Ma soir�e (hard) du 11 juilletSalut mec, Sur le chat ob.ob5.ru un mec m'avait branch� "ourstoulouse", description tr�s all�chante, amateur de d�fonce hard, et lorsque je lui avais dit que j'aimais jouer de la cravache il avait �t� tr�s accroch�. Je lui ai propos� un rendez-vous � 22h sur l'aire de repos de la N124 � l'Isle-Jourdain. Il m'a demand� dans quel sens (Toulouse-Auch) et quelle voiture j'avais. Il m'a dit qu'il serait dans une Toyota grise. Il a �galement voulu savoir comment je serais habill�. Au volant un mec, bonne gueule, mais qui ne me semble pas avoir le gabarit annonc� (et esp�r� !). Du coup, avant de sortir fumer, je laisse ma cravache mais je conserve tout de m�me un gant de cuir � la main droite. En passant pr�s de lui, je vois que le gars, assis dans sa voiture porti�re ouverte, a le look " camping " tongs et corsaire. Il fait mine d'�tre absorb� par son t�l�phone mais r�pond tout de m�me � mon salut. Je marche tranquillement vers le bosquet o� l'on est prot�g� des regards. Je donne un peu d'air � ma queue et me branlotte gentiment esp�rant que le mec va me rejoindre. Dix minutes passent, une deuxi�me clope, rien. Je me d�cide � rejoindre ma voiture mais l'autre ne bouge toujours pas. La nuit n'est pas encore vraiment tomb�e, j'�coute la fin du match � la radio. 22h30 il commence � faire sombre, le mec sort de sa voiture, allume une clope et se poste derri�re � l'abri des regards des campeurs. Je fais de m�me et viens pr�s de lui. N'y tenant plus je sors ma teub et commence � me branler, il continue � fumer tranquille en jetant un coup d'oeil de temps en temps. Je m'approche de lui et il me dit alors : " moi je veux juste me faire sucer " � quoi je r�ponds : " nous voil� mal partis, mais bonne soir�e quand m�me ! " J'avais sacr�ment les boules et m'appr�tais � partir quand je vois que le gars d�marre et s'en va imm�diatement. Donc une autre clope, on ne sait jamais... Cinq minutes � peine, une voiture entre sur l'aire, roule tr�s lentement surtout en longeant le campement, et vient vers moi qui attends appuy� sur le capot. Elle se gare � 10 m�tres, de l'autre cot� de la voie. Il fait tr�s noir et � part une cigarette qu'on allume, je ne vois rien. La porti�re s'ouvre et en sort une silhouette impressionnante que je distingue � peine. M�fiance, s'il n'est pas l� pour �a je voudrais pas l'�nerver. Tr�s excit� tout de m�me, je marche en paradant un peu, je sais qu'il me voit � contre-jour. Il fait le tour de sa bagnole, nous nous faisons face � 5 m�tres environ, chacun sa clope. Je sors ma bite et commence � me branler, il m'observe un moment. Je vais vers lui l'arme � la main : " Bonsoir, tu veux toucher ? ". " Avec plaisir ! " et il joint le geste � la parole. Il empoigne fermement ma queue et la malaxe avec force. J'ai enfin la possibilit� de le voir : un colosse, s�rement 110 kg, dans les 1m92-1m95, des �paules de d�m�nageur, blond fris�, environ 30 ans, et en tenue de rugby que je connais bien short rouge et polo noir. J'hallucine, il est superbe, j'ai bien fait de patienter. Je cherche ses t�tons � travers le maillot et je vois qu'il appr�cie. Je soul�ve donc son polo pour �tre plus � l'aise et je d�couvre une toison tr�s fournie et surtout pas ras�e ou raccourcie comme c'est la mode chez les pseudo virils depuis quelques ann�es. Je tire une touffe entre les seins, il g�mit un peu et me traite de salopard. Je joue avec ses t�tons plus durement et il appr�cie. De sa main libre il cherche les miens � travers la chemise, d'une main ferme je le ram�ne vers mes couilles. Je sors alors une capote de ma poche, la lui montre et lui dis : " Tu viens me pomper derri�re ma bagnole ? " (jusqu'� pr�sent nous sommes toujours au milieu de la chauss�e et la premi�re bagnole qui arriverait nous verrait parfaitement). " Ok ". On passe derri�re la voiture, j'enfile ma capote : " � genoux, mains dans le dos ! " et il s'ex�cute, " ouvre bien ta bouche que je te la bourre " et j'y vais franco, jusqu'au fond direct, il r�siste bien mais un haut le coeur m'expulse. Je le tiens par la nuque qu'il a tr�s puissante, ses cheveux sont boucl�s et soyeux, inattendus sur cette t�te de demi de m�l�e. " Touche-moi les couilles ". Je lui travaille durement les t�tons et il r�siste sans se plaindre ou s'�carter pour �chapper � la torture. J'ai du poppers, il en veut pas mais moi je sniffe un bon coup et c'est parti pour un beau face-fucking ! Il s'ouvre pour me prendre en entier et j'en profite un max comme un bon chien que je suis. Super excit�, il cherche � me l�cher les mains et sucer mes doigts ; je joue dans sa bouche et lui fourre presque toute la main. Il l�che la boucle de mon ceinturon, je la d�fais et lui donne l'autre bout � sucer. Il est excit� � mort, toujours � genoux. " �a t'excite mon ceinturon hein ? ". " Oui, je ferais n'importe quoi pour te faire du bien ". " Alors l�ve-toi, et montre-moi ton cul ". Il s'ex�cute et je ne peux r�sister et lui balance une bonne baffe sur la fesse droite ; loin de reculer il s'�crie : " Frappe moi je suis ta salope vicieuse, ta pute � qui tu peux faire ce que tu veux". Je ne sais plus si je t'ai dit comme j'aime donner la fess�e, je me suis �clat� au poppers, frappant, non sans retenue, mais de bon coeur, une bonne vingtaine de fois alternativement chacune de ses grosses fesses. Voyant qu'il prenait si bien j'ai d�fait mon ceinturon et, si je peux dire, ai t�t� le terrain par un coup de moyenne intensit�. Il m'a demand� du poppers et m'a dit : " Vas-y, donne-toi ! ". Je me suis un peu l�ch� en le traitant de tous les noms, mais apr�s une dizaine de coups et l'effet du poppers se dissipant, il a demand� gr�ce. Je change rapidos de capote, un coup de poppers avant de le lui passer, et je p�n�tre son cul jusqu'au bout dans un seul mouvement. Quelle d�fonce ! Il est trop costaud pour que je puisse lui torturer les seins donc je lui demande de le faire lui-m�me et �a le fait couiner de plaisir. Il tortille son cul comme une pute en s'embrochant sur ma pine. Il en voudrait plus le salaud ! Je l'ai d�fonc� comme une brute en continuant de claquer ses fesses; quand j'ai pris ses couilles dans la main il a joui et crach� sa jute sans se toucher ! J'�tais content de moi... Je sors de son cul et le pousse jusqu'� la table de pique-nique � cot�. Je l'allonge sur le dos, cul au bord de la table, jambes bien �cart�es, trou en �vidence. C'�tait mon tour de prendre mon pied, je me suis bien donn� tout en torturant ses t�tons et en profitant des expressions de son visage. Je suis sorti pour l�cher mon foutre sur sa poitrine en gueulant comme une b�te. De la lumi�re est apparue dans le campement, je crois qu'ils m'ont entendu. Si vous aimez dites-le, la suite a �t� super chaude ! pierre lemaitreR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |