Page pr�c�dente
Visite surprise du dimanche
Je me pr�sente, je m'appelle Nicolas, j'ai 19ans et je suis �tudiant. Voici mon histoire :
Comme tous les dimanches, la famille se r�unit pour passer un petit apr�s-midi ensemble : Que du bonheur !
Les fr�res et soeurs viennent avec leur moiti�, les grands-parents.
Enfin bref, tout le monde ! Mais bon, comme � chaque fois, l'�ternel c�libataire, que je suis, se fait montrer du doigt parce qu'il est seul. Pour moi, tout �tait clair, j'�tais h�t�ro.
Ne vous en faites pas, le fait d'�tre seul ne s'explique pas par le fait que je sois moche, au contraire para�t-il. Je mesure 1m80, 70kg, brun, les yeux verts, assez bronz�. Enfin, je ne suis pas un Apollon mais bon, je m'en sors, je pense. lol Mais ce c�libat s'expliquait peut-�tre par la peur de m'engager. Du moins, c'est ce que je pensais.
Donc voil�, 12h sonne, les " fid�les invit�s " commencent � arriver.13h, tout le monde est arriv�, si ce n'est mon fr�re qui termine un match de foot. On commence � prendre l'ap�ro.
Donc l�, je vous passe les discussions st�riles concernant l'actualit�. Les prises de position, les concours de rires stupides. Etc. (Vous connaissez �a. lol)
14h approche : nous commen�ons, enfin, � manger. Quand soudain...
Mon fr�re revient. � notre grande surprise, il n'est pas seul. Il a amen� un copain � lui : Vincent, 23 ans, brun, 1m75, dans les 65 kilos voire moins, yeux marrons. Des petites lunettes qui essayent de lui donner un c�t� s�rieux. Pr�sentations faites, le Vincent s'assoit en face de moi. Nous discutons de choses et d'autres, de nos passions. Etc. �coutons les histoires des a�n�s. Et c'est � ce moment que je sentais son regard revenir souvent sur moi.
N'ayant pas encore compris ce que Vincent recherchait vraiment, je marchais dans son jeu et le regardait � mon tour en lui lan�ant un sourire quelque peu g�n� mais toujours aussi sinc�re. Il avait l'air plut�t sympa, aimable. Etc.
La majeur partie du repas s'est d�roul�e comme ceci : discussions et regards.
La fin du repas approchait et personne ne s'�tait encore pos� la question de mon c�libat. Mais bon, l'erreur fut vite corrig�e quand ma grand-m�re me dit : " Ben, Nico, toujours pas d'amour ? ".
A cet instant, j'ai constat� que notre ami Vincent, qui �tait en train de discuter avec mon fr�re, de leur match, a subitement arr�t� la conversation pour ne pas perdre une seule miette celle qui liait ma grand-m�re et moi. Et bient�t toute l'assistance dans la mesure o� celle-ci l'avait, quelque peu, hurl�.
Vous connaissez les personnes �g�es : certaines crient pour mieux s'entendre.
Personne ne fut surpris de ma r�ponse. Mais bizarrement, Vincent, OUI. Je voyais sur son visage s'illuminait un sourire, comment dire, ravi. A cet instant, c'�tait assez difficile, pour moi, de comprendre " le pourquoi du comment " de son attitude envers moi.
Ce gars que je n'avais presque jamais vu se comportait peut-�tre comme �a, avec tout le monde. La confusion commen�ait � s'installer dans mon esprit.
Cela n'emp�che pas que, vers 17h, le repas enfin termin�, il me fallait absolument faire quelques recherches sur Internet. Donc, qui dit Internet, dit ordinateur. Et chez moi, qui dit ordinateur, dit chambre, dans la mesure o� mon PC est dans ma chambre.
Donc, je pris poliment cong� aupr�s des quelques personnes qui restaient, dont Vincent.
J'ai su par la suite que celui-ci avait invent� un stratag�me pour pouvoir venir me parler. Il aurait dit � mon fr�re qu'il voudrait bien me demander quelques renseignements concernant Internet et l'informatique en g�n�ral, dans la mesure o� il ne savait pas encore se servir du PC qu'il venait d'acheter.
Excuse trouv�e, j'entends frapp� � ma porte de chambre. Apr�s avoir scrut� du coin de l'oeil ma chambre, il se d�cida enfin � rentrer et � me donner l'objet de sa visite : des questions concernant le net.
Bon, je ne vais pas vous faire toute la conversation, ce serait trop long. Pour vous donner une id�e de la conversation, il est reparti de chez moi vers 21h.Oui, quand m�me.
Donc, apr�s avoir �chang� mon adresse e-mail en toute innocence et avoir donn� mon num�ro de portable en cas de probl�me. Vincent repart chez lui. Mais j'ai senti, chez lui, comme une h�sitation avant de partir. Comme si ce qu'il avait envisag� de faire ne s'�tait pas pass�.
En effet, lorsque nous �tions tous les deux devant l'�cran. Il collait son genou contre le mien pensant que cela m'aurait fait r�agir ou autre. Mais face � lui, je n'ai eu aucune r�action. Mais � l'int�rieur, je sentais mon cour s'acc�l�rait. Mais bon, par la suite mon fr�re est arriv�. Donc �a s'est vite calm� !
Et puis, je me sentais toujours h�t�ro. Donc, pour moi, tout �tait clair. C'�tait juste une r�action " humaine " qui me troublait tout de m�me.
La fin de soir�e fut pleine de questions. Inconsciemment, je pensais � ce Vincent qui en un apr�s-midi de temps m'avait quelque peu troubl�.
Le lendemain matin, apr�s une nuit calme, j'organisais la journ�e. Etant en vacances, il fallait que j'en profite un peu. J'avais organis� ma journ�e par une visite surprise chez de la famille. Quand vers midi, un coup de t�l�phone chamboula tout mon emploi du temps.
Eh oui, c'�tait Vincent : il avait un probl�me avec Internet et voulait absolument que je passe dans la journ�e pour voir un peu si je pouvais y rem�dier. En toute simplicit�, j'accepte volontiers de chambouler mon emploi du temps pour venir en aide � une personne tr�s sympathique.
15h : apr�s avoir bien eu du mal � trouver son domicile, je me gare enfin dans sa cour. Je sonne et c'est � cet instant que j'ai eu comme un frisson dans tout le corps. Le Vincent que j'avais vu hier, en gros pull et jean, se trouvait devant moi, en petites tenues : d�bardeur et short vachement moulant. Qui laissait appara�tre, au passage, tous ses muscles. " Je suis chez moi, je me mets � l'aise ! " me dit-il.
Bien s�r, comme tout le monde, je lui dis qu'il a bien raison et lui rappelle la raison de ma venue.
Apr�s m'avoir montr� la " b�te ", le PC si vous pr�f�rez (roooooo), je commence � regarder un peu ce qui pourrait ;poser probl�me. A ma grande surprise, tout fonctionne correctement. Tr�s bien m�me, mieux que moi. Attendant son retour pour lui annoncer ma d�couverte, car il �tait parti nous chercher � boire, je commen�ais � me promener dans son ordinateur. Quelle f�t ma surprise quand j'ouvris le dossier " IMAGE ".Des photos d'hommes nus : ce qui provoqua chez moi comme qui dirait une pression sanguine dans le bas-ventre. Et je prenais du plaisir � les regarder. C'�tait soft et � la fois sensuel.
Le Vincent � l'apparence 100% h�t�ro nous cacherait-il des trucs ?
Il revient enfin et me surprend en train de regarder ces photos, sans pour autant y pr�ter attention. Au contraire, j'ai l'impression que �a l'excite. Il me suffisait juste de voir la bosse que formait son short.
Pendant 5 minutes, nous �tions dans un silence qui devenait, je l'avoue, g�nant. Il se d�cida enfin � venir s'asseoir � c�t� de moi. Un seul regard a tout d�clench�. " Le regard qui tue "
Nos l�vres ont commenc� � se rapprocher (qu'arrivait-il � l'h�t�ro qui sommeillait en moi !?).Un seul baiser au d�but, comme pour tester. Un temps d'arr�t et nous sommes repartis de plus belle. Pendant 10 minutes, nos langues se sont m�l�es pendant que nos mains se d�couvraient. Je le caressai : mes mains parcouraient son torse muscl�. Lui avait pos� ses mains derri�re ma nuque et descendait peu � peu jusqu'� arriver � mes fesses. C'est � cet instant, que nos mains ont chang� de position et ont commenc� � s'entrem�ler avant de partir direct caresser nos bosses qui sortaient de plus en plus.
Apr�s s'�tre dirig� dans sa chambre. Vincent m'allonge d�licatement sur son lit et commence � me d�shabiller en douceur, comme si j'�tais d'une extr�me fragilit�. C'�tait tellement sensuel que je me suis laiss� prendre dans le jeu et commen�ais � oublier tous mes soucis du moment. Je m'ouvrais enfin � une personne que je ne connaissais que de vue et qui ne m'attirait pas plus que �a, tout en connaissant mon orientation sexuelle.
Apr�s m'avoir chuchot� � l'oreille qu'il m'aimait, il commen�a � me l�cher le corps : il commen�a par les oreilles, les t�tons, le torse, le ventre et le sexe. Ce fut royal. Quel moment de bien-�tre. Il me donnait des petits coups de lange sur mon gland tout en me caressant les mains. Il prit mon engin en main et commen�a � me branler.
C'�tait trop bon. Je devenais �go�ste. Je me r�confortais dans mon propre plaisir ! C'�tait donc � moi de lui faire du bien : peut-�tre pas comme il a pu m'en faire jusqu'� lors, mais bon, c'�tait d�j� �a. (Je d�butais).
Je pris donc la situation en main. Je mis mes mains derri�re sa nuque et recommen�as � jouer avec sa langue. Tout en nous amusant, je lui indiquai que c'�tait � son tour de s'allonger. Je le d�shabilla d�j� du regard et le fit pour de vrai par la suite.
Je repris la m�me organisation que son assaut, dont j'avais �t� la victime. De haut en bas. Je passa un long moment � le sucer tout en le branlant. Comme par respect, il m'indiqua que son sirop allait sortir. Je n'en perdis pas une goutte. J'y go�tais pour la premi�re fois. Un peu �coeurant ;au d�but, mais on s'y fait vite. Il me caressait tout en g�missant de plaisir : C'�tait comme qui dirait magique !
Il prit ma place et continua le travail qu'il n'avait pas termin� auparavant. Ensuite, nous nous sommes embrass�s un long moment et avons dormi dans les bras l'un de l'autre pendant deux bonnes heures. Enfin, peut-�tre pas dormi, mais discut�.
Apr�s cette discussion sur l'oreiller, nous sommes all�s sous la douche. Quelques caresses, quelques baisers, une fellation. Enfin, dans le m�me genre que l'apr�s-midi.
Ensuite, nous avons pass� une soir�e, l'un contre l'autre dans le canap� � discuter de nos situations : � nous raconter notre propre vie. On avait envie de se partager l'un pour l'autre. La seule question qui revenait souvent : " Qu'allons-nous faire par la suite ? "
Ce n'�tait pas vraiment une question inqui�tante pour moi. Pour lui, �a l'�tait : Il pensait que j'avais fait �a juste pour me d�tendre. Pour moi, c'�tait clair, ce mec ne me laissait pas indiff�rent et je commen�ais � ressentir de vraies choses envers lui. Apr�s avoir mises les choses au clair, je suis reparti chez moi. Nous nous sommes revus, au moins, deux fois par semaine, si ce n'est plus et tous les dimanches, apr�s le foot, il repassait et trouvait une excuse pour me parler ou autre.
Ca fait plus d'un an que nous sommes ensembles maintenant, je peux vous dire qu'il s'est pass� beaucoup de choses, donc, je n'h�siterai pas � vous les raconter si vous le d�sirez.
Aujourd'hui, Vincent travaille, je n'ai pas cours, je suis chez lui et comme je n'ai rien de sp�cial � faire, je vous �cris ce petit r�cit qui vous raconte ce qui a fait qu'aujourd'hui Vincent et moi sommes heureux et nous nous aimons.
Nico
email:
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :
|