Page pr�c�dente

vive le boulot

Fin des vacances, du moins pour moi.
Je vais devoir arr�ter mes gros travaux pour reprendre une vie scolaire.
J'ai toujours ador� travaill� manuellement (dans tous les sens du terme) et je profite des vacances pour travailler chez les gens.

La premi�re semaine, rien de sp�cial si ce n'est quelques petits trucs � gauche ou � droite qui rapporte quelques euros.
Par contre, la deuxi�me semaine a tr�s bien d�marr�, je re�ois un coup de fil me demandant si je veux bien remettre un appartement en �tat.
Je r�ponds que je ne sais pas dire comme �a, qu'il faudrait que je voie l'ampleur des travaux.
Il me propose de passer voir. On est dimanche et il est 17h00, mais cependant j'accepte.
Il me donne l'adresse et je mets plus d'une heure pour y arriver (pas �vident de circuler un dimanche).

Je sonne et il m'indique que c'est le dernier �tage.
" Ascenseur en panne " comme toujours dans les immeubles. aussi je monte � pied.Il est l� devant la porte, un jeune assez grand, mince, noir de cheveux et des yeux presque transparents tellement le bleu est clair, bref un assez beau gosse.
Je rentre dans l'appartement (situ� sous le toit) qui doit faire 25m².
Il y a la cuisine s�par�e de la salle de bain par une tenture, un lit deux places, un vieux canap�, un bureau avec un ordinateur et une TV, une table, deux chaises, une fen�tre et un tapis. ha, j'oublie un placard.
Peu importe o� qu'on soit, on a vue sur l'enti�ret� de l'appartement (sauf dans le placard et � c�t� de la tenture) .
j'adore. un v�ritable petit nid douillet. Il me dit qu'il faut tout refaire, et j'acquiesce.
Il me dit qu'il a d�j� tout achet� et qu'il me conna�t via une dame chez qui j'ai travaill�, elle m'avait ador� et mon travail aussi.

Je calcule que j'aurai juste le temps pour la fin des vacances et on commence � aborder le sujet du prix. Il me dit direct qu'il me donnera 500 euros et plus si c'est vraiment impeccable.
J'accepte de suite et il me propose de boire un verre, ce que j'accepte volontiers.
Il me dit �galement que je peux loger chez lui durant les travaux. je r�fl�chis un bref instant .
il en profite pour me dire qu'il a juste les mati�res premi�res et pas d'outils. et finalement j'accepte. On se salue et je rentre chez moi.

Le lendemain, je suis chez lui � 8h00 et alors qu'il part il m'indique encore deux trois d�tails.
Je commence par rassembler les meubles au centre de la pi�ce et les recouvrir d'un drap avant de d�crocher tout ce qui me g�ne, puis je commence. Le papier s'enl�ve facilement et je le mets directement � la poubelle pour ne pas salir.
Seulement les sacs manquent et je me mets � les rechercher. Je trouve une petite poubelle sous l'�vier avec des sacs de r�serve.
Puis, mon regard est attir� par la poubelle. je la prends, et je vois qu'il y a pleins de capotes employ�es dedans, on pourrait presque dire qu'il n'y a que �a. Etonn�, je la remets en place et vais continuer mon travail.

Il est 19h00, j'ai presque fini de d�tapisser lorsque j'entends la porte s'ouvrir.
Je me retourne pour regarder qui c'est et j'aper�ois Julien qui d�pose ses cl�s sur le bureau.
Il me demande si je peux l'aider quelques minutes. pour monter des caisses.
Je descends de mon �chelle et on descend les escaliers de l'immeuble � pied.
Sa voiture est � deux rues de l�. Il prend une caisse identique � celle des �crans pour ordi et moi je prends l'autre.
Elle est immens�ment lourde. Arriv� au pied des escaliers je la d�pose pour reprendre mon souffle. Lui semble avoir plus facile.
Je reprends ensuite la caisse pour affronter les �tages. Arriv� en haut, Julien se rend compte qu'il a laiss� ses cl�s � l'int�rieur.
Ayant laiss� ouvert la fen�tre, je d�cide de passer par les toits pour lui ouvrir la porte.
On rentre les caisses et ils les d�ballent pendant que je bois un coup.
Les caisses contiennent des centaines des revues pornos pour la premi�re, et des dizaines de cassettes pornos dans l'autre. Tout en �tant bouche b�e, je comprends pourquoi ma caisse �tait aussi lourde.
Ce qui me ravit c'est que tous les magazines et les cassettes sont � caract�re gay.
Il commence alors � m'expliquer qu'il travaille dans un sex-shop et qu'ils sont en train de faire un inventaire et qu'il peut r�cup�rer tout ce qui n'est plus vendable.
Je fais semblant d'ignorer les caisses et je remonte sur mon �chelle.

