Amiti� virile.
Didier et moi �tions partis en vacances tous les deux pour faire de la randonn�e dans les gorges du Verdon. Il connaissait mon penchant pour les mecs, mais cela ne le g�nait pas. Pour lui, nous �tions amis et c'est tout. Son h�t�rosexualit� me d�sesp�rait, mais j'avais appris � vivre avec. Il est vrai qu'il m'�tait arriv� � plusieurs reprises de le caresser pendant son sommeil lorsque nous passions des soir�es arros�es et qu'il s'endormait sur mon canap�. Enfin bref, quoiqu'il en soit, je devais faire contre mauvaise fortune bon cour, et ne rien attendre de plus que son amiti�. Pour nos randonn�es, nous avions lou� un petit studio o� nous nous rendions tous les deux jours, les autres nuits �tant pass�es sous une tante. Les premi�res nuits, nous tombions �puis�s par notre journ�e et dormions � peine la t�te pos�e sur l'oreiller. Nous avions des lits superpos�s et je dormais en bas.
La cinqui�me nuit, nous commencions � nous habituer � notre nouveau rythme, et nous �croulions moins vite dans notre pieu. Nous discutions un peu de tout et de rien jusqu'� ce qu'on s'endorme. Cette nuit l�, j'avais du mal � m'endormir et je restais silencieux sur mon matelas, me caressant doucement les couilles en pensant � l'homme qui dormait au dessus de moi. Tout � coup, le lit fut pris de petits tremblements secs. Une minute plus tard, j'avais entre les doigts un morceau de papier fortement humide, fortement charg� d'une grande quantit� de sperme. Je portais ce pr�cieux tr�sor � mon nez afin d'humer le parfum de la liqueur de mon homme. Je ne pus r�sister � la tentation et je go�tais sa semence du bout de ma langue : elle �tait merveilleusement sal�e. Mon �rection repris de plus belle, et je me branlais � mon tour. Je crachais dans un mouchoir propre que je mis � la place de celui de Didier. Imaginer que Didier allait prendre ce mouchoir avec mon sperme dans sa main me faisait trembler de plaisir, m�me si lui pensait qu'il s'agissait de son mouchoir. Le surlendemain, au moment du coucher, je l�chais sur le ton de la plaisanterie que j'allais probablement avoir recours � la masturbation tr�s bient�t. Cela nous a fait rire, mais Didier ne tarda pas � m'avouer que depuis qu'il �tait c�libataire (il avait quitt� sa derni�re conqu�te depuis 6 mois maintenant), il rel�chait r�guli�rement la pression de ses couilles par la branlette. Je lui expliquais que pour moi, c'�tait naturel, et que je me branlais au moins une fois par jour. A tout hasard, je lui dis que si un soir il avait envie de plus qu'une branlette, si une fellation lui manquait vraiment, il n'avait qu'� descendre de son lit, sans rien dire, et venir me rejoindre. Il pris cela comme une plaisanterie, et repoussa cette �ventualit� " je ne suis pas p�d� moi, d�sol� " me dit-il.
Une demi-heure plus tard, apr�s que l'id�e ait fait son chemin, Didier descendit de son lit totalement � poil, sa queue raide lui touchant presque le nombril ! Je m'attendais � ce qu'il ne dise rien et vienne pr�s de moi pour que je le suce mais il me regarda et me dit :
J'acquies�ais dans un hochement de t�te et ouvrit mon lit � l'homme que je convoitais depuis si longtemps. Il est superbe. Son torse est l�g�rement velu de poils blonds comme les bl�s. Ses t�tons sont petits et fermes mais tr�s �rectile. Son sexe s'�rige fi�rement au dessus de la plus belle paire de couilles qu'il m'ait �t� donn� de voir, de toucher, de gober, de l�cher. Non pas par la taille, mais par leur forme, leur douceur. Maintenant je le sais, je suis fou amoureux de lui. Je prends son sexe dans ma bouche et en savoure le moindre endroit. Elle est si bonne. Je joue avec son pr�puce, son m�at et le branle lentement. Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite, je veux profiter longtemps de lui. Quand ma bouche quitte son sexe, c'est pour parcourir le reste de son corps. Son ventre, son nombril, ses seins. M�me ses aisselles m'excitent. Je lui l�ve les bras et commence � lui l�cher les poils. J'entends des r�les de plaisir m'indiquant que c'est probablement la premi�re fois que quelqu'un lui fait ce traitement. Il aime, il adore. Je lui ai fait l'amour comme �a pendant plus d'une heure. Il a l�ch� son doux sperme dans ma bouche et je le nettoyais compl�tement avant de quitter son sexe � grands regrets. Il resta quelques longs instants sans bouger puis me dit : Et il parti dans son lit en me souhaitant bonne nuit. J'�tais aux anges. C'�tait notre premi�re nuit, et d�j� il semblait conquis. Les autres nuits n'ont pas tard� � s'encha�ner en �voluant. La suivante, il resta pr�s de moi apr�s qu'on ait joui pour discuter avant de remonter. Celle d'apr�s, il s'endormit pr�s de moi et y passa la nuit. Celle d'apr�s, il m'embrassa. J'ai bien cru fondre sous ses baiser. Maintenant, il passe des nuits enti�res avec moi, et je l'initie doucement � la sodomie. Il aime me prendre. Peut �tre que la nuit prochaine il me dira qu'il m'aime ? Borsalino
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |