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Voyage visc�ral...

Il est 23h. Je suis aux pissoirs du parking de l'autoroute direction Lyon. sur le parking, pas un camion, pas une bagnole. je m'en fout.

Je sais que dans un moment le bal va commencer.
Je suis torse nu et � la lumi�re blafarde des deux n�ons, mes muscles puissants et bronz�s roulent sous ma peau luisante.
Je me suis bien enduit de cr�me et mon corps imberbe est absolument � la disposition du premier qui entrera. Je masse doucement ma queue molle.
Elle est �paisse et molle, elle est veineuse et mes couilles sont pleines a craquer de bonne jute de m�le, bien visqueux. .

J'entends un camion qui arrive, je ne regarde m�me pas, je sais que c'est un m�le. Il va descendre de sa cabine, les burnes bien serr�es dans son fute, le jut bouillonnant depuis 400 bornes, bien secou� et tass� et coinc� au fond de ses couilles lourdes de d�sirs. J'attends mais je sens l'�moi mont� dans ma tige de mec. Ah ces connes de gonzesses!!! elle sauront jamais ce que c'est que d'attendre un m�le.

Elles savent pas ce que c'est que de caresser le corps d'un gars viril. Elles savent m�me pas caresser ces connes. J'entends les pas du mec qui cogne sur le bitume du parking, il approche sa queue surement d�j� raide entre ses cuisses muscl�es. La porte s'ouvre, il se place � c�t� de moi. Il sort sa pine de 20 cm raide, dure comme un bout de bois. Il se la masse lentement en grognant et en murmurant des salet� du genre:
"putain de culturiste, je savais que tu serai l�, sale pute t'es l� tous les jeudi soir hein sale pd de merde. Je suis venu pour te bourrer le cul petit vicieux. montre mon tes muscles que je t'admire, t'aime que je t'admire hein sale p�d� de culturiste exhibitionniste, tourne toi face � moi, montre ta puissance, �te ton short sale con. Ouai t'es beau tout nu comme une vers ! putain que t'es beau"
il se masturbe, j'exhibe mon corps bard� de muscles si durement travaill� toute la semaine dans cette salle de gym qui pue le d�odorant. Je suis content de sentir que ce mec sent le m�le en ruts. Il pose sa paluche sur mon pec et t�te la masse musculaire:

"bouge tout �a salope de p�d�! montre toi fi�rement, cabre toi �carte tes cuisses ouai t'es splendide, putain quel bel homme ! je bande comme un cerf en te m�tant, je me suis branl� trois fois aujourd'hui en pensant � ton corps bodybuild�, � te biceps, � tes cuisses, a ton cul, � tes abdos, putain et t'es l�, juste offert � mes d�sirs les plus fous. je vais t'enculer sale mec vicieux! je vais je troncher le fion je vais te faire gueuler de plaisir! regade ma teub raide prends la dans ta gueule,suce la ! ouai suce moi la tige, aspire mon jut de m�le, ouai je veux que tu passe ta langue �paisse sur mon gland; �crase mes couilles avec tes mains ouuuuai ! c'est bon tire dessus. Quelle salope t'es, "

je suis acroupi devant lui, son immense pine dans la bouche, il me la four jusqu'aux amigdales, je sent que je vais �touffer ou vomir avec ce morceau de bidoche chaude planter dans ma gorge.
Il me prend la t�te et fait un va et viens violent sur sa pine de plus en plus tendue. Ses couilles frappent mon menton mal raz�. c'est bon de se faire violer la t�te � coup de queue. J'aime sentir une pine dans ma bouche, j'aime l'odeur des poils du pubis d'un mec. Je pense :"Oui encule ma tronche de p�d� !"
Il me rel�ve, masse mes pec et se met � me sucer les t�tons l'un apr�s l'autre en faisant beaucoup de bruit; sa salive coule sur mon torse. Il me tord les couilles j'aime cette douleur. il me dit:
" tourne toi mon culturiste pr�f�r�, tourne toi que je te ronge l'anus et que je je t'enfonce mon dard turgescent dans ton cul moite! ouai montre moi ta rosette �carte tes fesses muscl�es avec tes deux mais. Ouai il est beau ton cul , putain si tes potes au gym pouvaient te voir comme �a, offert � un routier dans des chiottes d�gueux, ils penseraient quoi de toi ? hein ma salope hyper muscl�e ?"

j'imagine... en tout cas j'en connais deux ou trois qui se joindraient � nous. je vois bien qu'ils me d�sirent mais n'osent pas faire le pas; et moi, comme une sale fiotes, je les laisse me d�sirer. je sais qu'ils doivent se branler le soir en pensant � moi. mais je ne donne aucun signe qui puisse les encourager � le toucher d'une mani�re ou d'une autre. ca aussi ca m'excite. ca m'excite grave d'exciter les mecs et de les laisser les burnes pleines de jut et la bouche pendante de d�sirs inassouvis."

Le routier est en train de l�cher mes biceps et mes dessous de bras, il aime �a ce putain de mec. J'entends qu'une bagnole approche. J'entre ouvre la porte des wc pour voir si c'est pas des flics. Non c'est pas des flics. Je continue donc � mes laisser faire par ce gros goulu de routier. Il me l�che partout je suis enduit de sa bave gluante. Il me sturbe la que doucement, il m'�conomise, il ne veut pas que je crache mon sperme trop vite. La porte s'ouvre. Un jeune mec que je connais pas est l�, stup�fait par le spectacle choquant. Je lui souris.
" t'inqui�te pas mec, fait ce que tu as a faire, t'occupe pas de nous."
il se pose aux pissoti�res et sort sa pine, il pisse. Il regarde par dessus son �paule , nos corps nus qui se frottent et s'offrent l'un � l'autre, il dit:
"Je suis pas pd, mais putain ca me fout la trique de vous voir baiser comme �a, je peux regarder?"
"oui regarde et branle toi si tu veux, ca ne nous g�ne pas".

Alors il se tourne carr�ment vers nous et nous regarde. Mon routier me fout sa queue dans le trou du cul, je grogne. L'autre se sturbe il se l�che les l�vres, il doit avoir envie de toucher.
"touche moi si tu en as envie"
"c'est vrai? je peux" ?
"oui vas y fais moi ce que tu veux, fais toi plaisir, te g�ne pas mec, je suis � toi aussi bien qu'� lui."

Alors il s'approche et se met a me caresser les bras et de soupeser ma musculature. Pour l'exciter, je bande mes muscles, il a l'air d'aimer. Je luis murmure:
"donne moi tes l�vres"

il se penche timidement et me tend ses l�vres en fermant les yeux, elles sont bien ourl�es; je d�pose un baiser dessus, il ouvre ses l�vres, je met ma langue contre ses dents, il ouvre encore, je sens ma langue qui touche la sienne, je sens sa main sur ma nuque. Il ouvre encore sa bouche et je sens qu'il enfile sa langue dans ma bouche; il aspire ma salive il ouvre encore sa bouche plus grande il a mes l�vres enti�rement dans a bouche; il aspire mon nez qui entre aussi dans sa bouche, puis mes yeux, puis ma t�te, il aspire, je sens que mes �paules entre dans sa bouche d�mesur�ment ouverte. CE MEC ME MANGE. Je suis aval� par lui, je descends dans son oesophage, je me trouve devant l'entr�e de son estomac, j'entre, je trouve un big mac mal m�ch�. Comme j'ai une petit faim, je le fini. Puis je trouve la sortie de son estomac.

Je suis dans un labyrinthe, c'est ses tripes. Je suis un peu � l'�troit; mais �a glisse bien; j'arrive devant un truc, un obstacle. Cela s'ouvre mollement, c'est son trou du cul je passe ma t�te et je sort par son anus. Il me chie!!! il me chie l� dans ces chiottes!!!! le routier se branle la pine et jouis de litres de jute effervescente. Je suis nu par terre le mec se retourne me regarde. Ses yeux sont violets et fluorescents et me dit avec une voix d'outre tombe:
"maintenant, tu vas faire le voyage dans l'autre sens, entre dans mon cul et ressort par ma bouche".

ouai, putain j'ai toujours eu envie de faire �a. mais � ce moment l�, la porte s'ouvre � nouveau et c'est un suppositoire qui entre en gueulant:
"oui!!! alors comme �a on me vole mon voyage ?!!! sale pd je vous hais . Laissez les suppositoires libres dans leur fonction, ne nous volez pas ! saloperie contre nature!
alors je me l�ve, je me dirige vers le suppositoire et je lui marche dessus en disant:
"font chier ces manifestants gauchistes !"

et j'entre dans le cul de mon nouvel ami. Mon routier se place derri�re lui et l'encule, cela m'aide � monter dans ses tripes, c'est beau de voir cette queue dans le cul de ce mec. C'est beau de la voir de l'int�rieur. Mais soudain....

Elle crache et je nage dans un bain de sperme gluant, l�, dans ce trou du cul de martien inconnu. J'en avale un peu par gourmandise. Et ce liquide m'aide � glisser vers le haut, mes muscles sont enduit de foutre chaud et de merde iris�es qui sent la pivoine, j'ai envie de rester l�. Je m'arr�te. Au bout d'une heure le gars s'inqui�te; il veut que je sorte de lui, alors il d'accroupi et pousse.

Je r�siste,je m'agrippe � une glande qui est l� sur la droite, je ne veux pas qu'il me chie a nouveau. Alors, dans un spasme, il me vomi par terre. Voila ce qui m'est r�ellement arriv� demain.

A plus votre Pascal qui vous l�che la pine et d�guste la goute qui est au bout.

pascal

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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