Lui se met � se d�shabiller avant de se diriger vers la douche.
Avec mon �chelle je peux voir du dessus de la douche, mais aussi de face.
Je peux le voir sur tous les angles . et apparemment il sait que je l'observe car il se caresse les couilles au moins dix minutes avant de passer � son cul.
J'ai l'impression que mon pantalon va exploser sous la pression de ma queue qui ne demanderait qu'� pouvoir cracher son jus.
En sortant de la douche, il recommence � se caresser avec et sans l'essuie. Il se dirige ensuite vers moi, me donne une tape sur les fesses et me demande si �a me d�range qu'il reste nu.
Je r�ponds que non. Je termine mon travail et il me dit qu'on mangera dans une vingtaine de minutes.
Juste le temps de prendre une douche. Je me d�shabille donc et je sens son regard sur moi.
C'est tout juste s'il ne ronronne pas comme un chat.

J'entre dans la douche, mais je la prends assez rapidement. Seulement, lorsque je sors et que je saisis l'essuies, je m'aper�ois que je n'ai d'autres v�tements que ceux que je porte pour travailler. et ils sont un petit peu us�s.
Julien doit s'en �tre aper�u car il me propose de rester nu.
Il cuisine presque aussi bien que moi, et apr�s avoir terminer le plat de lasagne il me propose une vodka. Je ne refuse pas.
Il me dit de choisir une cassette ou des revues dans les caisses.
J'imagine la semaine qui m'attend.

Je me dirige vers les caisses et je saisis la premi�re cassette. Une histoire dans un gymnase donc je pr�f�re voir autre chose. La deuxi�me m'int�resse beaucoup plus, c'est une histoire d'�tudiants. Classique mais efficace.
Il s'installe � c�t� de moi avant de lancer la casette. �a commence dans les vestiaires. 2 mecs qui s'adonnent � des plaisirs divins.
Ensuite, plusieurs �tudiants semblent avoir am�nag�s une salle de plaisir dans un des nombreux couloirs du sous-sol, et naturellement on a droit � une jolie orgie de jeunes minets.
Julien profite de mon excitation pour me caresser la jambe, puis s'emparer de ma bite pour la branler. Je me tourne vers lui et � mon tour je saisis son membre.
Nous nous branlons lentement pour un plus long plaisir. Apr�s l'orgie, trois jeunes semblent avoir fini les cours et prennent la voiture. Ils s'arr�tent plus loin, pr�s d'un ruisseau. Ils se d�shabillent et se baignent avant de commencer des jeux plus int�ressant.
Ensuite ils sortent sur la rives pour vraiment commencer les choses s�rieuses, mais un vieux d�fend sa terre et ils sont oblig�s de foutre le camp en courrant, d'embarquer dans la voiture pour aller quelques kilom�tres plus loin terminer ce qu'ils avaient commenc�.
En plus de se branler, on est pass� aux caresses, ce qui m'excite encore plus.
Du trio en ext�rieur, on revient sur le campus.
L� six jeunes se dirigent � pied en parlant cul vers une maison. Un des types ouvre la porte et tous s'installe sur les divans pendant que celui qui a ouvert la porte am�ne un bac de bi�re et une cassette.
La cassette est h�t�ro, mais les branlettes qui s'en suivent et le bac de bi�res vides vont faire que trois des jeunes vont rester dormir et qu'� eux quatre (3 qui logent et un qui y habite), ils vont s'initier � des pratiques sexuelles inconnues pour eux.
Apr�s une partouze torride, rien de tel qu'une bonne douche � plusieurs, mais l'effet de l'eau rend les id�es claires et ils semblent se souvenir de ce qu'ils ont fait (sans doute une douleur anale ? ? ?).
c'est la dispute et la s�paration du groupe. En jurant de ne rien dire � personne (pourtant il n'y a que du plaisir, rien de mal ! ! ! sauf si le plaisir est mal).

Je sens monter mon sperme et je lui demande de ralentir. Il arr�te de me branler, mais ne cesse de me caresser. Apr�s le quatuor initiateur, on passe � la piscine (peut-�tre de l'universit� �tant donn� le nombre de jeunes ados) et apr�s des longueurs il faut passer par les douches et c'est l� qu'on voit deux bons copains enlever leurs maillots pour nettoyer la totalit� du corps. Apr�s les douches, on passe dans une petite cabine o� l'ambiance va vite devenir torride, puis apr�s une deuxi�me douche, on se quitte sur un long et tendre baiser.

Je n'en peux plus et je me jette sur cette merveilleuse bite que je n'ai cess�e de branler lentement. Il ne faut pas longtemps pour qu'il d�charge et apr�s avoir bien l�cher cette liqueur, il engouffre ma bite. Pour bien me pomper, il demande � ce que j'emploie mes mains pour pousser sa t�te.
L'effet de la cassette se fait ressentir et je jouis sur son visage.
On s'embrasse, puis on se dirige vers son lit.

Il rel�ve son cul et je m'amuse � lui l�cher la rondelle et � passer ma bite sur sa raie.
Il me tend une capote, je l'enfile avant de l'enfiler lui.
Je lui �clate le bassin dans toutes les positions praticables avant de jouir sur son torse velu et d'�taler le sperme.
On s'embrasse avant de se d�cider � dormir.
Durant la nuit, je sens quelque chose de chaud contre mes fesses, il bande en dormant.
Je me retourne, v�rifie qu'il dort bien, puis vais saisir ce membre et le branle.
Sa bite est vraiment dure et il ne tarde pas � �jaculer.
Je recueille une partie et je m'amuse � en mettre sur lui, mais aussi sur mon doigt avant de le lui mettre dans la bouche.
Plus tard dans la nuit, il se rapproche de moi et m'embrasse dans le cou avant de glisser un petit " merci " � mes oreilles.
Au matin, il prend une douche alors que je me retourne dans le lit pour l'observer. En sortant de la douche, il s'approche, monte sur le lit avant de m'embrasser et d'aller s'essuyer. Il part, et je me retrouve seul dans cet appartement.

Je d�jeune � mon aise avant d'affronter ma journ�e de travail. peindre les plafonds et repl�trer le mur � certains endroits. Ayant fini plus t�t, je d�cide de faire quelques courses et de lui pr�parer un plat. Lorsqu'il rentre, tout est pr�t et apr�s le repas, je lui d�conseille de prendre une douche.
On se d�shabille et je hume sa l�g�re odeur de transpiration. Il choisit une cassette sur l'arm�e, plus pr�cis�ment l'arm�e navale.

Au programme, recrutement sexy, visite m�dicale os�e, douches communes, dortoirs communs, sergent instructeur vicieux, . bref que du chaud.
Mais cette fois on n'attend pas la fin du film, d�s le d�but il s'empare de ma bite et on se met vite en 69. Cette fois c'est moi le passif (du moins pour commencer) et lui l'actif.
Apr�s le divan, on passe au lit o� apr�s de longues caresses, on s'endormira de fatigue. Mais � nouveau en pleine nuit, sa bite chaude vient frotter mon cul, si ce n'est qu'il est r�veill�.
J'agite un peu mon cul pour branler sa bite, puis il l'introduit dans mon anus.
Apr�s de longs allers-retours, son liquide chaud envahit mon cul, mais il reste mon liquide � expulser, c'est pourquoi je joue avec sa bouche et ma bite.
Quand je sens que je vais �jaculer, je lui demande de se retourner et je lui �carte bien les fesses pour pouvoir gicler sur sa raie.
Il y en a un peu qui d�gouline sur le dos, mais avec mes doigts, je fais entrer mon sperme dans son cul. Puis on s'endort.
Le matin c'est la m�me chose, je le regarde prendre sa douche, puis partir, avant de me lever.

Aujourd'hui, plafonds, plaintes et portes. Quand il rentre, il admire le travail, puis prend sa douche avant de venir me caresser le corps avec son corps encore mouill�. Le temps de manger, puis on lance un film.

C'est sur le tournage d'un film gay, on voit comment c'est fait. Il s'ensuit de la pipe, de la sodomie, des branlettes, des �jaculations, mais rien durant la nuit.

Quatri�me jour, je peins les murs. Ayant fini t�t, je consulte les magazines. Puis le t�l�phone sonne et Julien me pr�vient qu'il ne sait pas rentrer.
Je passe la soir�e seul � me branler en lisant des magasines. La nuit, j'entends la porte, puis des bruits de v�tements qu'on enl�ve, quelqu'un qui se rajoute dans le lit, une odeur d'homme qui a fortement transpir�.
Ca m'excite. je me retourne, l'embrasse et disparais sous le drap pour pouvoir le pomper.
Il g�mit qu'il est fatigu�, mais je n'en d�mords pas, je termine toujours ce que je commence.
Au matin du cinqui�me jour, il ne se l�ve pas de lui m�me et je suis oblig� de le tra�ner sous la douche pour le r�veiller.
Je termine l'appartement et je peux m�me remettre les meubles en place avant qu'il ne rentre.
Mais comme j'ai fini avant, je consulte des magasines.
Je suis en train de me branler lorsque j'entends la cl� dans la serrure, mais il n'est pas seul. Un jeune l'accompagne. Il vient vers moi, me pr�sente Matt et me dit que Matt est un �tudiant am�ricain qui va loger ici un mois. Je suis un rien g�n�, mais Matt semble assez � l'aise. Je referme mon pantalon et reste torse nu.

