Page pr�c�dente

Week-end � la c�te

Vendredi. Il est 18.30. Tout le monde est d�j� parti depuis longtemps, sauf Denis et moi. Nous avons beaucoup de travail pour le moment et tout le monde donne un coup de main � la pr�paration des commandes. Bien qu'employ�, j'ai mis un bleu de travail et je fais �quipe avec Denis pour terminer avant ce long week-end.

Denis est un bon copain, un ami, fid�le et sinc�re. Nous travaillons ensemble depuis cinq ans. Il a vingt-cinq ans, c�libataire. Grand, blond, assez mince. Il est assez r�serv�. Il vient souvent � la maison. Ma femme l'a adopt�, de m�me que mon fils, qui l'appelle "tonton Denis". Nous le consid�rons comme faisant partie de la famille.

Ce soir, je le sens plus nerveux que d'habitude. Nous avons beaucoup travaill� et je lui propose d'aller souper au restaurant, je l'invite. Ma femme et mon fils sont partis pour le week-end � Disneyland Paris. Je suis donc seul jusqu'� mardi soir. j'ai d�cid� de m'attaquer � l'�criture de mon roman. Pour �tre au calme, j'ai r�serv� une chambre dans un h�tel de La panne. Mon pc portable est dans la voiture avec la valise.

Denis a vraiment l'air malheureux, je le sens pr�t � craquer et � se mettre � pleurer. Nous nous rendons dans un petit restaurant de Mons. Pendant le repas, je questionne Denis � propos de son �nervement. Il se tait, me regarde. Il fait un �norme effort pour ne pas se mettre chialer devant tout le monde. Je n'insiste pas.

Je lui fait part de mon absence pour le week-end. Comme je le sens perdu, je lui propose de passer chez lui, de prendre quelques affaires et de venir passer la nuit et la journ�e du samedi � La panne. Nous aurons l'occasion de parler et de se d�tendre.
Il a peur d'abuser de mon temps, de d�ranger. Je lui certifie que je l'invite de bon cour.
Nous nous mettons donc d'accord. Je pars directement, lui passe chez ses parents, chez qui il habite toujours, et vient ensuite me rejoindre. Je lui enverrai un sms avec mon num�ro de chambre.

Une heure et demi plus tard je suis � la r�ception de l'h�tel. Je demande si il est possible de modifier ma r�servation et d'avoir une chambre � deux lits. Malheureusement en ce long week-end tout est complet. Mais il est possible de mettre un lit pliant dans la chambre.

Un quart d'heure plus tard j'envoie un message � Denis avec le num�ro de la chambre et un mot explicatif concernant le lit de camp. J'ai le temps de descendre au bar prendre un verre. Une heure plus tard Denis me t�l�phone qu'il est sur le parking. Je le vois sortir une grosse valise du coffre.

"j'esp�re qu'ils ont encore une chambre de libre, j'ai envie de passer le week-end ici", m'annonce-t-il.

"Ils sont complets !! Mais si tu veux dormir sur le lit d'appoint, pour moi tu peux rester"

"oh! alors, je verrai � mon r�veil demain matin."

Nous passons par la r�ception pour commander un second petit-d�jeuner pour le samedi puis nous montons dans la chambre. Il y a une belle vue sur la plage et la mer, nous sommes � cinquante m�tres de la digue. La chambre est assez petite, avec un grand lit, une t�l�, un mini-bar. Il y a une sorte de seconde pi�ce mais sans porte, avec une baignoire, un �vier et le wc. Le lit d'appoint est entre le lit et le fen�tre et g�ne le passage. Nous le replions en attendant l'heure du coucher. Je demande � Denis si je peux prendre une douche sans qu'il soit mal � l'aise. Comme il ne voit pas de probl�me, je me d�shabille dans la chambre et je me rends dans la pi�ce d'� c�t�. Je sens le regard de Denis sur mon corps. Dix minutes plus tard, je sors de la douche.

"c'est � ton tour"

Je sens que Denis h�site. je propose alors :

"tu veux que je sorte pendant que tu te douches ?"

Il me r�pond "Non, mais promets de ne pas faire la moindre r�flexion. Je ne mets jamais de sous-v�tements."

"je ne dirai rien !"

Il se d�shabille. Mon regard glisse le long de son dos. Il a de jolies fesses. Il fait tout pour rester le dos tourn� vers moi, comme si il avait peur que je voie son sexe. Il entre dans la petite pi�ce d'eau et se sent alors plus � l'aise.
En fait je le vois de face ... dans le miroir. Je remarque son sexe l�g�rement gonfl� par le d�sir.
Je le laisse prendre sa douche et se calmer. Nous nous retrouvons ensuite en short dans la chambre.

Nous d�cidons d'ouvrir le mini-bar et de prendre un verre en discutant. J'apprends alors que les parents de Denis vendent leur maison pour aller habiter dans le sud de la France. Denis doit donc retrouver un logement assez rapidement. De plus il va se retrouver seul. Voil� donc la raison de son air malheureux. Pour d�tendre l'atmosph�re, je plaisante

"tu vas devoir te trouver une femme alors !"

il me r�pond en rougissant "OH non ! Enfin je veux dire : j'ai le temps"

"tu as l'air g�n� quand on parle des femmes." lui dis-je en m'asseyant sur le lit � ses c�t�s. Je baisse le ton et je lui demande :

"tu pr�f�res les mecs ?"

Silence embarrass�.

Je continue : " j'ai surpris ton regard vers mon sexe, tout � l'heure, puis j'ai vu ton sexe � moiti� dress� dans le miroir de la salle de bain, je me suis dis que tu avais peut-�tre aim� de me voir nu. Ca t'a plu ? tu veux revoir ? Je n'ai pas de probl�me � me mettre � poil devant un mec qui me mate. Si tu veux on peut continuer de parler � poil"

Je me l�ve et je retire mon short. "A ton tour !"

Il h�site puis l�che "comment fais-tu pour deviner les secrets des gens ?"

"j'ai une sorte de sixi�me sens. enl�ve ton short ou je viens te foutre � poil moi-m�me."

"je ne veux pas" me dit-il rouge et embarrass�.

"tu l'aura voulu." Je me jette sur lui pour le d�shabiller. Il r�siste un peu puis, r�sign�, me laisse �ter son short.

Il est maintenant nu devant moi. Je regarde son entre-jambes.

"Waw, tu es bien mont� !"

"tais-toi, je suis d�j� suffisamment g�n� comme �a. c'est encore pis quand je bande"

Je continue : "je voudrais bien voir �a." Je m'allonge � ses c�t�s, en travers du lit. Ma main se pose sur son sexe. Imm�diatement, il se dresse et devient dur. Denis g�mit.
Je lui glisse � l'oreille " tu as raison, elle est encore plus attirante quand tu bandes. tu me laisse jouer avec ?"

Denis ne r�pond pas. Mon sexe est maintenant aussi tendu que celui de Denis. Je prends sa main et je la dirige vers ma bite. Il l'empoigne et commence � me branler.

je lui annonce : "je voudrais que tu me fasse l'amour, que tu m'apprennes ce que deux hommes peuvent faire ensemble. On ne d�pliera pas ton lit cette nuit"

Toujours pas de r�ponse. Je me penche vers son gland, je pose mes l�vres dessus, je l'embrasse. Je sens Denis fr�mir de plaisir.
Je passe ma langue, puis mes l�vres s'�cartent, je prends son bout rouge en bouche. Il est vraiment bien mont� !
J'ouvre un peu plus la bouche et j'avale la moiti� de sa bite.


"mmm, depuis le temps que j'attends de faire l'amour avec toi" dit-il

Son bassin commence � bouger. Il continue " tu suces bien, j'aime sentir ta bouche humide autour de ma queue. J'attends �a depuis si longtemps que je ne sais pas si je vais tenir longtemps."

je sens en effet ses couilles se contracter. je ne veux pas qu'il jouisse tout de suite. je retire sa bite de ma bouche.

"l�ve tes jambes"

Denis empoigne ses genoux et les pose sur sa poitrine. Je me mets � genoux devant le lit. J'ai maintenant son anus en face des yeux. J'ai envie d'embrasser son petit trou. J'approche mes l�vres. Il sent bon le savon. Je passe la langue sur son anus. Il g�mit.
Mes mains empoignent ses fesses et les �carte le plus possible. Je force l'entr�e de son cul avec la langue. Je sens qu'il se d�tend petit � petit. Ses muscles se rel�chent et ma langue entre de plus en plus loin dans son anus.


"encule-moi, j'ai envie de te sentir dans mon ventre" ordonne-t-il.

Je me rel�ve, la bite raide devant moi. Je prends un pr�servatif dans mon portefeuille.

Denis s'est agenouill� et suce ma queue. Il y laisse beaucoup de salive.

"Je te demande de me faire confiance, je ne suis pas s�ropositif, je n'ai pas de MST, je suis m�me vierge de ce c�t� l�. Je voudrais que tu me prennes sans capote, que je sente ton sperme couler dans mon ventre."

J'h�site � peine, je sais qu'il ne me mettrais pas en danger. Il se remet sur le dos, l�ve les jambes et attend.

Je m'approche du lit, je me penche vers lui. Nos regards se croisent. Je prends mon sexe en main, je pose mon gland contre son trou. je pousse un peu. je sens ses muscles raidir. Je pousse plus fort. Cette fois mon gland entre en entier. Denis g�mit. Je sens ses muscles intimes bouger autour de mon sexe. Je pousse un peu plus fort.

Il r�siste. je me dis que je n'irai pas plus loin, puis, brusquement, ses muscles se rel�chent et ma bite s'enfonce tout seule dans son trou. Je sens maintenant sa queue raide et ses couilles contre mon ventre, ses fesses contre mon pubis. Nous nous regardons. Je vois du plaisir dans ses yeux. Puis son regard devient trouble. Il dit :

"je sens que je viens, je vais jouir !"

Je pends sa queue en main et je le branle. Cinq mouvements puis il jouit. de longs jets de sperme tombent sur sa poitrine et sur sa bouche. Je sens ses muscles intestinaux se serrer autour de ma bite. Cela suffit � me faire jouir. Je sens mon sperme chaud se r�pandre dans son ventre autour de mon gland. J'enfonce ma bite le plus loin possible. Pour qu'il en profite !

Je me penche vers lui et je l'embrasse, avalant au passage du sperme qui avait atterri sur ses l�vres. Denis fut repris d'une s�rie de tremblements et joui � nouveau. son sperme se r�pandant entre nos deux corps.

Nous sommes rest�s ainsi de longues minutes a essayer de reprendre notre souffle. Puis nous nous sommes allong�s c�te � c�te et nous nous sommes embrass�s longuement. Denis s'est pench� vers mon ventre et � l�ch� le sperme �tal� dessus. J'ai ensuite fait de m�me. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.

Et dire que nous n'�tions que vendredi ! Le week-end s'annon�ait long et fatiguant.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :