Cyrillo

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VIVE LES GENDARMES

Voil� une histoire que je ne peux m'emp�cher de raconter tellement que c'est merveilleux ce qui m'est arriv� voil� maintenant 4 mois.

Je me pr�sente, Miguel, un jeune gay de 23 ans, grand, mince, yeux marrons, bruns, mais bon �a va, au fait j'oubliais gay;

Tout le monde � d�j� r�v� de se faire mettre par un gendarme et bien si d'autres ont vu leur r�ves se r�aliser, et d'autres non, moi je fais partie de ses gens qui ont vu leur r�ve se r�aliser et du plus incroyable du monde.

Ce jour l�, il �tait 17H00 je revenais des cours et dans ma caisse, je feuilletai un mag porno gay, tout en me branlant la bite, tellement excit� j'augmentais la vitesse pour sentir plus de plaisir.

Arriv� � un carrefour, avec aucune voiture � l'horizon je brulais le feu rouge,( bon je sais, c'est pas bien mais dans mon cas j'en suis heureux maintenant de l'avoir fait), alors en brulant le feu rouge je me disais que il y' avait personne, mais, erreur de ma part car � quelques m�tres une voiture de gendarmes me suivait avec sa sir�ne.

"Merde", j'avais le choix essay� de le semer ou m'arr�ter !
Bon... je m'arr�te et sors de la voiture, bien sur j'ai remit mon outillage en place.

Le mec s'approche et l� je tombe nu devant un apollon, j'en ai vu des comme �a mais lui il avait quelque chose d'autres, il �tait l� debout dans son uniforme bleue qui soulignait ses pectoraux, mais ce sont ses yeux qui m'ont frapp�s, de beaux yeux bleu-gris avec une chevelure noir mais on distinguait quelques m�ches grises qui faisait tout son charme.

L� il se met � me poser des questions de routine quoi:
- savez-vous que vous avez grillez un feu
- oui
- et pourquoi �a
- je m'excuse mais j'ai vu personne alors je pr�f�r� continuer
- personne, et bien j'�tais l� moi et si il y'avait eu accident
- en tout cas avec vous je suis pr�t � mourir.

Oups qu'est ce qui m'a prit de dire une chose pareille, oh la vache, je m'excuse mais il ne dit rien du tout et s'approche de la voiture et veut fouiller mais j'avais le magazine alors je me mets devant la voiture

- il y'a rien, je ne fume pas, ni me drogue pas, et je n'ai pas bu
- alors laissez-moi v�rifier
- non je ne peux pas
- �coutez, je peux vous arr�ter ou vous donner une amende, alors laissez moi verifier !

L� il me pousse et ouvre la porti�re et se met � fouiller.
Je peux vous dire que l� j'avais la honte de ma vie, j'vais m�me envie de m'enfuir et laissez la caisse.
Il ressort de la voiture avec le magazine, et ma boite de pr�servatif, qu'il met sur le capot et me demande de me retourner pour la fouille habituelle, je lui fais comprendre que je n'ai rien sur moi mais il ne veut rien comprendre.

L� je me retourne et �carte mes jambes.
Il pose ses mains sur mes �paules, t�te mon torse et les poches de ma chemise, redescend sur ceux du pantalon, j'en avais des frissons merde, je me remets � bander, oh merde qu'il fasse vite, il tate mes fesses, mes cuisses, mes mollets et remonte sur mes fesses.

L� je sens poser ses mains sur mes hanches et l� quelque chose contre mon derri�re.
C'est quoi, �a je me suis pos� la question, une arme, non par sur un cul quand m�me et l� � ma grande surprise merde se mec se frotte contre moi.

Je n'arrivais pas � y croire, et mais si c'�tait vrai, oh mon dieu incroyable non.
L� dans se genre de moment vous �tes quand m�me � dire vraie d�rout�, je me retourne et je le regarde il �tait l� et il me regardait et souriait.
Je souriais mais sans comprendre r�ellement ce qui se passait.
Je pris mon courage balbutiant

- vous �tes gay?
- non je suis bi
- c'n'est pas vraie
- si, incroyable, ouf

On s'est mit � rire et je suis repartit � ma voiture et il s'est install� pr�s de moi en plein milieu de la route et s'est mis � me parler de sa vie, de son homosexualit�.

On a ainsi discut� pendant un moment et j'en pouvais plus, l� je saute sur lui et me met � l'embrasser, il n'en fut pas choqu� comme je l'aurais pens�.
Au contraire il a r�pondu � mon baiser et on s'est mis � s'�changer nos langues.
Oh mon dieu se mec embrasse tellement bien, le gout des ses l�vres de sa salive quel bonheur.
J'en �tais aux anges. En m�me temps moi sur le lui il me caressait le dos, et les fesses, il savait tellement le faire.

Je m'assois sur ses cuisses et lui d�boutonne sa chemise que j'enl�ve, son t-shirt.
L� je d�couvre son torse.

Comme je l'aime, ce mec �tait une r�ponse � mes fantasmes, un beau torse muscl� avec des pectoraux, mais le mieux �tait ses jolis poils frises sur tout son torse et ses deux bouts de tetons roses qui pointaient, qu'elle bonheur.

Je caressais le torse j'adore cette sensation de la toison, lui pendant ses temps avait ses mains pos� sur mes hanches et me regardait calmement.

Je l'embrassais un moment et fit tomber le si�ge en arri�re pour qu'il se couche ; Il se d�boutonne pendant que je fais autant, je ne mis pas de temps � me retrouver nu et lui aussi.

L� le coup de gr�ce ce mec �tait la perfection en tout cas il poss�dait des g�nes en or, des beaux pecs, de grosses cuisses bien velus, un vraie male, une vraie b�te, il d�gageait une telle virilit�, avec une telle douceur.

Je posais mes mains sur son torse et pris sa queue entre mes mains, que j'admirais un moment, une belle bite d'au moins 20 cm, grosse avec des veines, elle �tait un peu violac�e et se gland luisant, un app�tit que j'avais envie de combler, ainsi je pris cette belle queue dans ma bouche.

Jamais de ma vie, j'avais ressentie un tel plaisir de faire la pipe � un mec, ce n'�tait pas une pipe banale, mais j'y ai mit tout mon amour, je voulais lui faire plaisir.

J'engouffrais cette bite enti�re dans ma bouche, ma langue enroulant autour de son gland, je redescendais sur la longueur de la bite, j'englobais les boulles que je l�chais et remontais pour engloutir une fois de plus le gland, hum quel bonheur et il aimait �a, je l'entendais jouir et crier et � me faisait plaisir.
Pendant que je lui faisais sa pipe, je sentis son doigt s'insinuer entre ma raie, il me demande
- je peux ?
(Quoi ce mec me demande s'il peut, quel homme!)
- bien sur que tu peux je suis � toi

Il introduit son majeur dans ma rondelle qui s'�cartait pour laisser le passage; hum quel sensation il avait l'air de chercher quelque chose, se doigt tournoyait autour de ma queue, son majeur allait plus loin et remontait, rien que ces mouvements de va et vient me faisait rougir et mouiller le cul, j'en haletais.

J'en pouvais plus et je le lui dit, alors il s'arr�tait et me demanda de me coucher sur le siege.

Je me couchai et soulevai mes jambes � mon cou pour qu'il se place devant moi.
Je le vis se placer devant moi sa queue � sa main, qu'il posa contre ma rondelle, et introduisit doucement.
Centim�tre par centim�tre etait douleur mais je ne voulais pas le lui dire, c'�tait ma douleur mais aussi mon plaisir.
Il me p�n�tra en douceur jusqu'au bout, je sentis sa toison pubienne contre mes fesses, ouf quel plaisir, je le sentais doucement et tendrement le temps que ma rondelle fasse connaissance, on se regardait et souriait il y avait une tel douceur sur sn visage.

Mais au bout de 3 min mn cul s'ouvrait facilement et l� il se mit � me baiser comme il le savait.
Sa queue entrait et sortait, elle glissa de plus en plus loin, j'en vais chaud au cul, mon derri�re brulait, mon coeur b�tait la chamade, tous mes sens �tait troubl�s, j'e n'avais jamais ressentit un tel plaisir.

Il savait tellement se servir de nos corps, il ondulait docilement ses reins et moi pareil.
je le voulais plus loin, plus fort, je criais, je pris ses fesses entre mes mains je le poussais vers moi pour le faire comprendre d'aller plus loin , plus fort et il comprenait.

Ses coups devinrent de plus en plus dures mais toujours avec un brin d douceurs, sa queue me remplissait, sentir cette bite en moi c'�tait le comble.
Je relevai plus encore mes jambes, il �tait ainsi couch� sur moi, son torse contre le mien, chaque partit de son corps me procurait du plaisir. Sa bouche qui me mordait le cou, les oreilles, sa langue qui se m�langeait � la mienne, ses poils qui me donnait de tel frisson sur mon corps imberbe, ses tetons, tout , tout me faisait chavirer.

On changea de position, je me mis � quatre pattes, il se retira un moment et il me regardait, mon cul et l� il dit" t'es bien ouvert l�".
Il revint vers moi et me p�n�trai d'un coup que je m'�croulais sur le si�ge arri�re, le cul toujours en l'air.
J'avais cette pose de chienne en chaleur et j'aimais �a, lui a genoux entrain de me pilonner, sa queue qui me frappait brutalement ses mains qui me caressait, me pin�ait les tetons.
Il m'insultait et lui demandai d m'insulter encore plus fort.
Parfois il ressortait et frottait son gland contre mon cul.

Il me baisait ainsi pendant un moment qu'un l'id�e d'un fantasme me revint: �tre baiser en plein rue.
On sortit et me mit contre la voiture, le dos contre la porti�re, il vint et souleva mes jambes et me p�n�trait ainsi le corps relev� vers le haut.

Dans cette position, je sentais tout son corps, nos transpirations me rendait encore plus en extase, je m'accrochais � lui, pour ne pas tomber mais aussi pour le sentir plus en moi.
Et l� au moment o� on ne se rendit pas compte, une voiture passa et le mec s'arr�ta un moment et descendit sa vitre.

Il en fut tout rouge d honte et repartis.
J'en avais eu tellement plaisir et honte mais lui il me fit comprendre qu'il avait aime et se remit � me baiser de la sorte.

Nous repartons dans la voiture ou je me couchai et il vint sur moi et me p�n�tra une fois de plus.
Il me baisait un moment et l� d'un coup je l'entendis g�mir plus fort et sa queue se contracter ainsi que tout son corps.

Je sentis glisses sa semence en moi � long jet.
Il resta ainsi un moment et se remit � m'enculer, avec le sperme, un bruit de fluxion se faisait entendre et on en riait.

Il ressort sa queue et se couche sur le si�ge auto et on se regarde un moment et on sourit, il me d�posa un baiser sur ma bouche et se rev�tit, moi pareil.

IL me regarda calmement, j'avais peine � partir mais je ne le montrai pas, mais bon j'�tais qu'un coup quoi ? Rien d'autres.

L� il m demande mn num�ro de t�l�phone.
- tu veux bien me donner ton num�ro ?

Quel choc ! Je ne pouvais r�agir...

- ok laisse tomber si tu ne veux pas
- non ce n'est pas �a, c'est juste que je n'imaginais pas que tu me le demanderais
- et pourquoi �a ?
- ben un coup d'un soir j'en connais
- alors donne !

Je lui donnais mon N° et me dirigeais vers ma voiture pour rentrer chez moi, sur la route il �tait derri�re moi, il me suivait.

L'autre nuit, on a parl� pendant pr�s de 2 heurs au t�l�phone, pour se revoir le lendemain.

Depuis ?

4 mois d bonheur ?

Miguel

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