VoisinJ'�tais invit� � une soir�e chez un ami, nous devions �tre une dizaine. En arrivant, je dis bonjour � chacun, je serre des mains, je fais la bise... Je vois un mec que je ne connais pas. On nous pr�sente : il s'appelle Antonio, il est tr�s grand, le look total h�t�ro, viril, avec une barbe de deux ou trois jours et des bras muscl�s qui d�passent de son t-shirt n�glig�. Il a l'air d'avoir une trentaine d'ann�es. Je lui serre la main, il me regarde � peine. Je commence � rigoler avec des amis, en matant discr�tement Antonio de temps en temps : il n'a pas un regard pour moi, il discuter avec d'autres types, moi je fantasme � mort sur sa belle gueule de m�le. La soir�e se poursuit tranquillement, je n'ai toujours pas �chang� un mot de plus avec lui et je commence � penser qu'il faut d�finitivement que j'oublie tout espoir. Je m'aper�ois qu'il n'y a plus de vin et me rend � la cuisine pour en chercher une bouteille, quand j'entends qu'on entre dans la pi�ce. Un coup d'oeil : c'est lui ! Il s'approche de moi, je suis occup� � d�boucher la bouteille, et lui tourne le dos. Il vient contre moi, me met une main au cul et me glisse � l'oreille : " toi, t'as une bonne gueule de salope ". Et il se casse. Je reste interdit. Comment je dois prendre �a ? Soit c'est un homophobe, soit il est bourr�, soit il est s�rieux et me fait des avances... Quoiqu'il est soit, il est canon et ce qu'il m'a dit m'a grave excit� ! Je revient dans le salon avec ma bouteille, me ressert, et recommence � boire en discutant distraitement. Je le cherche des yeux, il est dans un coin avec deux autres types, et ne pr�te pas du tout attention � moi. Bon, il doit m�me pas se rappeler de l'�pisode de la cuisine... Je me dis qu'il est temps de partir. Je vais dans la chambre o� j'ai laiss� mes affaires, prend mon sac, quand j'entends la porte se refermer. Un nouveau coup d'oeil : c'est encore lui ! Sans rien dire, il s'approche de moi, me remet sa main au cul. Je n'ose m�me pas le regarder, il est toujours silencieux, et soudain je sens sa main qui glisse sous mon jean, sous mon boxer, et qui me tripote entre les fesses. Il essaie de me mettre un doigt, je suis assez serr� alors il force un peu, je g�mis, il me dit " ta gueule ! Tu retournes au salon, et tu bouges pas. ". Et � nouveau il se tire. Putain, il commence � me saouler ce mec ! Excitant ok, mais pas tr�s diplomate... Mais bon... peut-�tre qu'il aura envie d'un peu plus... alors je repose mon sac et retourne au salon, o� je reprends ma pose. Trois bon quarts d'heures passent, je discute toujours avec quelques personnes, mais je ne pense qu'� lui, tandis qu'il m'ignore compl�tement. Le salon se vide petit � petit, mais le mec est toujours l� : il ne m'a pas lanc� un seul regard depuis tout � l'heure. Et l�, je le vois se diriger vers mon pote qui m'a invit�, il lui serre la main, fait la bise � deux ou trois mecs, et sort ! Il m'a bien eu ce con... Je vais voir mon h�te, lui dit au revoir, et lui demande quand m�me qui est le type qui vient de partir. " Le grand brun ? C'est un voisin, il est sympa, non ? " Mouais. Je prends mes affaires et me retrouve sur le palier. Alors que je m'appr�te � descendre, la porte de l'appart s'ouvre : c'est lui ! Il me fait signe d'entrer. J'h�site quelques secondes, puis y vais. A peine arriv� dans l'appart, il me prend mon sac et me fait signe d'enlever mes fringues, sans rien dire. J'ob�is, je me retrouve compl�tement � poil dans son entr�e. Il m'observe quelques instants, puis me dis " va dans le salon. Tu t'assois par terre. " J'ob�is encore... (je suis trop bon). Une fois install�, j'attends. Je l'entends qui fait je ne sais quoi dans une autre pi�ce, il se passe plusieurs minutes. Enfin il arrive, une bi�re � la main, s'assoit cuisses �cart�es sur le canap�, me fais signe d'approcher, et sors juste sa queue sans se d�shabiller. Je me m'avance et caresse sa bite qui est encore molle mais d�j� impressionnante, avec des grosses couilles qui m'ont l'air bien pleines. Il saisit ma t�te � deux mains et me l'enfonce sur sa bite que je prends dans ma bouche. Elle commence � durcir et la sens prendre des proportions incroyables, il me maintient toujours la t�te, j'ai le nez dans ses poils et je sens ses couilles contre mon menton, je ne peux pas faire un geste ; sa queue grossit toujours dans ma bouche et je commence � �touffer, j'essaie de le lui faire comprendre en g�missant et en agrippant ses cuisses. Il garde une main sur ma t�te, et de l'autre me saisit les bras l'un apr�s l'autre, les ram�ne dans mon dos o� il les maintient fermement, mais sans d�gager sa bite de ma bouche ! Je sens que sa main me prend les cheveux, et il fait remonter ma t�te le long de sa queue qui est � pr�sent hyper raide et tellement �paisse qu'elle m'�carte les l�vres au max ; j'ai � peine le temps d'inspirer un peu d'air par le nez que de sa main dans mes cheveux