Cyrillo

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Journ�e des vidanges

J'ai 17ans. Je suis n� dans un milieu ais� et appartient � une famille bourgeoise. Gar�on d'avocat, je re�ois une �ducation stricte comprenant tous les principes � respecter et les sujets tabous que l'on doit �viter d'aborder.

Je suis un beau jeune homme souriant aux yeux bleu clair, d'un m�tre soixante-cinq, cheveux blond court, le corps juste assez muscl� avec le torse pas tr�s poilu. J'ai une copine depuis 1 ans, c'est la plus belle fille du lyc�e mais contrairement � moi, elle ne raffole pas beaucoup du sexe. Elle ne veux faire l'amour que de temps en temps et uniquement dans un lit. Elle remonte sa chemise de nuit sur le ventre, Je me couche sur elle et apr�s un moment, je l'entend soupir�e fortement et je la voie lever les yeux au ciel, comme pour me signaler son manque d'int�r�t. Donc, quelques mouvements des reins suffisent en g�n�ral pour que je me vide. Tout se fait rapidement. Sans aucune originalit�. Aucun piment.

Heureusement, un camarade de classe m'a fait d�couvrir le sexe entre hommes. Je ne d�teste pas ces s�ances de masturbations et de fellations entre nous. Cela ne m'emp�che pas d'avoir des d�sir pour le sexe oppos�e

Hier matin, il m'est arriv� quelque chose de bizarre. J'�tais devant la maison et je me pr�parais � partir � l'�cole en voiture alors que le camion des vidangeurs est arriv� juste a ce moment. Par m�garde, j'ai laiss� tomber mon trousseau de cl�s et comme par hasard l'attache s'est cass�e �parpillant toutes les cl�s par terre. Je me suis accroupi pour les ramasser une par une puis j'ai relev� la t�te car le camion s'�tait arr�t�. Je me suis aper�u que les vidangeurs �taient devant la poubelle, sans bouger, le regard point� sur moi. Le chauffeur regardait dans ma direction, les yeux fixes. Ce dernier devait �tre �g� d'une quarantaine d'ann�e, le type m�diterran�en, le visage rond et marqu�, pas ras� et des cheveux fris�s.

Un de ceux qui se tenaient pr�s de la poubelle avait la cinquantaine, affichait un certain embonpoint et �tait de taille moyenne. Il portait une casquette et ses cheveux poivre et sel d�passaient sur les c�t�s ; son visage bouffi et rid� �tait barr� par une moustache �paisse et grisonnante. Les prunelles de ses deux petits yeux bleus brillaient d'une lueur malsaine. Il �tait v�tu d'une combinaison orange tach�e dont la fermeture �clair �tait baiss�e jusqu'au milieu de son abdomen et laissait appara�tre un poitrail velu de m�me qu'un maillot de corps douteux. Ses bras ballants �taient d�cor�s par des tatouages, ses mains portaient des gants de manutention.

Le troisi�me vidangeur �tait de type marocain. Il devait avoir le m�me �ge que le comp�re qui se tenait � c�t� de lui. De grande taille, les cheveux cr�pus, moustachu, maigre et flottant dans sa combinaison, son visage �tait rong� par la barbe mais ses yeux noirs exprimaient un m�lange d'�tonnement et d'admiration. Immobile, comme ses coll�gues, ses mains �taient crisp�es sur les poign�es de la poubelle. J'ai r�pondu na�vement � leur sourire pensant que quelque chose n'allait pas ou qu'il y avait un probl�me de tri d'ordures. Ils r�pondirent � mon sourire mais c'est la direction de leur regard qui me fit prendre conscience de la sc�ne : ces trois hommes avaient les yeux point�s sur mon entrejambe.

Je portais un short noir, une chemise blanche que je n'avais pas boutonn� et je portais mes mocassins. Cela faisait environ une minute que je me trouvais dans cette position, les jambes �cart�es. Je me suis relev� plus intimid� qu'en col�re et c'est cela qui me fait culpabiliser. Les trois hommes, surpris, baiss�rent leur regard sauf le rondouillard qui me d�visageait de haut en bas, un sourire en coin. Instinctivement, j'ai jet� un regard sur son bas-ventre et je me sentis rougir car ses parties �taient volumineuses.

Les jambes tremblantes, je suis rentr� chez moi pour me rendre aussit�t dans la cuisine afin de boire un verre d'eau. La cuisine donne sur l'ext�rieur et j'ai pu observer les vidangeurs qui riaient en se lan�ant des commentaires et en mimant des gestes obsc�nes. C'est au moment o� le camion d�marra que le ventripotent, install� � l'arri�re, tourna le visage vers moi avec un regard dur et appuy�. Je ne sais pas qu'elle gu�pe me piqua alors car j'ai soutenu son regard tout en esquissant un sourire en coin.

Une fois le camion parti, j'ai eu une bouff�e de honte pendant qu'une dr�le de sensation de chaleur et de d�go�t m'envahissait. Je me suis occup� tant que j'ai pu toute la journ�e en essayant d'�vacuer de mon esprit le regard de ces individus. Je dormi mal cette nuit l� car je ne pouvait m'emp�cher de penser aux vidangeurs : leur regard rempli de d�sir, leur allure virile et gauche, leur propret� douteuse et les gestes obsc�nes qu'ils mimaient la veille en portant la main au niveau de leur sexe
.
Le lendemain matin, le camion passait en g�n�ral entre huit heures et huit heures trente. Je me posta devant le pas de la porte et guetta le camion que je pouvait voir arriver de loin. Peu de temps apr�s, j'entendis le grondement sourd du moteur s'amplifier. Mon coeur se mit � cogner dans ma poitrine. La peur au ventre, j'avan�a les jambes tremblantes. Les vidangeurs ne s'aper�urent de ma pr�sence que lorsque le camion freina pour s'arr�ter et laisser descendre les deux employ�s. Ils tourn�rent instinctivement la t�te en direction de l'endroit o� se trouvait la poubelle et se fig�rent en m�me temps .J'�tais l�, devant eux, les jambes �cart�es, les mains sur les hanches. Je les regardait tout en affichant un sourire presque provocateur. Le chauffeur ne tarda pas � comprendre que quelque chose de peu banal �tait en train de se passer. Il stoppa son moteur et descendit rejoindre ses comp�res.

Je le d�visagea car je n'avait vu que son visage le jour pr�c�dent. Il �tait b�ti comme un lutteur, les cheveux ras, plus petit que moi mais avec des �paules larges et un cou de taureau. Ses mains ressemblaient � des battoires. Prenant mon courage � deux mains je les regarda droit dans les yeux.
- Bonjour, je vois que vous �tes des habitu�s de ce quartier leur lan�ai-je. Que diriez-vous d'une tasse de caf� pour bien commencer la journ�e ?

Les trois hommes se regard�rent en se demandant s'ils n'�taient pas en train de r�ver. Le ventru aux cheveux poivre et sel s'avan�a vers moi, m�fiant.
- Je suis le chef de cette �quipe. Je m'appelle Franck. Je vous remercie jeune homme mais nous allons �tre en retard sur notre horaire.
- Allons, allons, vous n'allez tout de m�me pas me dire que c'est tous les jours qu'un jeune homme comme moi vous invite � prendre cinq minutes de pose chez lui, r�pliquai-je en faisant doucement glisser ma main droite sur ma cuisse et tout en me mordant l�g�rement la l�vre inf�rieure.

Le chef commen�ait � comprendre car ses joues rougirent sensiblement et je m'aper�us de la respiration plus rapide de l'individu. Les deux autres employ�s se dandinaient sur place, visiblement affect�s par les m�mes sensations que leur patron. Ils d�voraient des yeux ce jeune mec qui �tait en train de les allumer ouvertement.
- C'est bon les gars, Manuel ferme le camion � cl�s et toi Hassan remets la poubelle en place, on verra cela apr�s, commanda Franck sur un ton autoritaire
- Bon et bien suivez-moi ! Di-je en tournant les talons.
Je les fit entrer dans la cuisine Les trois m�les se tenaient c�te � c�te et ne me quittaient pas des yeux. Une fois tous servit, ils se mirent � discuter. Je leur expliqua que je ne voyait pas grand monde par ici et que le passage r�gulier du camion me rassurait. Je les questionna et appris que Hassan �tait marocain et vivait dans un foyer pour immigr�s. Manuel, le chauffeur, est portugais et habite en banlieue. Mari�, il est p�re de cinq enfants. Franck, originaire de la r�gion est vidangeur depuis vingt ans. Des vies mornes. Ils n'avaient pas voulu s'asseoir, pr�f�rant rester debout, s�rement pas g�ne. La conversation se tarissant, un silence pesant s'installa progressivement. Les trois hommes me regardaient comme s'ils voulaient profiter de cet instant s�rement unique dans leur vie.

Je me leva et m'approcha de Franck de fa�on � ce que mon torse fr�le le maillot du vidangeur dont la combinaison �tait d�j� enfl�e au niveau du sexe. Je plongea mon regard bleu dans le sien, remonta doucement ma main droite et la plaqua sur son membre durci. Un petit g�missement sortit de sa gorge.
- Je veux une fois dans ma vie avoir du plaisir avec des m�les en manque et qui ne se sont s�rement jamais tap� un jeune mec comme moi. Je suis � vous. Faites-vous plaisir.

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Franck posa rudement ses mains sur mes hanches et ouvrait d�j� la bouche pour la vriller � la mienne mais je le repoussa imm�diatement.
- Tout doux, tout doux mon ami, tu n'es pas tout seul, chacun son tour !

Je me pla�a devant le marocain, le gratifia d'un clin d'oeil tout en soupesant ses testicules. Celui-ci ouvrit la bouche sans qu'aucun son n'en sorte.
- Tu as de belles couilles toi ! Tu as envie de te faire un jeune Qu�b�cois non ?

Je me planta ensuite devant le portugais qui n'avait pratiquement pas pris part � la conversation et lui empoigna la barre qui d�formait sa combinaison. Je m'approcha la bouche de son oreille droite et lui mordilla le lobe avant de lui glisser les paroles suivantes :
- Toi, le portos, je sais que dans ton pays on se la bouclent et on est soumis. Ce n'est pas mon genre, mais pour cette fois, je vais te laisser me prendre en mains !
Les trois hommes d�gageaient une odeur de m�le qui exhalait des relents de gas-oil et de tabac. Ce qui me provoquait une excitation de plus en plus intense. Je me repositionna devant le chef d'�quipe et descendit la fermeture �clair de sa combinaison. Je d�boutonna l'unique bouton du cale�on et plongea la main pour extirper avec difficult� une queue longue mais fine et deux couilles couvertes de poils. Je m'accroupi et tira avec les doigts de ma main droite sur le pr�puce du sexe gonfl� pour faire appara�tre un gland rouge en forme d'obus. De l'autre, je pris les couilles pour les serrer doucement dans la paume. Je passa la pointe de la langue le long du b�ton dress� et m'arr�ta sur le m�at avant d'enfoncer la tige de chair dans ma bouche pour la faire coulisser. Simultan�ment, le go�t �cre que d�gageait le membre et la satisfaction procur�e par les couinements qui sortaient de la gorge de l'homme ainsi que les tremblements qui animaient ses cuisses me rendais presque fou..
- Oh putain c'est pas vrai ! Vas-y salop, suce !

Je leva les yeux vers le visage du vidangeur. Ce dernier me fixait, un rictus d�formant sa bouche, les bras l�g�rement d�coll�s et les poings ferm�s. Je sentit le gland enfler et je m'empressa d'extirper la bite avant que celle-ci n'explose. Hassan et Manuel n'arrivaient plus � se contr�ler, avaient descendu le haut de leur combinaison jusqu'� mi-cuisse et lissaient leur sexe. Je me d�pla�a laissant Franck reprendre ses esprits. Je me positionna devant le marocain pour happer sa queue apr�s avoir excit� le gland avec quelques coups de langue.

La hampe �tait courte mais �paisse. Le gland �tait r�peux et d�calott�. Il semblait ma�triser ses sensations. Les jambes fl�chies, il avait positionn� ses deux mains de chaque c�t� de mon visage. Je parvint � avaler tout le sexe et le bout de mon nez �tait maintenant enfoui dans le pubis de mon partenaire tandis que le menton touchait ses deux testicules enfl�s.

Je creusa les joues afin d'accentuer la succion autour du membre dur puis retira tout doucement la tige de ma bouche. Ma main droite tenait � pleine main la bite tandis que la gauche caressait l'int�rieur de la cuisse droite du marocain. Je leva la t�te et lui fit un clin d'oeil en souriant. Il d�versa un flot de paroles en arabe, s�rement des insultes, l'oeil m�prisant.

Soudain je me cambra, les yeux �carquill�s. Une longue plainte de plaisir sortit de ma gorge tandis que mon visage devenait �carlate.
En effet, le portugais n'�tait pas rest� inactif. Il se trouvait � pr�sent accroupi derri�re moi et sa main gauche s'�tait introduite sous mes fesses dans mon anus br�lant tremp� de d�sir qu'il massait de ses deux doigts. L'autre main s'�tait plac�e sous mon bras droit et �tait parvenu � caress� mon torse et malaxer mes mamelons. Collant sa bouche sur ma nuque pour me chuchoter des obsc�nit�s dans l'oreille droite :
- Tu es pire que les p�d�s de chez moi, salop ! Tu es tremp� ! Tu ne sais pas ce qui t'attend.

Remis de ses �motions, Franck s'adressa � ses coll�gues.
- Il faut se manier les gars, sinon on va r�ellement se mettre en retard. Toi, le chien en chaleur, l�ve-toi !

Jamais personne ne s'�tait adress� � moi sur ce ton mais je savais qu'en d�pit de ces paroles je les dominait ! Je repoussa doucement le portugais et Hassan et me leva, les jambes dans le coton. Je me dirigea vers ma chambre et revint avec trois pr�servatifs que je lan�a � Franck avec un sourire d�daigneux. Franck effectua la distribution puis s'approcha de moi, posa ses mains sur mes hanches, me souleva comme un f�tu de paille et me reposa sur le bord de la table. Sachant ce qu'il pr�voyait, je m'allongea et remonta mes jambes tout en les �cartant le plus que je pouvais. Les vidangeurs �taient subjugu�s. Je ferma les yeux � demi et leur dit d'une voie suppliante :
- Claquez-moi vos couilles au cul, je suis votre femelle pour encore quelques minutes, videz-vous bordel !

Les capotes furent rapidement enfil�es. Une bagarre faillit suivre pour savoir qui allait passer en premier. Franck r�tablit rapidement l'ordre, se pla�a entre mes jambes, enfon�a progressivement son sexe, qu'il tenait dans sa main droite, dans mon cul jusqu'au fond. Je poussa une longue plainte aigu� en me cambrant et �tendit instinctivement les bras sur les c�t�s. Les deux autres se plac�rent d'embl�e de chaque c�t� de la table pour pr�senter leur queue. Refermant les membres dans chacune de mes mains, je tourna la t�te de fa�on � sucer alternativement les deux bites. Celle du Portugais �tait courbe, plus longue que celle de Franck et le gland rond dressait sa t�te presque � l'horizontal. Ils s'empress�rent �galement de se partager mon torse qu'ils se mirent � masser sans m�nagement.

Pendant ce temps, Franck s'�tait mis � limer selon un tempo r�gulier mon anus en feu. Seuls quelques vas et viens suffirent pour qu'il se vide dans un dernier coup de reins et en poussant un grognement sourd, la m�choire crisp�e. Il extirpa son sexe recouvert du pr�servatif dont le r�servoir �tait rempli du liquide p�le et recula, encore abasourdi par son plaisir.

Le marocain se pr�cipita pour prendre la place de son comp�re, positionna chacune de mes jambes sur ses �paules, saisit son sexe de la main droite pour l'introduire � son tours. Au bord de l'apoplexie et fou d'excitation, il referma ses mains douteuses sur mes hanches et donna une s�rie d�sordonn�e de coups de reins. Je fut s�v�rement secou� et la table se mit � grincer. Le sexe de Manuel en bouche, j'ouvrit les m�choires pour pousser une s�rie de cris per�ants jusqu'� ce que Hassan se cambre en arri�re, les yeux ferm�s et les ongles plant�s dans la chair de mes hanches.

Il se rel�cha, la respiration et les jambes coup�es, fit basculer mes jambes sur le c�t� sans m�nagement, retira son sexe dont le pr�servatif �tait � moiti� retrouss� et recula, le regard dans le vide, et vex� de ne pas avoir �t� plus endurant. Ce fut le tour de Manuel. Il me fit descendre et je me demanda brusquement ce qui lui prenait, me retourna et me plia en deux. Il introduit son pouce droit dans mon trou et amor�a un mouvement de vrille qui me fit g�mir. Allong� sur le ventre, les insultes du Portugais me faisait cabr� et �cart� les jambes au maximum. Je me mordait les l�vres pour �viter d'hurler encore plus fort mon plaisir.
- Sale roulure, tu m�riterais une sacr�e vol�e, je te le garantis, esp�ce de salop !

Il retira son pouce et le portugais colla sa bouche sur mon cul tout en plaquant ses deux mains sur mes fesses et je sentis sa langue fouill�e � fond mon anus. Une plainte aigu� sortit de mes l�vres. A ma r�action, le sang de Manuel ne fit qu'un tour. Il me releva, plia l�g�rement mes genoux, et m'enfila en un seul mouvement des reins progressif mais ferme.
Je tourna la t�te et fustigea le portugais de son regard bleu :
- C'est ce que tu voulais, hein ! encule moi bien bordel, montre ce que tu sais faire avec ta queue.

Fou de col�re et de d�sir, Manuel saisit mon �paule gauche et s'empara de ma hanche droite qu'il saisit � pleine main.
Les coups de boutoir commenc�rent � pleuvoir, de plus en plus rapides et � chaque fois rythm�s par un de mes cri et les insultes de l'homme qui me poss�dait. Les coups de reins s'acc�l�r�rent. La jouissance intense que me provoquait les va et viens de sa queue dans mon cul me fit gicler de plusieurs jets. Manuel se p�trifia brusquement � son tours, le visage d�figur�, les fesses creus�es par l'effort et les cuisses tremblantes. Il se vida en plusieurs jets et en pliant les jambes � chaque fois. Apr�s avoir repris ses esprits, il se retira de mon cul, enleva le pr�servatif et le jeta dans l'�vier.

Je resta pli� sur la table un moment, paralys� et essouffl� par les orgasmes successifs qui m'avaient combl� de plaisir puis me releva. Les trois hommes avaient remont� leur combinaison et me regardaient sans un mot, presque timidement, craignant que je regrette de m'�tre livr� de telle sorte.
- Bon, ben, on va peut-�tre y aller maintenant ! D�clara Franck.

Je m'approcha de chacun d'eux pour caresser leur joue de la main, un sourire en coin.
- Merci Messieurs, je vous adore !

Le portugais me plaqua la main sur le sexe au moment o� je lui passait les doigts sur le visage.
- Toi, salop, je crois que l'on va se revoir bient�t
- Ca, c'est moi qui d�cide ! R�pliquai-je en tapotant la joue du Portugais.

Je les raccompagna jusqu'� la porte et regarda le camion s'�loigner. J'ai ador� l'exp�rience aujourd'hui et avec eux trois, j'ai �t� amplement satisfait. Je suis certain qu'ils auront tr�s h�te de revenir vider mes poubelles. Vive la journ�e des vidanges.

Ken

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