On prend un verre et Matt nous explique que chez lui il a un fr�re qui a un an de plus et que depuis toujours ils se branlent ensemble, ils baisent des filles ensemble, ils font d'immenses r�unions avec des potes pour regarder des films de cul et qu'apr�s ils se branlent tous.
bref tout ce que j'adore. Je v�rifie son �ge avant de lui proposer de manger. Il me r�pond 20ans. Ce n'est pas la majorit� aux USA, mais ici oui. et s'il est consentant.
On mange un bout, puis il demande s'il peut prendre une douche. Je dois dire que j'attendais �a. Il est fortement muscl� (comme pas mal des am�ricains avant de devenir ob�se) et a une paire de couilles monstrueuse.
Je le regarde se caresser et Julien me lance un petit " craquant hein ". Il sort de la douche, s'essuie, et avant qu'il ne s'habille, je propose un film de cul. Il accepte.
Je pr�viens qu'on a que de l'homo. Il sourit d'une rang�e de dents parfaitement blanches et me r�pond que tant qu'il y a des bites il aime �a.
Je craque. Il m'explique qu'il adore les bites, que �a l'attire, mais cependant il ne s'est jamais fait sodomiser par contre il a d�j� suc� une bite une fois.
Celle de son fr�re et c'�tait r�ciproque. j'imagine la sc�ne. Julien lui dit de ne pas s'inqui�ter, qu'on va le former.

On lance une cassette sur un mariage dont le mari� va tester son beau-fr�re et abandonner sa femme. On se branle mutuellement, changeant parfois de place. Matt a une longue queue bien droite avec une �norme paire de boules. on se croirait dans un film.
Julien bande comme un fou, mais ne d�passe pas Matt.. moi par contre je le d�passe et il semble aimer �a.
Sa main reste longtemps � me branler. Puis on quitte le cadre du film et je d�cide de passer � l'attaque en avalant ces deux bites s�par�ment.
J'adore sucer Matt car sa bite d�gage une bonne odeur. un peu comme une odeur de p�tisserie en train de cuire. Julien prend ma place et Matt se penche vers moi pour me sucer. Il aime �a et j'adore �a.

Ensuite on passe aux choses s�rieuses, Matt met une capote et Julien et moi pr�sentons notre trou. Il commence par le caresser, puis fait p�n�trer sa bite dans mon cul. Une fois qu'il l'a enfonc� en entier, il se laisse aller et se met � me donner de grands coups de butoirs. Ses couilles claquent contre mon corps. Il passe � Julien, puis revient � moi et ainsi de suite jusque quand il crache son jus.
La quantit� de foutre est incroyable. Puis Julien prend la direction du trou de Matt et Matt rapproche sa bouche de ma bite.
Sa douleur anale se transforme vite en plaisir g�n�ral. Je ne peux me retenir plus longtemps et je jouis dans sa bouche.
Il n'en perd pas une goutte et avale, mais ne cesse pas de me sucer.
Julien se retire de son cul, retire la capote et gicle sur son dos. On passe au lit, c'est � mon tour de le prendre et au tour de Julien de se faire sucer.
Je m'introduis lentement, prenant un peu de foutre de Julien pour simplifier la p�n�tration.
Ma main baladeuse va branler ce beau membre bien dure. Je signale que je vais �jaculer, il se retourne, prend ma bite et la sienne et se met � nous branler. Je jute un rien avant lui, mais nos jets se m�lange et Julien en r�colt� un maximum.

La nuit sera longue, pleine de caresses, de masturbations et de pipes.
Durant le bref instant de la nuit, je sens Matt qui bande et j'accueille en moi ce beau membre.
Il se r�veille, me caresse le torse et m'encule profond�ment, r�veillant Julien.
Tout repart jusqu'� ce que nos couilles ne produisent plus une goutte de sperme.

Je dois partir car j'ai fini mon boulot, mais je passerai pus tard pour r�cup�rer ma paie, juste le temps de faire le plein de sperme...

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :