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Verdun/paris 17h27

D�cembre 2003, 4 jours avant No�l, je suis sur le quai de la gare en attendant le train qui va me ramener � la civilisation, � la vie. Tout est moche � Verdun, le paysage, la ville, les magasins, et les gens...
Temps sec et glacial, je suis transi dans la nuit �clair�e par les r�verb�res blafards de la gare. Encore heureux en ce dimanche de fin d'ann�e, aucune gr�ve n'est annonc�e.
Mon train arrive enfin. On m'a quand m�me offert un billet 1er classe et c'est donc avec satisfaction que je m'installe confortablement et au chaud dans le wagon quasiment d�sert. Presque le bonheur !
Soudain, une voix m'interpelle : Pardon Mr, cette place est-elle libre ?
Celle o� justement j'ai pos� mes affaires, tout � cot� de moi. Je l�ve la t�te pour foudroyer du regard mon interlocuteur. C'est un homme d'une cinquantaine d'ann�e, au physique agr�able et souriant, n'emp�che qu'il me fait royalement CHIER ! Qu'est ce qu'il a besoin de venir se coller � moi alors qu'il plein de places libres partout. Poli et bien �lev�, je r�ponds : oui
Je ne vous d�range pas ? Pas du tout ! Dis-je avec hypocrisie et m�pris en pliant mes affaires dans le porte-bagages.
Le train part et je suis carr�ment de mauvais poil. Secou�, la t�te dans un mag qui ne m'int�resse pas, on roule.
Le contr�le des billets pass�, je sens le genou de mon voisin, contre le mien ; je me pousse sans y pr�ter plus d'attention. 2 minutes plus tard il est � nouveau coll� au mien. L�, ce n'est pas d� � une secousse, je d�cide donc de maintenir ma position. De toute fa�on, si je me repousse, je vais finir le voyage plaqu� contre la vitre !
Rien ne se passe durant les 10 mn qui suivent. Le silence est interrompu lorsque mon voisin me demande si je vois un inconv�nient � ce qu'il rel�ve l'accotoir qui s�pare nos deux places. Poli, je r�ponds : non. Je n'en pense pas un mot, mais je suis bien �lev� alors je respecte les gens plus �g�s que moi. Sa main rel�ve le truc pour venir finalement se reposer sur mon genou, celui qui est d�j� coll� au sien et il me dit merci. Putain ! J'y crois pas.
Je le regarde avec beaucoup plus d'attention cette fois. Il a la cinquantaine grisonnante, masculin, dents blanches (suis assez pointilleux l�-dessus), la peau entretenue, le regard malicieux, doux et la bouche au sourire ravageur. C'est manifestement un beau mec. Finalement il vaut mieux avoir 50 balais et ressembler � Georges Clooney, qu'en avoir 20 et se taper la tronche de sim !
J'apprends que c'est Pierre, un homme d'affaire qui bosse � paris et qui regagne son pied � terre pour �viter les encombrements du lundi matin.
Et pendant ce temps l�, sa main a gagn� du terrain puisqu'elle est arriv�e en haut de ma cuisse. D'ailleurs elle est plut�t agr�able cette audacieuse, caressante et virile main qui commence � me faire un certain effet...
Apr�s avoir jet� un rapide coup d'oeil aux alentours, le risque d'�tre rep�r� par un autre passager est nul. Je saisis donc cette main, et la place directement sur ma braguette. C'est moins romantique, mais plus efficace.
Elle presse mon sexe, et mes burnes. Je bande sec, mais l'�paisseur du velours et de mon boxer minimisent consid�rablement les sensations.
Pierre me chuchote d'un ton directif alors dans l'oreille : " vas enlever ton slip !
J'ob�is, et file vers les toilettes, serrant ma teub entre mes cuisses pour ne pas faire remarquer mon �rection. Apr�s avoir pass� ma queue au savon et sous le robinet, je regagne ma place, mon boxer en poche.
Pierre a rabattu sa tablette, posant sa serviette et son manteau dessus.
Isol� des regards indiscrets, je pose mon boxer entre nous et je d�boutonne mon pantalon et baisse ma braguette. Sa main plonge aussit�t pour m'attraper la bite. Je rebande tr�s vite, et le laisse me tripoter sans faire la moindre objection.
Mon zob est � l'air, et j'en suis plut�t assez fier. Je l'exhibe tout content d'entendre : jolie ! Je soul�ve juste un peu mes fesses pour faire descendre davantage mon pantalon et lui faciliter ainsi l'acc�s � mes couilles.
Comme c'est bon ! C'est dingue ce qu'il arrive � faire avec sa main. J'ai parfois l'impression d'�tre dans un trou ! Il me masse la teub, soul�ve mes boules. Elles roulent dans sa main. J'ai une super gaule et mon gland congestionn� forme une grosse prune violette � la peau ultra sensible.
Chaque caresse, chatouille, me donne des frissons, je dois me contenir pour ne pas faire de bruit et retenir mon souffle. Il passe une peu de salive dans sa main et me rebranle. Plusieurs fois, au bord de l'�jaculation, il s'est arr�t� comme s'il savait et me donnant une ferme pression � la base de la tige, je voyais des perles et des filaments de pr�cum sortir de ma fente. Evidement ce pr�cieux liquide lubrifiant �tait aussit�t �tal� sur mon gland avec ses doigts habiles. Pierre avait d'ailleurs tout de suite compris qu'un petit va-et-vient sur mon frein avec cet onguent naturel ne faisait qu'en accroitre sa production, je n'arr�tais pas de mouiller jusqu'� ce que je saisisse son poign� masturbateur, lui indiquant d'y aller mollo. J'�tais � 3 secondes de l'�jaculation finale. Et hop ! La derni�re descente de sa main le long de mon manche, et le contact de mon gland mouill� dans la paume de sa main, ont eu raison de ma retenue. Je l�che ma pur�e de 4 jours. Je me demande comment j'ai fait pour ne pas crier. J'ai touss� pour masquer. Mais sa main continuait doucement son oeuvre et des flots de spermes montaient � la surface pour enrober, dans de divines caresses, mon sexe et mes couilles. J'ai joui abondamment et dans une fraction de lucidit� : je me dis : �a va embaumer le sperme dans le wagon, si on ne fait rien ! A la guerre comme � la guerre ! Et tanpis pour le boxer ! Il m'essuye avec.
Le reste du voyage se d�roule presque normalement, ma bite rest�e sortie a repris une dimension presque normale, mais sa main pos�e en haut de ma cuisse l'effleure r�guli�rement.
Paris- Gare de l'est, je reprends une correspondance et dois rejoindre St Lazare. Quant � Pierre il regagne son appartement de l'avenue Montaigne. Ayant une tr�s forte aversion pour les transports en commun, nous prenons un taxi. Pierre me dit : on t'attend ? Sinon tu peux passer chez moi, je t'invite � diner et apr�s, si tu veux, tu verras que j'ai deux mains, et toi deux faces. OK je re�ois 5/5 le message.
Pierre est un homme raffin� distingu� et manifestement tr�s clean, je remarque cela � ces pompes (encore une de mes manies), � la fa�on dont il s'exprime ainsi qu'� ces mani�res. Je suis tr�s sensible � cela et avoue avoir peu de sympathie pour les beaufs.
Son appartement est � son image, design smart et clean. Il me pr�te un slip et m'emm�ne diner au plazza, � deux pas. D�cid�ment classe jusqu'au bout ! Enfin, s'il croit m'impressionner.... Nous dinons bien, tr�s tr�s bien, je ne me soucis aucunement du prix ; normal dans ce genre de maison, on n'est pas l� pour "bouffer" une frite-saucisse, et je choisis un de mes vins pr�f�r�s pour accompagner mon duo de langouste et de sole, un petit meursault "hospice de beaunes"1 9__. Et ce n'est pas sans une certaine satisfaction et � la surprise de Pierre, que je r�ponds au ma�tre d'h�tel : tr�s bien merci ! Quand il me demande des nouvelles de papa et maman.
L'addition est s�v�re, mais apr�s-tout offrir, un dimanche soir dans le train de 17h27, une belle bite de 19, 5 cm jeune, vigoureuse, juteuse � une main �trang�re n'a-t-il pas un co�t ? Pierre, �l�gant n'a pas bronch�, mais � mon avis, il va vouloir en avoir pour son argent... et le pire je ne suis pas contre du tout ... Tiens Tiens Laurent ! Mais dis-moi tu n'auras pas un petit cot� pute. Te faire entretenir ... comme �a ! M�me pas ! Aucun remords et puis cot� sex, je n'ai pas des tonnes de tabous d�s lors que cela reste voulu, propre et sans violence.
Arriv�s � l'appartement, Pierre m'invite � me m'�tre � l'aise. J'ai h�te de conna�tre ses deux mains, son zob, et de lui faire d�couvrir mon autre face. Je file dans la salle de bain pour y prendre une douche approfondie. 15 mn apr�s je ressors tout propre, tout poilu et tout nu et � demi tendu.
Manifestement, lui aussi sort d'une autre SBD, mais nous n'avons pas du tout la m�me conception de l'expression se " mettre � l'aise" je remarque que s'il a �t� cravate et chaussures, il a gard� tout le reste.
Bon, je ne suis pas particuli�rement pudique et il conna�t l'essentiel alors... j'ai quand m�me l'impression d'�tre une b�te de foire � le voir tourner autour de moi. Verdict : joli ! Mignon ! Je vais bien te faire jouir tu sais. Nous passons dans la chambre et je m'allonge sur l'immense lit couvert d'un drap blanc immacul�.
Pierre ouvre alors un grand placard face au lit : �a te d�range si je nous filme ? Quoi ? NON, je ne veux pas. Je me disais aussi trop beau, pour qu'il n'y ait pas un truc glauque le dessous. Mon bizness-man ne serait-il pas un producteur porno ? Un pervers ? Un sadique ? Un attard� ?
Non je ne veux pas �tre film�. Ecoute Laurent je te propose de mettre en route la vid�o, apr�s on la visionne et tu d�cides si je la peux la garder, ou tu l'emm�nes, ou on la d�truit mais c'est un truc qui m'excite terriblement. Apr�s quelques h�sitations et avoir v�rifi� le mat�riel, je c�de. Il faut dire qu'il m'a pris pas les bons sentiments, entendez par l�, que sa main, ses doigts se sont enroul�s autour de ma queue.
Il me caresse des pieds � la t�te, vraiment partout, me pince les seins, tripote, malaxe, p�trit. Je bande comme un taureau et suis de plus en plus excit�. J'ai compl�tement oubli� la camera et m'offre en toute impudeur.
Au bout d'un moment, je lui fais quand m�me remarquer que �a serait plus sympa pour moi s'il se mettait � poil. Ok pas de probl�me, il se l�ve et se d�ssape. Le slip aussi stp, et le slip tombe � ses pieds. Je d�couvre un mec plut�t bien foutu, un peu poilu mais dans l'ensemble bien. Par contre, depuis le temps qu'il me triture la couane, la bite et les fesses, sa queue ! Elle est rest�e molle ! Il a une bite plut�t prometteuse, mais cela reste un lambeau de chair pendouillant entre ses cuisses, ses burnes sont aussi longues que la tige, un gland circoncis d�passe l�g�rement des couilles poilues.
Je pensais avoir un peu plus de sex appeal et faire un peu plus d'effet que �a aux mecs ! Enfin ! Il se remet sur le lit et reprend ses activit�s manuelles. Il est particuli�rement dou�, et me dit que son trip est de donner un plaisir maximum � ses partenaires pour les faire jouir intens�ment. Je suis tr�s excit� et me fiche de savoir si c'est un impuissant ou non. Je crois que je ne me suis jamais fais masser aussi bien la rondelle. Ses doigts �cartant mes fesses, chatouillant mon trou avant de s'y enfoncer me faisaient g�mir, fr�mir et me donnaient des sensations aussi fortes que s'il y avait mis la langue et m�me sa queue.
J'�tais niqu� par les doigts de sa main gauche, branl� par ceux de sa droite, � quatre pattes cul face � la camera ! Poussant des cris proches de ceux d'un goret. Quel tableau ! Si je ne d�croche pas un oscar avec �a !
Sentant que l'heure de l'explosion ne devait plus tarder j'annon�ais, que dis-je je gueulais : oh putain je vais d�couiller ! Je vais d�couiller !!!
Tu veux juter o� ? Spontan�ment je r�ponds : sur ta queue
Pierre s'allonge alors sur le dos, je me mets � quatre pattes sur lui dans le sens inverse. Ma bite entre ses doigts juste au dessus de la sienne, et mon cul face � sa t�te il me plante 3 ou 4 doigts dans le cul. Il me branle et je gicle avec force. Il ma�trise parfaitement la cadence et la pression de ses mains sur mon membre afin d'obtenir le meilleur rendement possible, mon jus coule � flot par des jets tr�s puissants. Je frotte ma bite raide contre la sienne molle, et sur ses couilles ballantes et velues. Je les enrobe de mon jus. J'aime bien faire �a.
Un soupir et je me remets sur le dos ext�nu� mais b�at. . J'ai r�ellement rarement joui autant.
Pierre se l�ve, on se mate la cassette ? Si tu veux. Je me demande si ma queue et mon cul sont aussi photog�niques que ma tronche.
Assis sur le lit nous regardons le film du dimanche soir, mes 1ers pas au cin�ma et peut-�tre le d�but d'une carri�re internationale.
Ce n'est pas d�sagr�able du tout cet acteur poilu, Laurent, il rend plut�t bien � l'image et puis sa queue, elle parait plus grosse, c'est l'angle de la cam ou le zoom ? Ah bah tient ! Pendant qu'il regarde avec attention, Pierre me demande si je peux lui l�cher ou sucer son t�ton. En le faisant, mes yeux se posent sur sa queue, je constate qu'elle se redresse, elle monte par �-coups saccad�s. Miracle il bande ! Je savais que j'avais un truc qui ne rend pas insensibles les mecs ( J -Jacques, alias bozob si tu me lis .... )
Il me demande alors de lui lecher les couilles. Bah oui .. Mais.... si ..Si j'avais su... je ne lui aurais peut-�tre pas inond� la teub les boules et le pubis de mon foutre ! Maintenant que tout est bien "ensperm�" ... j'h�site !
Pas longtemps car d'un poigne virile il appuie sur mon crane et je prends sa queue en pleine figure. A la guerre comme � la guerre, je fais comme il veut, un coup je l�che, un coup je suce, les boules, le gland. J'avale sa bite et lui taille une pipe digne des pornos. j'avale tout ! Comme je l'avais pressenti sa bite tendue est d'une bonne grosseur. Je rate la moiti� du film la t�te plong� entre ses cuisses, alors que lui n'en manque pas une miette.
Pas mal ! Il se fait pomper en live par l'acteur principal.
Vous vous imaginez en train de mater une vid�o de K Ricker connu pour sa bite de 29 cm, alors que vous �tes en m�me temps empal�s dessus ?
Je crois �tre assez dou� dans ce genre d'exercice et je m'applique � lui faire une pipe aussi profonde que possible. Il jouira sur mon torse, faisant circuler son gland entre mes pecs et remontant jusqu'� mon cou.
Je refile prendre une douche rapide et nous nous couchons.
Demain, je commence de bonheur, je te pr�pare un petit d�j et tu n'auras qu'� mettre les cl�s dans la boite aux lettres, tu peux rester si tu veux, je serais de retour vers 17h. Non c'est No�l, je dois rentrer. Bonne nuit Laurent, bonne nuit Pierre
La nuit a �t� courte, puisque nous avons d� cesser de baiser vers 2 h et qu'il se l�ve vers 6 h. J'ai mal dormi comme � chaque fois que je ne suis pas dans mon lit � moi, avec mon oreiller � moi. Pierre gigote, je me demande ce qu'il fabrique mais je reste allong� presque sur le ventre comme d'hab, et puis je ne sais pas trop quoi dire � cette heure.
Il pose sa main sur mon dos et la descend sur mes fesses. Il se penche sur moi m'embrasse dans le cou et me murmure "je vais bosser. Merci, je te laisse mes coordonn�es sur la table alors n'h�sites pas ..." Mais ! Mais... mais qu'est ce qu'il fiche ! Il est carr�ment sur moi, je sens sa bite compl�tement raide glisser entre mes fesses. Pr�s de mon trou, contre mon trou, il pousse. Je m'ouvre difficilement sans pr�liminaire ! Il a d�j� mis une capote enduite de gel (c'est �a qu'il fabriquait) et son gland �carte mon trou. Je suis sur le ventre, une jambe allong� et l'autre remont�e, je sens sa bite de m�le s'enfoncer en moi. J'ai carr�ment mal et je gueule !
Sa bite se propulse d'un seul coup � fond. C'est douloureux de se faire mettre comme �a � jeun ! Il reste un instant plant� en moi sans bouger. Puis je sens qu'il se contracte la queue pour la faire grossir encore et pour bien me faire sentir qu'elle est l� ancr�e en moi. Je r�ponds par des contractions aussi et il commence � bouger doucement, tout doucement. Une minute plus tard, je me fais niquer comme une salope, il me lime le cul avec une �nergie incroyable. Un animal, voila ! Il me pilonne � grand coups de bite avec un rythme tr�s soutenu, en total contraste avec les doux baisers qu'il me prodigue dans la nuque.
Soudain il se retire aussi violement qu'il est entr�, arrache le drap, sa capote, il me retourne et me jute dessus, encore une fois sur le torse. Je suis tremp� mais tant pis je prendrais une douche apr�s son d�part.
Et il se sauve dans la salle de bain, je le vois sortir quelque temps apr�s v�tu d'un costume et cravate, il passe, me roule une pelle fougueuse avant de me dire, rappelle moi surtout ! Et s'en va brusquement. Tu parles d'un r�veil en douceur !
Bon et bien moi, je n'ai plus rien � faire ici, alors apr�s m'�tre assoupi 1 heure, je me l�ve � mon tour. Je prends mon petit dej, puis me souviens de la cassette. Bon il est sympa, il m'a bien fait juter mais je ne lui laisse pas un tel souvenir. Je v�rifie que c'est bien la bonne, il y a Laurent " d�j� �crit sur la tranche et je l'efface. Le placard est rest� ouvert, mon attention se porte alors sur d'autres cassettes, je vois Antoine, Axel, Xavier ...
Incorrigible ! La curiosit� est un vilain d�faut mais qui ne r�sisterait ? Surtout que finalement Pierre a pris son pied ce matin en prenant mon cul, mais moi ? Rien !
Bon alors je me pr�pare une petite s�ance cin� sur �cran plat � 7h30 du mat. Je mate donc mes camarades qui ont eu le courage de laisser leurs empreintes. C'est tr�s dr�le ses vid�os amateurs, je bande et me branle en jouant les voyeurs. C'est sur Axel que je vais jouir, il est tr�s mignon ce mec, sa queue est magnifique aussi.
Mieux que moi ? Je me demande ?

Laurent

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