il me rempli � nouveau la gueule. Puis sa pression sur mon cr�ne se fait moins lourde et je peux bouger un peu : je commence alors � le sucer en coulissant le long de sa verge dure, je remonte jusqu'au gland que je l�che d�licatement puis je r� enfourne sa queue dans ma bouche toute enti�re, bien que j'ai du mal maintenant qu'elle a atteint une taille titanesque. Mais je force un peu, aid� par sa main qui me pousse encore vers la base de son sexe, et je sens son gland atteindre le fond de ma gorge, dans laquelle il commence des petits mouvements de va et vient ; je g�mis en le su�ant, il se rel�ve, se met debout, je l�ve les yeux vers lui, il me regarde avec un petit sourire en coin. Il a l�ch� mes bras et je m'empresse de lui caresser les couilles, puis il l�che aussi mes cheveux et croise les mains derri�re sa t�te. Je peux alors le sucer � fond sans contrainte, et je ne m'en prive pas. De temps en temps je fais ressortir compl�tement sa bite de ma bouche, pour mieux la reprendre jusque dans le fond de ma gorge, puis je le suce tr�s rapidement, branlant son pr�puce de mes l�vres, passant ma langue sur son gland, tout en malaxant ses couilles. Parfois, il prend sa queue d'une main, je l�ve alors le visage vers lui et il me donne des coups de queue sur la gueule en me regardant d'un air m�prisant, je tire la langue et il se branle dessus, et moi je suis partag� entre l'envie qu'il gicle l�, tout de suite, sur ma langue pour me forcer � tout avaler, et le d�sir d'aller plus loin avec ce m�le qui me domine d�j� compl�tement. Au bout de quelques longues minutes, il me donne une petite claque sur la joue. Je g�mis mais continue de le sucer, alors il s'�nerve et me parle enfin : " arr�te-toi, salope ! ". Il me donne alors une �norme claque qui me fait perdre l'�quilibre, je m'�tale par terre. Il me saisit les hanches pour me faire mettre � quatre pattes ; comme je comprends enfin, je cambre mon cul, lui vient se placer derri�re moi et me frappe les fesses, � coups de mains, de bite, et en crachant sur mon trou qui devient vite tout humide. Il commence alors � faire glisser sa teub le long de ma raie, je g�mis de plus belle en lui tendant mes fesses �cart�es, soudain je sens son gland qui se pr�sente et je panique : il ne va quand m�me pas me prendre comme �a, direct, sans pr�paration, avec juste un peu de salive ? Je veux protester et tente de me retourner, mais sa main me prend les cheveux et me jette par terre. Je me retrouve allong� sur le ventre, il m'�carte brutalement les cuisses et revient mettre sa bite sur mon cul, alors il l'enfonce violemment en moi, me faisant un mal de chien. J'�carte de moi m�me les cuisses et les passe autour de sa taille, il me soul�ve les hanches et revient se glisser en moi, je dis glisser parce que je suis bien ouvert � pr�sent et il me p�n�tre avec facilit�. Il recommence ses coups de queue toujours plus violents, je vois sa bite qui sort de mon cul et vient y replonger d'un coup toute enti�re, il va de plus en plus profond dans mon trou en m'insultant toujours et en me tenant les mains jointes par-dessus ma t�te. Sa respiration se fait plus haletante, je sens qu'il va jouir. Il sort alors de mon cul et �jacule sur mon trou, de longues gicl�es de sperme blanc qui me couvrent les fesses. Il r� enfonce alors sa queue pour bien m'en mettre plein le trou, et tasser son jus dans le fond, en remplir mes entrailles. Apr�s quelques va et vient, il ressort, et vient s'asseoir sur moi, � la hauteur de son visage, en se branlant. Je suis aux anges : il est toujours raide ! Je me mets � lui l�cher les couilles pendant qu'il s'astique la queue, et tr�s vite il se remet � r�ler, vraiment comme une b�te, et m'envoie encore plusieurs jets de sperme sur la gueule, j'ouvre la bouche pour en recevoir, je me l�che les l�vres et passe ma langue sur son gland afin de ne pas en perdre. Il se redresse, se l�ve, et sans un mot, sans un regard, s'�loigne dans le couloir de l'entr�e. Quand il revient, il me lance mes fringues. Mon t-shirt est poisseux et sent le sperme : il s'est essuy� la queue dessus ! Mais apparemment, je n'ai pas le choix : ni douche, ni t-shirt de rechange. Je me rhabille rapidement, il a d�j� ouvert la porte ; j'h�site un peu : est-ce que je lui laisse mon num�ro ? Il n'a pas l'air d'en vouloir... Je passe devant lui et sort sur le palier, il claque aussit�t la porte dans mon dos. Je regarde l'heure : il n'y a plus de m�tros, et pour trouver un taxi dans ce coin, �a va �tre dur.... Je frappe alors en face, chez mon ami. Je lui lance un regard narquois, et montre la porte d'en face. Il n'en revient pas ! A ce moment-l�, une femme sort de l'ascenseur, nous dit " bonsoir ", sors sa clef et rentre dans l'appart du voisin.... C'est � mon tour d'�tre surpris ! Je regarde mon ami et nous �clatons de rire... Pierre23aR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |