Page pr�c�dente

�pisode : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 - 8 | 9

Aventures lyc�ennes 2

A 18 ans, c'est tous les jours que je dois me branler. Mais je ne peux pas attendre d'�tre dans ma chambre. D�s que je bande, il faut que je m'astique, et que je me vide les couilles. Alors r�guli�rement, je me branle dans le bus, dans les chiottes au bahut, et dans les vestiaires en sport.

Hier, pour un travail non fait, le prof d'anglais m'exclut de son cours, et m'ordonne de rejoindre le bureau des pions pour faire mes devoirs en retard. Je sors de la classe, mais je ne suis pas press� d'aller retrouver les pions, j'ai bien le temps de me faire un petit plaisir solitaire. Alors, je me dirige vers les toilettes du 3�me, comme souvent.
D'habitude, je sors juste ma queue ou je baisse mon froc et mon slip. Mais aujourd'hui, je veux m'offrir une super s�ance. Je me mets compl�tement � poil. Je me caresse, je joue avec ma bite, mes t�tons. Tout mon corps est transpirant. C'est bon. Tout � coup, j'entends des pas dans les chiottes. Pas grave, tranquille dans ma cabine, je continue. Je fais gaffe � ne pas faire de bruit. La situation m'excite.

Une voix : " Damien ?! "
C'est quoi ce d�lire, qui c'est qui m'appelle ?? Je ne r�ponds pas.
La voix : " Damien, je sais que tu es l�, je t'ai vu rentr� ! C'est C�dric le surveillant, on t'attend dans notre bureau. "
Je ne r�ponds pas. Il va se casser. Je ferme les yeux et je continue � me branler tranquille.
La voix : " alors c'est l� que tu te caches ! "

J'ouvre les yeux. Il est au dessus de moi, les murs de la cabine ne vont pas jusqu'au plafond. Et C�dric se tient l�, en �quilibre au dessus du mur. Il sourit.
C�dric : " Les mains en l'air ! "
J'ob�is. J'ai l'air d'un con, � poil, la queue band�e, et les bras en l'air. Je ne dis rien.
C�dric : " Allez, habilles toi, et sors de l�. Et tu me suis dans le bureau des surveillants.
Encore � poil, j'ouvre la porte de la cabine, je m'habille devant lui.
C�dric : " allez, suis moi "
Moi : " Tu diras rien ? "
C�dric : " Je n'ai pas le choix, je suis bien oblig� "
Moi : " S'il te plait, j'aimerais que �a reste entre nous. "
C�dric : " Je dois en avertir le proviseur, qui va certainement t'exclure plusieurs jours, apr�s avoir pr�venu tes parents. "
Je commence s�rieusement � flipper. J'imagine la tronche de mes parents.
Moi : " T'as pas d'autres solutions ? "
C�dric : " Non .... A moins que... "
Moi : " A moins que quoi ? "
C�dric : " Je ne sais pas trop, faut que je r�fl�chisse, je peux toujours attendre avant d'en parler au proviseur. Rendez-vous demain en salle 115 � 17h30, j'en saurais plus � ce moment l�, on verra ce qu'on peut faire. "
Putain, plus de 24 heures � attendre. C'est super long, et je ne sais pas du tout comment �a va finir.

Aujourd'hui, � 17h30, je suis devant la salle 115, droit comme un piquet. C�dric arrive, le sourire aux l�vres.
Moi : " T'as une solution pour moi ? "
C�dric : " Peut-�tre ... allez, rentre ! " Il referme la porte � cl� derri�re moi. Il s'installe au bureau. Je suis devant lui, debout, et j'attends. "
" Tu dois �tre puni pour ce que tu as fait, on est d'accord ? "
Moi : " Oui. "
C�dric : " Tu es donc pr�t � accepter ta punition ? "
Moi, timidement : " Oui "
Il recule sa chaise.
" Viens l�, allonges toi sur mes genoux, je vais te punir comme on doit punir les vilains gar�ons comme toi. "
J'ob�is. Et il commence � me fesser.
" Le tissu absorbe les coups. Rel�ves toi, et d�froques toi ! "

Debout devant lui, je d�fais ma ceinture, puis les boutons de mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. J'h�site, et puis je baisse mon slip. Je ne bande pas encore tout � fait, mais un filet de mouille s'�coule de mon gland. Je reste l� comme �a devant lui quelques instants. Il me fait signe de reprendre ma position sur ses genoux. De nouveaux les coups pleuvent sur mes fesses. Je grimace et je g�mis. Le filet de mouille s'�coule toujours de mon gland, entre ses cuisses. Il �carte mes fesses, me crache sur la rondelle, et m'enfonce un doigt, puis deux, en continuant la fess�e. J'essaie de me branler.

" Les mains sur la t�te, t'es pas l� pour te branler, mais pour �tre puni. Tu veux branler une bite, tu vas branler la mienne, tu vas m�me la branler avec ta bouche. A genoux ! "
J'ob�is. Je suis � genoux devant lui, j'ai toujours les mains sur la t�te.

Il d�boutonne son jeans, et sors sa queue. Il ne porte pas de sous-v�tements. Sa queue est large, son grand est gros, ses couilles bien lourdes. Ses poils sont bruns et coup�s courts. C'est la deuxi�me bite que je vais sucer. Jusque l� je n'ai suc� que mon pote Nico. Je commence � sucer, je m'applique. Mais je ne dois pas aller assez vite, il appuie sa main sur ma t�te, et me baise carr�ment la bouche. Il m'impose son rythme.
" Marre de te baiser la gueule, je vais baiser ton cul. Debout, les mains sur le bureau. "

Je ne dis rien, mais j'ai la trouille. Je suis encore puceau du cul. J'ai peur mais j'ai envie. Derri�re moi, je devine qu'il enfile une capote. Il avait tout pr�vu. Sa bite glisse le long de ma raie humide. Son gland pointe contre mon cul. J'�carte autant que je le peux. Son gland est en moi. Il marque une pause. Puis, il reprend, et je sens chaque centim�tre de sa queue rentrer en moi. Je sens ses couilles contre mon cul. Il est � fond en moi. Il commence � se retirer, puis revient. Il me baise, il m'encule. Je commence � aimer �a. Puis, il se retire compl�tement.
" Retournes toi, et allonge toi, le dos sur le bureau. Rel�ve les jambes. "

J'ob�is. Il est face � moi, il �te son tee-shirt. Je d�couvre un torse plat, des abdos saillants, des poils bruns courts. Je regarde son visage, il me sourit, quelques gouttes de transpiration dans ses boucles brunes. Il se rapproche, m'embrasse, et recommence � m'enculer, mais cette fois, tendrement.
" Tu peux te branler si tu veux. "

Alors pendant qu'il me baise, puissamment mais tendrement, je me branle doucement. Puis, il acc�l�re. Le plaisir m'envahit. Je l�che ma queue, mais je jouis dans un r�le. Il continue ses va-et-vient, de plus en plus vite, puis se retire, vire la capote. Une grimace sur son visage, il se branle fr�n�tiquement. Je glisse � genoux devant lui, je veux qu'il me gicle sur la gueule. Bient�t son jus se r�pand sur mon visage. J'adore �a. Il me sourit, me rejoint sur le sol et m'embrasse.

" Voil�, tu as �t� puni. Mais te connaissant, ce n'est que la premi�re s�ance. Essuies la tronche avec ton slip, et donne le moi, c'est mon troph�e. Et dor�navant, tu ne porteras plus de sous-v�tements. Tu passeras tous les matins dans mon bureau pour que je v�rifie. "
" Mais les jours o� j'ai sport, C�dric ? "
" Pareil, ces jours l�, tu te d�brouilleras, ce n'est pas mon probl�me ! "
Cette histoire s'est pass�e, j'�tais en terminale, c'�tait en f�vrier. Jusqu'au mois de juin, je suis pass� tous les matins dans son bureau. J'ai �galement �t� puni d'autres fois pour d'autres probl�mes de comportements. Mais �a, ce sont d'autres aventures lyc�ennes.

Sorry

La suite ici

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :