie de fumer et il me pose plein de questions sur les avions et le pilotage. Je lui demande � quelle heure il termine et s'il veut venir boire un verre pour en discuter avec moi au bar de l'h�tel o� je suis descendu. Il me dit qu'il n'est jamais rentr� dans le ch�teau Frontenac et qu'il a h�te de visiter les lieux avec moi. En fait il a termin� sa journ�e et il me demande de l'attendre pendant qu'il va se changer.

Je le regarde s'�loigner dans sa tenue de chantier, son casque � la main. Il a vraiment un joli petit cul...J'ai trouv� son regard plut�t intense pour un h�t�ro et je ne serais pas �tonn� qu'il aime plus la bite que la chatte mais � cet �ge l� tout est possible, il ne faut pas que je me fasse de film.

Un quart d'heure plus tard je le vois revenir vers moi, le pas rapide. Il porte un jean clair et une chemise � carreaux. Il est vraiment tr�s beau, pas seulement du fait de sa jeunesse. Il a quelque chose de plus. Ses traits sont relativement fins sans �tre f�minins, ses yeux sont d�cid�ment tr�s bleus et ses cheveux ch�tains clair sont coup�s courts. Il a le m�me gabarit que moi, m�me si je pense qu'il doit �tre un peu plus muscl�. J'aimerais bien avoir l'occasion de v�rifier ce dernier point !

Il m'accompagne au bar de l'h�tel. Il est curieux, il regarde toutes les vitrines du grand hall de r�ception, les moquettes, les boiseries. Il semble fascin� par ces lieux qui sont il est vrai un peu magiques. Nous nous installons en bordure de la verri�re. De l� nous voyons le Saint-Laurent mais heureusement pas son chantier. C'est vendredi soir et il doit en avoir marre des �chafaudages...Nous commandons deux bourbons sans glace.

Nous n'avons pas de mal � trouver des sujets de conversation communs. Il est passionn� par les avions tout comme moi. Je suis tr�s int�ress� par la vie au Qu�bec. Il me dit qu'il a termin� le CEGEP et qu'il bosse avant de rentrer en fac de droit � l'UQAM. Il va falloir qu'il se paye une chambre � Montr�al et ses parents n'ont pas trop les moyens de l'aider financi�rement. Plus notre conversation avance plus je me rends compte que je lui plais. Cela ne fait plus aucun doute.

Discr�tement je pose ma main sur la sienne. Il y a toujours un moment de doute dans ces moments-l�. Peut �tre que l'on s'est fait un film, que le type a simplement un regard intense et qu'il n'est int�ress� que par ma conversation. Et bien non, pas d'erreur, je le sens qui se d�tend instantan�ment comme si j'avais appuy� sur le bon bouton. Notre conversation devient plus intime et il monte entre nous une sorte de tension sexuelle. Je ne le regarde plus de la m�me fa�on. Nous nous sommes rapproch�s et tant�t c'est ma main qui se pose sur sa cuisse tant�t c'est la sienne qui me caresse. En m�me temps que je bois ces paroles, je contemple ses l�vres et je les imagine glissant sur ma queue.

Il arrive un moment o� je n'ai plus envie de parler, lui non plus. Et c'est presque en courant que nous quittons le bar pour monter dans ma chambre. Dans l'ascenseur nous avons le bonheur d'�tre seuls. Je le plaque contre la paroi du fond et je go�te enfin � ses l�vres, � sa bouche, � sa langue. Je sens son corps chaud contre le mien. Je sens sa queue d�j� dure � travers son pantalon.
L'ascenseur arrive au 14�me �tage ! Nous allons en vitesse jusque dans ma chambre, nous tenant par la main comme deux adolescents pour parcourir le vaste couloir. Nous croisons une petite vieille et son chien qui ne pr�te m�me pas attention � notre attitude. C'est vrai que nous sommes au Canada, dans un pays o� les hommes peuvent se marier avec d'autres hommes...

Enfin la chambre ! Il retire sa chemise et son tee-shirt en m�me temps. Il est bien muscl�, je m'en doutais ! Je me jette sur lui et le pousse sur le lit o� il se retrouve allong� sur le dos. Je prends ces deux mains dans les miennes comme pour le ma�triser. Je l'embrasse � pleine bouche un long moment. Puis je pars � la d�couverte de son corps. J'embrasse son torse imberbe, ses biceps, ses aisselles. Son odeur de petit m�le m'excite.

Je descends sur son ventre, je go�te � son nombril. Mais je suis trop excit� pour faire durer ces pr�liminaires...Je d�grafe les boutons de son Lewis et d�couvre un boxer noir qui moule � merveille son �rection. Il m'aide � lui retirer son pantalon et ses chaussures. Il a de belles cuisses muscl�es et peu poilues que j'embrasse � pleine bouche, surtout l'int�rieur ! Je ne tiens, plus, je lui baisse son boxer pour d�couvrir sa queue et je ne suis pas d��u. Il a vraiment une jolie bite. Circoncise, bien droite, un bon 7 pouces je dirais pour faire couleur locale !

Je la mets dans la bouche comme si je n'avais pas mang� depuis 3 semaines...Quel bonheur de sucer une aussi jolie bite. Je crois qu'il appr�cie le traitement que je suis en train de lui infliger. Tant�t je suce son gland, puis j'essaye d'en mettre le plus possible en bouche comme une vraie cochonne. Tant�t je lui aspire les couilles et je remonte avec de petits coups de langue sur sa queue. J'aime la sentir humide et la frotter sur mes l�vres et mon visage.

Au bout d'un petit moment c'est lui qui m'arr�te et qui s'occupe de moi. Je me d�shabille � mon tour et je le laisse me caresser. Une fois que je suis compl�tement nu, il se couche sur moi pour frotter sa queue, humide de ma salive, contre la mienne pendant que nous �changeons un long et tendre baiser mouill�. A son tour il descend alors pour me sucer. Visiblement il aime �a autant que moi et il s'y prend tr�s bien. Plusieurs fois je suis oblig� de me forcer � penser � un truc d�sagr�able pour ne pas exploser dans sa bouche. Pendant qu'il me suce, il n'oublie pas de me caresser le ventre, les cuisses et il s'attarde m�me sur mes pieds. Comment-a-t-il devin� que j'aimais �a ?

Je me laisse rarement faire autant la premi�re fois. Il faut dire que d'habitude je s�lectionne les petites passives avec qui je peux jouer � la poup�e... Mais l� j'aime me laisser faire, c'est nouveau pour moi. Je ne sais pas de nous deux qui passera � la casserole le premier, mais cela pourrait bien �tre moi.

Apr�s ma queue, il s'int�resse � mon cul et me le l�che avec douceur. Je sens ses doigts qui me caressent la rondelle, sa langue qui me p�n�tre l�g�rement et qui de temps � autre remonte jusque sur mes couilles. Je lui attrape la main et lui fait signe qu'il y a des pr�servatifs dans ma trousse de toilette pos�e sur la table basse. Il bondit en bas du lit et en quelques mouvements il se retrouve face � moins, la queue bien dress�e, un pr�servatif d�roul� jusqu'� la base ! Il est tr�s efficace.

Il me p�n�tre avec beaucoup de douceur tout en me caressant la queue. Sa bite est �paisse mais mon excitation fait qu'elle rentre sans difficult�. Il reste un petit moment sans bouger pour que je m'habitue. Il en profite pour m'embrasser tendrement dans le cou. Il commence doucement � me ramoner. C'est trop bon ! Il s'applique � faire des mouvements lents mais amples, tout ce que j'aime. Plusieurs fois je suis oblig� de retirer sa main de ma queue pour ne pas jouir. J'aime sentir sa bite dans mon cul serr�...

Je le veux encore plus pr�s de moi, alors nous changeons de position. Il s'assoit, dos contre la t�te de lit et je viens m'empaler sur sa queue dans la position du lotus. Je m'accroche � lui, le sers tr�s fort contre moi. Je lui griffe le dos. Je l'embrasse � pleine bouche. Il bouge son bassin en rythme pour me la mettre bien profond. Ma queue frotte contre son ventre. Je lui griffe le dos comme une chienne et l� j'explose sans qu'il ait eu besoin de me toucher, simplement par le frottement de la queue sur ses tablettes de chocolat. Il jouit � son tour quelques secondes apr�s au fond de mon cul. Je sens les contractions de sa bite au plus profond de mon intimit�.

Ce fut tr�s fort. Nous sommes maintenant allong�s tous les deux sur le dos, main dans la main, la bouche s�che, essayant de retrouver une respiration normale. Je crois que je n'ai jamais eu une premi�re fois aussi intense avec un mec. J'ai toujours besoin de 2 � 3 coups avant de donner mon maximum, d'�tre vraiment bon au lit comme on dit vulgairement. Et bien l�, �a a �t� g�nial tout de suite comme si il me connaissait par coeur depuis toujours. C'est tr�s fort. Je sens bien que pour lui c'est pareil et d'ailleurs c'est lui qui parle le premier et qui me le dit. Je le prends dans mes bras et je le sers fort contre moi.

Emport� par la passion, j'ai oubli� de pr�cis� qu'il s'appelle Fabrice !

***

Apr�s avoir fait l'amour avec tant de bonheur, nous prenons une douche et nous nous habillons. Je lui pr�te une de mes chemises blanches car bien s�r il va diner au restaurant avec moi...Ca creuse de faire l'amour ! En plus il va passer la nuit au Ch�teau dans ma chambre...Il doit juste appeler ses parents pour les pr�venir qu'il ne rentrera pas ce soir.

Nous passons une soir�e inoubliable dans le plus chics des 3 restaurants de l'h�tel, Le Champlain. Nous discutons beaucoup du Qu�bec et de l'avenir de Fabrice. Il veut �tre avocat, mais il n'est pas encore tout � fait s�r que cela soit vraiment sa vocation. Quant � moi, je lui parle de mon go�t pour l'Am�rique du Nord et de mon d�sir d'y habiter au moins pour un temps. Je lui dis que j'envisage depuis longtemps d'essayer de vivre � Montr�al. Etre en Am�rique sans couper les ponts avec la francophonie, quel bonheur !

Puis nous parlons de nos relations, et de mon d�sir de trouver enfin une relation stable. A la fin du repas, les yeux rendus p�tillants par le champagne, nous venons de terminer la deuxi�me bouteille, il me dit, �nigmatique, qu'il est peut �tre celui que je recherche depuis longtemps...

Sur ces paroles qui me laisse r�veur, les choses vont si vite, je lui propose de remonter dans la chambre car j'ai tr�s envie de lui faire l'amour. Je crois qu'il est un peu pompette et il ne marche pas tout � fait droit dans le couloir qui nous m�ne du restaurant � l'ascenseur. C'est s�r que la bi�re canadienne � 3° qu'il a l'habitude de boire est un peu moins traitresse que le champagne.

Dans l'ascenseur cette fois nous ne sommes pas seuls...un jeune homme d'une vingtaine d'ann�es en costume cravate impeccable nous donne le bonsoir en anglais. Il a l'allure typique des canadiens anglais de bonne famille, beurk ! Je croise le regard de Fabrice et nous pensons la m�me chose � la m�me seconde. Je le prends par la taille et je lui roule une pelle d'enfer. L'allure � laquelle notre petit anglais a quitt� l'ascenseur au 10�me �tage en dit long sur sa r�probation de notre comportement. Nous sommes si heureux de nous �tre trouv�s, nous sommes seuls au monde !

Arriv�s dans la chambre nous nous d�shabillons le plus vite possible en jetant tous nos v�tements p�le-m�le sur la moquette �paisse. Fabrice me dit qu'il est un peu saoul et qu'il compte sur moi pour m'occuper de lui. Qu'il se rassure car c'est bien ce que je comptais faire ! J'ai justement ma revanche � prendre.

Je le contemple nu un instant avant de me jeter sur lui. Il a vraiment une chute de reins et des fesses superbes. Il s'allonge sur le ventre au milieu du vaste lit King size, les jambes l�g�rement �cart�es me laissant admirer ses couilles et sa raie des fesses. Je m'agenouille � c�t� de lui et je commence � lui caresser les �paules et le dos. Je l'embrasse dans le cou et dans le dos. Mais mains jouent avec ses fesses bien fermes et sans poils. Je l'embrasse longuement dans le creux du dos. Je goute � son parfum, � l'odeur de sa peau, � sa douceur presque f�minine. Il soupire sous l'effet de mes caresses.

Je redescends pour lui embrasser les fesses, les cuisses, l'arri�re des genoux. Je m'attarde sur ses jolis pieds. Je les masse d'abord pour le d�tendre. Je joue avec ses doigts de pieds que je manipule un par un. Et comme je vois qu'il aime �a, je lui fais plier le genou pour pouvoir faire glisser ma langue sur le dessus de son pied puis entre ses orteils. Je les prends dans ma bouche un par un et je les caresse avec ma langue.

Je laisse ses petits pieds tranquilles et je remonte � nouveau vers ses fesses que j'embrasse tendrement. Je me rapproche de sa raie. Je mouille mes doigts de salive pour les faire glisser sur sa rondelle. Il frisonne. Je n'en peu plus de bander, ma queue frotte sur sa jambe pendant que je lui embrasse les fesses. Une fois qu'il est bien humide de ma salive, je glisse un doigt dans son intimit� pendant que de l'autre main je lui caresse les couilles. Je sens son anus serr� se contracter contre mon doigt...J'en frissonne en pensant que c'est ma queue qui va bient�t remplacer mon doigt.

Je glisse alors ma langue entre ses fesses et commence � lui bouffer le cul en y enfon�ant ma langue le plus possible. J'adore ce jeu l�. J'�carte ses fesses avec mes deux mains pour essayer de lui glisser ma langue encore plus profond. Il adore �a et g�mit de bonheur. J'aime �galement glisser un doigt en plus de ma langue, �a m'excite terriblement ; tellement que j'en peux plus et qu'il faut absolument que je lui mette ma bite. C'est plus fort que moi.
Je me glisse contre son corps, et je prends ma queue dans la main pour la guider dans son intimit� avec douceur. Il est d�j� bien ouvert et je n'ai pas de mal � la rentrer compl�tement. Je reste sans bouger un instant puis je commence doucement de petits va-et-vient pendant que je l'embrasse dans le cou. J'attrape ses deux mains et je croise ses doigts dans les miens, comme pour le garder prisonnier � ma merci, le dominer davantage.

Je pense un instant � la capote que j'aurais d� enfiler avant de le prendre, mais c'est tellement plus agr�able sans...De mon c�t� il n'a rien � craindre, je suis toujours safe, et c'est mon premier oubli. Du sien je ne sais pas et je m'en fous. Je pourrais mourir � l'instant pour le bonheur qu'il est en train de me donner avec son corps...peu importe, je ne vis que pour cet instant !

Apr�s un petit moment, je le fais mettre � quatre pattes et je le prends dans cette d�licieuse position o� je suis fascin� d'observer les mouvements de ma bite dans son cul. Je me retire presque compl�tement � chaque va-et-vient. J'adore ces mouvements relativement lents et tr�s amples. Il me donne l'impression d'avoir une bite plus longue qu'elle n'est r�ellement. Je crache dans mes mains et j'attrape sa queue band�e � fond pour le branler. Je fais glisser mes doigts sur son gland humide. Je descends jusqu'� la base de sa bite et je lui attrape les couilles qui se balancent au rythme de mes assauts.
Plusieurs fois je dois ralentir le mouvement pour ne pas exploser dans son cul et mettre fin trop vite � ce moment de bonheur si intense.

Je d�cule tout doucement et demande � Fabrice de se retourner pour que je puisse le prendre de face. A peine retourn�, je me suis d�j� gliss� en lui et je colle mes l�vres contre les siennes pour l'embrasser pendant que je le baise. L� j'ai vraiment l'impression de ne former plus qu'un avec lui. Nous sommes coll�s l'un � l'autre, fusionn�s par l'acte d'amour. Je me d�tache un peu de ses l�vres pour m'occuper de sa bite que je branle avec douceur. J'arrive sans peine � attraper son gland dans ma bouche tout en continuant � �tre en lui.

Je sens qu'il va venir et sous l'action de mes doigts qui glissent sur son gland, je le sens se contracter, crier de plaisir, puis �jaculer � grands traits du sperme sur son ventre, son torse et son cou, sans oublier ma main. A mou tour, je me retire, je me caresse la queue avec son sperme et, quelques tr�s courtes secondes apr�s, je d�charge sur lui en poussant des cris tr�s sonores. Je le couvre de sperme. Je me penche pour l'embrasser et laper en peu de nos deux semences qui se m�langent pr�s de sa pomme d'Adam.

Je le prends dans les bras un instant. Nous n'�changeons pas un mot. Nous nous serrons juste l'un contre l'autre sans se soucier du sperme qui poisse sur nos corps enfi�vr�s.

Quand le froid commence � se faire sentir nous partons sous la douche pour une tendre s�ance de savonnage et de friction commune. C'est simplement de la tendresse, m�me si nos queues sont d�j� � demi band�es. C'est aussi tr�s agr�able et intense. Nous nous s�chons l'un l'autre et nous allons nous glisser tout nu sous les draps �pais. Je sens sa petite main qui cherche � attraper la mienne. J'�teins la lumi�re et nous nous endormons sans rien dire pour ne pas briser la magie, dans les bras l'un de l'autre.

Hyperion

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